La main-mise d'Emmanuel Macron sur les médias en France.

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A partager massivement, et à publier en commentaire pour tous les articles de presse qui utilisent ce mot "cluster" au lieu de "foyer" (d'infection)...
Des "journalistes" qui se croient malins utilisent le terme anglais "cluster" pour désigner un "foyer" d'infection, concernant la pandémie de coronavirus...
Quand un §$*&@#$ (censuré) vous explique que le mot "cluster" est intraduisible... avant de vous dire qu'on peut parfaitement le traduire par "foyer" : https://www.cnews.fr/…/coronavirus-pourquoi-parle-t-de-clus…
Tout notre soutien royaliste aux avocats qui se battent pour garder leur système propre de retraites, et contre la spoliation de leur caisse de retraite (leur patrimoine corporatif, en somme) par une République qui, à défaut de bien gérer le pays, se contente de voler ceux qui réussissent mieux qu'elle !
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
2008 : Parution de l' Aristote au Mont Saint Michel, de Sylvain Gouguenheim.
L'Ephéméride du jour vous propose un résumé court, mais complet, de cet ouvrage majeur, indispensable pour répondre aux billevesées, travestissements de l'Histoire et autres mensonges aussi énormes qu'abracadabrantesques de ceux qui ne craignent pas le ridicule en affirmant (comme le fit Jacques Chirac) que la France avait... des racines musulmanes !
Info de dernière minute : Le comte de Paris, Jean d'Orléans,prétendant au trône de France, condamne l'utilisation du 49.3 par le gouvernement dans le débat sur la réforme des retraites et s'inquiète du manque de gestion de l'état dans la crise sanitaire actuelle qui révèle sa fragilité . FdN
Suivez Monseigneur le comte de Paris sur Twitter et faites connaitre sa pensée autour de vous :
Ses 33 tués ont donné le prétexte qu’Erdoğan attendait pour attaquer de nombreuses positions de l’armée syrienne : artillerie lourde, drones et même aviation depuis le territoire turc, le sultan n’a pas lésiné sur les moyens pour se venger.
Les pertes syriennes sont sûrement inférieures à ce qu’il annonce (2.000 soldats hors de combat) mais elles sont certainement non négligeables. De plus, deux avions syriens ont été abattus par des missiles sol-air ; les pilotes ont eu la chance de pouvoir s’éjecter et de tomber du bon côté du front !
« La Confédération générale du Travail est, elle-même, cause seconde et non cause première ; elle emploie toutes les armes qu’elle possède pour se défendre, mais l’agression ne vient pas d’elle.
L’agresseur, le coupable, le responsable, c’est le gouvernement de M. Clemenceau ; avec lui et derrière lui, le régime démocratique, le régime républicain. Vérité que l’ouvrier parisien comprend désormais. La pendaison de Marianne devant la Bourse du travail est l’acte le plus significatif de notre histoire depuis le 14 juillet 1789. Bourgeois conservateurs, le comprendrez-vous ? »
Lorsque le concept de « démocratie illibérale » est arrivé au centre du débat européen, on pouvait discerner deux conceptions et deux « champions » pour les incarner. Il y avait d’un côté, l’idée que ce qui fait la démocratie, c’est le « démos », le peuple, la nation, son identité, sa souveraineté, et que les libertés individuelles, les « droits humains », notamment ceux de étrangers, des non-citoyens, sans être ignorés, ne peuvent prévaloir contre l’intérêt supérieur du pays ni contre la volonté générale exprimée par le vote populaire, en espérant bien sûr que les deux se confondent.
Table des matières
Ainsi, nous y sommes : le premier ministre qui, en d’autres temps (ceux de son opposition au pouvoir hollandiste), dénonçait le recours gouvernemental à l’article 49.3, en use à son tour, non pour faire taire une quelconque contestation au cœur de sa majorité parlementaire (ce qui, en somme, était l’argument rituel d’usage de ce fameux article), mais pour contourner les débats parlementaires et, surtout, abréger le temps qui leur était nécessaire, selon les us et coutumes de la démocratie représentative. Le gouvernement n’a jamais caché qu’il entendait en finir avec la première lecture de la réforme des retraites avant les élections municipales qui, si l’on en croit les études d’opinion, s’annoncent piteuses pour le parti présidentiel : et la cause est entendue, à défaut que ce soit les syndicats ou les professions organisées comme celle des avocats, plus que sceptiques à l’égard d’une loi spoliatrice de leur caisse autonome de retraites, véritable « patrimoine corporatif ».