Sur Sud Radio, Giscard : faut-il regretter les années 70 ?
Avec Maxime Thiébaut, docteur en droit, auteur de « Gilets Jaunes : vers une démocratie réelle ? » (VA Press) et Tom Connan, artiste, écrivain, auteur de « Radical » (Albin Michel)
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Avec Maxime Thiébaut, docteur en droit, auteur de « Gilets Jaunes : vers une démocratie réelle ? » (VA Press) et Tom Connan, artiste, écrivain, auteur de « Radical » (Albin Michel)
La disparition du troisième président de la Ve République est un événement à deux faces. La mort d’un homme qui a joué un rôle important dans l’histoire de notre pays, un homme dont la dignité personnelle et l’intégrité morale étaient à la hauteur de la fonction malgré les attaques d’une rare bassesse qui ont cherché à l’atteindre, un homme qui avait une famille et des amis dont il faut saluer aujourd’hui la douleur, cette mort mérite le plus grand respect.
Ce qui fonde désormais l’obéissance des Français, c’est la volonté du président.
C’était au début du mois de novembre. Alors que le deuxième confinement commençait, un jeune secrétaire d’État, le dénommé Gabriel Attal, commettait une grosse bourde en laissant entendre que le couvre-feu (l’interdiction de sortir entre 21 h et 6 h) serait également applicable en plus du nouveau confinement décidé fin octobre.
Une bonne vieille manif’ est bien plus exaltante qu’une séance de paintball ou de laser-game…
Les bonnes vieilles manifs sont en train de se réinventer. Quel que soit l’objet de la protestation, elles s’accompagnent dorénavant d’actes spectaculaires de vandalisme et de violences inouïes envers les forces de l’ordre. Les vitrines sont défoncées, les voitures incendiées et les policiers poursuivis comme des cerfs lors des chasses à courre.
Le débat du 10Heures-Midi de Valérie Expert avec Patricia Balme, Jean Luc Bennahmias, Christian de Villeneuve et Eric Revel
De Giscard, Pompidou disait qu'il ne lui confierait rien d'important, "et surtout pas la France". C'est pourtant à Giscard qu'échut la France, après la trahison par Chirac de sa famille politique d'alors, emmenée par Chaban Delmas. Torpillant la candidature de celui-ci et ralliant Giscard, Chirac le fit élire en 74, avant de se séparer de lui par la suite, avec pertes et fracas, illustrant parfaitement le "Celui qui vend sa patrie pour un shekel vendra sa nouvelle patrie pour un demi shekel"...
Ainsi Emmanuel Macron serait aux prises avec une véritable crise politique en raison du climat de violence qui s’est créé ces jours-ci, à la suite de plusieurs événements dont un tabassage commis par des policiers à l’encontre d’un producteur de musique à Paris. Celui-ci a donné lieu à beaucoup d’émotion.
On nous promet un monde nouveau, forgé sur l'enclume de la pandémie. Nos bienfaiteurs seront nos bourreaux.
Depuis l’arrivée de la maladie qui a bouleversé le monde, certains ont acquis la certitude qu’elle avait été créée à dessein et répandue dans un but malveillant. Ce sont, nous préviennent les vérificateurs de la pensée, des complotistes, des conspirationnistes qu’il ne faut pas écouter, leurs propos étant nuisibles.
Le 23 novembre dernier, l’évacuation des 500 Afghans de la place de la République, à Paris, avait fait couler beaucoup d’encre. Au terme d’une tragi-comédie médiatique, et après le désaveu de la police par le président de la République et le ministre de l’Intérieur, ces immigrés clandestins soutenus et instrumentalisés par de nombreuses associations comme Utopia56 ou Médecins du monde, mais aussi par des élus d’extrême gauche, ont obtenu ce qu’ils voulaient :
Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?
Que le fameux article 24 de la loi de sécurité globale – inutile, superflu et insidieusement liberticide, tant dans le fond, la forme que la manière – soit un sujet d’inquiétude légitime pour les journalistes est un fait. Que la Commission de la carte de presse des journalistes professionnels soit dans son rôle en alertant sur le risque qu’il fait peser sur la liberté de la presse est indéniable.
La manifestation de samedi s'est soldée par énormément de casse, et de dégradations, nous sommes allés à la rencontre des parisiens.
(Thuram, terriblement bêta, comme d'habitude, et Goldnadel, toujours aussi juste et percutant, toujours dans le mille, comme d'habitude...)