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C’est officiel, l’État de droit est mort en France.
Le ministre de l’Intérieur l’a enterré hier.
Christophe Castaner l’a dit : l’émotion est au dessus de la loi.
C’est exactement ce que le ministre avance pour justifier que des manifestations contre le racisme et les « violences policières » se soient tenues dans plusieurs villes malgré leur interdiction.
Après le gouvernement des hommes par la peur, voilà celui de la honte et de la repentance qui refait surface. On ne nous laissera pas une minute de répit. Les manifestations dans le monde entier, qui se veulent antiracistes, mais en réalité terriblement et dangereusement racialistes sont animées par les mêmes bobos moralisateurs qui distillaient la peur hier et invitent à la honte collective aujourd’hui. Les donneurs de leçon sont toujours reconnaissables au discours usé de bourgeois de gauche en permanence dans la détestation de leur héritage culturel.
Mercredi 3 avril, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Morvan Burel pour le livre “La gauche à l’épreuve de l’Union européenne” qu'il a co-écrit.
Depuis bientôt quarante ans, les partis politiques de gauche croient pouvoir réaliser leur programme dans le cadre de l’Union européenne et sans remettre en cause les principes du libéralisme économique inscrits dans les traités. Les socialistes ont promis « l’Europe sociale », voire un fédéralisme européen à la mode social-démocrate, mais se sont heurtés à un système de normes juridiques, au carcan monétaire et à la dynamique du capitalisme financier. Les trotskystes dénoncent le libre-échange mais refusent le protectionnisme. La France insoumise propose une stratégie en deux temps – les plans A et B – peu crédible tant elle est floue. Membre du collectif « Chapitre 2 » aux côtés, entre autres, de Christophe Ventura et d’Aurélien Bernier, Morvan BUREL est coauteur de l’ouvrage consacré à “La gauche à l’épreuve de l’Union européenne” – une épreuve qui met aujourd’hui son existence en question. En examinant avec notre invité les propositions et les échecs de la gauche, nous réfléchirons aux différentes stratégies qui pourraient permettre de sortir de l’impasse européiste.
• Les quinze premières minutes de l'émission d'hier soir comptent très certainement parmi les meilleurs moments de cette "heure de Zemmour" !
Un militant royaliste, un lecteur de lafautearousseau ne peuvent que souscrire à 100% à tout ce qu'a dit Zemmour sur Jacques Toubon et son poste, à supprimer d'urgence (ce qui fera au passage réaliser quelques économies, toujours bienvenues).
La question de départ de Christine Kelly était : à quoi sert Jaques Toubon, à quoi sert son poste de (soit-disant) Défenseur des droits ? Zemmour, brillant et percutant, n'a eu aucun mal à démolir le personnage et la fonction :
"A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle..."
Le vrai clivage au sein du mouvement souverainiste est identitaire.
Ils ont sorti les orgues de Staline. La gauche institutionnelle a sonné le tocsin. Les éditorialistes ont lancé les premières salves. Les politiques sont tapis derrière, attendant leur heure. Leur cible privilégiée du jour a pour nom Michel Onfray et la création par ses soins d’une revue intitulée Front populaire. Il a droit à tous les qualificatifs éculés : fasciste, collabo, vichyste, etc. Leur cible est d’autant plus détestée qu’elle vient de chez eux, de leur camp, de cette gauche matérialiste et hédoniste, proudhonienne et libertaire, qui les ravissait naguère par son anticatholicisme féroce.
Il fallait s’y attendre. Le drame survenu à Minneapolis et les retombées qu’il a eues en France avec le rebond de l’affaire Traoré suscitent une énorme controverse, qui n’est pas près de s’éteindre. Cette controverse se décline sur différents tons, les uns suraigus, les autres plus modérés. C’est sans doute en raison de l’appréciation que l’on a du phénomène. Pour ceux qui sont persuadés qu’il existe dans notre pays un racisme solidement installé, qui structure les comportements, le problème est dramatique, et il n’y a pas assez de mots pour qualifier une pathologie qui plonge profondément dans la psyché collective.
Le mensonge, on le sait peut prendre de multiples oripeaux : occultation, focalisation, euphémisation… Celui-ci pourrait s’appeler mensonge par métonymie, figure de style bien connue des lycéens de Première – quand ils passaient encore le bac français -, consistant à prendre le contenant pour le contenu, la partie pour le tout : je bois un verre, Paris est en liesse, il a enfin trouvé un toit.
L’année 2020 s’annonce mouvementée et la pandémie de covid-19, dont nous questionnerons ici la gestion, ne semble être que l’alarme avant la catastrophe. Les pénuries de masques, de gels, de respirateurs, la montée en épingle de l’épidémie par les journalistes et les politiques, les mesures prises bien souvent floues et contradictoires, l’interdiction du traitement à l’hydroxychloroquine, tout ceci nous laisse à penser que la situation fut volontairement aggravée. Les conséquences économiques sont et seront très importantes, l’artisanat (premier employeur de France) va notamment prendre un sacré coup. Mais ce sont nos libertés qui sont également en jeu puisque, nous le rappelons, nous n’avons toujours pas retrouvé le droit de réunion. Ainsi, le pire semble devant nous et cette crise, probablement montée de toute pièce, doit nous mettre la puce à l’oreille sur ce qui se prépare. Il va falloir être prêt à payer les pots cassés.
On en débat avec : Priscillia Ludosky, militante et auteur de « Ensemble nous demandons justice » aux éditions massot. Grégory Goupil, secrétaire national adjoint du syndicat Alliance pour l’Ile de France.
Christophe Bordet est accompagné par : Philippe Bilger, Philippe Rossi et Laura Tenoudji.
Slogans et théories délirantes, appels à déboulonner Colbert : le groupuscule la #LDNA (Ligue de défense noire africaine) manifestait dans Paris ce samedi.
Le drame qui vient devrait se traduire par un réajustement de la donne politique. Est-ce possible ?
L’échec est cinglant. Comme si l’univers entier, y compris les virus et les pandémies, s’était chargé de le désavouer ! Comme si les évènements s’étaient appliqués à se mettre eux-mêmes en travers du « projet » macronien, « son grand projet », celui dont il proclamait d’une voix de tête lancée à la folie : « c’est mon projet ».
(Rappel : dès le début de la catastrophe, des amis rouennais nous avaient envoyé leurs impressions et leurs descriptions de ce drame. Nous vous redonnons les trois notes - du début octobre - en guise d'archives; le document d'aujourd'hui de Marianne confirme ces impressions à chaud :
Huit mois après l'incendie de l'usine Lubrizol dans la nuit du 25 au 26 septembre 2019, un rapport de la commission d'enquête du Sénat publié ce jeudi 4 juin dénonce "des angles morts inacceptables" dans la prévention des risques industriels en France.