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Idées, débats... - Page 385

  • Une sélection d'article de qualité : la Semaine de Magistro

    Marc DUGOIS, Avocat : L’économie mondiale affronte un problème qu’elle n’a jamais connu

    Jacques BICHOT, Economiste, professeur honoraire à l'Université de Lyon 3 : Retraite et pénibilité

    Christine SOURGINS, Historienne de l'art : Le retour de Pépé le Moco ?

    Eric ZEMMOUR, Journaliste politique : L’ombre du Général (J. Chirac)

    François JOURDIER, Officier amiral (2S) : Convergence des luttes

    Sophie de MENTHON, Présidente d'ETHIC : État "super Nanny" : où est notre liberté individuelle ?

    Renaud GIRARD, Journaliste, géopoliticien : Le rapport de forces a basculé dans le golfe Persique

    Aude de KERROS, Sculpteur, graveur, essayiste : Nouvelle géopolitique de l'art contemporain

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Downton Abbey...

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    Downton Abbey, un film britannique de Michael Engler, avec Simon Jones (King George V), Maggie Smith (Grand-Maman, Lady Violet Crawley), adapté de la série télévisée éponyme.

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  • A partir de demain, sur lafautearousseau : à la découverte de l'homme Maurras...

    lafautearousseau se propose de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement caché par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Au nom de la terre

    Au nom de la terre, un film français d’Edouard Bergeon, avec Guillaume Canet et Veerle Baetens (Pierre et Claire Jarjeau, le couple d’agriculteurs), Anthony Bajon (Thomas Jarjeau, leur fils), Rufus (Jacques Jarjeau, le père de Pierre),
    d’après l’histoire vraie des parents du réalisateur.

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...

    Alors, quoi ? On nous parle de travaux, depuis plus de deux ans, et on nous dit qu'il va encore y avoir des travaux, pendant plus de deux ans : qui peut le croire ? La maison est grande est belle, certes, mais elle n'a tout de même pas les dimensions du Louvre !

    La question est donc simple : la Mairie cache-t-elle quelque chose, ou bien attend-elle, placidement que, faute d'entretien et de "vie", tout simplement, la maison ne s'effondre ?

    Nous voulons savoir, car nous aimons ce lieu que nous connaissons bien, et même plus que très bien, et nous voulons, comme nous l'avons fait tant de fois, retrouver le libre accès à ce lieu magnifique, chargé de sens et d'émotions.

    Nous n'avons rien dit ni rien fait jusqu'à présent. Il faut dire que le sujet est délicat, car, que dire, et que faire ? Que pouvons-nous, que savons-nous, que voulons-nous faire ? Il n'est pas facile de répondre à cette question. Mais peut-être les amoureux du lieu ont-ils eu tort, jusqu'à présent, d'attendre; car, on le voit bien maintenant, attendre quoi ?

    Si les choses continuent comme cela, un jour ou l'autre la maison s'écroulera. Et plusieurs éléments du jardin étaient déjà dans un état "d'effacement en cours" lors de la dernière visite publique que nous y avons organisée, il y a plusieurs années de cela.

    Nous nous sommes donc résolus à nous emparer du sujet à l'occasion des 36ème Journées du Patrimoine, les 21 et 22 septembre dernier, et nous en parlerons tous les jours, jusqu'aux prochaines élections municipales des dimanches 15 et 22 mars prochain, en espérant que l'actuelle bande stalino-sectaire (admirez le pléonasme...) aura perdu la Mairie...

    En mars, on verra selon la tournure qu'auront prise les événements et on avisera, en fonction : commençons par secouer le cocotier, et on verra bien ce qui tombe...

    Voici la liste complète des articles publiées sur ce sujet par lafautearousseau, depuis le vendredi 14 septembre, veille des Journées du Patrimoine :

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : L'affaire Pasolini

    Art et essai : L’Affaire Pasolini : un film italien (VOST)

    De David Grieco, avec Massimo Ranieri (Pier Paolo Pasolini) et François-Xavier Demaison (Moreau, journaliste français).

     

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (V/V)

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    4. Le soutien à Vichy

    Dernier des grands reproches adressés à Maurras : son soutien à Vichy.

    Nous n'avons pas l'intention de traiter longuement de ce sujet. Est-il encore pertinent ? Vichy est sans postérité. Il ne laisse ni héritage ni héritiers et n'est qu'un épisode tragique de notre histoire, conséquence incise du plus grand désastre national que la France moderne ait connu et qui aurait pu la tuer.

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ?

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Ad astra

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    A l’affiche : Ad Astra : un film américain de James Gray, avec Brad Pitt (l’astronaute Roy Mc Bride).

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (IV/V)

    3. L'antisémitisme

    L'antisémitisme est un autre des grands griefs faits à Maurras.

    Il n'est pas un thème central dans son œuvre et dans sa pensée - comme il le fut pour Edouard Drumont dont l'influence avait été considérable à la fin du XIXème siècle et au début du XXème.

    C'est pourtant à l'antisémitisme que l'on réduit souvent Maurras dans les débats d'aujourd'hui. 

    Une évidence s'impose ici : on ne comprendra rien à l'antisémitisme de Maurras, celui de son temps, très répandu en tous milieux, si, par paresse d'esprit ou inculture, l'on se contente de le considérer et de le juger avec des yeux qui ont vu, des mémoires qui savent, ce que vécurent les Juifs d'Europe entre 1930 et 1945, ce qu'était devenu l'antisémitisme en une époque barbare. 

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Le regard de Charles

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    En Avant-première : Le regard de Charles, un documentaire de Marc di Domenica et Mischa Aznavour, avec Charles Aznavour et la voix off de Romain Duris.

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (III/V)

    2. Le Nationalisme

    Le nationalisme, autre zone d’ombre" ? Être nationaliste, un motif d'opprobre, de rejet moral ? Non, s'il s'agit d'un nationalisme quelconque à travers le monde. Oui - pour la bien-pensance - s'il s'agit du nationalisme français.

    Maurras l'avait défini comme "une douloureuse obligation" dont la cause et le contexte sont historiques, bien plus qu’idéologiques : l'humiliante défaite de 1870 et l'affrontement franco-allemand qui ne cessera jamais vraiment entre 1870 et 1945. 

    "Douloureuse obligation" créée aussi par l'absence de roi, laissant la France aux mains, pour ne pas dire à la merci, d'un régime faible divisé et imprévoyant, qui la plaçait en situation d'infériorité face à l'Allemagne impériale. Plus tard, face à l'Allemagne nazie...

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (II/V)

    1. L'anti-républicanisme...

    Le premier - le plus fondamental - est d'avoir été un penseur contre-révolutionnaire; d’être le maître incontesté de la Contre-Révolution au XXème siècle; d'avoir combattu la République et la démocratie, du moins sous sa forme révolutionnaire à la française; enfin d'être royaliste.

    Options infamantes ? En France, oui. Mais en France seulement. Et pour la doxa dominante.

    La Révolution ni la République n'aiment qu'on rappelle leurs propres zones d'ombre. Leurs origines sanglantes, la Terreur, la rupture jamais cicatrisée avec notre passé monarchique, avec l'ancienne France, qu'elles ont imposée. « Soleil cou coupé » ... écrira Apollinaire (dans Zone, Alcools, 1913).

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (I/V)

    Il y a cent-cinquante ans - un siècle et demi ! - que Maurras est né à Martigues, en Provence (en 1868) "au bord des eaux de lumière fleuries" (Anatole France, Poème dédicatoire pour les Contes de Maurras, Le Chemin de Paradis)

    Il y a plus d'un siècle qu'il a inauguré son royalisme militant en publiant son Enquête sur la monarchie (1900). Et il y a presque 70 ans - une vie d'homme - qu'il est mort à Saint-Symphorien les Tours (en 1952). Mais les passions qu'il a si souvent suscitées de son vivant - qu'elles fussent d'admiration ou de détestation, l'une et l'autre souvent extrêmes - ne semblent pas s'être émoussées avec le temps. Prêtes toujours à s'élancer. Comme pour attester une forme paradoxale et performative de présence de sa pensée et de son action.

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