Sur Institut des Libertés, Christian Vanneste, homme politique et essayiste est l'invité de Charles Gave.
Avec Charles Gave, Christian Vanneste revient sur la crise politique actuelle et sur le référendum d'initiative populaire.
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Avec Charles Gave, Christian Vanneste revient sur la crise politique actuelle et sur le référendum d'initiative populaire.
Comme il faut bien, aujourd’hui, tweeter pour exister, Jean-Luc Mélenchon s’est fendu du service minimum : « Révoltant meurtre à #Rambouillet. Condoléances à la famille et aux proches de la victime. Devoir de sang-froid, exigence de justice. »
Un article du Figaro le confirme une fois de plus, le 29 avril : le migrant mineur isolé n’est souvent ni mineur ni isolé. L’inversion de la réalité facilite ainsi l’apprentissage du langage mondialiste. En guise d’exercice d’initiation, le débutant découvrira que Paris Plages ne comporte pas l’ombre d’une plage et que tout acte délictueux commis par une personne immigrée (ou d’origine) n’a rien à voir avec l’immigration.
Faudrait peut-être voir à calmer le jeu ! Des militaires – en fait, des militaires à la retraite, sans doute pour l’immense majorité d’entre eux – signent une tribune à l’adresse du président de la République et ça s’affole sur le champ de bataille médiatique et politique. Ce week-end, c’était Jean-Luc Mélenchon, que l’odeur de la poudre d’escampette excite et pousse à monter à la barricade.
Professeur à l’Université de Paris XII
Notre ami, le professeur Tournafond vient de donner une conférence à Moscou, sur les origines et la réalité de la pandémie Covid 19 et propose quelques éclairages sur ce qui semblent être des intentions cachées qui dépassent les États et qui engagent une transformation profonde de notre société. Nous publierons cette conférence en deux parties. (NDLR)
Colloque internet à Moscou le 22 avril 2021
Une fois de plus, la France vite un drame et le débat se focalise sur la question de savoir si l’on a le droit de prononcer les mots « immigration » et « terrorisme » dans la même phrase.
© Hannah Assouline
Les Français n’ont pas attendu l’autorisation des médias ou des politiques pour constater que les derniers attentats étaient le fait d'étrangers. Ce qui ne signifie pas qu'ils nourrissent un réflexe raciste. Mais ils finiront par céder aux sirènes de l’extrême droite si les beaux esprits continuent à leur dire qu’il n’y a rien à faire. Il y a urgence à sortir de la paralysie pour passer à l'action et à regarder quelques réalités en face.
Même si cela semble dans une vie antérieure, dix ans, ce n’est pas si loin, et en ce temps-là, l’inquiétude était aux « déserts médicaux » : le mantra du moment n’était pas l’accès au vaccin, mais seulement « l’accès aux soins pour tous ». Alors se multiplièrent, entre autres, les « centres de vision », salariant, outre un seul ophtalmologiste en titre pour les signatures, une nuée de petites mains affectées à des machines éminemment rentables.
Nouvelle attaque terroriste. Une policière égorgée à Rambouillet… Que fait le pouvoir ? Il s’émeut, présente ses condoléances, affiche sa compassion, affirme qu’il va agir, que rien ne pourra l’arrêter. Mais au-delà des mots, des postures, quelles décisions ? Quelles actions ?
S’est-on moqué des petites dames de jadis, façon Tante Yvonne ou Germaine Coty, qui restaient dans l’ombre de leur mari, leur petit sac serré contre elles, le bibi sur la tête, tout justes bonnes à couper les rubans des inaugurations, à distribuer les cadeaux de Noël et à se pencher pour tapoter les joues des enfants.
Cette fois-ci, y a pas, la République est en danger. C’est un expert qui le dit. Pas comme ça, mais en gros, c’est l’idée. L’expert, évidemment, c’est Jean-Luc Mélenchon. D’ailleurs, le député des Bouches-du-Rhône est plus qu’un expert en République, il est la République. En toute simplicité. C’est celui qui dit qui est. Donc, ça ne se discute même pas.
Le «remontage» de la flèche qui culminait à 86 mètres débutera en septembre 2021 pour s'achever en 2028. Kenzo TRIBOUILLARD / AFP
L'idée de reconstruire l'emblème de la nécropole royale a été lancée en 1987. Grâce aux financements de la Région Île-de-France et du Fonds de solidarité interdépartementale, ce projet s'accélère.