Quand le pouvoir laisse péricliter les forces de sécurité, par Olivier Damien.

L’interpellation (trop) musclée de Michel Zecler, ce producteur de musique rap au passé judiciaire déjà chargé, ne pouvait pas mieux tomber pour les délateurs de la loi sécurité globale. En particulier pour celles et ceux qui contestaient, au nom de la liberté de la presse, les termes de son article 24 relatif à la protection renforcée des forces de l’ordre en cas de diffusion d’images les concernant.