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Idées, débats... - Page 385

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : L'affaire Pasolini

    Art et essai : L’Affaire Pasolini : un film italien (VOST)

    De David Grieco, avec Massimo Ranieri (Pier Paolo Pasolini) et François-Xavier Demaison (Moreau, journaliste français).

     

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (V/V)

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    4. Le soutien à Vichy

    Dernier des grands reproches adressés à Maurras : son soutien à Vichy.

    Nous n'avons pas l'intention de traiter longuement de ce sujet. Est-il encore pertinent ? Vichy est sans postérité. Il ne laisse ni héritage ni héritiers et n'est qu'un épisode tragique de notre histoire, conséquence incise du plus grand désastre national que la France moderne ait connu et qui aurait pu la tuer.

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ?

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Ad astra

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    A l’affiche : Ad Astra : un film américain de James Gray, avec Brad Pitt (l’astronaute Roy Mc Bride).

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (IV/V)

    3. L'antisémitisme

    L'antisémitisme est un autre des grands griefs faits à Maurras.

    Il n'est pas un thème central dans son œuvre et dans sa pensée - comme il le fut pour Edouard Drumont dont l'influence avait été considérable à la fin du XIXème siècle et au début du XXème.

    C'est pourtant à l'antisémitisme que l'on réduit souvent Maurras dans les débats d'aujourd'hui. 

    Une évidence s'impose ici : on ne comprendra rien à l'antisémitisme de Maurras, celui de son temps, très répandu en tous milieux, si, par paresse d'esprit ou inculture, l'on se contente de le considérer et de le juger avec des yeux qui ont vu, des mémoires qui savent, ce que vécurent les Juifs d'Europe entre 1930 et 1945, ce qu'était devenu l'antisémitisme en une époque barbare. 

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Le regard de Charles

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    En Avant-première : Le regard de Charles, un documentaire de Marc di Domenica et Mischa Aznavour, avec Charles Aznavour et la voix off de Romain Duris.

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (III/V)

    2. Le Nationalisme

    Le nationalisme, autre zone d’ombre" ? Être nationaliste, un motif d'opprobre, de rejet moral ? Non, s'il s'agit d'un nationalisme quelconque à travers le monde. Oui - pour la bien-pensance - s'il s'agit du nationalisme français.

    Maurras l'avait défini comme "une douloureuse obligation" dont la cause et le contexte sont historiques, bien plus qu’idéologiques : l'humiliante défaite de 1870 et l'affrontement franco-allemand qui ne cessera jamais vraiment entre 1870 et 1945. 

    "Douloureuse obligation" créée aussi par l'absence de roi, laissant la France aux mains, pour ne pas dire à la merci, d'un régime faible divisé et imprévoyant, qui la plaçait en situation d'infériorité face à l'Allemagne impériale. Plus tard, face à l'Allemagne nazie...

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (II/V)

    1. L'anti-républicanisme...

    Le premier - le plus fondamental - est d'avoir été un penseur contre-révolutionnaire; d’être le maître incontesté de la Contre-Révolution au XXème siècle; d'avoir combattu la République et la démocratie, du moins sous sa forme révolutionnaire à la française; enfin d'être royaliste.

    Options infamantes ? En France, oui. Mais en France seulement. Et pour la doxa dominante.

    La Révolution ni la République n'aiment qu'on rappelle leurs propres zones d'ombre. Leurs origines sanglantes, la Terreur, la rupture jamais cicatrisée avec notre passé monarchique, avec l'ancienne France, qu'elles ont imposée. « Soleil cou coupé » ... écrira Apollinaire (dans Zone, Alcools, 1913).

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français : réponse à quatre reproches (I/V)

    Il y a cent-cinquante ans - un siècle et demi ! - que Maurras est né à Martigues, en Provence (en 1868) "au bord des eaux de lumière fleuries" (Anatole France, Poème dédicatoire pour les Contes de Maurras, Le Chemin de Paradis)

    Il y a plus d'un siècle qu'il a inauguré son royalisme militant en publiant son Enquête sur la monarchie (1900). Et il y a presque 70 ans - une vie d'homme - qu'il est mort à Saint-Symphorien les Tours (en 1952). Mais les passions qu'il a si souvent suscitées de son vivant - qu'elles fussent d'admiration ou de détestation, l'une et l'autre souvent extrêmes - ne semblent pas s'être émoussées avec le temps. Prêtes toujours à s'élancer. Comme pour attester une forme paradoxale et performative de présence de sa pensée et de son action.

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  • Une sélection d'articles de qualité : la Semaine de Magistro

    Serge HUBERT, Professeur des écoles, géologue : Réchauffement climatique : l’humanité génère de l’eau !
    Jean SAROCCHI, Professeur honoraire à l'Université de Toulouse : Islamisme et féminisme

    Guillaume TABARD, Journaliste politique :

    - Jacques Chirac, l’homme qui incarna tant de visages de la France

    - Chirac et la droite : je t’aime, moi non plus

    Ivan RIOUFOL, Journaliste politique : PMA et écologisme, pour oublier le peuple

    Guillaume TABARD, Journaliste politique : Un débat ouvert sur fond de scepticisme de l’opinion  (la question de l'immigration)

    Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : Souvenirs, Jacques Chirac

    Jean-Paul BOLUFER, Préfet honoraire : Le roi de cœur

    Charles GAVE, Economiste, financier : Monsieur Draghi s’en va : histoire résumée d’une réussite européenne éclatante

    Renaud GIRARD : Journaliste, géopoliticien : Le nouvel axe stratégique Washington-Delhi

  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français...

    C'est un Finkielkraut sans concession, à la dent dure, qui mène le débat; et qui, pourtant, surtout à la fin, reconnaît des choses fondamentales (l'Action française dans la Résistance, Maurras "meilleur rempart" contre le Fascisme...).

    Voilà exactement le genre de choses que nous aimerions voir se dérouler dans ce Centre culturel dont nous demandons la création à Martigues, dans la Maison de l'un de ses plus illustres enfants (avec Gérard Tenque et le peintre de Louis XVI, Joseph Boze).

    Nous ne faisons pas de Maurras une icone (mot que l'on emploie à tout propos et surtout à tort et à travers aujourd'hui); nous ne disons pas et n'avons jamais dit que nous "sacralisions" l'intégralité de ses propos ou écrits; que nous faisons nôtres la totalité de tout ce qu'il a fait... Et nous acceptons tout à fait une saine "critique", au sens originel du terme, de Maurras et de son oeuvre.

    Ce serait justement - ce sera ?... - le rôle du Centre que nous appelons de nos voeux que de promouvoir ces études maurrassiennes dépassionnées et positives... 

     

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  • A la recherche de l'étude (pas forcément) perdue...

    Lu sur la page facebook de notre "ami" Emmanuel Boutang :

    BOUTANG LA FONTAINE.jpgA quinze ans, Charles Maurras analysait vingt-deux fables de La Fontaine, dans "Les cahiers du Collège d'Aix". Ainsi que le remarquait René Groos en 1967, dans le numéro 22 des "Cahiers Charles Maurras" cela constituerait une excellente base pour un manuel scolaire.
    Alors que mon fils apprend par cœur "le coq et le renard" pour Lundi, je vais tâcher de retrouver l'analyse de ces vingt-deux fables, parmi lesquelles figurent "Le lion et le moucheron", "Le rat des villes et le rat des champs", "La chauve-souris et les deux belettes", "Le bûcheron et Mercure".

    Espérons que vous retrouverez cette analyse, cher Emmanuel : vous feriez à tous un très beau cadeau...

  • Bioéthique : l'évêque de Grenoble dit “non” à la PMA et appelle à marcher avec La Manif pour tous

    L'évêque de Grenoble-Vienne (Isère) Guy de Kerimel a affiché son opposition à l'ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules ce mardi. Il appelle également les fidèles à manifester le 6 octobre aux côtés du collectif catholique conservateur La Manif pour tous.

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : L'homme à la moto

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    Art et essai : L’homme à la moto : un film argentin de Agustin Toscano, avec Sergio Prinal (Miguel) et Liliana Juarez (Elena).

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