Zemmour a raison : Jean-Christophe Lagarde ? "Au centre du néant" !
On pourrait parler de "la chute de la maison Lagarde" : le député UDI, l'un des champions incontesté de toutes les formes de compromission avec l'islamisation forcée et accélérée de la France vient de se "suicider politiquement" en direct : ses plates excuses et son "mea culpa" ne devraient rien y changer...
1. L'inadmissible "dérapage", inexcusable et irrattrapable de Lagarde... :
...suivi de ses plates excuses (!) :
"Je regrette mon expression totalement inappropriée à propos de Pasqua et Zemmour ce matin, je voulais dire qu’à l’époque une telle imposture de sa part aurait eu une réplique des plus cinglantes.
La violence doit toujours être bannie du débat politique. Mea Culpa"
2. Et la cinglante réponse de Zemmour : il va de soi que, dans cette lamentable affaire, qui montre bien où sont les "dangereux", les "méchants", ceux qui mettent en danger la liberté d'expression et qui incarnent "le camp du mal", lafautearousseau se range sans la moindre réserve derrière Éric Zemmour... (extraits, tirés de Boulevard Voltaire) :
"Tu ajoutes l’abjection à la falsification, la perversité au bobard"
Ces mots n’ont pas suffi à Eric Zemmour. Dans une lettre publiée ce dimanche après-midi sur Twitter, le potentiel candidat à l’Elysée a réglé ses comptes avec Lagarde. "Cher Jean-Christophe, écrit Zemmour, (…) devant la polémique qui commençait à prendre, tu as émis des regrets en pleurnichant sur les réseaux sociaux. Un mélange de Belattar et de bisounours, un vrai centriste", attaque le polémiste qui poursuit "Je te connais depuis si longtemps". Lagarde lui avait confié, raconte Zemmour, "tu vois je ne suis pas souvent d’accord avec toi mais je dois reconnaître que tu avais vu juste. La sœur Traoré a déclenché la guerre civile" . Et le polémiste poursuit l’offensive : "on voit combien la différence entre ton image publique et tes propos de table relève de la duplicité, de la lâcheté et du cynisme. Je plains amèrement tes électeurs et tes militants ou ce qu’il en reste".