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  • Navigation sélective sur le Net : échos des Blogs, des Pages Facebook, et d'ailleurs...

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     1. Sur les Blogs, sur Facebook ou  ailleurs... :  

     

    1. "Il y a du Marchais dans Hollande", la chronique d'Eric Zemmour (après les Européennes) sur RTL : 

     

    2. "Sanction sans appel", par François d'Orcival (dans Valeurs actuelles) : http://www.valeursactuelles.com/sanction-sans-appel

    3. "Dans le Nord du Mali, deux guerres se déroulent en parallèle" (par Jean-Dominique Merchet, Secret Défense) : http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/dans-nord-mali-deux-guerres-se-deroulent-en-parallele-12818

    4. Dans Mondafrique (par Alain Chouet) : "Boko Hram, le monstre utile" ? : http://mondafrique.com/lire/international/2014/05/17/boko-haram-le-monstre-utile

    5. Dans Le nouvel observateur, de Fabrice Pliskin, "La Marseillaise, un chant impur ?" : http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20140528.OBS8691/la-marseillaise-un-chant-impur.html

    6. L'envoi de juin du Réseau regain : http://reseau-regain.net/

  • C'est aussi tout cela (tous "ceux-là"...), la France : dans les Ephémérides cette semaine...

    Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf )  :

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  • Rions un peu : La dictée de Raymond Devos...

    Il y a des verbes qui se conjuguent très irrégulièrement : par exemple le verbe « ouïr ».

    Le verbe ouïr au présent, ça fait j’ois …

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  • L' "Insincérité" au plus haut...

    COUR DES COMPTES.JPGIl n'y a pas que le chômage, les impôts, l'insécurité, les mal-logés, les pauvres et autres qui soient au plus haut : au plus haut aussi - mais, cette fois, et c'est encore plus grave, au sommet de l'Etat... - se trouve maintenant l' "Insincérité".

    Ce n'est pas nous qui le disons, mais la Cour des Comptes :

    "...L'écart entre prévision et exécution sur l'évolution spontanée des recettes fiscales souligne le manque de prudence de la loi de finances initiale et peut soulever une interrogation au regard de la sincérité de cette dernière..."

    L'insincérité est donc au plus haut niveau de l'Etat ? C'est le thème de notre "tweet du jour" :

    "Flanby, fraise des bois, capitaine de pédalo", ça blesse. "Insincère", dit par la Cour des Comptes, ça tue. Le Système en décomposition ?

  • Un euro faible pour lutter contre la déflation, par François Reloujac*

    Le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi,  dans un langage inhabituel remarqué par tous les commentateurs économiques, a mis en garde contre un "euro fort".

    Ce dernier serait accusé d’être la cause du risque de déflation qui menace désormais l’Union européenne.

    euro faible.JPG

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  • Des institutions et des hommes, par Pierre Chalvidan

    Pierre CHALVIDAN.jpgLecture d’un récent document du Cercle de l’Oeillet Blanc (1) qui se propose de mettre en œuvre une « vigoureuse synergie » entre nos mouvements amis. Heureuse initiative, car si la diversité est fructueuse, la dispersion est calamiteuse et il faut bien dire que l’on s’y perd un peu dans notre « millefeuille »… !

    Millefeuille : le mot est à la mode pour stigmatiser notre déplorable empilement institutionnel (commune, intercommunalité, département, région, Etat, Europe…) et c’est à juste titre que le document précité relève que ce processus aboutit en fait à une désinstitutionalisation et une vacance du pouvoir qui appellent une véritable révolution institutionnelle.

    De fait, les institutions sont bien le nœud de la question politique. Mais en ajoutant aussitôt que derrière  les institutions – ou même avant – il y a les hommes.

    Comme le développe la Doctrine Sociale de l’Eglise, les institutions ne sont que des comportements individuels cristallisés et c’est au niveau des comportements que se trouve la racine du problème. Paul  Thibaud et Marcel Gauchet le développaient récemment (2) : il n’y a pas d’institutions possibles dans la société de l’individualisme égalitaire. Et il n’y a pas d’institutions sans des élites gouvernantes. Là, explique Gauchet, se trouve la source de la désaffection politique : « Les citoyens ont conscience de quelque chose du caractère constitutif de leur société que les élites n’assument pas : la fonction de gouvernement. »

    Un ami me signale que selon un sondage paru dans Valeurs Actuelles, 50% des Français n’ont plus confiance dans la démocratie et souhaitent qu’un homme fort prenne le pouvoir. Un roi, quoi !

    Gauchet, lui, estime « qu’il y a place pour une recomposition de fond à partir du besoin de la fonction de gouvernement, un projet alternatif porté par une élite de remplacement… ». 

    Pierre Chalvidan

     

         1 : Charte Mediacor et Vauban

         2 : Politique Autrement – 29 mars 2014 – « Politiquement correct et décomposition »

  • "Ce jeune homme a dit la vérité..." : ici, c'est un député : doit-il être exécuté ?....

    guy delcourt depute ps pas de calais.jpg Sur France info, ce mercredi 28, journal de 7h, et repris par Le Figaro... :

    La scène se déroule mardi matin à l'Assemblée nationale. Le premier ministre est présent à la réunion du groupe PS pour tenter de ressouder les députés socialistes déboussolés par l'échec du PS aux élections européennes. Guy Delcourt, député du Pas-de-Calais, prend la parole: "Avouons-nous, camarades, que la relation de François Hollande avec les Français pose un problème".

    La réflexion ne fait réagir ni Manuel Valls ni ses collègues députés. Personne ne monte au front pour défendre le chef de l'État. Plusieurs parlementaires confient en privée leur scepticisme après l'allocution télévisée, lundi, de François Hollande...

    De l'UMP au PS, il règne décidémment une ambiance folle, ces jours-ci, dans un Pays légal qui exhale (voir notre tweet d'hier") une forte ôdeur de décomposition...

  • Mais, qui est au courant de quoi, dans cette drôle (drone ?) de République ?

    drone-360.jpgAffaire Cahuzac ? Hollande et Ayrault, pas au courant...

    Ecoutes Sarkozy ? Valls et Taubira, pas au courant...

    Big bang de Bygmalion ? Copé et Sarkozy, pas au courant... 

    Bigre, tout cela n'est pas très rassurant : on se demande avec inquiétude si les Princes qui nous gouvernent sont au courant de quelque chose, et de quoi !


    "Drone" : petit avion sans pilote... disent les dictionnaires. La République idéologique française est-elle devenue un drone ?

  • Robespierre et ses complices terroristes de la clique révolutionnaire, aux origines du terrorisme moderne (ou contemporain)...

    HISTOIRE DU TERRORISME TEXTE.jpgDe la Révolution française à Al Qaida, tel est le titre de l'excellente note de lecture écrite pae Rémy Kauffer sur le livre de Gilles Ferragu, Histoire du terrorisme; cette note est parue dans le numéro du 16 mai du Figaro magazine, et nous la reproduisons ci-après :

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    Ce qui est bien sûr et certain, c'est que "la terreur étatique officielle", lorsqu'on étudie l'Histoire, remonte aux dernières années du XVIIIème siècle - en clair : à la Révolution française - depuis que "la phase robespierriste de la Révolution française a légitimé et légalisé la terreur d'Etat, au nom d'une lutte sacro-sainte contre le ennemis de la Nation"

    Robespierre, Saint Just - son âme damnée - et toute leur clique d'assassins sanguinaires sont bien pères d'une famille nombreuse : leurs enfants s'appellent Staline, Ho Chi Minh, Mao, Hitler, la dynastie des Kim en Corée du Nord, Pol Pot, Ceaucescu... et leurs oeuvres, le Goulag, le Lao Gai, les camps de concentration et d'extermination, la Stasi ou le KGB...

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    La grande synthèse attendue. Si le terrorisme fait, hier comme aujourd'hui, la une des journaux, il reste un objet problématique dont la définition même fait débat. Certes, les juristes, les politistes, les sociologues, voire les journalistes n'ont pas été avares pour le décrire ! Mais une approche historique manquait, pour replacer ce phénomène ancien dans un contexte et une dynamique plus larges. Car le terrorisme a une histoire ! Eparpillé entre divers groupes, tributaire des idéologies les plus variées, il ne saurait pour autant se réduire à une succession d'attentats et de procès. Cette première grande synthèse entend au contraire en proposer une vision globale afin de saisir les conditions historiques dans lesquelles la violence apparaît puis se déploie dans les sociétés. Elle définit, également, les liens qui se tissent entre les différents mouvements mais aussi entre les générations de terroristes qui se succèdent.
     
    Partant de l'apparition même du terme " terrorisme ", au crépuscule du XVIIIème siècle et dans le cadre de la Révolution française, l'ouvrage parcourt plus de deux siècles d'histoire, évoquant la violence politique qui frappe le monde occidental comme le monde oriental, qui émane des Etats comme des minorités, afin de saisir le poids réel du phénomène dans l'Histoire.
     
    L'approche est à la fois historique et thématique, chaque chapitre s'attachant à saisir, dans une aire géographique ou au prisme d'une idéologie particulière, l'émergence de la violence, ses principaux acteurs et ses hauts faits, ainsi que les réponses politiques que s'efforcent d'apporter les sociétés ou les pouvoirs.
  • La Dizaine de Magistro

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    Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d'ailleurs, l'essentiel touche aux fondamentaux... un choix de civilisation ! 


            MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 : 
     http://www.magistro.fr/   
     
     


    * Sophie de MENTHON, Présidente d'ETHIC : Racisme
    * Malika SOREL-SUTTER, Ancien membre du Collège du Haut Conseil à l'Intégration : Communaurarisme et universités
    * Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : La Gifle
    * Anne COFFINIER, Directrice générale de la Fondation pour l’école : La Liberté pédagogique en laisse
    * Jean-Luc BASLE, Economiste : L'Etat et la politique de l'offre
    * Jacques BICHOT, Professeur émérite à l'Université Lyon 3 : Conquête et exercice du pouvoir
    * Gérard-François DUMONT, Géographe, Professeur à la Sorbonne : Réforme territoriale
    * Ivan RIOUFOL : Journaliste politique : Les "populistes" au secours de l'Europe
    * Maxime TANDONNET : Haut fonctionnaire : La Commission, un monstre froid et bureaucratique ?
    * Denis TILLINAC : Ecrivain : L'Europe se moque de nous
    * Ivan RIOUFOL : Journaliste politique : L'homme européen est une femme à barbe
    Rappel :
    * Eric ZEMMOUR, Journaliste politique : L'Europe de l'UMP

  • Les tweets du jour...

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    ( pour consulter "l'Intégrale" - 415 tweets... - c'est ici, ou sur la colonne de droite de la Page d'Accueil, en-dessous de la page Facebook...) :  

     

     

     

    Hier à gauche, séisme Cahuzac; aujourd'hui à droite, Big Bang Bygmalion: tout le Pays légal, tout le Système exhale l'odeur de décomposition

     

    "ILS" veulent enrayer "la montée des extrêmes"? Mais ce sont eux, les extrêmes : les extrêmes nuls...

  • L’artillerie lourde n’a pas suffi

    manipulés.jpgPendant les 10 jours précédant les élections européennes, les médias français ont mené la charge contre le Front national : éditos, interviews de ténors de la politique française et européenne, de Juppé à Cohn-Bendit et Juncker, sortie de la naphtaline des Delors et Giscard, mousse autour de la prise de position de Sarkozy, jeux de vocabulaire (extrême droite, populisme et aventure) sur fond de films télévisés évoquant la résistance, etc...

    Rien n’a manqué dans cette artillerie lourde et à ces valeureux hussards à plumes de la République pour nous éduquer. Il fallait « faire barrage au FN », « enrayer la montée du populisme », « choisir l’Europe plutôt que le déclin », « l’avenir de nos enfants plutôt que l’aventure », « ne pas céder aux thèses nauséabondes rappelant les heures sombres de notre histoire » et autres entorses au devoir d’objectivité d’une presse d’information oublieuse de sa déontologie et militant à gauche sans le moindre scrupule.

    Et jusqu’à Hollande, le jour même de l’élection, saisissant au bond l’attentat du musée juif de Bruxelles pour dénoncer l’antisémitisme – qui comme chacun sait ne peut être le fait que de l’extrême droite - et en appelant aux valeurs de l’Europe.

    Eh bien, tout cela n’a pas suffi à faire taire le peuple ni à le faire tomber dans le piège du referendum anti-FN. Bien au contraire, les Français ont choisi d’en faire le premier parti de France.

    Que l’on approuve en tout, en partie ou pas du tout le programme du Front, que l’on préfère Marine ou son père, que l’on déteste Philippot ou que l’on aime Marion, on ne peut que se réjouir de la liberté de jugement et du courage du peuple de France.

    LE GRAIN DE SEL DE SCIPION.jpg

  • Retour sur son passage à Barcelone : erreurs en série et ignorance crasse pour Manuel Valls

    Valls a Barcelone, sous le slogan : Canviem Europa, Aturem Rajoy. L'article 2 de la Constitution est supprimé ? 

     

    Qui  a parlé à Barcelone : l'homme privé ou le Premier ministre de la France ?

    Evidemment, le Premier ministre de la France.

    Rappelons-lui donc deux choses, avant de commencer à le reprendre sur son ignorance crasse de notre Histoire (dont il parle tant, alors qu'il perd à chaque fois une bonne occasion de se taire...) :

    1. Il est d'usage, pour les gouvernants, de ne pas parler des affaires intérieures de la France lorsqu'on est en déplacement à l'étranger. Pour qui se prend Super Manu : pour quelqu'un au-dessus des lois et usages couramment admis ?...

    2. "La langue de la République est le français", du moins c'est ce que stipule l'article 2 de la Constitution de la Vème République. Super Manu, jusqu'à preuve du contraire, est le Premier ministre de l'actuel gouvernement de cette Vème République : qu'il ait eu un mot en castillan et un autre en catalan, par courtoisie pour ses auditeurs, cela se conçoit : beaucoup de Présidents ou de ministres l'ont fait avant lui. Il a simplement un peu forcé la dose...  

    Bon, maintenant, passons à l'essentiel : l'ignorance crasse de celui qui nous représente.

    Il s'est dit fier de la République (vous savez, celle qui a mené le premier Génocide des Temps modernes, en Vendée, toujours sans reconnaissance ni repentance deux siècles après...). Et pourquoi ? Parce qu'un étranger peut y devenir Premier ministre, et s'appeler Manuel; et parce qu'une "Najat" peut y être ministre. Disons-le tout net : là, les bras nous en tombent ! C'est dans des cas pareils qu'il faut se répéter cent fois qu' il vaut mieux entendre ça que d'être sourd...

    Car, enfin, Giulio Mazzarini, Mazarin pour les intimes, c'était en quelle année, et sous quel régime ? Super Manu se moque du monde quand il veut nous faire croire que la République "accueille" l'étranger et lui confie des postes importants. Ou alors, comme nous l'écrivons en titre, il est nul, mais "nul de chez nul", en Histoire !

    La Royauté française a truffé nos mille ans d'Histoire avec elle d'étrangers placés à de très hauts postes : quel pays, aujourd'hui, quel régime, confie son armée à un allemand, comme le fit Louis XV avec le Maréchal Maurice de Saxe ? Quel pays, quel régime, a reçu chez lui - et a pensionné chez eux... - tant de savants et d'artistes étrangers comme l'ont fait nos rois : de Léonard de Vinci et la cohorte de la Renaissance (Andréa del Sarto, ancêtre de notre Maxime, Le Primatice...) jusqu'à Louis XIV, qui nomma Lully surintendant de la musique ?

    Le plus beau meuble du monde - si l'on s'en réfère au "travail" qu'il a nécessité - le bureau à cylindre de Louis XV, est l'oeuvre d'Oëben et Riesener, deux artistes nés respectivement près de Münster et à Aix-la-Chapelle. La Machine de Marly, qui devait alimenter en eau les fontaines de Versailles, est l'oeuvre du Wallon Rennequin Sualem. Le vérité est qu'un très long article ne suffirait pas à énumérer les personnes de qualité étrangères accueillies et placées à de très hauts postes par la Royauté française... n'en déplaise à Super Manu, qui se croit le premier étranger haut placé en France.

    Mais le plus lourd, pour lui, est à venir. Il demande dans quel pays et dans quel régime une "Najat" peut être ministre ? Mais en France, pardi, et sous la Royauté ! Ministre, la belle affaire ! C'est un bien piètre lot de consolation, un cadeau-bonux en plastique : la Royaute a donné à six femmes tout le pouvoir, oui, vous lisez bien : la totalité des pouvoirs, et pas simplement un petit poste de porte-parole ou, après, de minsitre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. Ce fut à l'occasion des Régences, la première étant celle de Blanche de Castille, donc presque sept cents ans avant l'instauration de la calamiteuse République idéologique, qui n'est jamais allée aussi loin ! Et, attention, sur ces six femmes, quatre étaient étrangères ! Donc, question promotion de la femme, féminisme, non sexisme ou non discrimination, ou quelle que soit la façon dont les nuls qui nous gouvernent veulent l'appeler, c'est la Royauté qui est le régime moderne et novateur, plusieurs siècles avant notre pitoyable république idéologique... et son actuel premier ministre qui vient faire la leçon !

    Allez, un petit récapitualtif, genre L'Histoire pour les nuls :

    1. Blanche de Castille, régente (deux fois) pour Louis IX : d'abord, durant sa minorité, puis lorsque le roi partit pour la Terre sainte. C'est d'ailleurs la mort de sa mère qui força le roi à rentrer en France ! Qui dit mieux ? Deux fois la totalité des pouvoirs à une espagnole : battu, Manu, archi-battu...

    2. Anne de Beaujeu, régente pour Charles VIII;

    3. Louise de Savoie, régente pour François 1er;

    4. Catherine de Médicis, (une italienne !) régente pour Charles IX;

    5. Marie de Médicis, (encore une italienne !) régente pour Louis XIII;

    6. Anne d'Autriche, une austro-espagnole, régente pour Louis XIV...

    La vérité, puisqu'on est en période de Mundial, c'est que, si la politique était un match de foot, l'équipe royale écraserait l'équipe républicaine par six à zéro, ou quatre à zéro, selon que l'on compte le pouvoir donné à des femmes (6 à 0) ou à des femmes étrangères (4 à 0)...

    Oui, décidemment, Valls a encore beaucoup, mais vraiment beaucoup à apprendre : et, vraiment, ce n'est pas Super Manu, le surnom qui lui convient, mais Super Ma-nul ! 

  • Leçons de ces élections européennes

    Café Hervé PASQUA Invitation & message - Copie.jpgAmour de la France ; refus de la voir effacée par une immigration démentielle et la perte du contrôle de ses frontières; affirmation des nations comme seul fondement solide de l'Europe; rejet, non de l'Europe, mais de cette Europe bureaucratico/technocratico/ultralibérale et uniquement gestionnaire des choses et des gens; qui plus est, pleinement inféodée aux Etats-Unis, dont elle est le faux-nez; cette Europe là que – partout en Europe,  à l’exception de l’Allemagne - les peuples ont rejetée au nom de leur indépendance et de leurs identités ; enfin, et peut-être surtout, un Pays légal français sonné et très mal en point. 

    Notre rôle ne change pas : il est de pousser à la roue pour, à travers ce vacillement du Pays légal, faire vaciller le Système lui-même et proposer l'alternative royale.

    C'est ce qui fonde notre originalité depuis les débuts de l'aventure Action française : nous sommes les seuls révolutionnaires du désordre établi. Le Système, qui joue contre la France, vient de recevoir un fort coup de boutoir : à nous de montrer aux Français que le remède - retrouver les intuitions des origines royales de la nation française - est à côté du mal.

    Lafautearousseau