Adieu Pierre-Guillaume de Roux, par Charles Saint-Prot.
J’étais peut-être l’un de ceux qui connaissaient Pierre-Guillaume de Roux depuis le plus longtemps. Il n’avait pas dix ans lorsque je le voyais rue de Bourgogne chez le cher Dominique de Roux, disparu à l’âge de 40 ans, qui avait bien voulu de collaborer à la petite revue « gaullo-maurrassienne » (disait le Monde et ce n’était pas un compliment de la part du journal vespéral) d’étudiants que nous avions fondée sous le nom de La Pensée nationale.
