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chirac - Page 3

  • Propos de président amnésique....

              "Pour conforter la vocation touristique de la France, il faut mettre en valeur notre patrimoine culturel, puissant facteur d'attractivité et héritage essentiel". Bravo ! Ces propos sont fort justes, et nous les faisons nôtres, sauf que c'est un président de la République qui a dit cela, et c'est là que le bât blesse....

               On rappellera à ce monsieur qu'en 20 ans, entre 1793 et 1814, la Révolution a détruit entre le quart et le tiers de notre patrimoine artistique, et qu'il est donc gonflé de tenir des propos pareils. Du moins si -mais c'est son cas- il ne fait pas mention de ce crime contre la France et contre l'Humanité qu'a constitué cette destruction systématique des oeuvres d'art de notre héritage. 

              Des exemples ?: Versailles ne compte plus qu'environ 10% de ce qu'il contenait sous Louis XVI; Cluny, la plus grande abbaye de la Chrétienté, réduite à quasiment rien; pas une ville de France sans un ou plusieurs monuments démolis (à Marseille Saint Victor, les Accoules, Saint Férreol); églises (180 à Paris), cathédrales (Cambrai) et châteaux d'un intérêt architectural inestimable perdus pour toujours (Marly, Sceaux; Amboise démoli à 80%...); Saint Denis profanée et saccagée; meubles, objets et oeuvres d'art détruits, dispersés ou vendus...

              Elle a eu une drôle de façon, la Révolution dont ce président est l'héritier et le gardien, de "mettre en valeur notre patrimoine culturel" !

              Ah, au fait, qui a prononcé ces propos, admirables bien qu'amnésiques ? Jacques Chirac (6 janvier 2007)...

  • Disons-le clairement...

              Des élèves assez jeunes, peu au fait de la politique, ont lu la note: "Une Halde au service de la dilution nationale". Ils ont la franchise réjouissante de cet âge là, dont il faut les remercier car elle nous oblige à revenir sans cesse à l'essentiel et à être toujours plus clairs et plus précis; et ils me demandent carrément: "Ca veut dire quoi  ?" à propos de l'expression "français légaux à défaut d'être des français légitimes".

              Voici: depuis 1975, Chirac -appuyé et suivi ensuite par la gauche- à fait le choix d'implanter et de greffer en France un grand nombre d'étrangers, par le biais du "regroupement familial"; cette décision est "légale" mais non "légitime" pour nous, car ni Chirac ni ses successeurs n'ont demandé son avis au peuple souverain, et cette politique a été menée en quelque sorte en cachette, en catimini: la meilleure preuve en est l'interdiction formelle de communiquer quelque chiffre que ce soit à ce sujet. Nous sommes donc dans le paradoxe suivant: sur un sujet fondamental: "Qui constitue le Peuple ?", la République ne demande pas son avis au peuple souverain et ne le tient même pas informé de la réalité des chiffres; comment une démocratie pourrait-elle fonctionner de la sorte puisque, si c'est le peuple qui décide, encore faut-il qu'il ait les éléments pour juger...

              On voit donc bien qu'il y a une escroquerie, et plus encore une forfaiture: Chirac a comme donné la France à une masse d'étrangers, que l'on peut évaluer à 10 millions voire plus. Ces personne, du moins pour les naturalisés, sont bien des français "légalement", c'est à dire qu'ils ont une Carte d'Identité en poche et qu'ils disposent des mêmes droits que nous, et peuvent donc orienter la politique du pays par leurs choix aux élections; mais comme nous n'avons jamais été consultés sur la présence de ces personnes, ni sur l'octroi de la nationalité à un aussi grand nombre de gens  en aussi peu de temps, nous estimons qu'il s'agit là d'un fait non "légitime" car un Président n'est pas un tyran ou un dictateur, il n'a pas tous les pouvoirs, il ne peut pas faire tout ce qui  lui passe par la tête; il doit avoir l'accord de l'opinion pour tout ce qui engage fondamentalement la vie ou la survie de la Nation: or l'Immigration récente, dans les proportions qui sont les siennes, déséquilibre gravement la société française et peut représenter un vrai danger (comme on l'a vu dans l'explosion des banlieues en automne 2005).

              Aucun pays au monde n'a subi un tel choc en si peu de temps; il ne s'agit plus de "regroupement familial" mais d'un processus de désappropriation: les français de souche sont dépossédés de leur pays par 10 millions de nouveaux venus qui disent carrément -parce qu'on le leur a fait croire et qu'ils ont bien voulu le croire- que la France est à eux autant qu'à nous; alors que c'est faux, car nous avons des droits historiques sur notre Terre, liés aux services rendus par les générations précédentes, qui l'ont fertilisée et défendue; les nouveaux venus n'auront ces mêmes droits historiques que dans plusieurs générations, quand ils auront à leur tour travaillé et donné leur vie pour ce pays; aujourd'hui, et pour l'instant, ils n'ont que le petit rectangle de plastique que la république leur a -très imprudemment- donné; et nous, nous remettons en cause la politique menée en ce domaine depuis 1975, car elle est "illégitime".....

  • Adieu repentance (s) ?...

                 Dans sa manie de la repentance, et sa traque obsessionnelle de la discrimination, Jacques Chirac n'aura probablement pas de compétiteur, tellement "il est allé trop loin", tellement il a été excessif jusqu'à la caricature; il n'aura probablement pas -du moins on peut l'espérer- de successeur: en effet Nicolas Sarkozy, tout au long de sa campagne ou à peine élu, a clamé sa volonté de restaurer l'image de la France, son désir de faire à nouveau aimer la France, et donc d'en finir avec cette mode envahissante et malsaine de la repentance, cet acharnement ahurissant à dénigrer le passé national, qui n'est au fond qu'une façon de se haïr soi-même: à qui pensait-il, lui qui se veut le champion de la "rupture" ? poser la question c'est y répondre...

                 Et si notre nouveau Président, désireux de tenir ses promesses et d'être logique et cohérent avec lui-même, faisait un peu le ménage dans certaines lois (plusieurs à supprimer...), certaines subventions (encore plus à supprimer!...) et certains organismes tout récents, crées sous et par Jacques Chirac ? avec comme excuse ou justification la soi-disant volonté de traquer on ne sait quelles discriminations ou quel racisme imaginaire, n'existant que dans son esprit à lui: car s'il y a bien un danger raciste en France aujourd'hui, c'est d'un racisme anti-français qu'il s'agit, d'une haine caractérisée de l'héritage français, d'un refus et d'un rejet du "capital transmis" qui constitue notre être profond! Ne prenons qu'un seul exemple, celui de la "Halde", voulue et crée par Chirac et confiée à Monsieur Schweitzer: le simple fait d'avoir créé une "Haute Autorité" pour lutter contre le racisme ou les discriminations n'est-il pas en soi révélateur d'un drôle d'état d'esprit, et disons le franchement d'un réel mauvais esprit?

                 Il n'y avait donc rien de plus urgent ou de plus pressé à faire? Ne fallait-il pas plutôt mettre le temps, l'argent et l'energie dont on disposait à rendre de nouveau sûres nos rues, nos trains ou nos métros? Monsieur Chirac, qui vit dans les Palais, ne se fait jamais agresser, ni dérober son portable, ni voler ou dégrader sa voiture....; non, bien sûr, et ce qui l'intéresse vraiment, qui mobilise son énergie c'est la lutte contre le racisme! alors que tout le monde sait que les "Jeunes" (ceux qu'il appelle "les enfants de la République" !) sont responsables d'une sur-délinquance bien réelle, dont la part dans la délinquance globale  se situe, selon les endroits, entre 50% et 80%, d'après plusieurs évaluations différentes, mais toutes concordantes...Mais pour assurer la sécurité des personnes et des biens, qui est pourtant le rôle de base, le rôle premier de toute autorité, de toute société digne de ce nom, là point de "Haute Autorité" ! Le fait est révélateur, tout à fait éloquent, et semble se passer de commentaires...

                 Remarquons une dernière chose, assez savoureuse, pour conclure: on pourrait tout aussi bien "juger le juge" ! en effet monsieur Schweitzer, chargé donc de juger éventuellement les comportements de tout un chacun, s'est mis lui-même "hors la loi", dans un domaine fort différent il est vrai; on sait que l'un des premiers articles de la constitution républicaine stipule que "le Français est la langue officielle de la République française"; or, du temps où il dirigeait Renault, monsieur Schweitzer a cru bon d'obliger tous ses ingénieurs à travailler en anglais; cette disposition a été supprimée depuis, mais pas parce qu'elle était scandaleuse, seulement parce qu'elle était "contre productive"! voilà donc quelqu'un qui foule au pied une loi de la république -accessoirement la Culture Française...ce qui est autrement plus grave et scandaleux-, et à qui "on" demande de venir jouer les monsieur Loyal ou les arbitres du bien et du mal : bravo Chirac!

  • Les révolutionnaires désavoués par leur successeur....

              Le 11 mars 2007 restera-t-il comme date historique ?

              Ce jour là, intervenant en soirée au cours des Journaux Télévisés des principales chaînes, Jacques Chirac a annoncé qu'il ne briguerait pas de troisième mandat. Quelques personnalités étaient invités à commenter ses propos, dont son ancien Premier Ministre, Jean Pierre Raffarin.

              Celui ci raconta l'anecdote suivante:

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