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Actualité France - Page 12

  • Honneur à ces héros, dont les noms devraient être gravés sur les murs de la cathédrale rénovée

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    lafautearousseau approuve la suggestion de Guilhem de Tarlé : oui, le nom des magnifiques sauveurs de Notre-Dame, qui ont été le bras choisi par la Providence et qui ont lucidement et pleinement accepté ce choix, avec les périls qu'il impliquait, devrait être gravé sur les murs de la cathédrale restaurée.

    De toutes façons, ils sont déjà gravés dans le coeur des Français...

  • Corse : comment les choses se passaient-elles sous la Royauté, entre Provinces et État royal/central ? L'exemple de la Charte aux Normands...

    (tiré de notre Éphéméride de demain, 19 mars)

     

    lfar flamme.jpgNotre proposition de révolution royale implique évidemment une rupture radicale avec le funeste, néfaste et malfaisant jacobinisme centralisateur de la République idéologique, du Système. Lequel s'est d'ailleurs pensé, voulu, bâti en rupture radicale avec la pratique millénaire du pouvoir et des Institutions par notre Royauté traditionnelle, que Léon Daudet qualifiait de "régime le plus souple" qui soit : l'ancienne France était "hérissée de libertés", et chaque province y était reconnue en tant que telle, avec ses particularismes et différences, et, donc, les différences de traitement qui, forcément, "allaient avec"... Tout l'inverse du brutal, destructeur, fumeux et abstrait "la république est une et indivisible".

    La révolution royale redonnerait vie à ces libertéS locales, bien préférables à une liberté abstraite, qui prétend régir tous les habitants de la même façon, de Dunkerque à Bonifacio, comme s'ils avaient tous reçu de la Nature, de l'Histoire, de la Géographie etc... les mêmes contraintes, difficultés ou avantages. Cette royauté unificatrice en même temps que décentralisatrice, c'est le Régime qui a fonctionné, en France, jusqu'à la funeste révolution; et fonctionné plutôt bien puisque nous étions, sous Louis XVI, la première puissance du monde...

    La nouveauté, la modernité de notre proposition ne font donc aucun doute : l'avenir, c'est nous ! "Nous" étant pris au sens de  ceux qui proposent la modernité de la Royauté pour sortir de l'impasse institutionnelle dans laquelle le Système républicain idéologique a plongé le pays. Et qui conduira à des crises sans fin, voire à pire que des crises, si l'on ne pratique pas ce "retour au réel" dont parlait un Gustave Thibon... 

    À nous, royalistes, de rendre ce programme séduisant et attrayant pour nos compatriotes...

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    1315 : Louis X, le Hutin, octroie la Charte aux Normands 

     

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    Ci dessus, "Le grand coutumier de Normandie. Charte aux Normands donnée en 1314 par Louis X le Hutin", artiste Anonyme (XIVème siècle)

    Symbole du particularisme normand, la Charte aux Normands octroyée le 19 mars 1315 par le roi de France Louis X le Hutin , confirmée par Philippe de Valois en 1339, bien qu’abolie par Louis XIV, continuera de figurer au titre des ordonnances royales jusqu’à la révolution française de 1789.

    Cette charte, sans équivalence dans la France de cette époque et aux valeurs quasi constitutionnelles, conférait à la Normandie une large autonomie vis à vis du pouvoir royal en matière fiscale, judiciaire et militaire.

    La Charte aux Normands, qui figure en préambule du Grand Coutumier de Normandie (détail ci dessous), manuscrit sur parchemin datant de la fin du XVème siècle conservé aux Archives départementales de Seine-Maritime, est la première et la plus originale des chartes provinciales octroyées par la royauté.
    Elle est exceptionnelle à la fois par son caractère contractuel et sa persistance dans le temps.
     
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    Ces libéralités, concédées à une Normandie "recouvrée" de fraîche date, en fait conquise par la force des armes et fatiguée des conflits opposant couronnes de France et d’Angleterre, mettent en évidence qu’elle n’est, à cette époque, ni intégrée, ni soumise. Il en sera ainsi durant de longues années. De la Guerre de Cent Ans, dont la Normandie sera un des enjeux majeurs mais aussi la principale victime, jusque sous le règne du roi Louis XIV, les Normands n’auront de cesse, de contester et s’opposer au pouvoir royal et de brandir la Charte aux Normands pour faire valoir leurs droits et marquer leurs différences.

    Violée à de multiples reprises, à chaque fois reconduite et confirmée, la Charte aux Normands, qui ne compte pas moins de 24 chapitres ou alinéas, régira cependant la vie quotidienne en Normandie pendant plus de quatre cent ans.

    Cinq articles suffisent, à eux seuls, à mettre en lumière la spécificité et l’intérêt de ce document historique :

    •  à commencer par les alinéas 3 et 4 qui limitent les droits du roi dans le domaine militaire. La seule obligation faite aux Normands se borne, dorénavant, à l’accomplissement d’une période aux armées ne pouvant excéder quarante jours et à la fourniture d’un contingent de sergents.

    • les alinéas 17 et 21 sont, pour leur part, la reconnaissance officielle d’un droit ancestral : seule la coutume a désormais droit de cité en Normandie. Les causes et affaires normandes ne peuvent être jugées qu’en Normandie, sans autre droit de regard ni d’appel que celui de l’Échiquier de Normandie.

    • enfin, antépénultième article, l’alinéa 22 met, quant à lui, la province à l’abri de l’arbitraire royal en matière fiscale, le roi s’engageant à ne plus lever d’impôts nouveaux en Normandie sauf en cas de "grande nécessité".

    Bien que cette Charte batte passablement en brèche son autorité, Louis X honorera sa parole et veillera à ce qu’elle soit appliquée dans son intégralité. C’est ainsi qu’il en confirmera tous les termes, en juillet 1315, quand il apprendra de la bouche de barons normands, venus le rejoindre à Crécy, que cette dernière n’est pas encore entrée pleinement en application.

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  • Pécresse/Détresse a dit à Zemmour qu'elle n'avait jamais visité d'école coranique avec des fillettes...

    "Je ne suis jamais allée dans une école avec des fillettes voilées" (V. Pécresse, 10.03.2022)

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  • Sur notre page facebook Lafautearousseau Royaliste

    En écho à l’article d’Annie Laurent et pour répondre à nos lecteurs sur ce sujet…

     

     

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir...

  • François Sureau à l'Académie française : "les libertés publiques compromises"...

    (Court extrait - 1'31 - de son discours lors de sa réception à l'Académie française, au fauteuil de Max Gallo, le 3 mars 2022)

     

    Si l'on excepte juste la désolante référence à "la République (qui) s'est bâtie sur la haine des tyrans", référence désolante pour lui et propos qui n'est rien d'autre qu'une fable absurde, le reste est, évidemment, très bon et tout à fait d'actualité...

     

  • Le parti de la trouille derrière Macron, par Olivier Perceval

    You are currently viewing Le parti de la trouille derrière Macron

    Le président Macron n’est certainement pas le responsable   de toutes les calamités qui tombent sur la France ou l’Europe, même si un certain nombre d’entre elles prennent leur source dans une politique imprévoyante et démagogique depuis des décennies et dont il est aussi le fidèle héritier. Ce n’est pas lui qui a inventé la COVID, pas plus que l’invasion de l’Ukraine par les Russes. Il n’en demeure pas moins que le Président de la République sait habilement « surfer » sur la couardise d’une bonne partie de Français plutôt âgés qui constituent l’essentiel de son électorat. Les militants de canapé qui s’expriment souvent courageusement derrière un clavier pour, sans vergogne, et avec la plus grande véhémence, condamner les non-vaccinés hier, et ceux qui prennent un peu de distance face à la médiatisation du conflit aujourd’hui.

    Sa démarche diplomatique, reste cependant difficile à mener pour la raison simple, qu’il ne dispose pas des moyens de faire évoluer la position du camp dit « occidental », n’ayant de mandat ni de Bruxelles, la vraie instance de décision européenne, ni de Biden, le seul chef de l’OTAN. Les mains vides, il se présente donc pour parler des heures avec Poutine sans apporter de propositions concrètes n’étant pas mandaté. Que se disent ils en dehors des échanges moralisateurs d’usage. On peut se le demander.  Entre chaque tentative, il fait des déclarations publiques résolument hostiles au Kremlin, communication oblige, et annonce sur les médias aux Français que cela va de plus en plus mal.

    Tout le monde loue ses efforts malheureusement inutiles, et beaucoup, au vu des sondages en hausse, montrent qu’ils sont prêts à reconduire ce « chef de guerre » qui mouille la chemise pour la paix, même si son impuissance apparaît trop évidente pour les observateurs éclairés.

    On est donc, semble-t-il, reparti pour un tour au nom de l’unité nationale derrière le chef, un nouveau quinquennat plein de « celles et ceux » et de « en même temps » pour satisfaire l’union   de la gauche bourgeoise et libérale et la droite molle et craintive. Déjà habitués au confinement, les va‑t’en guerre du LREM, en admiration légitime devant le patriotisme ukrainien, sont déjà tout disposés à se terrer dans d’improbables abris, et attendre que le chef de l’Etat, qui est aussi le chef des armées, avec des munitions pour trois jours, arrête l’ogre Russe sur le point de se ruer sur la France.

    Après tout, on a le « Clémenceau » qu’on mérite et peut être que pour la postérité il sera appelé un jour le « père La Victoire ». Son entrée en campagne plutôt sobre, qui n’est en fait qu’une formalité, le place tout de suite au-dessus de la mêlée avec l’avantage certain d’être aux affaires du pays (et même du monde) en ces temps du retour du tragique. Du haut de cette estrade, il ne jette même pas un œil sur les candidats concurrents, lesquels n’auront d’autres recours que de chercher à séduire les abstentionnistes, énorme réservoir, et les distraire de leurs parties de pêche déjà programmées pour le premier tour des présidentielles.

  • Du rire et des larmes sur notre page fb d'aujourd'hui...

    • Les larmes, à l'occasion du départ de Jean Pierre Pernaut :

    À Dieu, Jean-Pierre…

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    Philippe de Villiers
    "J’apprends avec consternation la disparition de mon ami Jean-Pierre Pernaut. La France a perdu l’un des plus grands journalistes de notre pays. Il avait la passion de nos terroirs. Son visage irradiait nos fidélités et nos ferveurs. Son image ne nous quittera plus."
     
    Et, comme le dit justement Jean-Pierre Foucault, " Mon ami JPP a fait pendant des années le JT que les français aimaient. Et que l’intelligentsia brocardait.."

     

    • Le rire, c'est à propos de BHL...

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  • Un Président pour la République, ou, Un Roi pour la France ? par Guy Adain

    1. Un Président pour la République,

     

    Si ce n’est qu’un Président pour la République que nous cherchons à désigner, alors le choix est ouvert et vaste, il y a pléthore de candidates et de candidats.

    Ils sont tous très motivés et l’on ne peut douter de leur intérêt pour la fonction !

    Marianne, puisque c’est ainsi que l’on surnomme la République, n’est pas très exigeante pour se trouver une compagne ou un compagnon quinquennal…

    S’amouracher de la première ou du premier venu ne porte pas à conséquence, nous le savons, quelque soit la couleur choisie !

    Rouge sang, rose pâle, vert pomme, bleuâtre, bleu-marine, multicolore…

    Tous les Français seront repeints couleur caca d’oie !

    Mais quelle importance, le Président Quinquennal est un produit jetable à l’obsolescence programmée !

    Nous le savons et les candidats aussi, ils sont à courte-vue, horizon limité. Marianne n’attend pas grand chose de ce mariage arrangé, c’est un conjoint de pacotille, un rôle principal certes mais dans une pièce qui sera un bide de toutes façons !

    Mais malgré les étonnements feints, tout le monde le savait, acteurs et spectateurs.

    La prochaine course à l’échalote nous donnera un vainqueur de mât de Cocagne, plus malin et plus roué que ses adversaires !

    Pour nous, les électeurs, une petite déception de plus, car nous n’y croyions plus !

    Depuis le 1er Président de la République (Louis Napoléon Bonaparte), la France n’a jamais retrouvé l’aura d’antan.

    Le bon vieux temps des « Belles Dames du temps jadis ».

    Dans la galerie des ancêtres, il y a une « coupure », et (c’est le moins que l’on puisse dire), entre le Roi martyr Louis XVI et ses ersatz successeurs…

    Qui pour rivaliser avec les quarante rois qui ont fait la France ?

    Et qui sera le Poisson d’avril2022 ?

     

    2. Un Roi pour la France ?

     

    Si seulement, nous imaginions cette option possible ?

    Mais la République, a bien travaillé, elle a rendu toutes tentatives mémorielles vaines. Il reste encore quelques rayons de…Soleil pour éclairer Versailles, mais c’est à peu près tout ce qu’il subsiste dans le souvenir royal Français ! ! !

    C’est triste ; mais c’est ainsi, notre pays, la République Française est née en 1789, avant il y avait Astérix et les Gaulois…

    Et nous les « Royalix », que représentons-nous ?

    Quelques béliers qui blatèrent pour signaler l’approche des loups affamés.

    Et voilà bien toute notre angoisse : où est passé le pâtre ?

    Certes, il est là, mais pas à notre tête !

    Tandis que les républicains se pavanent en uniforme et jouent les matamores !

    « Notre pâtre est sur le rocher » !  Et c’est nous qui crions dans le désert, notre France est jetée en pâture, et le pâtre ne vient pas jusqu’à nous ! Certes nous avons démérité, mais la faute est ancienne, nous méritons le pardon, le Roi peut tout…Ah ! Si notre bon Roi savait ?

    Une Déclaration des Droit des Français devrait le préciser :

    « les Français ont Droit à leur Roi ! »

    • Roi Saint, comme Saint Louis.
    • Prince de la Renaissance, comme François 1er.
    • Galant et populaire, comme Henri IV
    • Ensoleillé, comme Louis XIV
    • Et tous nos autres souverains serviteurs !

     

    Prince, entendez notre plainte monter jusqu’à vous !

    Ne laissez pas le royaume en déshérence !

     

    Les Français, même s’ils l’ignorent ne veulent pas élire le gagnant de la course à l’échalote.

    Ils veulent pour chef un berger tel David qui deviendra grand Roi.

    Ils veulent que la Providence leur désigne l’étoile qu’ont suivi les Rois Mages car :

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  • Actualité France...

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  • Le Comte de Paris, dans Valeurs actuelles : "Il y a une dérive oligarchique du pouvoir" 

    Le 25 février dernier, Nicolas Boutin s'entretenait avec le Prince, pour Valeurs actuelles. L'ensemble de l'article est réservé aux abonnés, mais en voici l'entame... 
     
    Prétendant à la couronne de France et descendant direct de Louis XIII, le prince Jean d’Orléans vit dans le Sud de la France. Alors que la France doit désigner son prochain chef de l’État, il nous livre ses impressions et ses inquiétudes sur le pays, la politique et la crise sanitaire. Entretien.
    Le prince Jean d'Orléans et sa famille rencontraient Emmanuel Macron, à l'occasion du 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, à Amboise, le 2 mai 2019. Photo © PHILIPPE WOJAZER / POOL / AFP
     

    Valeurs actuelles. Vous vivez aujourd’hui dans le sud de la France, en territoire rural. L’occasion pour votre famille de garder le contact avec une certaine France profonde ?


    Prince Jean d’Orléans. Depuis le retour d’exil de mon grand-père, notre famille a toujours été implantée au milieu du village qu’est la France. Mon grand-père avait parcouru le pays pour connaître la France en profondeur, ce que j’ai fait ensuite un certain nombre d’années, jusqu’à la sortie de mon livre « Un Prince Français » (Pygmalion). Un tour de France des différentes régions pour prendre le pouls du pays. Aujourd’hui dans notre environnement immédiat, j’ai eu l’occasion de revoir le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, de visiter l’école Ozar Hatorah de Toulouse, qui avait été visée par Mohammed Mérah en 2012. Je rencontre aussi un certain nombre d’acteurs politiques, économiques et sociaux. Pour moi, c’est vital.

    Quel est le but de ces rencontres ? Quel sens voulez-vous donner à votre présence ?
    Il faut savoir ce que pensent les Français, dans leur spécificité, prendre la mesure des attentes du pays dans l’ensemble de ses composantes. C’est une démarche discrète mais nécessaire pour être capable de réfléchir aux mesures à prendre. On ne peut pas prendre des décisions sans voir la réalité des choses.

    A la sortie de ces rencontres, dans quel état se trouve la France aujourd’hui, de votre point de vue ?
    La France est sous contrainte et perfusion. Avec la pandémie, les Français ont dû adapter leur façon de travailler. Malgré toutes les restrictions imposées, dont on ne sait pas si elles ont vraiment servi, de nombreux Français ont continué à diriger leurs entreprises, à garder leurs clients, etc. Nous avons vu des circuits courts se développer, des solidarités se mettre en place. Nous avons pu ainsi garder notre allant, nos villes « franches », notre liberté d’entreprendre…

    2022 est une année présidentielle. Allez-vous jouer un rôle d’aiguillon, d’observateur, d’acteur ?
    J’espère pouvoir le faire sereinement. Ces échéances sont importantes. La France doit retrouver une certaine dynamique, assez absente ces deux dernières années. Le débat est resté sur cette pandémie alors qu’il y a de nombreux autres sujets qui préoccupent nos compatriotes : la justice, la sécurité, le travail, la retraite, la santé… L’hôpital est malade, depuis des années. La pandémie n’a fait que révéler ces difficultés. Il y a aussi un nombre de fractures incroyables. Les pauvres sont laissés de côté au profit d’une société française qui dérive vers l’oligarchie. Il n’y en a que pour les privilèges. La présidentielle doit remettre au centre toutes ces problématiques.

    Doit-on conserver ce mode de gouvernance ?
    C’est une question institutionnelle. Avec le quinquennat, le modèle de la Ve République ne colle plus. Soit on revient au septennat pour avoir deux rythmes qui cohabitent et collaborent : le rythme long du président de la République qui gère les affaires importantes et qui donne les directions, s’occupe de la cohésion nationale. Et le gouvernement, avec un rythme différent, qui peut être d’un parti opposé et qui joue sa partition et gère le quotidien. Avec ce dernier quinquennat, on observe un glissement institutionnel, vers une vision égoïste des choses et des privations de libertés individuelles et publiques. Ce n’est pas un bon système. S’ajoute à cela l’élection qui favorise le clientélisme. Une fois élu, il faut une année pour se mettre en place, trois ans pour exercer et une année pour préparer les prochaines élections. Que peut faire un président de la République ? A côté de cela, il n’y a plus de contre-pouvoir. Les syndicats ont disparu, l’Église est empêtrée dans ses difficultés, les hautes chambres et les ministres sont pris dans des liens d’intérêts économiques et financiers..

  • François Hollande ferait mieux de se taire !

    En une minute et quarante sept secondes, Éric Zemmour explique pourquoi Poutine ne fait pas ou plus confiance à Macron : par ce que l'État français est cornaqué par une puissance étrangère, les USA.

    On peut employer les mots que l’on voudra, et les formules les plus diverses. On peut parler, comme Boutang, de "Reprendre" l’État; ou de le "séquestrer", comme le disait Renan; ou encore de le "libérer", comme le disait Maurras. Léon Daudet, pour sa part, parlait de "nationaliser l'État, par la Royauté"... : voilà la vraie, l'alter-révolution.

    Il faut libérer l'État en ré-instituant à son sommet un espace a-démocratique - le Roi - qui le préservera de toute influence : de l'étranger (comme ici, pour l'affaire russo/ukrainienne), des partis, des groupes de pression au services d'intérêts autres que le seul intérêt national (mieux appelé encore, BIEN COMMUN) et, surtout, de l'Argent...

    Elle ne peut être que royale !

    https://twitter.com/BFMTV/status/1496102881619021833?s=20&t=IGYvhwm2Z2pYS1FXW71TBg

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  • La Cour des Comptes alerte sur la bombe à retardement de l'endettement de la France (ou "mur de la dette")

    Voici la courte chronique de Raphaël Ebenstein, sur France info, ce samedi 19 février, qui se passera de trop longs commentaires : le Système nous a amené à une dette de la France qui représentera en fin d'année 2.970 milliards d'euros, soit 113% du PIB.

    Cette République idéologique qui nous gouverne - si mal !... -  promettait monts et merveilles avec ses grands mots creux ("hommes petits qui criez de grands mots", chantons-nous, nous autres, royalistes, dans La Royale...) : elle n'a réussi qu'à... échouer, lamentablement, entraînant vers un abîme abyssal le pays le plus riche et le plus prospère du monde lorsque la Révolution a éclaté.

    Depuis 1875 et la funeste instauration de la République idéologique fondée sur les "évangiles malfaisants" (l'expression est de Bainville) des "principes de 89/93", le Système, dont cette fausse république a accouché, entraîne inexorablement la France vers le grand déclassement :  "La France, premier-né de la civilisation européenne, sera la première à renaître à l'ordre ou à périr"; disait avec justesse Louis de Bonald.

    À force de nous diriger vers le néant, nous arrivons à ses lisières. Raison de plus pour ne pas se décourager, mais pour trouver au contraire, là où la folie abonde, ce qui fera surabonder l'instinct de survie : en menant, à temps et à contre-temps, la seule action qui vaille de l'être, selon la consigne qui nous a été donnée par Léon Daudet, une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime".

    À BAS CE SYSTEME, QUI TUE LA FRANCE !

    VIVE LA FRANCE,

    ET POUR QUE VIVE LA FRANCE

    VIVE LE ROI !

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-mot-de-l-eco/endettement-de-la-france-avertissement-de-la-cour-des-comptes_4943511.html

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  • À quand une prière catholique dans la grande mosquée de Paris (ou n'importe quelle autre...) ?

    Notre excellent ami Pierre me bombarde très régulièrement de documents, divers et variés, que j'utilise assez souvent (en tout ou partie) pour "augmenter" telle ou telle note du Blog, ou pour parler d'un sujet qu'on aurait "laissé passer", à la rédaction. Je l'en ai remercié plusieurs fois, et je l'en remercie encore aujourd'hui. Comme nous tous, il a d'abord été surpris de ce qu'il entendait; puis il a vérifié, et là il a été, comme nous tous, sidéré, scandalisé...

    Oui, c'est vrai : cela s’est passé en ce mois de février 2022, avec la bénédiction du curé, le Père Henri de la Hougue et de Mgr Pontier, administrateur apostolique du diocèse de Paris.

    Comme toujours, quand il s’agit de rencontres interreligieuses, pour ne pas dire syncrétistes, ce sont les musulmans qui sont invités à prier dans nos églises et l’on jette un voile pudique sur les souffrances des chrétiens en terre d’Islam.

    Alors, osons poser la question de la réciprocité : quand donc un prêtre, ou un évêque, sera-t-il invité à proclamer l’Évangile dans une mosquée ?

    François Davin, Blogmestre

     

     

  • Zemmour au Mont Saint Michel : et surtout, et sur tout, VIVE LA FRANCE !

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    La puissance et la grandeur de la France comme thème central, conditions essentielles de sa sécurité et de son rayonnement universel retrouvé.

    Comment ne pas approuver à 100% un tel programme ? Ne pas l'applaudir chaleureusement ?

    Même si nous ne savons que trop qu'aucune tentative de redressement du Pays ne peut se faire - ni aboutir... - dans le cadre du Système, qui pourrit tout et qui cause, justement, cet effacement, cette décadence hallucinante de la France que dénonce Zemmour.

    Notre difficulté est là : anti Système et hors Système, nous ne pouvons cependant qu'approuver l'intégralité de propos - ici, ceux de Zemmour tenus devant la statue de l'Archange - qui ont pour thème central la grandeur et la puissance nationale. Et être heureux d'avoir - enfin !... - entendu parler de spiritualité, de combat contre les forces du Mal (autrement nommé Diable), de chrétienté et des racines chrétiennes de la France, de sa vocation à rayonner sur le monde entier.

    Surtout quand ces propos sont ponctués par un double "ET SURTOUT, ET SURTOUT" Vive la France !

    Finalement, Zemmour n'aura "oublié qu'une fois son "et surtout" (à Cannes). Il vient de se rattraper ici, en le disant deux fois...

    C'est ce "ET SURTOUT", à plus forte raison "doublé", qui nous indique la voie à suivre : plus facile à dire qu'à faire, elle consiste à appuyer tout mouvement authentiquement patriote, en "cornaquant", en quelque sorte l'éléphant. En prenant au mot ceux qui crient, à bon droit, comme Zemmour, "ET SURTOUT" Vive la France, expliquant sans relâche qu'l faut, pour que la France vive, supprimer cette fausse république, idéologique", afin de laisser refleurir les républiques sous le roi, "en bas les libertés, en haut l'autorité".

    Voilà notre ligne de conduite : être "dans" le Système, sans être "du" Système; ne pas rester extérieurs à ce qui se passe dans le pays, sans pour autant nous départir de notre fin essentielle : la ré-instauration de la Royauté traditionnelle, condition sine qua non de tout relèvement durable de la Nation.

    Vaste programme, encore une fois plus facile à dire qu'à faire, mais c'est notre programme, notre rôle, aussi exaltant que difficile : amener par tous les moyens, même légaux, ceux qui crient "ET SURTOUT, ET SURTOUT, VIVE LA FRANCE !" à faire le dernier pas et crier :

    POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

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  • Pécresse, détresse ! : réactions diverses et variées après le naufrage...

    La Rédaction de lafautearousseau décerne son grand prix de l'humour, pour l'occasion, à Xavier Chinaud :

    "16h zenith le Titanic a coulé en 2h40, record battu…"

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