« La Rébellion cachée » à Marseille, jeudi 29 novembre ... C'est ce soir ! Venez-y !

Marseille
Jeudi 29 novembre à 19 h
Lafautearousseau vous invite à la projection du film
UA-147560259-1
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Marseille
Jeudi 29 novembre à 19 h
Lafautearousseau vous invite à la projection du film
Au sommaire de ce nouveau numéro :
1914-1918 : les leçons de la guerre.
Dossier : 1918-2018, un siècle après la victoire.
IVG : de l'inconvénient de rappeler la loi.
L'ITALIE : cauchemar de l'Europe de Bruxelles.
Et aussi dans ce numéro… 54 pages d’actualité et de culture !
L'abbé Loiseau entame pour le café Histoire, une série de causeries sur les papes « modernes ». Il va évoquer Pie IX, qui commença son règne par des réformes qui le firent acclamer comme un libéral. Acculé à une politique défensive par les révolutionnaires, emprisonné, exilé, il fut un souverain contesté, mais un Père ardemment aimé, ce qui lui permit de donner à son génie religieux un retentissement universel. L'on découvrira ainsi ce qu'est le célèbre texte du Syllabus, le « catalogue des erreurs modernes ». ■
Le Cercle Jacques Cathelineau organise une réunion d'information pour le Maine et Loire qui débouchera sur la mise en place d'une nouvelle section, le samedi 24 novembre à 15h00 à l'hôtel Best Western Adagio, 94 avenue Général de Gaulle, 49400 SAUMUR.
Renseignement : 06 87 25 07 28
C"est par une messe aux intentions de Charles Maurras et de tous les morts de L'Action Française, célébrée par l'abbé Thierry Laurent, curé de la paroisse, en la chapelle du Calvaire de l'église Saint Roch, que la journée de ce samedi 17 novembre s'est ouverte à midi.
L'abbé Laurent y a donné l'homélie, toute consacrée à la personnalité de Maurras en ce 150ème anniversaire de sa naissance ; une homélie riche de nombreux enseignements.
A l'issue de la messe, rendez-vous avait été donné par François Bel-Ker, Secrétaire général de l'Action française, à 15 heures, 10 rue Croix-des-Petits-Champs, dans les locaux, désormais historiques du Mouvement.
« Historiques », mais rénovés, modernisés et fonctionnels, aptes à toutes espèces de réunions et à recevoir un public important. Ce fut une heureuse surprise pour une bonne part des nombreux participants à la rencontre de cet après-midi du 17 novembre, où la présence de nombreux jeunes-gens a aussi été très remarquée.
Présentation des locaux nouvelle formule, par François Bel-Ker, tenue d'un colloque dont les intervenants furent Axel Tisserand, Gérard Leclerc et Hilaire de Crémiers, ont occupé une bonne partie de l'après-midi, avant que ne soit confirmée la restauration de l'unité du mouvement d'Action française, par la fusion de la Restauration Nationale et du CRAF (Centre Royaliste d'Action Française). Le mouvement ainsi réuni prend le nom de Restauration Nationale, Centre Royaliste d'Action Française. Hilaire de Crémiers en est le Président d'honneur, Henri Bec le Président et François Bel-Ker le Secrétaire général, cheville ouvrière du Mouvement.
François Bel-Ker donna alors lecture du communiqué qui venait d'être adressé à la presse pour rendre public l'événement (ci-dessous).
Suivit un cocktail très réussi où les conversations durèrent longtemps et les chants ne manquèrent pas de retentir.
Lafautearousseau, notre quotidien, était représenté par Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale et par Gérard Pol.
Ce fut une journée d'unité et d'espérance. ■
La Restauration Nationale et le Centre Royaliste d'Action Française sont heureux d'annoncer le réunification des deux mouvements maurrassiens dans une unique structure. Les royalistes français, en quête d'unité pour notre pays, souhaitent rassembler l'ensemble de leurs forces pour défendre l'intérêt national en toutes circonstances.
Dans la continuité de la riche histoire de l'Action Française, nous reprenons comme nom officiel La Restauration Nationale, Centre Royaliste d'Action Française.
L'Action Française rappelle que son objet est la restauration d'un état souverain exerçant pleinement ses fonctions régaliennes. Seul l'établissement d'une monarchie décentralisée et représentative garantira le juste exercice d'une puissance durable.
Notre espérance repose sur S.A.R. le Comte de Paris, ainsi que sur son fils S.A.R. le Prince Jean de France, duc de Vendôme, qui se prépare activement au recours du Pays réel.
vous convie le lundi 19 novembre à 20h à une conférence
d'Henri Augier
président du Centre Lesdiguières
« Tout peut s'effondrer. Et pourtant...»
Tout peut s'effondrer, nous disent les « collapsologues » (Pablo Servigne) et les catastrophistes éclairés (Jean-Pierre Dupuy) . Vrai ou faux ? Tout s'effondre déjà, nous dit Cyril Dion (Demain) Comment se préparer ? Après l'encyclique Laudato Si, avec les jeunes animateurs de la revue d'écologie intégrale Limite, avec des alliés de tous bords qui se réveillent face aux défis de l'impossible, comment entrer en résistance et emprunter une voie d'espérance ? La décroissance est-elle la seule réponse ? Le désespoir en politique est -il toujours la sottise absolue que Charles Maurras dénonçait dès 1905 dans l'Avenir de l'intelligence ?
10 place Lavalette, 38000 Grenoble - salle du 1er étage (Tram: arrêt « Notre-Dame ») (Participation aux frais) Courriel: centrelesdiguieres@gmail.com Merci de nous informer de votre participation par retour de courriel
A 12h : Messe aux intentions de Charles Maurras et de tous les morts d'Action Française, en la chapelle du Calvaire de l'église Saint Roch : 24, rue Saint Roch - 75001 Paris.
A 15h : Mot d'accueil et inauguration du siège rénové de l'Action Française par François Bel-Ker, secrétaire-général de l'AF : 10, rue Croix-des-Petits-Champs.
15h30 - Colloque en hommage à Charles Maurras dont nous commémorons les 150 ans de la naissance.
18h - Le Centre Royaliste d'Action Française et la Restauration Nationale annonceront officiellement la fusion des deux mouvements d'Action Française.
Cette grande journée d'Action française sera clôturée par un cocktail dînatoire. ■
Présentation : Plus d’un demi-siècle après l’indépendance de l’Algérie, est-il possible de raconter sans manichéisme et sans oeillères la guerre au terme de laquelle un territoire ayant vécu cent trente ans sous le drapeau français est devenu un État souverain ?
La conquête et la colonisation au XIXe siècle, le statut des différentes communautés au XXe siècle, le terrible conflit qui ensanglanta l’Algérie et parfois la métropole de 1954 à 1962, tout est matière, aujourd’hui, aux idées toutes faites et aux jugements réducteurs.
Avec ce livre, Jean Sévillia affronte cette histoire telle qu’elle fut : celle d’une déchirure dramatique où aucun camp n’a eu le monopole de l’innocence ou de la culpabilité, et où Français et Algériens ont tous perdu quelque chose, même s’ils l’ignorent ou le nient. (éd. Fayard) Journaliste, essayiste et historien, auteur de nombreux ouvrages qui ont été des succès de librairie (Zita impératrice courage, Le Terrorisme intellectuel, Historiquement correct, Historiquement incorrect, Histoire passionnée de la France), Jean Sévillia est chroniqueur au Figaro Magazine et membre du conseil scientifique du Figaro Histoire. ■
S'inscrire auprès du Professeur Hervé Pasqua : hpasqua@unice.fr
Les militants d'Action française étaient présents en nombre sur les Champs Elysées pour rendre hommage aux morts de la guerre de 14-18.
Toulouse
Un dépôt de gerbe a été suivi d'une intervention de Pierre de Meuse. Une cinquantaine de personnes ont participé à cette commémoration avant de se rendre à la Cathédrale Saint-Étienne où furent récompensés quelques-uns des militants pour leur engagement au sein de la section toulousaine.
Nîmes
C’est notamment à l’initiative de l’historique Cercle Saint-Charles qu’un dépôt de gerbes et une cérémonie d’hommage aux morts d’Action française de la Grande Guerre ont eu lieu à Nîmes où est érigée une stèle à la mémoire des Camelots du Roi nîmois morts pour la France. Une délégation d’une dizaine de militants marseillais de L’Union Royaliste Provençale conduite par Jean Gugliotta, son président, a participé à cette commémoration. L'Union Royaliste Provençale, représentante historique de l'Action française en Provence, était donc présente avec ses drapeaux, dont celui, d’avant-guerre, de la section d’Action française de Marseille.
Bordeaux ...
A Bordeaux, aussi, l'Action Française a honoré ses morts de la Grande Guerre. Une occasion pour le maire de la ville, Alain Juppé, de lire Le Bien Commun, le nouveau mensuel de l'Action française (photo).
Salle Messiaen, 3 rue de la Trinité Paris 9° - Métro La Trinité, Saint-Lazare
Renseignements : Politique magazine, 1 rue de Courcelles Paris 8° - T. 01 42 57 43 22
Par Michel Franceschetti
Exactement un mois avant l’armistice, le 11 octobre 1918, en l’Hôtel de Ville de Marseille, était célébré le mariage d’André Iskaria et de Henriette Anastay. la cérémonie religieuse ayant lieu le 12 à l’église St-Cassien, chemin du Vallon de l’Oriol.
Évoquer cet événement concernant des personnes inconnues permet, à partir d’un cas particulier, de rendre hommage aux soldats qui combattirent en 14-18. C’est aussi un moyen de comparer cette époque avec la nôtre, et aussi de rappeler un moment de l’histoire de l’Action Française en Provence.
André Iskaria était un Iranien, un Persan disait-on alors, de la communauté catholique assyro-chaldéenne du nord-ouest de la Perse, à la limite de la Turquie et de la Syrie actuelles. Né à Mawana, il entra au séminaire d’Ourmia tenu par les lazaristes français qui lui donnèrent l’amour de la France et de sa culture. Il dut fuir les persécutions des Kurdes et, en passant par la Russie, finit par débarquer à Dunkerque en 1912.
En sortant du bateau, il ne se précipita pas pour demander des aides sociales, qui d’ailleurs n’existaient pas, mais pour s’engager dans la Légion Étrangère. André participa aux opérations de pacification du Maroc. En 1915, il fut envoyé aux Dardanelles puis en Serbie où il fut blessé.
Pendant sa convalescence à Marseille, il fit la connaissance d’Henriette, fille de Henri Anastay qui possédait une des plus importantes pharmacies de Marseille, rue de l’Arbre (actuelle rue Vincent Scotto).
Comme Henri, membre de la haute bourgeoisie marseillaise, s’opposait à ce que sa fille s’unisse à un basané sans le sou, même s’il était chrétien, il fallut attendre son décès. Après le temps de deuil habituel à l’époque, le mariage put avoir lieu le 11 octobre 1918.
Avec l’armistice qui suivit quelques semaines plus tard, Henriette et André Iskaria purent envisager un avenir heureux. Ils eurent cinq enfants et quittèrent le Vallon de l’Oriol pour le Roucas-Blanc. Surtout, l’ancien légionnaire blessé au combat obtient la nationalité française en 1920, permettant à son épouse de retrouver la sienne. En effet, à l’époque, le mariage avec un étranger faisait perdre la qualité de citoyen français. Quel gouvernement oserait rétablir une telle loi de nos jours ?
Peut-être fut-ce par crainte de la dénaturation de la victoire par les mesquines luttes politiciennes qu’André Iskaria, l’Iranien dont le sang avait coulé pour la France, adhéra au nationalisme intégral de l’AF et devint un ardent camelot du roi de la section marseillaise jusqu’à sa mort, des suites d’un accident, en 1940.
On retrouve souvent son nom dans les colonnes du quotidien royaliste au titre des donateurs de la section de Marseille.
La famille Iskaria avait un grand respect pour le prétendant au trône et une grande admiration pour Charles Maurras.
Ses descendants conservent toujours un autographe de Maurras inscrit sur le menu du banquet organisé en avril 1931, à l’occasion du troisième congrès de la Fédération Provençale des sections d’Action Française.
Cet Iranien, catholique, patriote, royaliste, n’a-t-il pas autant sinon mieux mérité de la patrie que certains ? ■
Ce n’est un scoop pour personne : l’avenir de la France reste à l’Action française notre préoccupation première et le moins que l’on puisse dire, à cette question angoissante les réponses sont loin d’être rassurantes.
Nos élites ont en effet résolument pris la décision de dissoudre notre nation dans un globalisme funeste, tant elles considèrent cet espace géographique, historique et culturel comme une survivance d’un passé révolu, dont la population anomique et interchangeable compte pour du beurre.
La finance internationale qui nous gouverne en effet, ne souhaite pas s’encombrer de cette plèbe réactionnaire et populiste, tout juste bonne à payer des taxes et des hausses de CSG, pour apurer un déficit public et des intérêts colossaux contractés auprès des banques privées.
Mais ce pouvoir apatride pourrait bien voir sa morgue lui revenir comme un boomerang en pleine figure.
Une « bien pensance » savamment organisée par les médias officiels et relayée par des intellectuels acquis au système moralisateur et répressif qui s’est mis en place progressivement , découvre avec stupeur que cette population méprisable refuse de plus en plus les règles du jeu imposées.
Mieux, d’autres intellectuels issus de tous les horizons politiques et culturels, se dressent par grappes et dénoncent avec force le cercle oligarchique dominant, remettant en cause sa légitimité. Cela au risque de perdre le droit de s’exprimer, voire même d’exercer leur métier.
Il appartient à l’Action française de faciliter la convergence des contestations et de projeter le plus lisiblement possible la restauration de la primauté du bien commun et du bon sens.
C’est ainsi qu’un ministre (de l’intérieur) du système multiculturel du « vivre ensemble », découvre que l’on s’achemine vers le vivre « face à face ». C’est ainsi également, car tous les sujets se tiennent finalement, que l’on découvre que le pape est catholique, que l’on redécouvre le circuit court des producteurs qui se passent de la grande distribution, que la politique d’état a besoin du « temps long » et que ce même état doit contrôler ses finances (sans le recours à la banque). Certains retrouvent même la vertu des frontières…
« Le désespoir en politique est une sottise absolue », d’autant plus que les multiples entreprises de démolition du pays génèrent des « anticorps » au sein même de la nation, malgré les efforts déployés par nos ennemis pour provoquer l’abrutissement du peuple réduit à une masse de consommateurs dociles.
Il nous appartient d’apporter notre pierre et de soutenir de nouvelles élites naissantes en leur offrant encore et toujours l’occasion de prendre des « cures d’altitude mentale » avec nos analyses acérées et sans complaisance. En montrant du doigt les histrions, en récusant les idéologies rebattues et par principe destructrices du réel, nous ferons reculer la trahison programmée et assumée par les théoriciens du libéralisme individualiste.
Pour mieux nous combattre, les bateleurs de foire du système nous accusent naturellement de nous réfugier dans la victimisation et la théorie du complot. Stratégie bien commode pour bâillonner toute forme d’opposition, Il faut y voir en réalité le signe de faiblesse de ceux qui doutent eux même du bien fondé de leur action : « Circulez, y’a rien à voir ». Ils sont en effet tellement englués dans leur échec patent, dans le désastre annoncé qu’ils ne pourront éviter, qu’ils n’ont d’autre possibilité que de se réfugier dans le déni, d’adopter une attitude autistique, en espérant survivre jusqu’aux prochains scrutins.
C’est donc par le jeu de l’intelligence active que nous les saisirons au collet et que nous leur ferons rendre gorge.
Ce site, secondant notre presse écrite, devra traquer l’actualité et faire tomber les masques de la pitoyable commedia Dell’Arte de cette société du spectacle, décrite par le très lucide Guy Debord, tristement animée par l’homo festivus cher à Philippe Murray.
C’est la mission de l’Action française : nous battre pour la vérité et les libertés, contre les fossoyeurs appointés par Bruxelles et les grands réseaux internationaux, afin de préparer la France à accueillir le retour de nos princes capétiens. ■
Olivier Perceval
Rédacteur en chef
Ce n’est un scoop pour personne : l’avenir de la France reste à l’Action française notre préoccupation première et le moins que l’on puisse dire, à cette question angoissante les réponses sont loin d’être rassurantes.
Nos élites ont en effet résolument pris la décision de dissoudre notre nation dans un globalisme funeste, tant elles considèrent cet espace géographique, historique et culturel comme une survivance d’un passé révolu, dont la population anomique et interchangeable compte pour du beurre.
La finance internationale qui nous gouverne en effet, ne souhaite pas s’encombrer de cette plèbe réactionnaire et populiste, tout juste bonne à payer des taxes et des hausses de CSG, pour apurer un déficit public et des intérêts colossaux contractés auprès des banques privées.
Mais ce pouvoir apatride pourrait bien voir sa morgue lui revenir comme un boomerang en pleine figure.
Une « bien pensance » savamment organisée par les médias officiels et relayée par des intellectuels acquis au système moralisateur et répressif qui s’est mis en place progressivement , découvre avec stupeur que cette population méprisable refuse de plus en plus les règles du jeu imposées.
Mieux, d’autres intellectuels issus de tous les horizons politiques et culturels, se dressent par grappes et dénoncent avec force le cercle oligarchique dominant, remettant en cause sa légitimité. Cela au risque de perdre le droit de s’exprimer, voire même d’exercer leur métier.
Il appartient à l’Action française de faciliter la convergence des contestations et de projeter le plus lisiblement possible la restauration de la primauté du bien commun et du bon sens.
C’est ainsi qu’un ministre (de l’intérieur) du système multiculturel du « vivre ensemble », découvre que l’on s’achemine vers le vivre « face à face ». C’est ainsi également, car tous les sujets se tiennent finalement, que l’on découvre que le pape est catholique, que l’on redécouvre le circuit court des producteurs qui se passent de la grande distribution, que la politique d’état a besoin du « temps long » et que ce même état doit contrôler ses finances (sans le recours à la banque). Certains retrouvent même la vertu des frontières…
« Le désespoir en politique est une sottise absolue », d’autant plus que les multiples entreprises de démolition du pays génèrent des « anticorps » au sein même de la nation, malgré les efforts déployés par nos ennemis pour provoquer l’abrutissement du peuple réduit à une masse de consommateurs dociles.
Il nous appartient d’apporter notre pierre et de soutenir de nouvelles élites naissantes en leur offrant encore et toujours l’occasion de prendre des « cures d’altitude mentale » avec nos analyses acérées et sans complaisance. En montrant du doigt les histrions, en récusant les idéologies rebattues et par principe destructrices du réel, nous ferons reculer la trahison programmée et assumée par les théoriciens du libéralisme individualiste.
Pour mieux nous combattre, les bateleurs de foire du système nous accusent naturellement de nous réfugier dans la victimisation et la théorie du complot. Stratégie bien commode pour bâillonner toute forme d’opposition, Il faut y voir en réalité le signe de faiblesse de ceux qui doutent eux même du bien fondé de leur action : « Circulez, y’a rien à voir ». Ils sont en effet tellement englués dans leur échec patent, dans le désastre annoncé qu’ils ne pourront éviter, qu’ils n’ont d’autre possibilité que de se réfugier dans le déni, d’adopter une attitude autistique, en espérant survivre jusqu’aux prochains scrutins.
C’est donc par le jeu de l’intelligence active que nous les saisirons au collet et que nous leur ferons rendre gorge.
Ce site, secondant notre presse écrite, devra traquer l’actualité et faire tomber les masques de la pitoyable commedia Dell’Arte de cette société du spectacle, décrite par le très lucide Guy Debord, tristement animée par l’homo festivus cher à Philippe Murray.
C’est la mission de l’Action française : nous battre pour la vérité et les libertés, contre les fossoyeurs appointés par Bruxelles et les grands réseaux internationaux, afin de préparer la France à accueillir le retour de nos princes capétiens. ■
Olivier Perceval
Rédacteur en chef
Réservé aux étudiants et lycéens
L'utopie apolitique de l'union européenne s'effondre et entraîne son éclatement dont les manifestations sont nombreuses : Brexit, Italie, Pays de Visegrad, crise politique allemande, crise financière, invasion et islamisation de l'Europe... Et Macron s'agite, rageur mais impuissant devant le grand retour des nations un peu partout dans le monde.
Nous sommes confrontés à un séisme majeur.
Est-ce le grand retour du politique ? Que faut-il en penser ? Quel avenir pour la France ?
Venez participer au débat qui sera introduit et animé par Antoine de Crémiers, conférencier, conseiller éditorial de la Nouvelle Revue Universelle. ■