L'avis du Docteur Christian Perronne spécialiste sur la campagne de vaccin qui se prépare.

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Les policiers sont en colère après les propos d'Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès. Plusieurs syndicats appellent à cesser les contrôles.
Place de la République, samedi 5 décembre. Frédéric Lagache, porte-parole du syndicat Allliance-Police nationale, est venu mesurer le désarroi des forces de l'ordre après l'interview accordée par le président de la République à Brut.
Le gouvernement présentera en Conseil des ministres, le 9 décembre, un projet de loi confortant les principes républicains, alors que l’intitulé initial devait concerner le renforcement de la laïcité et la lutte contre le séparatisme islamiste. C’est un aveu de faiblesse et de renoncement. Les objectifs affichés d’affermissement de la laïcité-civilité et de contrôle du financement des associations cultuelles musulmanes seront difficiles à atteindre sans une volonté farouche d’agir, totalement absente dans l’exécutif actuel.
Avec Me. Antoine Montant, avocat, directeur du département de droit social chez Fiducial et Xavier DENAMUR, Restaurateur, auteur de « Et si on se mettait enfin à table » (Calmann Levy)
Secrétaire national du syndicat de police FPIP, Cyril Hemardinquer a servi dans la police judiciaire. Il revient sur l'affaire de l'article 24 de la loi Sécurité globale, sur les violences de certains policiers, sur l'état de l'opinion à l'égard des forces de l'ordre. Sur tous ces sujets, TV Libertés donne la parole aux policiers !
Le chroniqueur revient sur le souhait de Jean-Luc Mélenchon de rétablir le service militaire obligatoire (SMO). S’il rappelle que ce service servait d’abord à faire la guerre, il estime que ce n’est pas sa suppression qui a favorisé les fractures françaises. Au contraire.
Certes, les "Cagoules noires" existent et cassent depuis longtemps. Mais on les connaît, il y en a entre 2 et 300 à Paris, et environ 3.000 dans toute la France. Pourquoi la police ne reçoit-elle pas (jamais) d'ordres pour les mettre hors d'état de nuire ?
"On appelle ça un fiasco."
© Hannah Assouline
"Les policiers méritent mieux que ce rôle de rempart contre le changement, qu’on essaye de leur faire jouer", affirme Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne", dans son édito.
Ô surprise, le gouvernement découvre que les « emmerdes » volent en escadrilles. Il est vrai que la vie politique n’a jamais été un long fleuve tranquille et ne le sera jamais.
Néanmoins, il y a une grande différence entre des événements fortuits qui tracassent le politique, l’interpellent et l’alarment en survenant de manière inopinée et ceux qui s’inscrivent dans la logique de l’action gouvernementale et en sont les conséquences directes.
Tout a été dit sur la démagogie et l’opportunisme communautariste des propos d’Emmanuel Macron à Brut. C’est lamentable, mais inévitable de la part d’un homme politique qui n’est guidé que par le « en même temps ». Cela ne serait pas très grave si cet homme n’était pas président de la République, dans les circonstances actuelles dont il nous dit, le matin, mesurer la gravité tout en s’emballant, le soir, dans ce qui ressemble à une énième humiliation de la police.
En matière de lutte contre l’islamisme, quelque chose serait-il en train de bouger ? On aimerait le croire. Ainsi, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, vient-il de tweeter : « Conformément à mes instructions, les services de l’État vont lancer une action massive et inédite contre le séparatisme. 76 mosquées soupçonnées de séparatisme vont être contrôlées dans les prochains jours et celles qui devront être fermées le seront. »