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«Aussi longtemps que les restaurants, les cafés, les cinémas, les théâtres, les salles de concert, resteront fermés, on ne pourra pas dire que la vie reprend son cours», dit Bérénice Levet. Fabien Clairefond
GRAND ENTRETIEN - La crise sanitaire est aussi une crise de la sociabilité. Celle-ci met à mal notre sens de la convivialité et notre art de vivre, analyse la philosophe.
La journaliste (et amie…) Gabrielle Cluzel vient de signaler sur sa page Facebook une ignoble dégradation commise sur le socle d’une statue de sainte Jeanne d’Arc à Paris :
Dégradation de la statue de Jeanne d’Arc, du sculpteur Émile-François Chatrousse, située boulevard Saint-Marcel : tag « Pucele (sic) de merde » sur le socle. Ordurier et écrit avec le pied gauche, la signature de l’ultra-gauche…
Daniel Hamiche est journaliste et président de l’association Amitié catholique France/États-Unis. Il a lancé, en 2007, le blogue Americatho (aujourd’hui membre du portail de réinformation Riposte Catholique). Il est administrateur et rédacteur du blogue L’Observatoire de la Christianophobie.
Qu’il célèbre Marseille ou Martigues, Charles Maurras évoque le passé, Jacques Gelu, « archevêque au temps de Jeanne d’Arc, dont il fut le soutien »1, ou « le bienheureux Gérard Tenque, fondateur des Moines hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem »2. Son amour des « républiques urbaines »3 s’enracine dans l’histoire et, quand elle ne fait pas croître ses craintes, elle le fait se « retourner vers le bel avenir », dans l’illusion de « l’Etat nouveau, l’Etat du Maréchal ».4
L’Union européenne, qui ne sert à rien pour juguler la pandémie et en a même, préventivement, aggravé les effets, veut se servir de cette crise pour renforcer son contrôle inutile…
Alors que les Français entament leur quatrième semaine de confinement, nos hommes politiques semblent surtout préoccupés d’une chose : l’Union européenne. C’est le président Macron qui, le 26 mars, expliquait à l’occasion du sommet européen tenu par visioconférence : « Ce qui est en jeu, c’est la survie du projet européen. […] Le risque, c’est la mort de Schengen ». C’est Jean-Pierre Raffarin qui, deux jours plus tard, s’inquiétait : « La situation est dangereuse, le virus menace l’existence de l’Europe ». C’est Jacques Delors qui constatait avec amertume : « Le climat qui semble régner entre les chefs d’État et de gouvernement et le manque de solidarité européenne font courir un danger mortel à l’Union européenne »… Ce qui explique cette surenchère dans le pessimisme c’est que, depuis le début de la crise actuelle, l’Union européenne brille par son absence la plus totale[1]. Et cela, malgré les multiples incantations du président français de la République.
Mercredi 5 juin, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions une nouvelle fois Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot pour leur livre “Le président des ultra-riches”. Tous deux sociologues et anciens directeurs de recherche au CNRS, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié de très nombreux ouvrages qu’ils nous ont pour la plupart présentés. Spécialisés dans l’étude de la bourgeoisie et des dynasties financières, tous deux avaient vu en Nicolas Sarkozy le « président des riches » - qualificatif qui lui est resté. Après l’intermède François Hollande, lui-même si complaisant l’égard des milieux financiers, Emmanuel Macron s’est révélé comme “Le président des ultra-riches” selon le titre du livre que Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié aux éditions La Découverte. Pur produit de l’oligarchie, l’hôte de l’Élysée a comblé de cadeaux fiscaux ceux qui l’avaient porté au pouvoir et donné à la guerre de classe une intensité inédite, provoquant la révolte des Gilets jaunes qui ont significativement envahi les “Beaux quartiers…”
On se demande pour quelles raisons Emmanuel Macron a bien pu choisir Sibeth Ndiaye comme secrétaire d’Etat porte-parole du gouvernement.
Je ne le crois pas assez cynique pour l’avoir nommée parce que c’est une femme noire, il ne serait pas capable d’un pareil coup tordu, ce qui équivaudrait, par exemple, à choisir un ministre de la culture parce qu’il serait homosexuel! Ces manœuvres communautaristes et bassement électoralistes seraient indignes d’un président de la République ayant souhaité que figurent les œuvres du général de Gaulle sur sa photo officielle et qui a fait ajouter une croix de Lorraine sur le logo de communication de l’Elysée.
La Cour d’appel de Lyon a relaxé le militant, poursuivi pour avoir aidé des migrants à entrer clandestinement en France. Pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, le «principe de fraternité» retenu par le juge ouvre la voie à toutes les dérives.
En dépit de ma révérence obséquieuse pour les institutions, je ne jurerais pas que les Sages du Conseil constitutionnel se soient conduits avec une infinie sagesse lorsqu’ils ont consacré le «principe de fraternité».
L’autre jour, je me suis trouvé interpellé de façon très moqueuse dans la rue, parce que je portais un masque. Un masque, il est vrai d’une facture assez différente de celle que l’on côtoie en ce moment puisqu’il est en plastique. La personne qui m’interpellait est d’ordinaire tout à fait cordiale dans ses relations avec moi. Mais là, elle poussait le bouchon un peu loin me traitant quasiment de clown et m’invitant à compléter mon affublement par une plume plantée sur la tête.
Tout le monde, ou presque, critique la manière dont le gouvernement gère la « crise du coronavirus »
Les improvisations, les tergiversations, les revirements, les mensonges sont quotidiens depuis deux mois. Nous n’allons pas les reprendre ici : les critiques affluent de toutes parts. D’innombrables vidéos circulent sur la Toile démontrant de belle manière toutes ces impostures et ces impérities.