« Nous, les enfants de harkis, “La Marseillaise”, on ne la siffle pas, on la chante avec honneur et fidélité », par André Azni.

Leurs parents se sont battus pour la France, et pourtant, après les accords d’Évian, ils ont été parqués dans des camps privés de tout confort, de travail, de liberté. Le 20 septembre, Emmanuel Macron a demandé pardon au nom de la France.