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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Au cinéma : En corps, par Guilhem de Tarlé

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    A l’affiche : Les Goûts et les couleurs,  un film français de Michel Leclerc, avec Rebecca Marder (la jeune chanteuse Marcia), Philippe Rebbot (son manager), Judith Chemla (Daredjane, l’icône rock des années 1970), Félix Moati (Anthony, le neveu de Daredjane).

    1A.jpgLes Goûts et les couleurs… ça ne se discute pas…

    Qu’en dire donc ? D’abord, que les deux cases incontournables sont bien cochées, même si le réalisateur prend le risque d’en décocher une !

    Ensuite, sans aller jusqu’à recommander cette comédie musicale, convenons que mon épouse et moi-même avons passé une bonne soirée, qui tranche avec l’offre cinématographique actuelle majoritairement faite de comédies particulièrement médiocres.

    Constatons encore que la bande son est originale même si je ne suis pas convaincu par certaines mélodies composées par les deux artistes.

    Concluons, enfin, que Rebecca Marder a un certain charme.

  • Solidarité Kosovo !

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

     

    En Serbie, une série de quatre fêtes célèbre collectivement les morts tout au long de l’année, ce sont les « Zadušnice». En février a lieu l’une des plus suivies : «le samedi des défunts».

    Comme pour les rites de deuils, cette commémoration est l’occasion de faire des offrandes destinées à l’au-delà, et plus particulièrement aux ancêtres de sa lignée. Le pain de blé occupe une place centrale des offrandes. On y ajoute divers gâteaux et sucreries, du vin et des fleurs.
     
    Ici sur la photo prise par le Père Sava Janjic, archimandrite du monastère de Visoki Decani, dans l'enclave de Orahovac, une vieille dame se recueille sur la sépulture de son proche dont la pierre tombale a été arrachée...
  • Aux Mercredis de la NAR : #18 - Jean-Pierre Le Goff pour son livre ”La France d'hier”.


    Mercredi 4 avril, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Jean-Pierre Le Goff pour son livre “La France d'hier”. Philosophe de formation et sociologue, Jean-Pierre LE GOFF nous a présenté la plupart de ses ouvrages, de « La Barbarie douce » à « Malaise dans la démocratie » en passant par l’ouvrage de référence qu’il a consacré à Mai 1968, « L’héritage impossible ».

    Nous recevons à nouveau Jean-Pierre Le Goff pour un ouvrage qui est à la fois un témoignage personnel sur « La France d’hier » et un document ethnologique sur les trente années qui ont précédé les événements du printemps 1968.

    Ce « Récit d’un monde adolescent » évoque les comportements familiaux et les pratiques religieuses, les débuts de la société de consommation et les loisirs de masse, la vie quotidienne des femmes, la musique : tout un monde qui est aujourd’hui regardé comme la préhistoire de 1968, où la « crise de l’adolescence » se conjugue avec la « crise de la modernité ».

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    "Emmanuel Macron au théâtre hier soir..."; l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :

    "Le théâtre, c’est un texte, un comédien, un public, un décor : à travers ce carré magique on comprend la présidence actuelle. Le chef de l’Etat aura enfilé tous les costumes, joué tous les rôles. Le comédien qui pointe sous le président : c’est peut-être le secret du macronisme..."
     
    (extrait vidéo 3'39)
     

     

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    Elle est là, l'urgence absolue, la priorité des priorités : non pas énumérer les conséquences, mais :

    • remonter à la source, à la cause du mal;

    • remettre en cause pour remettre en ordre;

    • dénoncer ce Système qui échoue, qui nous ruine, qui déclasse la France, inexorablement...

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    La Banque de France révise à la baisse sa prévision de croissance, à 0,8 % en 2024. Son gouverneur alerte sur la dégradation des finances publiques...

     

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    1. Elle continue et s'installe de plus belle, la troisième invasion de l'Europe par l'Islam (après "711 par l'Espagne" et "1453 par Constantinople"); elle est, cette fois, démographique et "culturelle", et vise à remplacer, dans un premier temps, le "paysage visuel" chrétien et traditionnel par l'image d'un monde musulman. Témoin, cette courte vidéo postée par Marion Maréchal, sur tweeter, avec ce court commentaire :

     

    2. D'accord avec Philippe de Villiers :

     

    2 BIS. La preuve par les chiffres, par les faits, qui sont têtus... :

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    4. Dans Le Figaro - Société (article de

     

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    + 541% : l’immigration illégale en Europe par la route d’Afrique de l’Ouest explose

    INFO LE FIGARO - Selon l’agence Frontex, cet axe devient la principale porte des entrées irrégulières dans l’Union européenne.

    L'année 2023 était la pire jamais enregistrée sur le plan migratoire en Europe depuis 2016. Les deux premiers mois de l'année 2024 confirment la tendance, à en juger par la dernière production statistique de Frontex, l'agence de surveillance des frontières extérieures de l'Union. À la lire, «le nombre de passages irréguliers à la frontière vers l'Union européenne au cours des deux premiers mois de 2024 a atteint 31.200, un niveau similaire à celui d'il y a un an».

    Mais des disparités s'accentuent, selon les axes de migration empruntés. Ainsi, «la Méditerranée centrale a connu la plus forte baisse des détections de passages irréguliers parmi les grandes routes (-70%)», avec un peu plus de 4300 passages de migrants détectés. Là, les principaux exilés sont issus du Bangladesh, de Syrie et de Tunisie. Frontex se félicite également de la baisse des flux sur la route des Balkans (-65%), avec un peu plus de 3000 passages détectés....

     

    5. Il y a vraiment quelque chose de pourri (et un grand, un très grand quelque chose...) au royaume de... Sciensces Po Paris ! D'accord avec Arthur de Watrigant :

  • Solidarité Kosovo !

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

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    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

    Cela fait près de cinq ans que je participe chaque hiver au convoi de Noël de Solidarité Kosovo et le retour est toujours aussi difficile.
    Je sais que durant plusieurs jours je vais assommer mes proches de phrases qui commencent invariablement par « vous savez, au Kosovo… » et qui donnent un détail historique, gastronomique, une anecdote amusante ou émouvante.
    Bien souvent, je relativise les petits inconforts du quotidien quand je compare mes soucis avec les conditions de vie des Serbes des enclaves.
    La vague de froid a fait chuter le mercure et refroidi mon appartement ? Ce n’est rien à côté de ces maisons mal ou pas isolées où la seule source de chaleur est un poêle à bois dans la pièce à vivre.
    Si ma famille écoute avec indulgence les récits de ce convoi, il est grand temps de partager ce récit avec les donateurs et les soutiens de Solidarité Kosovo dont la mobilisation a permis une année de plus de répandre la joie dans les enclaves serbes.
     
    Découvrir le témoignage

     

    Convoi de Noël 2024:
    Chaleur et Amitié franco-serbe

  • L'humanisme qui tue

    Grain de sel avec bordure.jpgVoilà donc adopté, par une large majorité de députés de gauche comme de droite et du centre, le texte de loi qui banalise l'avortement, exclue la notion de détresse préalablement exigée (mollement dans les faits mais malgré tout inscrite dans la loi) et expose à des condamnations ceux qui tenteraient de contrevenir à cette nouvelle « liberté de la femme ».

    De liberté, on nous en a beaucoup parlé dans les brefs débats médiatiques qui ont précédé le non moins bref débat parlementaire sur ce sujet et dans les leçons de morale citoyenne de Naja-Ballot-Bécassine. Mais dans tous ces discours, il y a eu un grand absent : l'enfant à naître, ces centaines de milliers de petites filles et de petits garçons innocents que l'on assassine chaque année en France (des millions depuis le vote de la Loi Veil!). Assassinat, oui, puisqu'il s'agit de meurtres prémédités et non, comme on aurait pu le penser à entendre les mégères féministes rameutées sur les antennes de télé et de radio, d'une opération banale visant à extraire et jeter aux ordures un vulgaire morceau de viande. Si seulement les foetus criaient leur douleur lors de ces interventions, peut-être y en aurait-il moins ? Je me suis d'ailleurs laissé dire que certains le faisaient lorsque l'avortement intervient tardivement.

    Voilà donc où en est arrivé notre pays des droits de l'homme. Le mal est fait et il y a peu de chances que l'on revienne en arrière puisque de l'UMP à Marine Le Pen en passant par Borloo, tout le monde semble partisan du statu quo.

    Pour accéder au « désir de liberté » de certaines femmes et aux caprices idéologiques de ceux qui nous gouvernent, n'y avait-il pas à promouvoir quelques solutions alternatives comme l'adoption, les maisons d'accueil ou le soutien aux associations d'aide aux femmes en détresse ? 

    Mais non, les idéologues ont préféré le bistouri, faisant fi du sacrifice des enfants sur l'autel des humanophobes et des séquelles psychologiques qui apparaîtront parfois bien des années plus tard chez celles qui auront eu recours à l'avortement « gratuit, laïc et (presque) obligatoire » de notre république « humaniste ».

  • La Marche pour la Vie 2011...

    Cela se passe, en France, en Europe, dans le monde. Cela existe, c'est un fait et donc, en tant que tel, comme toute réalité, cela nous intéresse. Même si nous n'avons pas de commentaire particulier à faire, du moins sur le coup et pour l'instant, ce fait ne nous a pas échappé...)

            (Source : AFP 23/01/2011) Quelque 6.500 personnes selon la police, 40.000 selon les organisateurs, opposées à l'avortement, ont défilé dimanche 23 janvier, après-midi, à Paris pour une septième "grande marche nationale pour le respect de la vie". Cette participation est deux fois plus importante que celle enregistrée en janvier 2010 lors de la sixième marche, qui avait réuni 3.100 personnes selon la police, 20.000 selon les organisateurs.

            Composé de nombreuses familles, le cortège, parti de la place de la République derrière une banderole proclamant "Unis pour défendre la vie", a rejoint en fin d'après-midi la place de l'Opéra.  Nombre d'enfants tenaient des ballons rouges et blancs portant l'inscription "En marche pour la vie", du nom du collectif de 15 associations appelant à ce rassemblement.

            Les manifestants, dont des prêtres et des pasteurs, étaient venus de toute la France, à l'occasion du 36e anniversaire de la loi Veil qui a légalisé en France l'avortement et dont ils réclament l'abolition. Des délégations étrangères étaient également présentes. Chaque année la France comptabilise environ 200.000 avortements pour 800.000 naissances.

            Cette année, la Marche bénéficiait de la bénédiction du pape, de l'appui de 25 évêques (10 émérites et 15 en exercice, dont le cardinal primat des Gaules) et quatre d'entre eux figuraient dans le cortège : Mgr. Aillet (évêque de Bayonne, Lescar et Oloron), Mgr. Lebrun (évêque de Saint Etienne, déjà présent en 2010), Mgr. Bagnard (évêque de Belley Ars) et Mgr. Laun, évêque auxiliaire de Salzbourg...

    marche pour la vie

  • Michel godet parle de l'Université... (3/3).

             Nous parlions récemment du bon sens de ces jeunes (1), de plus en plus nombreux -et c'est tant mieux...- qui préfèrent, après leur Bac, s'inscrire dans des filières sélectives, plutôt que d'aller s'enfermer dans des Facs où ils risquent d'être les otages des gréviculteurs.

                Voici, pour illustrer notre propos, trois extraits dans lesquels, au cours d'entretiens qu'il a eu avec des journalistes, Michel Godet (auteur du Courage du bon sens, dont nous avons parlé....) revient sur ces sujets....

      (1) : Voir la note "Le bon sens et le réalisme, meilleures antidotes aux errements dûs à l'idéologie ?.....", dans la Catégorie "Education".

            (sur ce qui va se passer pour les diplômes délivrés cette année...)

                "....Là où c'est possible, on va faire des trucs bidon pour sauver la face, bricoler des cours de rattrapage ici ou là, et puis il y aura aussi des sacrifiés. On parle souvent en ironisant des diplômes délivrés en 1968, mais, cette année-là, il y avait eu cours jusqu'en mai. C'est à la fois un drame humain et social pour notre pays, et c'est un fiasco pour l'image de la France à l'étranger. Imaginez le nombre d'étudiants étrangers qui avaient payé cher pour étudier chez nous et n'ont pas reçu le moindre cours…"

            (et sur ceux qui dirigent ce mouvement....)

                "Ceux qui animent le mouvement et bloquent les cours depuis des mois sont des révolutionnaires d'opérette, plutôt bien nés, des bobos de gauche et de droite. Vous savez, à l'université, les boursiers ou ceux qui travaillent pour payer leurs études, comme c'était mon cas, sont rarement ceux qu'on retrouve au premier rang des meneurs. Ils savent le prix à payer pour faire des études. Une chose est sûre, au Cnam (Conservatoire national des arts et métiers) où je travaille, tous les cours sont bel et bien assurés....."

  • Puisqu'on parle chiffres...

               Ne sommes-nous pas gavés de chiffres, jusqu'à en avoir le tournis, depuis le début de "la" crise ? Arrêtons-nous quelques instants sur l'un d'entre eux, qui semble indiscutable puisqu'il est régulièrement cité et repris par des gens de tous bords.

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                      Le déficit des finances publiques s'élèverait à quelque chose comme 1.200 milliards, auxquels il faut ajouter (c'est un peu compliqué...mais bon...) des provisions "hors bilan" (pour les retraites..) que l'on peut évaluer à 800/900 millions : total, sans trop chipoter, 2.000 milliards. Mais attention, pas 2.000 milliards de francs, 2.000 milliards d'euros ! Soit, après avoir multiplié par 6,5, entre 12.000 ET 13.000 mille milliards de francs...

              On est obligé de reconnaître, nous qui tapons tout le temps sur cette pauvre république, qu'en l'occurrence elle sait faire beaucoup mieux que la royauté ! C'est vrai, quoi, ne sommes-nous pas un peu ingrats de toujours trouver qu'elle fait plus mal qu'avant ? N'a-telle pas écrasé la royauté, sur ce point précis, et de très loin ?

             "Il était question, pour la foule, de combler un déficit que le moindre banquier aujourd'hui se chargerait de faire disparaître. Un remède si violent, appliqué à un mal si léger, prouve qu'on était emporté vers des régions politiques inconnues. Pour l'année 1786, seule année dont l'état financier soit avéré, la recette était de 412.924.000 livres, la dépense de 593.542.000 livres; déficit 180.618.000 livres, réduit à 140 millions, par 40.618.000 livres d'économie..."  (Chateaubriand, Mémoires d'Outre-Tombe, La Pléiade, tome 1, page 149).

  • Démographie : après Gérard-François Dumont, Michèle Tribalat...

                Le mardi 27 Janvier, Michèle Tribalat a accordé un très intéressant entretien à Pierre Cassen, dans Riposte Laïque.

                Nous en extrayons la question/réponse suivante :

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                Riposte Laïque : En tant que démographe, que répondez-vous à ceux qui émettent l’inquiétude d’une islamisation de la France par le nombre de naissances élevées prêtés aux familles musulmanes ?

                Michèle Tribalat : C’est une bonne question qui met en évidence les conséquences de l’absence d’outils statistiques. Nous ne connaissons pas le nombre de musulmans en France. A fortiori n’avons nous pas d’informations sur la fécondité des femmes musulmanes. Sauf à considérer que tous les immigrés en provenance de pays à majorité musulmane et leurs descendants sont musulmans, ce qui n’est pas le cas.

                Pour ceux qui font cette assimilation grossière, sachez que si les filles d’origine algérienne nées en France dans les années 1960-64 ont effectivement vécu dans des familles nombreuses, elles n’avaient à 34 ans que moins de 1,6 enfants, soit moins que les jeunes femmes nées de deux parents nés en France au même âge. Je plaide depuis des années pour que la statistique publique s’intéresse à la question des affiliations religieuses.

                La CNIL, depuis la loi de 2004, n’est plus un obstacle. Si l’on veut répondre à la question que vous posez, il faut avoir le culot de produire les statistiques qui permettent d’y répondre. Quitte à faire des statistiques, autant les faire bien. La dernière estimation que j’ai faite du nombre de personnes qui pourraient être musulmanes d’après leur filiation (sur trois générations) est de 4,5 millions. Mais c’est très grossier.

  • Grenoble, c'est ce soir : une conférence du Centre Lesdiguières à ne pas rater

     

    De la famille « antérieure et plus nécessaire que l’Etat »(Aristote), clef du « capital humain » (Gary Becker) aux « familles incertaines» (Louis Roussel) de la « culture de mort ». 

    La conjugaison de divers courants idéologiques contraires aux valeurs portées par la famille (eugénisme, mouvement en faveur du contrôle des naissances, mouvement en faveur du droit à l’avortement, mouvement en faveur du droit à la mort, féminisme radical, préoccupation démographique et mentalité « anti-vie », revendications homosexuelles, « révolution sexuelle », existentialisme, utilitarianisme libertaire, idéologie de l’ «enfant parfait » et de l’ «homme technologique ») a résulté depuis déjà quelques décennies en un projet culturel et politique contre la famille, qui n’a fait que se renforcer au fil des années.  

    Ce mouvement né avec l’idéologie nazi, et qui a repris vie dans les institutions internationales créées au lendemain de la seconde guerre mondiale, a pu se développer sans grande résistance dans les sociétés libérales et sécularisées des pays les plus riches, avant d’apparaitre au grand jour dans la « révolution » libertaire des années 70.  

    Il n’a fait depuis que prendre toujours davantage sa place dans les mentalités, avec le passage des législations en faveur du divorce, de l’union libre, de la contraception et de l’avortement, et, aujourd’hui, du mariage homosexuel.  

    Chose curieuse, rien de sérieux n’a été fait, de la part des gouvernements pour arrêter la dégradation de l’institution familiale, alors que la famille est la colonne vertébrale de la transmission des valeurs, le lieu où se génère le capital humain de la société future, et que l’avenir de cette société – et de notre civilisation - dépend de la santé de la famille. Tout donne l’impression au contraire qu’on a favorisé de multiples façons cette dégradation, tel l’insensé coupant la branche sur laquelle il est assis…  •

    CONTACT

    centrelesdiguieres@laposte.net 

    Centre Lesdiguières - Le Buissert 38340 Pommiers-la-Placette

     

  • Ténébreuse affaire Barbarin

     

    par Pierre Chalvidan

     

    Pierre CHALVIDAN.jpgQuelle époque opaque ! Précédant – ou suivant… – un sondage affirmant que 63% des Français y sont favorables, la secrétaire d’État à l’Aide aux Victimes exige la démission du Cardinal Barbarin ! Déjà l’intitulé de son « ministère » et l’idéologie victimaire qui le sous-tend mériterait beaucoup, ne serait-ce que pour faire valoir combien, en réalité, elle fonctionne à contre-emploi. L’enfer est pavé…

    Mais là n’est pas dans l’immédiat l’important. L’important, c’est qu’au-delà de la tragique complexité des faits, ce qui est dramatique dans cette affaire (outre l’incapacité contemporaine à assumer cette complexité) c’est qu’elle révèle combien est perdu de vue l’essentiel du message anthropologique chrétien : la distinction de la personne et de ses actes et la foi en la toujours possible rédemption de l’homme.

    C’est là-dessus que l’Église est nécessairement en porte-à-faux face à des adversaires qui se battent, eux aussi, à contre-emploi : ils prétendent défendre la dignité de l’homme mais ils le font sur un registre argumentaire qui ignore à la fois la charité et la justice parce qu’il repose sur une régression anthropologique aussi pernicieuse que celle des pédophiles.

    Sans oublier, bien sûr, l’habituelle exploitation médiatique. Ce n’est plus « du pain et des jeux » mais : faute de pain, des jeux. Mais des jeux dangereux et malsains. On a appris, en incidente, de la bouche même de la ministre de l’Éducation Nationale qu’au cours de l’année dernière – on dit bien : sur une année… – une trentaine de radiations d’enseignants pour pédophilie était intervenue. Quel écho médiatique ?

    Dans une homélie prononcée le 10 août 1978, quatre jours après le décès de Paul VI, le Cardinal Joseph Ratzinger disait : « Mais un pape qui aujourd’hui ne subirait pas la critique manquerait à son devoir devant l’époque. Paul VI a résisté à la télécratie et à la démoscopie (en sociologie : science dont l’objet est de sonder l’opinion), les deux pouvoirs dictatoriaux d’aujourd’hui. Il a pu le faire parce qu’il ne prenait pas comme paramètre le succès et l’approbation mais la conscience qui se mesure sur la vérité, sur la foi. »   

  • La famille de France au Salon de l’Agriculture

    Le prince Jean avec le prince Joseph

     

    Vendredi 03 mars, Leurs Altesses Royales le duc et la duchesse de Vendôme se sont rendues avec les jeunes princes au salon international de l’agriculture à Paris. Suite à la visite qu'ils en ont faite, voici les réflexions du prince Jean publiées sur son site internet. On verra comment de cette visite et de l'expérience familiale,  le Prince tire une idée générale et des orientations d'actualité pour la France.

     

    « Adieu, veau, vache, cochon, couvée ? Dans l’atmosphère d’une campagne électorale peu amène et plus que délétère, dont on ne sait ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, rien de mieux qu’un petit tour en famille au salon de l’agriculture pour un vrai retour à la terre et au réel.

    Veaux, vaches, cochons, couvées … Il y en a pour tous les goûts, petits et grands. Comme notre filière bois, notre filière agricole se porte difficilement, mais nos agriculteurs restent des passionnés de leurs animaux et de leur terroir. C’est ce qui fait mon admiration. C’est aussi notre esprit français auquel il est bon de rester attaché et qu’il faut soutenir, dynamiser développer.

    Petit, pendant les quatre années où nous avons habité la Haute-Savoie, un petit village près d’Annemasse, notre maison jouxtait une exploitation laitière. Nous y passions tout notre temps. Des années plus tard, je suis retourné travailler l’été dans une ferme modèle près de Morestel. Depuis que nous sommes à Dreux nous nous intéressons aux poules (Orpington, Bantam de Pekin, Araucana, Flaverolles, …). En fin de semaine dernière, après une vingtaine de jours en couveuse, nous avons vu éclore, dans l’excitation générale, une dizaine de poussins.

    Et oui, il est bon, me semble-t-il, quand tout part à vau-l’eau de revoir ses fondamentaux. Dans cet esprit, il n’y a rien de mieux que le retour à la terre. »

    Porte de Versailles le 3 mars 2017 

     

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     Le prince Jean et le prince Joseph

     

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    La princesse Antoinette et le prince Gaston

      

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    La princesse Philomena

     

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    Le site du Prince Jean de France

  • L'unité européenne, vous y croyez, vous ? Face à l'invasion, pour le moment, c'est du chacun pour soi

    Dimanche, des militaires hongrois renforcent la clôture érigée à la frontière avec la Serbie, porte d'entrée de près de 140 000 migrants depuis le début de l'année. - Crédits photo : BERNADETT SZABO/REUTERS

    Du côté de la Hongrie, la politique d'accueil a fait long feu. Le pays a vu arriver 140 000 migrants depuis le début de l'année, en provenance de la route des Balkans, celle qui amène en Europe les réfugiés syriens, afghans ou encore irakiens, et dont la plupart souhaitent gagner l'Autriche ou l'Allemagne. Or la Hongrie a décidé d'ériger une clôture de 4 m de haut sur ses 179 km de frontière avec la Serbie. Elle vient d'achever la première phase de ce nouveau mur en posant plusieurs niveaux de fil de fer barbelé, que les migrants peuvent encore franchir. Cette attitude a été jugée « scandaleuse » par le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius. « La Hongrie fait partie de l'Europe, l'Europe a des valeurs, et on ne respecte pas ces valeurs en posant des grillages », a-t-il déclaré dimanche, plaidant pour une répartition des migrants dans chaque pays de l'UE.

    Oui, mais ces grillages on les pose. Et l'Europe n'exclura pas la Hongrie. Ce matin, les radios rapportent que l'ambassadeur de France à Budapest a été convoqué pour explications par le gouvernement hongrois. Lequel, comme toujours très sourcilleux sur tout ce qui touche à sa souveraineté ou à son identité, ne s'en laissera sûrement pas conter par Laurent Fabius ou l'un de ses semblables, habituels donneurs de vaines leçons. Voici que l'Union craque aussi désormais sur la question migratoire, comme elle a, de fait, craqué sur le dossier grec, qui est d'ailleurs toujours sur la table. Comme elle craquera sans-doute sur ceux qui suivront.  

    L'Europe n'exclura pas davantage la Slovaquie qui vient d'accepter d'accueillir 200 demandeurs d'asile (son contingent) à condition qu'ils soient chrétiens !  

     

  • Le vendredi noir ? Une américanisation forcée des esprits, doublée d'une arnaque bien réelle : à interdire d'urgence...

    Les initiatives se multiplient contre le Vendredi noir, ses promotions souvent trompeuses et son impact sur la planète. Cette folle journée de soldes  a été importée en 2013 des États-Unis, comme l'a été cette soi-disant "fête" (!) des citrouilles/sorcières et compagnie que l'on a cherché et cherche encore à nous imposer en lieu et place de nos Toussaint et célébration des Défunts...
     
    Mais une offensive s'organise contre cette journée d'hyper-consommation "noire pour le porte-monnaie et la planète", avec l'impact écologique désastreux des livraisons liées à ces soldes (1 million l'an passé rien qu'à Paris le lendemain du Vendredi noir et beaucoup de retours dans la foulée).

    Et aussi pour mettre fin aux promotions qui "trompent les consommateurs sur les prix"; de nombreux rabais sont truqués et se révèlent finalement ridicules (2 % en moyenne sur les Smartphones, les téléviseurs, les ordinateurs…).
     
    Un exemple, donné hier soir sur BFM/TV (votre radio préférée !...) : une directive de Bruxelles permet aux commerçants de fixer leur prix pour telle ou telle marchandise à partir d'une "grille de prix de référence".
     
    Mais ce que le client ignore, et c'est là qu'est l'arnaque, c'est que la grande surface ou la chaîne qui va lui vendre un frigo, un téléviseur ou toute autre marchandise ne lui fait aucun rabais ce jour-là. Si la "grille de référence" indique au commerçant que le prix suggéré va de 400 à 600 euros, par exemple, le commerçant va vendre toute l'année son frigo ou sa marchandise à 400 euros. Et, le jour ou la semaine du Vendredi noir, il va afficher sur sa vitrine "Ici vous paierez 400 euros au lieu de 600", mais bien sûr ce prétendu rabais est "bidon", puisque c'est le prix habituel auquel le client trouve l'objet toute l'année... CQFD !
     
    Le Vendredi noir ? Une importation à retourner à l'expéditeur, d'urgence !
     
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