Adepte de la « discrimination positive » : Macron, raciste assumé
Certes, ce n'est pas lui qui a inventé le concept, ni le mot. Déjà, Anne Lauvergeon, nullissime chef d'entreprise qui a mis notre fleuron Areva et toute notre filière atomique en sérieuse difficulté, proclamait en son temps que, « à compétence égale, elle embaucherait un immigré plutôt qu'un Français, c'était clair ».
Macron n'a donc pas inventé cette nouvelle forme de racisme (car, le racisme inversé, c'est toujours du racisme) ; il n'empêche, en visite électorale en Seine-Saint-Denis, celui qui prétend faire du neuf avec des vieux a bien pris soin de proclamer qu'il faisait sienne la « discrimination positive » : aux Mureaux, il a même proposé de verser une prime à l'entreprise qui recrute en CDI un habitant des « quartiers prioritaires » !...
Mais, considérer des gens comme « prioritaires » par rapport à d'autres, parce que ils sont d'une certaine origine, parce que ils appartiennent à une certaine ethnie, parce que ils sont pratiquants d'une certaine religion etc.… : n'est-ce pas cela le racisme ? N'était-ce pas cela qui était à la base de l'apartheid en Afrique du Sud ? Mépriser et déclasser quelqu'un parce que il est noir, maghrébin ou musulman, oui, c'est du racisme. Le favoriser et le promouvoir pour la même raison, c'est évidemment, aussi, du racisme. Inversé, mais du racisme quand même.
Que dirait Emmanuel Macron si un chef d'entreprise passait une annonce, du genre « Recherche homme blanc, salaire plus élevé si français de souche » ? Il faut croire que lui, le Canard enchaîné et toute la gauche moralisatrice des sépulcres blanchis hurleraient à la mort. Et pourtant, c'est cela, la « discrimination positive » : on vous engagera si vous êtes noir ou maghrébin. Et si vous êtes musulman de surcroît, alors, là, ce sera le gros lot !
Macron est raciste. Il n'est pas le seul, surtout à gauche.
Gageons que Le canard de mercredi prochain va nous faire des « révélations » là-dessus !... •
Commentaires
Dans le principe de non-discrimination, il y a déjà une dépossession des autochtones les plus faibles, par le fait qu'ils sont tout naturellement défavorisés par le système de redistribution qui finance les plus pauvres: même si leur revenu est modeste, ils sont tout de même plus riches que les arrivants qui n'ont rien et qui sont de plus en plus nombreux. Ainsi la préférence étrangère existe déjà par le seul comparatif de revenus pour les logements sociaux, les allocations, etc..
Comme cette dépossession n'est pas encore suffisante, le système, sous les efforts conjugués d'un grand patronat dénationalisé et d'une Gauche désolidarisée, veut doubler la dose: à la prise en compte des revenus, on ajoute celle de la culture. C'est la première fois dans l'Histoire qu'une société invente des règles de plus en plus impitoyables pour discriminer et humilier ses propres populations. Mais cette législation écoeurante aura une fin. Un jour viendra où les traîtres paieront, quelle que soit la défroque dont ils se sont affublés.
C'est un alchimiste, il veut faire croire qu'il va transformer la gauche PLOMBEE en politique nouvelle. Il se prend pour le petit cheval blanc de Paul FORT et Georges BRASSENS: tous derrières, tous derrières... et LUI DEVANT. En fait il recycle les vieilles ruines socialistes : BERGE, DELANOE.........
"N'était-ce pas cela qui était à la base de l'apartheid en Afrique du Sud ? "
Non, c'était le développement séparé, nullement fondé sur une hiérarchie des races ou une oppression de l'une par l'autre. Ce que vous dites est une calomnie de l'ancien régime d'Afrique du Sud (un pays essentiellement BLANC)
Pour répondre à votre remarque sur l'Afrique du sud, je vous dirais qu'il existe de nombreuses définitions du racisme. Généralement c'est la plus extensive qui fait la loi pénale: remarquer une différence entre personnes de races différentes, c'est déjà
du "racisme". Mme Mégret a été condamnée en 1° instance et en appel pour avoir simplement déclaré: "les races existent". Plus particulièrement en ce qui concerne l'Union Sud Africaine, il est certain que dans la pensée de Verwoerd, le but était "propre": permettre à toutes les races (afrikaner, britannique, indienne, métisse, Xhosa, zouloue, boschiman, etc..) d'avoir leur terre à eux et de se diriger eux-mêmes avec des gens de leur peuple. Cette pensée était d'ailleurs originaire des Pays Bas, et théorisée par le ministre Kuijper. C'est le "verzuiling" ou pillarisation du pays. Cela dit, il faut de même admettre que Verwoerd a progressivement été trahi par les milieux d'affaires afrikaner et britannique qui ont accaparé les meilleures terres et transformé les bantoustans en zones mafieuses. Pour finir, l'oligarchie fit assassiner Verwoerd, un homme honnête et droit qui s'opposait à leur politique. Vous le voyez, la situation n'est pas aussi manichéenne que vous le pensez. Et la conclusion est toujours la même: ce sont des blancs qui trahissent les blancs.
La population ouvriére qui fournit une part majeure du P.I.B n'a rien de bon a attendre d'un personnage qui provient de chez ROTHSCHILD : POMPIDOU qui avait la meme origine : quel souvenir...le début du déclin ?La FRANCE et le peuple FRANCAIS sont à soigner avant tous les recyclés qui proviennent d'origines diverses mais qu'ils n'ont qu'un but : participer au remplacement de la population d'origine...une forme de colonisation que Macron a jugé de criminel a Alger ?
C'est tellement plus simple de désigner les futurs "laissés pour compte " en fonction de facteurs sociaux plutôt que de s'atteler à la formation et à l'insertion de la jeunesse. Et comme d'habitude, ce sont les milieux intermédiaires qui en feront les frais...les élites du centre de Paris ont les moyens de payer des écoles bilingues hors contrat et d'expédier leurs enfants à Londres quand les jeunes des banlieues les ont remplacés sans concours sur les bancs de Science Po Paris et qu'ils n'ont pas atteint le niveau requis pour les quelques places pour lesquelles une juste concurrence est maintenue...en revanche les classes moyennes au sens large et les familles nombreuses on les transformera en citoyens de seconde zone (pas de bourse, pas de subvention du pass imaginR, prix de la cantine X10, quota très réduit pour les internats, les classes prépa, les formations sélectives, les résidences étudiantes, les concours administratifs, les embauches dans les entreprises dans lesquelles l'Etat a une participation ou avec lesquelles il passe des marchés, accès aux permis de chasse, de pêche et de conduire ). Et comme ce sera au nom de l'égalité on pourra inventer "un délit de contestation de l'égalité suprême" pour ceux qui envisageraient de se plaindre. (ce qui pourrait arriver vu que c'est tout de même une majorité qui est concernée)...