Corse : LA FÉDÉRATION, Mouvement fédéraliste français, communique...
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Zemmour veut un "Ministère de la Remigration" : expulser en masse ceux dont nous ne voulons pas, oui, c'est possible !...
L'expulsion des morisque d'Espagne en est une preuve parfaite. En mai, juin et juillet 2009, lafautearousseau a "raconté" comment l'Espagne, envahie en 711 par les tribus maures d'Afrique du Nord, avait réussi, après huit siècles de lutte, tout de même, à chasser l'envahisseur musulman du pays. Et se retrouvait victorieuse - enfin ! - en 1492, avec la prise de Grenade par les Rois catholiques, de cette immense guerre entre la Croix et le Croissant.
Aujourd'hui, Zemmour parle d'une expulsion de masse des gens dont nous ne voulons pas chez nous.
Et bien entendu les bonnes consciences du migrantisme/sans-papierisme hurlent à l'horreur absolue, et disent que, de toutes façons, cela ne se fera pas car, disent-ils, ce serait impossible.
Faux et archi-faux : expulser une masse importante d'un corps étranger à un pays est parfaitement possible : une preuve ? Les Espagnols l'ont fait, en 1609, sous le règne du roi Philippe III, qui décida d'expulser les 500.000 Morisques (descendants des envahisseurs, mais restés en Espagne). La population de l'Espagne était, alors, de huit millions d'habitants. Un rapide calcul montre donc - "à la louche", et si l'on ramenait ces chiffres à la France d'aujourd'hui - qu'il y a huit fois plus d'habitants dans la France d'aujourd'hui que dans l'Espagne de Philippe III; le nombre des expulsés s'élèverait donc à huit fois plus, soit quatre millions de personnes !...
Approuvant sans réserve la proposition d'Éric Zemmour, lafautearousseau va donc redonner, cette semaine, et au rythme de un par jour, chacun des six épisodes de cette sorte de feuilleton, écrit il y a treize ans maintenant, et qui témoigne de la constance de notre position sur ce sujet : le point de départ en est une réponse à un lecteur, qui devint, finalement, prétexte à une sorte de présentation d'ensemble de la lutte titanesque entre la Croix et le Croissant, commencée par les invasions musulmanes à partir de l'hégire... Nous avons décidé de ne rien changer à cette série, pas un mot, même si tous les articles ne se réfèrent pas, directement, à la proposition de Zemmour, aujourd'hui... C'est, en quelque sorte, un "document d'archives" !...
Aujourd'hui : 2/6...
1. "Les expulser, oui, mais pour où ?"...(1/6): Début de réponse à une bonne question...
3. "Les expulser, oui, mais pour où ?" (3/6) : Un exemple historique, l'expulsion des Morisques d'Espagne en 1609...
4. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(4/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
5. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(5/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
6. "Les expulser, oui, mais pour où ?...": Une défense des Croisades, par Chateaubriand...(6/6)
Zemmour veut un "Ministère de la Remigration" : expulser en masse ceux dont nous ne voulons pas, oui, c'est possible !...
L'expulsion des morisque d'Espagne en est une preuve parfaite. En mai, juin et juillet 2009, lafautearousseau a "raconté" comment l'Espagne, envahie en 711 par les tribus maures d'Afrique du Nord, avait réussi, après huit siècles de lutte, tout de même, à chasser l'envahisseur musulman du pays. Et se retrouvait victorieuse - enfin ! - en 1492, avec la prise de Grenade par les Rois catholiques, de cette immense guerre entre la Croix et le Croissant.
Aujourd'hui, Zemmour parle d'une expulsion de masse des gens dont nous ne voulons pas chez nous.
Et bien entendu les bonnes consciences du migrantisme/sans-papierisme hurlent à l'horreur absolue, et disent que, de toutes façons, cela ne se fera pas car, disent-ils, ce serait impossible.
Faux et archi-faux : expulser une masse importante d'un corps étranger à un pays est parfaitement possible : une preuve ? Les Espagnols l'ont fait, en 1609, sous le règne du roi Philippe III, qui décida d'expulser les 500.000 Morisques (descendants des envahisseurs, mais restés en Espagne). La population de l'Espagne était, alors, de huit millions d'habitants. Un rapide calcul montre donc - "à la louche", et si l'on ramenait ces chiffres à la France d'aujourd'hui - qu'il y a huit fois plus d'habitants dans la France d'aujourd'hui que dans l'Espagne de Philippe III; le nombre des expulsés s'élèverait donc à huit fois plus, soit quatre millions de personnes !...
Approuvant sans réserve la proposition d'Éric Zemmour, lafautearousseau va donc redonner, cette semaine, et au rythme de un par jour, chacun des six épisodes de cette sorte de feuilleton, écrit il y a treize ans maintenant, et qui témoigne de la constance de notre position sur ce sujet : le point de départ en est une réponse à un lecteur, qui devint, finalement, prétexte à une sorte de présentation d'ensemble de la lutte titanesque entre la Croix et le Croissant, commencée par les invasions musulmanes à partir de l'hégire... Nous avons décidé de ne rien changer à cette série, pas un mot, même si tous les articles ne se réfèrent pas, directement, à la proposition de Zemmour, aujourd'hui... C'est, en quelque sorte, un "document d'archives" !...
Aujourd'hui : 1/6...
1. "Les expulser, oui, mais pour où ?"...(1/6): Début de réponse à une bonne question...
2. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(2/-6) : Peut-on être déchu de la nationalité française ? Que dit la Loi actuelle ?...
3. "Les expulser, oui, mais pour où ?" (3/6) : Un exemple historique, l'expulsion des Morisques d'Espagne en 1609...
4. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(4/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
5. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(5/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
6. "Les expulser, oui, mais pour où ?...": Une défense des Croisades, par Chateaubriand...(6/6)
Prince Jean d’Orléans, Comte de Paris, et son fils aîné Gaston, Dauphin de France.
Il s’en fiche royalement ?
"Je m'en fiche, royalement, totalement, présidentielle ou non.
Ce qui compte, c'est ce qui fonctionne pour le pays, le rend plus fort, ce qui permet aux Françaises et aux Français de vivre mieux. (...) Si à ce point, ils ne savent pas se différencier du projet que je porte, qu'ont-ils été faire dans cette galère? » (Sic)
Peut me chaut qu’il s’en fiche de façon présidentielle !
Mais, s’il vous plaît, pas royalement !
Il croyait qu’il ne fallait pas être un grand sorcier pour entourlouper le troupeau de veaux qu’il nous pensait être.
Mais, sorcier, il ne l’était pas, il n’était qu’Apprenti Sorcier, et ses philtres ne faisaient pas effet. Aujourd’hui, il nous propose de nouveaux tours aussi fumeux que les précédents.
Certes il n’est pas le seul à promettre la lune et faire des propositions farfelues. L’arrivée au pouvoir des autres gâte-sauces serait également tout aussi catastrophique.
Le creuset dans lequel ils préparent leur mixture, leur bouillon d’onze heures, n’est qu’une auge à cochons où barbotent des sans-culottes.
Ils peuvent toujours nous raconter qu’il seraient capables de transmuer les vils métaux de notre vie ordinaire en or, impur certes, mais qui feraient de nous des veaux d’or gonflés d’orgueil !
Bien évidemment, il y a d’autres options !
Laissons l’apprenti sorcier, ses sbires et ses séides jouer de la flûte enchanteresse et vouloir nous mener à la rivière pour nous y engloutir, comme Hans le joueur de flûte…
Et tournons nos regards et notre coeur vers… La Sagesse !
Loin de la sorcellerie mensongère et des solutions irréalistes, loin des barbiers qui rasent gratis… Il y a celui que la Providence nous désigne, celui dont les pieds sont enracinés dans la terre de France et dont les bras sont levés au ciel, celui qui se chargerait de porter : « La France à bout de bras » !
Alors, cherchons…Royalement, qui pourrait-être non pas l’homme présidentiel, mais… Providentiel !
Celui qui viendrait pour Servir la France ! Servir les Français !
Ouvrons nos coeurs à son silence assourdissant ; nous l’entendrons !
C’est Jean de France, Comte de Paris !
Cette journée du 20 mars est la journée de la Francophonie.
Bonne journée de la langue française à tous les francophones, à tous ceux qui apprennent le français à travers le monde, à tous les professeurs de français et à tous les amoureux de la culture française...
lafautearousseau approuve la suggestion de Guilhem de Tarlé : oui, le nom des magnifiques sauveurs de Notre-Dame, qui ont été le bras choisi par la Providence et qui ont lucidement et pleinement accepté ce choix, avec les périls qu'il impliquait, devrait être gravé sur les murs de la cathédrale restaurée.
De toutes façons, ils sont déjà gravés dans le coeur des Français...
(tiré de notre Éphéméride de demain, 19 mars)
Notre proposition de révolution royale implique évidemment une rupture radicale avec le funeste, néfaste et malfaisant jacobinisme centralisateur de la République idéologique, du Système. Lequel s'est d'ailleurs pensé, voulu, bâti en rupture radicale avec la pratique millénaire du pouvoir et des Institutions par notre Royauté traditionnelle, que Léon Daudet qualifiait de "régime le plus souple" qui soit : l'ancienne France était "hérissée de libertés", et chaque province y était reconnue en tant que telle, avec ses particularismes et différences, et, donc, les différences de traitement qui, forcément, "allaient avec"... Tout l'inverse du brutal, destructeur, fumeux et abstrait "la république est une et indivisible".
La révolution royale redonnerait vie à ces libertéS locales, bien préférables à une liberté abstraite, qui prétend régir tous les habitants de la même façon, de Dunkerque à Bonifacio, comme s'ils avaient tous reçu de la Nature, de l'Histoire, de la Géographie etc... les mêmes contraintes, difficultés ou avantages. Cette royauté unificatrice en même temps que décentralisatrice, c'est le Régime qui a fonctionné, en France, jusqu'à la funeste révolution; et fonctionné plutôt bien puisque nous étions, sous Louis XVI, la première puissance du monde...
La nouveauté, la modernité de notre proposition ne font donc aucun doute : l'avenir, c'est nous ! "Nous" étant pris au sens de ceux qui proposent la modernité de la Royauté pour sortir de l'impasse institutionnelle dans laquelle le Système républicain idéologique a plongé le pays. Et qui conduira à des crises sans fin, voire à pire que des crises, si l'on ne pratique pas ce "retour au réel" dont parlait un Gustave Thibon...
À nous, royalistes, de rendre ce programme séduisant et attrayant pour nos compatriotes...
1315 : Louis X, le Hutin, octroie la Charte aux Normands
Symbole du particularisme normand, la Charte aux Normands octroyée le 19 mars 1315 par le roi de France Louis X le Hutin , confirmée par Philippe de Valois en 1339, bien qu’abolie par Louis XIV, continuera de figurer au titre des ordonnances royales jusqu’à la révolution française de 1789.
Cette charte, sans équivalence dans la France de cette époque et aux valeurs quasi constitutionnelles, conférait à la Normandie une large autonomie vis à vis du pouvoir royal en matière fiscale, judiciaire et militaire.
Ces libéralités, concédées à une Normandie "recouvrée" de fraîche date, en fait conquise par la force des armes et fatiguée des conflits opposant couronnes de France et d’Angleterre, mettent en évidence qu’elle n’est, à cette époque, ni intégrée, ni soumise. Il en sera ainsi durant de longues années. De la Guerre de Cent Ans, dont la Normandie sera un des enjeux majeurs mais aussi la principale victime, jusque sous le règne du roi Louis XIV, les Normands n’auront de cesse, de contester et s’opposer au pouvoir royal et de brandir la Charte aux Normands pour faire valoir leurs droits et marquer leurs différences.
Violée à de multiples reprises, à chaque fois reconduite et confirmée, la Charte aux Normands, qui ne compte pas moins de 24 chapitres ou alinéas, régira cependant la vie quotidienne en Normandie pendant plus de quatre cent ans.
Cinq articles suffisent, à eux seuls, à mettre en lumière la spécificité et l’intérêt de ce document historique :
• à commencer par les alinéas 3 et 4 qui limitent les droits du roi dans le domaine militaire. La seule obligation faite aux Normands se borne, dorénavant, à l’accomplissement d’une période aux armées ne pouvant excéder quarante jours et à la fourniture d’un contingent de sergents.
• les alinéas 17 et 21 sont, pour leur part, la reconnaissance officielle d’un droit ancestral : seule la coutume a désormais droit de cité en Normandie. Les causes et affaires normandes ne peuvent être jugées qu’en Normandie, sans autre droit de regard ni d’appel que celui de l’Échiquier de Normandie.
• enfin, antépénultième article, l’alinéa 22 met, quant à lui, la province à l’abri de l’arbitraire royal en matière fiscale, le roi s’engageant à ne plus lever d’impôts nouveaux en Normandie sauf en cas de "grande nécessité".
Bien que cette Charte batte passablement en brèche son autorité, Louis X honorera sa parole et veillera à ce qu’elle soit appliquée dans son intégralité. C’est ainsi qu’il en confirmera tous les termes, en juillet 1315, quand il apprendra de la bouche de barons normands, venus le rejoindre à Crécy, que cette dernière n’est pas encore entrée pleinement en application.
"Je ne suis jamais allée dans une école avec des fillettes voilées" (V. Pécresse, 10.03.2022)
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(Court extrait - 1'31 - de son discours lors de sa réception à l'Académie française, au fauteuil de Max Gallo, le 3 mars 2022)
Si l'on excepte juste la désolante référence à "la République (qui) s'est bâtie sur la haine des tyrans", référence désolante pour lui et propos qui n'est rien d'autre qu'une fable absurde, le reste est, évidemment, très bon et tout à fait d'actualité...
Le président Macron n’est certainement pas le responsable de toutes les calamités qui tombent sur la France ou l’Europe, même si un certain nombre d’entre elles prennent leur source dans une politique imprévoyante et démagogique depuis des décennies et dont il est aussi le fidèle héritier. Ce n’est pas lui qui a inventé la COVID, pas plus que l’invasion de l’Ukraine par les Russes. Il n’en demeure pas moins que le Président de la République sait habilement « surfer » sur la couardise d’une bonne partie de Français plutôt âgés qui constituent l’essentiel de son électorat. Les militants de canapé qui s’expriment souvent courageusement derrière un clavier pour, sans vergogne, et avec la plus grande véhémence, condamner les non-vaccinés hier, et ceux qui prennent un peu de distance face à la médiatisation du conflit aujourd’hui.
Sa démarche diplomatique, reste cependant difficile à mener pour la raison simple, qu’il ne dispose pas des moyens de faire évoluer la position du camp dit « occidental », n’ayant de mandat ni de Bruxelles, la vraie instance de décision européenne, ni de Biden, le seul chef de l’OTAN. Les mains vides, il se présente donc pour parler des heures avec Poutine sans apporter de propositions concrètes n’étant pas mandaté. Que se disent ils en dehors des échanges moralisateurs d’usage. On peut se le demander. Entre chaque tentative, il fait des déclarations publiques résolument hostiles au Kremlin, communication oblige, et annonce sur les médias aux Français que cela va de plus en plus mal.
Tout le monde loue ses efforts malheureusement inutiles, et beaucoup, au vu des sondages en hausse, montrent qu’ils sont prêts à reconduire ce « chef de guerre » qui mouille la chemise pour la paix, même si son impuissance apparaît trop évidente pour les observateurs éclairés.
On est donc, semble-t-il, reparti pour un tour au nom de l’unité nationale derrière le chef, un nouveau quinquennat plein de « celles et ceux » et de « en même temps » pour satisfaire l’union de la gauche bourgeoise et libérale et la droite molle et craintive. Déjà habitués au confinement, les va‑t’en guerre du LREM, en admiration légitime devant le patriotisme ukrainien, sont déjà tout disposés à se terrer dans d’improbables abris, et attendre que le chef de l’Etat, qui est aussi le chef des armées, avec des munitions pour trois jours, arrête l’ogre Russe sur le point de se ruer sur la France.
Après tout, on a le « Clémenceau » qu’on mérite et peut être que pour la postérité il sera appelé un jour le « père La Victoire ». Son entrée en campagne plutôt sobre, qui n’est en fait qu’une formalité, le place tout de suite au-dessus de la mêlée avec l’avantage certain d’être aux affaires du pays (et même du monde) en ces temps du retour du tragique. Du haut de cette estrade, il ne jette même pas un œil sur les candidats concurrents, lesquels n’auront d’autres recours que de chercher à séduire les abstentionnistes, énorme réservoir, et les distraire de leurs parties de pêche déjà programmées pour le premier tour des présidentielles.
• Les larmes, à l'occasion du départ de Jean Pierre Pernaut :
À Dieu, Jean-Pierre…
• Le rire, c'est à propos de BHL...
PAN !
1. Un Président pour la République,
Si ce n’est qu’un Président pour la République que nous cherchons à désigner, alors le choix est ouvert et vaste, il y a pléthore de candidates et de candidats.
Ils sont tous très motivés et l’on ne peut douter de leur intérêt pour la fonction !
Marianne, puisque c’est ainsi que l’on surnomme la République, n’est pas très exigeante pour se trouver une compagne ou un compagnon quinquennal…
S’amouracher de la première ou du premier venu ne porte pas à conséquence, nous le savons, quelque soit la couleur choisie !
Rouge sang, rose pâle, vert pomme, bleuâtre, bleu-marine, multicolore…
Tous les Français seront repeints couleur caca d’oie !
Mais quelle importance, le Président Quinquennal est un produit jetable à l’obsolescence programmée !
Nous le savons et les candidats aussi, ils sont à courte-vue, horizon limité. Marianne n’attend pas grand chose de ce mariage arrangé, c’est un conjoint de pacotille, un rôle principal certes mais dans une pièce qui sera un bide de toutes façons !
Mais malgré les étonnements feints, tout le monde le savait, acteurs et spectateurs.
La prochaine course à l’échalote nous donnera un vainqueur de mât de Cocagne, plus malin et plus roué que ses adversaires !
Pour nous, les électeurs, une petite déception de plus, car nous n’y croyions plus !
Depuis le 1er Président de la République (Louis Napoléon Bonaparte), la France n’a jamais retrouvé l’aura d’antan.
Le bon vieux temps des « Belles Dames du temps jadis ».
Dans la galerie des ancêtres, il y a une « coupure », et (c’est le moins que l’on puisse dire), entre le Roi martyr Louis XVI et ses ersatz successeurs…
Qui pour rivaliser avec les quarante rois qui ont fait la France ?
Et qui sera le Poisson d’avril2022 ?
2. Un Roi pour la France ?
Si seulement, nous imaginions cette option possible ?
Mais la République, a bien travaillé, elle a rendu toutes tentatives mémorielles vaines. Il reste encore quelques rayons de…Soleil pour éclairer Versailles, mais c’est à peu près tout ce qu’il subsiste dans le souvenir royal Français ! ! !
C’est triste ; mais c’est ainsi, notre pays, la République Française est née en 1789, avant il y avait Astérix et les Gaulois…
Et nous les « Royalix », que représentons-nous ?
Quelques béliers qui blatèrent pour signaler l’approche des loups affamés.
Et voilà bien toute notre angoisse : où est passé le pâtre ?
Certes, il est là, mais pas à notre tête !
Tandis que les républicains se pavanent en uniforme et jouent les matamores !
« Notre pâtre est sur le rocher » ! Et c’est nous qui crions dans le désert, notre France est jetée en pâture, et le pâtre ne vient pas jusqu’à nous ! Certes nous avons démérité, mais la faute est ancienne, nous méritons le pardon, le Roi peut tout…Ah ! Si notre bon Roi savait ?
Une Déclaration des Droit des Français devrait le préciser :
« les Français ont Droit à leur Roi ! »
Prince, entendez notre plainte monter jusqu’à vous !
Ne laissez pas le royaume en déshérence !
Les Français, même s’ils l’ignorent ne veulent pas élire le gagnant de la course à l’échalote.
Ils veulent pour chef un berger tel David qui deviendra grand Roi.
Ils veulent que la Providence leur désigne l’étoile qu’ont suivi les Rois Mages car :