Les propos scandaleux de Thuram. Ou : quand Tatrtuffe "tombe le masque"...

Le loup déguisé en berger, La Fontaine nous avait prévenu : "C'est moi qui suis Guillot, berger de ce troupeau..."
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Le loup déguisé en berger, La Fontaine nous avait prévenu : "C'est moi qui suis Guillot, berger de ce troupeau..."
Lu sur fb, chez Germain Philippe...
Dans le n° de la NEF de septembre, Michel Toda évoque l'année Pierre Debray (lequel Pierre Debray publia plusieurs textes dans la NEF, qu'il a fortement soutenu lors de sa sortie).
Dans ce n° de septembre, les royalistes se réjouiront de l'article "La droite : combien de divisions", qui conclue sur "Comme le disait le philosophe et théologien Phillip Blond, ancien conseiller de David Cameron, le populisme a triomphé de la démocratie: en conséquence il faut espérer dans « un monarque populaire » plutôt que dans les démagogues populistes et progressistes. Qui sait si les Gilets jaunes n’iront pas demander « le RIC et un roi »? "
Consternation dans le microcosme de l'audio-visuel français - qui se prend pour le centre du monde... - lorsqu'il doit annoncer la très forte poussée de l'AFD, ce tout nouveau parti allemand, qui, face aux vieux dinosaures du SPD (gauche) et de la CDU (droite), vient de réaliser des scores impressionnants dans les deux élections de ce dimanche, en Saxe (graphique ci-dessus) et dans le Brandebourg (photo ci dessous).
On se console comme on peut : les journaleux (au féminin, on dit "journaleuses" ?) poussent un "Ouf" de soulagement - mais qui, en fait en dit long - : l'AFD ne dirigera pas ces deux Länder !...
• Xavier GUILHOU Directeur du Cabinet XAG Conseil (prévention des risques, pilotage des crises) La valeur sacrée de l’engagement
• Jacques BICHOT Economiste Retraites : cacophonie à propos de la durée de cotisation ; passons aux choses sérieuses !
• Guillaume TABARD Journaliste politique Le désir de déminer, le risque d’embrouiller (La question de la réforme des retraites)
•Eric ZEMMOUR Journaliste politique Quand Charles Maurras inspire Emmanuel Macron
•Ivan RIOUFOL Journaliste politique Libérer la France de sa prison intellectuelle
•Marc DUGOIS Avocat La science économique aurait-elle inventé la machine à remonter le temps ?
•Renaud GIRARD Journaliste géopoliticien L’Iran à Biarritz : Macron a eu raison !
•Jean-Luc BASLE Ancien directeur de Citigroup New York Mesures américaines de rétorsion
•Yves GAZZO Ambassadeur De l'endettement en 2019
•Françoise THIBAUT Professeur des Universités, historienne Hong Kong : Un silence assourdissant
Courageusement, clairement, brillamment... Ecoutez, et participez à la manif du 6 octobre à Paris :
François-Marin Fleutot est essayiste. Ancien membre fondateur de la Nouvelle Action royaliste (NAR), il est l’auteur de divers livres à succès et considéré comme l’un des spécialistes de l’histoire de la Résistance.
Son livre Des Royalistes dans la Résistance, paru aux éditions Flammarion, est devenu une référence et sera prochainement réédité en même temps qu’une biographie de Jacques Renouvin.
Frédéric de Natal l’avait interviewé en janvier 2018 pour Voie Royale :
A l’affiche : La Vie Scolaire, une « comédie dramatique » de Grand Corps Malade et Mehdi Idir, avec Zita Hanrot, Alban Ivanov et Antoine Reinartz.
(Sur la page fb d'Emmanuel Boutang)
"À périr tout entier que servirait de naître ?
Dieu qui voit de si loin, ne nous fait pas pour rien.
En mourant nous regermons : l'homme quand il disparaît
va peupler les étoiles au fond du firmament.
(Charles Maurras traduisant un texte de Vincent Gelu dans "Marseille en Provence", Œuvres capitales t4, p199)
A l’affiche : Once upon a time… in Hollywood, un film de Quentin Tarantino, avec Leonardo DiCaprio (Rick Dalton), Brad Pitt (Cliff Booth), Margot Robbie (Sharon Tate) et Mike Moh (Bruce Lee)...
Après avoir lu le magazine municipal du 1/7, j’ai eu un coup de colère et j’ai envoyé le texte ci-dessous à Madame Bernasconi.
Texte envoyé sur le site de la mairie du 1/7:
Venant de recevoir dans ma boîte aux lettres "Marseille positive", le magazine de la mairie des 1er et 7e, j'ai apprécié que deux pages aient été consacrées au thème "Culture et tradition".
Mais je suis étonné par le fait que, sur toutes les pages de droite, les dates des prochains événements importants soient placées sous l'expression "Save the date".
En dehors du fait que cette expression soit certainement peu connue par la majorité des habitants des 1er et 7e, il y a là contradiction avec le titre de la page 04 (et pourquoi pas simplement page 4?): "Une mairie qui sait valoriser culture, patrimoine et tradition".
Il ne me semble pas que notre culture marseillaise, provençale et française soit valorisée par l'emploi de termes anglo-saxons. Il était si simple d'écrire "Dates à retenir". Pourquoi une telle initiative?
Recevez mes meilleures salutations.
(Lu sur la page fb de notre ami Michel Franceschetti...)
Depuis le vendredi 19 juillet, et jusqu'à aujourd'hui, nous vous avons proposé de découvrir, ou de mieux connaître, mais aussi de faire découvrir à d'autres (par le jeu des partages) l'immense Jacques Bainville, par le biais d'une photo quotidienne tirée de notre "Album Jacques Bainville" (lafautearousseau vous propose également un "Album Léon Daudet" et un "Album Charles Maurras").
Voici que ce feuilleton s'achève, et nous sommes heureux qu'il vous ait intéressé : ce sont les chiffres de fréquentation qui l'attestent, et cela nous confirme dans notre décision prise de renouveler l'expérience, pour les deux années à venir : l'année prochaine, du 14 juillet au 14 août (puisqu'il n'y a pas de note sur lafauteraousseau le 15 Août), nous vous emmènerons à la découverte de Léon Daudet; et, en 2021, à la découverte de Charles Maurras...
Pour clôturer ce feuilleton dédié à Bainville, nous avons choisi de redonner ce moment de grâce offert par France info, cette courte chronique consacrée à l'Histoire de France de Bainville, en faisant suivre le lien du scripte de la chronique...
Bonne écoute, bonne lecture, et... à l'année prochaine, pour notre feuilleton Léon Daudet !...
"Oran, le 5 juillet 1962. Alors que les Algériens en liesse célèbrent l'Indépendance, la fête tourne au drame. 700 habitants, européens ou musulmans ayant choisi la France, sont massacrés en quelques heures. La chasse à l'homme, déclenchée mystérieusement, dure une journée, sous le regard passif de l'armée française, bouclée dans les casernes sur ordre du président De Gaulle.
La responsabilité des plus hautes personnalités de l’Etat français dans la non-assistance aux personnes en danger, est clairement établie."
En France, tout ce qui pèse et qui compte se veut et se dit «sans frontières». Et si le sans-frontiérisme était un leurre, une fuite, une lâcheté? Partout sur la mappemonde, et contre toute attente, se creusent ou renaissent de nouvelles et d'antiques frontières. Telle est la réalité. En bon Européen, je choisis de célébrer ce que d'autres déplorent : la frontière comme vaccin contre l'épidémie des murs, remède à l'indifférence et sauvegarde du vivant.
— Éloge des frontières, Régis Debray.
Ouvrage disponible sur la Librairie de Flore pour 5,60€ seulement ▶️ https://bit.ly/2NIy4kH
A partir du vendredi 19 juillet, et jusqu'à la fin du mois d'août, nous vous proposerons de découvrir, ou de mieux connaître, mais aussi de faire découvrir à d'autres (par le jeu des partages) l'immense Jacques Bainville, par le biais d'une photo quotidienne tirée de notre "Album Jacques Bainville" (lafautearousseau vous propose également un "Album Léon Daudet" et un "Album Charles Maurras").
Aujourd'hui : 41. De Paris à Martigues, la visite mouvementée des Daudet et des Bainville à Charles Maurras...
Aujourd'hui, ce n'est pas Bainville qui parle, mais Léon Daudet qui raconte... Voici un extrait de Charles Maurras et son temps (Ernest Flammarion, 1930) dans lequel Léon Daudet restitue quelque chose de l'amitié qui réunissait les trois figures de proue de l'Action française : Bainville, Maurras et lui-même, Daudet.
Une amitié intellectuelle, certes, fondée sur l'accord des esprits, mais aussi, on va le voir, une amitié qui ne se limitait pas à l'intellectuel.
Cet extrait a le mérite de rendre un peu de la réalité vivante, de la chaleur de ce que fut l'entente de ces trois amis.
Et, au-delà des habituels développements sur leurs qualités intellectuelles, de nous les restituer dans ce qu'ils avaient d'humain, de bien vivants, en chair et en os si l'on peut dire...