NOUVELLE CALÉDONIE : DANS 73 JOURS, DIRE NON À LA CHINE, OUI À LA FRANCE (POUR LA TROISIÈME FOIS !)

PAS BESOIN D'ÉPILOGUER,

TOUT LE MONDE LE SAIT :

LE 12 DÉCEMBRE

LA NOUVELLE CALEDONIE CHOISIRA LA CHINE

OU DE CONTINUER AVEC LA FRANCE

POUR NOUS C'EST CLAIR :

OUI À LA NOUVELLE CALÉDONIE TOUJOURS FRANÇAISE !

Nouvelle Calédonie : le "commentaire" de Catoneo ramène à l'essentiel, la victoire indispensable des loyalistes...

En Nouvelle Calédonie, ce 12 décembre :

NON À LA CHINE !

OUI À LA FRANCE !

Mardi, notre ami lecteur Catoneo a posté le commentaire suivant sur l'article publié lundi Quand la France atlantiste se fait gifler par son maître, par Les Hurons.

Ce "commentaire" nous permet de redire combien nous souhaitons, avec tous nos amis de Nouvelle Calédonie, la troisième et dernière victoire du "OUI À LA FRANCE !" et que nous nous engagerons, dans toute la limite de nos moyens, dans le combat des loyalistes, afin que la Nouvelle Calédonie reste terre française, et que la Chine ne vienne pas y régner - à sa façon, que l'on ne connaît que trop !... - à notre place...

Sur Sud Radio avec André Bercoff, Pr Raoult - "Ce n’est pas parce que c’est la loi que ça représente une réalité scientifique !".

André Bercoff reçoit le Pr. Didier Raoult, Directeur de l'IHU de Marseille, pour revenir sur la dernière étude qui attesterait de l'efficacité de l'hydroxycholoroquine et de l'azithromicine contre le Covid-19.

Sur Marianne, la drôle de passion des médias français pour Angela Merkel.

Comment expliquer la drôle de passion de la presse française (en particulier de gauche) pour la chancelière Merkel ? Comment expliquer une telle absence de regard critique ?

Sur Sud Radio, Éric Zemmour : "Je suis le seul à subir ce traitement infâme. On sait pour qui roule Paris Match".

Éric Zemmour, Journaliste et auteur de "La France n'a pas dit son dernier mot", était l'invité de Sud Radio.

Sur le site officiel de l'Action française : Et la France, dans tout ça ?, l’éditorial de François Marcilhac.

Peu à peu les choses se mettent en place pour la pro­chaine pré­si­den­tielle. Les Répu­bli­cains viennent de choi­sir le congrès, de pré­fé­rence à une pri­maire, pour dési­gner leur can­di­dat, ce qui, du moins pour l’heure, semble favo­ri­ser Xavier Ber­trand, sur Valé­rie Pécresse, Michel Bar­nier et Éric Ciot­ti — rap­pe­lons que les deux pre­miers ne sont plus membres de LR depuis long­temps, ce qui en dit long sur les capa­ci­tés de ce par­ti à trou­ver en lui des per­son­na­li­tés de pre­mier plan !

« Sur l’immigration, le débat existe encore dans les médias, plus dans l'opinion », par Clément Pétreault.

ENTRETIEN. Pour Christophe Guilluy, inventeur du concept de « France périphérique », l’approche politique « par tribus » ne fonctionne plus.

Les mineurs isolés, à l’avant-garde de l’insécurité dans le métro parisien.

ARTICLE. Dans un entretien accordé au Parisien, la Sûreté régionale des transports dénonce « la délinquance de masse » des mineurs isolés dans le métro parisien. Ils représenteraient près de la moitié des interpellations, d’après la source policière.

Sur la page FB de nos amis du GAR : hommage au caporal-chef Maxime Blasco, un héros français mort au combat. Qu'il repose en paix.

Un très bel article, paru ce matin dans Le Figaro, sur ce héros français tombé au combat bien loin de la métropole. Qu'il repose en paix.

https://lavoiedelepee.blogspot.com/2021/09/pour-le-caporal-chef-maxime-blasco

Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

Très cher 93, trop coûteux RSA !, par Marc Eynaud.

Une annonce à rajouter aux promesses de la campagne présidentielle de 2022 d’Emmanuel Macron. Le premier ministre, Jean Castex, a confirmé, mardi 21 septembre, la prise en charge par l’Etat du surcoût du revenu de solidarité active (RSA), dont le conseil départemental a la responsabilité. 

Quand la France atlantiste se fait gifler par son maître, par Les Hurons.

Le soufflet jeté à la figure d'Emmanuel Macron a claqué aussi fort que le « Montjoie Saint Denis ! » à Tain l'Hermitage. Mais cette fois, c'est la politique étrangère du président qui est touchée. La gifle ne vient pas d'un jeune rebelle mais du patron américain qui remet à sa place un employé un peu trop zélé.