Réactions diverses à une actualité qui ne l'est pas moins [A suivre]
Enfants marocains fugueurs et snifeurs de la Goutte d'or
France info nous l'apprend ce mercredi 22 mars : des enfants marocains, en grand nombre, dont certains ont moins de dix ans, courent sur les trottoirs, entre les gens, après avoir respiré colle et autres substances toxiques, dans le quartier de la Goutte d'Or, à Paris ! Dans leur état, ces malheureux gamins, évidemment, s'agressent : l'un d'eux a déjà eu la gorge tranchée, le SAMU ayant réussi à intervenir, de justesse. Le journaleux se demande, évidemment, avec gravité, ce que font les Services sociaux. Mais c'est lui qui semble avoir perdu la raison : à cet âge, quitter son pays, traverser l'Espagne pour « atterrir » à Paris, et vivre la vie que l'on vient, rapidement, de décrire, cela s'apparente à une fugue, débouchant sur un enfer. Il faut, de toute urgence, faire cesser l'une et l'autre. La solution, ce ne sont pas les Services sociaux qui la trouveront. La solution, c'est de réunir tous ces enfants, les remettre à l'ambassadeur du Maroc, à charge pour lui d'affréter un ou plusieurs avions, pour les ramener chez eux et les rendre à leurs familles.
Hamon, traître trahi, n'est pas content du PS !
Voici que Benoît Hamon nous joue la version moderne, et tout aussi comique dans sa désarmante naïveté, de L'arroseur arrosé, qui fit la joie des spectateurs du cinéma, à ses débuts. Il n'a pas de mots assez durs, lui et ses « lieutenants » (!) contre ce PS qui le lâche, et va rallier (pour ceux qui ne l'ont pas déjà fait) cette sorte d'horreur absolue qu'incarne ... Macron ! Mais, de quoi se plaint-il ? C'est bien connu : un pur trouve toujours un « plus pur » qui l'épure. De même, un traître trouve toujours un plus traître qui le trahira à son tour...
Hamon participa au calamiteux gouvernement du calamiteux quinquennat du calamiteux Hollande ; il y embêta tout le monde, devenant même l'un des symboles des Frondeurs, tant et si bien qu'il s'en fit virer, avec son collègue Montebourg, par un Valls, père fouettard comme jamais. Oui mais ça, pense Hamon, c'était « avant » (comme dans la pub avec Alain Delon). Maintenant que petit Ben (dixit Martine, Aubry pour les intimes), tout étonné d'être là, se retrouve candidat, il ne sait plus quoi faire dans ce costume de toute évidence beaucoup trop large pour lui, pour sa « carrure ». Alors, il devient hargneux ; il appelle ses chers immigrés à la rescousse ; il trouve un lien qui bien sûr n'existe pas entre Jean Jaurès, Guy Môcquet et Ibrahim Ali ; bref il se lance dans une fuite en avant désespérée, il dit n'importe quoi pour tenter de meubler le grand vide sidéral qu'il représente : il ferait peine, s'il n'était pas repoussant, avec ses appels incessants et quasi hystériques aux grands ancêtres de la Révolution, de la Terreur, de la Commune, de la violence révolutionnaire sanguinaire... •
« Je suis oiseau : voyez mes ailes !... Je suis souris : vivent les rats ! »


Il faut reconnaître ses mérites à Mélenchon : il est cultivé, il est sans-doute personnellement honnête même si - il l'admet - il vit bien du Système, et surtout, c'est un vrai militant. Et, en tant que tel, il mérite le respect des militants que nous sommes nous-mêmes.
Et c'est ce régime-là, ce Système de folie que Mélenchon idolâtre, et fait acclamer par une foule dont on se demande si, un jour, les mots « réflexion », « bon sens », « simple observation du réel » ont eu un sens, du sens.
Les extrêmes se rejoignent : à trop pratiquer le fourre-tout, le programme et le parti de Macron seront comme ces « âmes encombrées » dont parlait Thibon, pour dire que rien n'était plus vide qu'elles. Trop de ralliements, trop disparates, vont vite finir par aboutir au contraire de la croissance et du nombre...

La semaine dernière :
Les lecteurs de Lafautearousseau le savent : depuis que ce site existe, c'est-à-dire depuis dix ans, nous ne donnons pas de consignes de vote. Notre rôle est de préparer les esprits pour une réinstauration de la royauté, pas de participer aux jeux stériles du Pays légal, forcément suivis de désillusions, chaque fois plus cruelles pour nos concitoyens. Ce fut le thème du brillant colloque qui s'est tenu à Marseille, samedi dernier (4 mars) : nous ne nous désintéressons pas de ce qui fait l'actualité politique de notre pays, mais nous n'allons pas nous diviser, éventuellement, entre nous, sur le choix de tel ou tel candidat, à élire dans le cadre d’un système qui est pervers et qui, on ne l'a que trop vu, ne fera finalement que décevoir. Que chacun choisisse donc, en conscience, celui ou celle qu'il pense être le mieux à même de l'être, et que le moins de temps et d'énergie possible soit enlevé au seul militantisme qui vaille : celui qui consiste, dans l'esprit de l'Action française, à être
Notre « grain de sel » de ce jour sera très court. Il consistera surtout à lire l'article - qui se passe de commentaires - auquel le lien ci-dessous donne accès, article paru dans le journal suisse politiquement très incorrect Les Observateurs.
Lisez la courte page d'accueil de France info, du jeudi 9 février [Lien ci-dessous] ; et écoutez, en bas de page, les 2'05" d'entretien du journaliste avec Raspail, sur son ouvrage étonnamment prémonitoire* : évidemment, dans la maison France info, on va immédiatement frémir et se faire peur, en agitant les mots d' « extrême-droite », « racisme » et autres niaiseries.
Mais, enfin, malgré cette puérilité affligeante - et révélatrice de l'état d'esprit de la très grande majorité de ceux qui sont aux manettes de l'audio-visuel - donnons acte à Franck Mathevon d'avoir, au moins, le temps d'une chronique, braqué les projecteurs sur un vrai visionnaire, un grand Français, un « lanceur d'alerte », en somme, comme on dit volontiers, aujourd'hui.
Certes, ce n'est pas lui qui a inventé le concept, ni le mot. Déjà, Anne Lauvergeon, nullissime chef d'entreprise qui a mis notre fleuron Areva et toute notre filière atomique en sérieuse difficulté, proclamait en son temps que, « à compétence égale, elle embaucherait un immigré plutôt qu'un Français, c'était clair ».
Les faits (Source : France info)
Aujourd'hui, l'Armée française célèbre cet évènement d'importance : la création du 1er REC, qui est le seul régiment de cavalerie au sein de la Légion étrangère et le seul régiment de la Légion au sein de la cavalerie, ce qui justifie sa devise
L'ahurissant dialogue Jean-Pierre Elkabbach-Fabienne Keller...
Certes, nous dira-t-on, maintenant, Peillon, c'est du passé, c'est dépassé. C'est vrai, et c'est du reste très bien ainsi. Il n'en demeure pas moins qu'il ne faut pas tout laisser passer, et qu'il y a des choses qui doivent être dites : donc, un dernier mot sur l'ancien ministre de l'Education nationale...