La folie L'Oreal : d'accord avec de Villiers et Goldnadel...

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Ce soir, pour la réouverture de "Bistro Libertés", Martial Bild et les sociétaires reçoivent l'auteur survivaliste Piero San Giorgio. Au programme des débats :
1) Peut-on survivre au Covid, au chaos mais aussi à la tyrannie ?
Le survivalisme veut apporter des réponses adaptées aux événements biologiques ou chimiques. Mais peut-on survivre au chaos mondial et plus encore, à une société "Big brother" où règne la tyrannie décrite dans le roman prophétique de George Orwell "1984" ?
2) La lutte des races pour remplacer la lutte des classes ? La mort de l’américain Georges Floyd a provoqué une indignation mondiale et de nombreuses manifestations ou émeutes. La lutte des races a-t-elle remplacé la lutte des classes ?
Le général de Gaulle. Photo © Cci/REX/SIPA
Source : https://www.valeursactuelles.com/
L’organisation, qui se définit comme “anti-négrophobe” a jugé, sur Twitter, que l’ancien président avait été “incapable de mourir pour sa patrie” en 1940.
Les groupes dits racialistes, ethniques ou anti-coloniaux se développent en France dans tout l'Occident depuis plusieurs années, soutenus par l'extrême-gauche internationaliste. Leur combat consiste à accuser, dans un premier temps, les "Blancs" d'avoir pillé leurs richesses par l'esclavagisme et le colonialisme. Le second temps étant celui de la vengeance : il serait au tour des peuples du Sud de punir voire de "rééduquer" les "Blancs", de récupérer les richesses volées et de les envahir à leur tour.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
Le général (2s) Didier Tauzin, qui postula à la candidature en 2017, à l’élection présidentielle, vient de publier un nouvel ouvrage : Rebâtir la France après le Covid-19. Rebâtir la France « sur le roc », comme le précise le sous-titre de ce livre. Il répond aux questions de Boulevard Voltaire.
Pierre-Yves Rougeyron analyse les répercussions de la mort de George Floyd.
Le lycée Colbert-Sophie Germain de Thionville,
renommé Rosa Parks.
© Google Street View
Ainsi, la région Grand Est vient de valider le changement de nom du lycée Colbert-Sophie Germain de Thionville, qui s’appellera désormais Rosa Parks, du nom d’une militante afro-américaine, cette personne ayant vécu de 1913 à 2005. Il semble que les élèves de ce lycée aient été associés à ce choix, que l’on peut juger hautement politique et idéologique. Est-il sage et raisonnable d’entraîner les élèves dans ce type de controverses, au risque de les engager dans un militantisme passionnel, sans le contrepoids d’une véritable formation historique, voire philosophique.
Source : https://www.causeur.fr/
Déboulonner les statues de personnages “controversés”, c’est le nouveau hobby de bobos qui voient dans la défense des “racisés” un combat indépassable. Alors que tout n’est pas à décrier dans l’héritage colonial. L’analyse de Driss Ghali.
La dernière mode en date en France est de partir à l’assaut des statues des grands héros français. Colbert, Faidherbe et Gallieni, entre autres. On les accuse d’avoir tué des Africains et d’avoir à rendre des comptes pour cela à titre posthume. Ceux qui pratiquent ce nouveau sport n’ont pas conscience du ridicule de leur situation, ni du danger qu’il y a ouvrir la boîte de Pandore des blessures coloniales.
Source : https://lincorrect.org/
En quelques jours, le concept de « privilège blanc », jusqu’ici principalement cantonné aux cercles indigénistes, a traversé l’Atlantique plus franchement pour s’inviter avec force dans le débat public en France, dans le contexte de la mort tragique de George Floyd.
Assa Traoré, lle 13 juin 2020 lors d'une manifestation à Paris contre les violences policières à l'appel du comité Adama Traoré en mémoire de celui-ci et de George Floyd tué aux Etats-Unis. (NATHANAEL CHARBONNIER / RADIO FRANCE)
Source : https://www.francetvinfo.fr/
Une fresque en hommage à Adama Traoré et George Floyd a été inaugurée le 18 juin dernier à Stains (Seine-Saint-Denis). Le syndicat de police dénonce une mention "calomnieuse" et appelle à un rassemblement.
Le syndicat Alliance 93, majoritaire au sein de la police en Seine-Saint-Denis, a appelé samedi sur ses réseaux sociaux à effacer une phrase associant les termes "racisme" et "violences policières", inscrite sur une fresque en hommage à Adama Traoré, située à Stains.
"A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle..."
Selon les gauchistes, la révolution doit faire tomber le régime, la société même, comme des fruits mûrs. Rares sont cependant les fruits de cette espèce qui tombent sans qu’on les pousse un peu tant l’inertie du conformisme l’emporte sur l’ardeur du changement. Cette résistance à la chute est due à ce que Richard Nixon avait appelé la « Majorité silencieuse ». Cette formule est très significative. Elle implique que dans une société donnée, ce sont les minorités qui parlent et qui agissent. Une démocratie n’est donc qu’une apparence dans la plupart des cas puisque la majorité du peuple ne s’exprime que périodiquement.
Le quartier des Gresilles à Dijon, le 15 juin 2020 © DOLIDZE SABRINA/SIPA
Source : https://www.causeur.fr/
Après une semaine de violences extraordinaires entre populations immigrées à Dijon, un référendum semble promis aux Français. Mais pas du tout sur la sécurité…
Le film « Peur sur la ville » de Henri Verneuil pourrait à lui seul résumer la semaine qui vient de s’achever. Sauf qu’en 2020, la peur n’est pas suscitée par un tueur en série sadique qui s’en prend aux jolies jeunes femmes, mais par des bandes tchétchènes, des antifas, des black blocks et des racailles de banlieues armées.
Le Claremont Institute, éditeur de l’excellentissime Claremont Review of Books, vient de publier une déclaration aussi courte que percutante qui me semble parfaitement résumer la situation actuelle aux Etats-Unis, et qui, avec de très légères adaptations, pourrait tout aussi bien résumer la situation dans laquelle la France se trouve.
Je l’ai donc traduit pour vous. Je précise, pour que la référence ne vous échappe pas, que la dernière phrase est une adaptation de la dernière phrase de la Déclaration d’Indépendance américaine. Et j’ajoute qu’un pays qui n’est plus capable de susciter ce genre de dévotion mérite de disparaitre et ne tardera pas à disparaitre. La France est-elle encore capable de susciter ce genre de dévotion ?