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COMMUNIQUÉ. Après l’allocution présidentielle fourre-tout du 12 juillet, le renforcement sanitaire se poursuit. Des camps se forment et la France se divise au lieu de faire front. Une opposition rationnelle au macronisme est plus urgente que jamais.
Après seize mois de maladie, après les innombrables errances des restrictions et libérations conditionnelles, les gouvernements ont mis au monde une nouvelle religion séculière : la vaccination. Le communisme fut défini ainsi, et, comme lui, cette croyance inédite se construit sur la base d’une sorte de lutte de classe :
Moins de liberté pour les Français, plus de liberté pour les immigrés clandestins : telle semble être la devise d’Emmanuel Macron. La crise sanitaire a des conséquences paradoxales : des mesures de plus en plus contraignantes à l’égard de nos compatriotes, mais une indulgence coupable à l’égard des étrangers en situation irrégulière.
A l’heure ou les regards obliques s’attardent sur les « irresponsables » qui ne se sentent pas obligés de se faire vacciner, qu’une majorité de français (58% parait-il) sont prêts à contraindre leurs compatriotes récalcitrants en usant de la force s’il le faut, il semble que les esprits bien formatés soient en accord avec nos « élites » pour enterrer les derniers vestiges de liberté qui semblaient nous rester (AF).
D’où vient la différence spectaculaire entre l’afflux des demandes de vaccination ( 3 millions en quelques jours et 792 000 vaccinations en une seule journée) et la faiblesse des manifestations hostiles aux mesures liberticides (120 000 manifestants, samedi 17 sur toute la France) ?
La méthode est rodée de longue date et elle est efficace : rien n’est obligatoire, mais… mais si l’on ne veut pas finir comme un fruit pourri oublié dans le fond du compotier, il faut y passer.
La honte au front, je suis moi-même allée me faire piquer, lundi matin, juste avant la ruée.
Le 12 mai dernier, lorsque l’Assemblée nationale a adopté le passe sanitaire, nombreuses ont été les levées de boucliers face à ce qui ne laissait présager rien de moins qu’une discrimination entre les citoyens selon qu’ils aient été vaccinés ou non.
La stratégie d’Emmanuel Macron et du gouvernement était claire : faire du vaccin LE clivage destiné à arrimer à soi 80 % de Français souhaitant naturellement faire partie du camp du Bien (progrès, solidarité, raison, etc.).
Alice Coffin a été interrompue au cours d'une conférence par un membre de l'organisme Les Normaux lui offrant un bouquet de fleurs. Une action vue par la gauche comme une "agression" et le signe de la montée de la violence d'extrême-droite.
Les plus naïfs d’entre nous espéraient que la crise actuelle allait enfin permettre d’insuffler chez nos élites culturelles le sens des réalités, ou le « bon sens » tout court… Il n’en sera rien.
Une vague déferle sur la culture occidentale. Plutôt une vaguelette, d’ailleurs, car elle mobilise, en réalité, peu de personnes, en dehors de quelques milieux choisis : médias, université, monde « culturel », et aussi personnel politique (non par réelle conviction, mais par peur de ces milieux censés « faire l’opinion »).
Le sort de Théo blessé par un flic blanc continuera à être évoqué. Théo assassiné par un migrant noir sera bien vite oublié
À quelques années d’intervalle, deux Théo ont fait l’actualité. L’un dans une affaire de « violence policière » qui date de février 2017, l’autre dans un crime atroce qui l’a frappé il y a quelques jours.