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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Drame de la rue Caumartin : de la mesure avant toute chose

    Sur son Blog, Patrice de Plunkett vient de livrer une analyse raisonnable de cette consternante affaire... :

    L'affaire de la rue Caumartin

    Une rixe rituelle entre membres des tribus urbaines skin et antifa  tourne au drame : 


    Rue Caumartin à Paris, hier soir, vente privée de vêtements Fred Perry et Ben Sherman, vêtements "particulièrement prisés des skinheads mais aussi des antifascistes" : les skins et les "antifa", deux tribus urbaines, connues depuis des années pour être hostiles mais jumelles. Quelques membres des deux groupes sont présents. Certains d'entre eux habitent le quartier et se connaissent... Insultes réciproques, puis rixe. (C'est la coutume : l'an dernier, la même vente privée avait donné lieu au même accrochage). Un garçon de dix-huit ans reçoit un coup et tombe, heurtant de la tête un plot métallique. On le transporte à l'hôpital dans un état désespéré.

    Drame absurde, sinistre, énième édition des bastons de skins et d'antifa qui se produisent de génération en génération. Je me souviens d'avoir fait faire une enquête sur ce sujet en 1984, pour le magazine dont je m'occupais alors : veille histoire.

    Peut-on parler de "politique", comme l'a fait aussitôt Manuel Valls ? Non : ce "fascisme" et cet "antifascisme" ne sont que les prétextes de deux clans marginaux, qui se haïssent de se ressembler trop. On mesure la mauvaise foi de M. Pierre Bergé (encore lui), qui affirme que cette affaire vient des manifestations contre la loi Taubira. Les enquêteurs, plus prudents, laissent entendre que l'affaire est "moins simple" que les radios ne l'ont dit ce matin. Même M. Valls hésite à l'exploiter... Il en a pourtant fait des tonnes, depuis janvier, pour déguiser des groupuscules de douze membres (dont six indicateurs) en "danger pour la République", et faire croire que ce danger venait du rejet du mariage gay. 

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  • Le Rallye automobile des familles d’Eure-et-Loir, reçu par la duchesse de Vendôme au domaine de la Chapelle Royale, à Dr

    Fronton.jpgLe cinq octobre 2013, le domaine de la Chapelle Royale recevait le Rallye automobile des familles d’Eure-et-Loir à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire de cette manifestation. Ce rallye, qui a traditionnellement lieu au début de l’année scolaire, est l’occasion et a pour but d’accueillir des familles nouvellement implantées dans le département en leur faisant découvrir des aspects variés de sa culture ou de son économie.

    Pour le vingt-cinquième anniversaire, les organisateurs avaient voulu mettre en valeur l’enracinement historique du département.

    Quel meilleur point de départ de ce rallye choisir que la Chapelle Royale, ce lieu familial dont l´histoire parcourt le dernier millénaire ?

    Gens de France a donc invité les 80 enfants, accompagnés de leurs parents, soit près de 170 personnes, et leur a offert un magnifique cocktail de bienvenue.

    Après une présentation du site et de la chapelle par SAR la Duchesse de Vendôme, les concurrents durent répondre à quelques épreuves avant de poursuivre leur route le long de la vallée de l’Eure. Ils ont fini leur journée par un dîner au cours duquel SAR la Duchesse de Vendôme, accompagnée du Prince Gaston et de la princesse Antoinette, a remis les prix à l’équipe victorieuse.

    (Photo : la Duchesse de Vendôme s'adresse aux participants)

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    Images du cocktail préparé par la Duchesse de Vendôme

     

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    La Duchesse de Vendôme fait visiter la crypte

     

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    Les organisateurs du Rallye automobile des familles d’Eure-et-Loir 2013 

    (Source: Prince Jean de France)

  • Encourageant et prometteur ?...

              François d'Orcival, dans Le Figaro Magazine du 30 juin, rapporte un mot de Nicolas Sarkozy: "Ma seule idéologie, c'est le pragmatisme".

             La formule est sympathique et prometteuse, pour peu, bien sûr, que les faits, et la politique menée, la confirment: après les douze années de Chirac, qui s'est voulu le "gardien du temple" de la religion républicaine, allons-nous assister pour de bon à une vraie rupture, à "la" vraie rupture: une tête de l'État qui répudierait la conception républicaine idéologique -et sectaire- de la France; et qui renouerait au contraire avec la vision traditionnelle de ses mille ans d'Histoire et de ses deux mille ans d'héritage chrétien (d'ailleurs évoqués plusieurs fois lors de la campagne électorale...) ?

             Gardons-nous, certes,  des illusions, et gardons-nous de prendre nos désirs pour des réalités; mais gardons nous aussi de ne pas voir ou de ne pas savoir interpreter de possibles signes: il en est des idéologies comme des virus et des épidémies, qui finissent toujours par faiblir et disparaître.

             Seul l'avenir, bien sûr, dira ce qu'il en est finalement, mais on peut noter certaines inflexions, certains changements dans les discours officiels; et il n'est pas interdit de penser que les conséquences qui pourraient en découler pourraient réserver d'heureuses surprises...

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    Un candidat au Mont Saint Michel....
  • Dédié à ceux qui croiraient que François Hollande est un candidat de rupture

            Relisons, simplement, ce que François Hollande a déclaré, dans un entretien, déjà fameux, publié lundi par The Guardian, en réponse à un journaliste britannique qui s'inquiétait du retour de la gauche au pouvoir en France :

            "Les années 80 étaient une époque différente. Les gens disaient qu'il y aurait des chars soviétiques sur la place de la Concorde. Cette époque est révolue, c'est de l'histoire."

            Et d'ajouter : "C'était la guerre froide et Mitterrand a nommé des communistes au gouvernement. Aujourd'hui, il n'y a pas de communistes en France... La gauche a gouverné pendant 15 ans, pendant lesquels elle a libéralisé l'économie et ouvert les marchés à la finance et à la privatisation. Il n'y a pas de crainte à avoir". 

            Que, donc, les libéraux ne s'inquiètent pas vraiment et que les esprits "sociaux", "révolutionnaires" ou "anticapitalistes" ne se fassent pas trop d'illusions : Hollande est bien, dans le fond, le successeur de Dominique Strauss Khan, comme candidat, paradoxal ou non, selon le point de vue d'où l'on se place, du Parti Socialiste Français à la présidence de la République. Et, à l’évidence, cette filiation ne fait pas de lui un candidat de rupture, un candidat, si peu que ce soit, antisystème.

            Car c'est, en définitive, lorsqu'il s'adresse aux lecteurs du Guardian, aux gens de la City, et, par delà, aux diverses composantes de la puissance américaine, que François Hollande, en quelque sorte, ment le moins.  

  • Otto de Habsbourg...

    Communiqué de « La Fédération », Mouvement Fédéraliste Français, membre de l’Union Paneuropéenne Internationale  ( dircas@cas-france.org )

    On a coutume de dire en France que les siècles historiques finissent dans les premières années du siècle suivant (1814 ouvre le XIXème siècle ; 1914 et la grande guerre ouvrent le XXème).

    Le vingtième siècle,  celui des totalitarismes, se sera terminé avec la mort de l’Archiduc Otto de Habsbourg qui en fut l’adversaire irréductible, et leur vainqueur. Il incarnait les valeurs durables d’une civilisation au-delà des  engagements politiques, forcément datés et naturellement controversés.

    Sa famille avait donné à la France une reine martyre. La France s’en souvient chaque 16 octobre, d’autant plus que la longue controverse entre l’Empire et le Royaume est encore dans nos mémoires et même dans nos débats politiques. La Fédération, attentive aux enseignements de l’Histoire présente à la Famille de l’Archiduc Otto de Habsbourg, Président d’Honneur de l’Union Paneuropéenne Internationale  et tout spécialement à l’Archiduchesse Walburga Habsbourg Douglas, ses condoléances.

    Le délégation de La Fédération qui se rendra aux obsèques de l’Archiduc Otto de Habsbourg le 16 juillet à Vienne renouvellera ses condoléances.

    « La Fédération »

  • Pour un peu mieux connaître Lorant Deutsch (1/2).....

                C'est avec surprise, pour les uns, avec intérêt pour les autres, que l'on a vu l'acteur Lorant Deutsch déclarer la sympathie qu'il éprouvait pour la royauté. Il a du reste assisté au mariage du Prince Jean, à Senlis, et nous l'avons tous vu débarquer à Chantilly, pour entourer avec nous Jean et Philoména, durant cette inoubliable journée du 2 mai.....

                Nous avons également passé la vidéo des grosses têtes -que nous redonnons ci après- dans laquelle il assume crânement, et à sa manière, sa façon de voir les choses.

                Il a donné deux entretiens en cette fin d'année: au Pélerin, d'abord, puis un autre au Figaro Magazine, dans lesquels il dit deux ou trois choses de lui. On le connaîtra donc un petit peu plus, et l'on verra apparaître un jeune acteur bien de son siècle, qui campe solidement sur des valeurs fortes: l'histoire, la culture, une conception très traditionnelle de l'existence....

                Voici d'abord l'entretien donné au Pélerin: il y parle de choses assez générales, et de...Dieu, qui l' "accompagne chaque jour dans ses doutes et ses espoirs".....

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    Et voici le lien permettant de visionner la vidéo La Monarchie a un avenir en France:
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  • Saint Paul, prophète de la rupture ?...

     

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                Depuis que le pape a décrété une année saint Paul, les publications abondent et les débats se multiplient. Les catholiques y participent, évidemment, mais aussi des  philosophes de diverses traditions – y compris des marxistes et des marxisants.

                Saint Paul n'est pas seulement au coeur de la réflexion théologique. Il  joue un rôle décisif dans l'histoire de notre civilisation car c'est l'homme de la rupture entre le judaïsme et le catholicisme. Il a également inspiré nombre de réflexions politiques au XIXeme siècle, ou il fut présenté comme un authentique révolutionnaire. Il est par ailleurs accusé d'être le premier responsable de l'antisémitisme chrétien."Saint Paul, prophète de la rupture ?" La question mérite d'être posée dans un lieu, laïque, qui se consacre a la réflexion politique.

                Dans le cadre des Mercredi de la Nar (1), Gérard Leclerc, lui-même auteur d'un livre sur saint Paul aujourd'hui épuisé, répondra à cette question et animera le débat qui n'est pas sans actualité.

    (1):  Mercredi 11 février, 17, rue des Petits-Champs, Paris 1er (4e étage).

  • Cocasse, Barroso ? Oui, mais bien pire que cela aussi...

              Il n'a en effet pas craint de déclarer, presque martial : "J'ai confirmé que l'Union européenne est attachée à l'intégrité territoriale et à la souveraineté de la Chine et cela naturellement s'applique au Tibet"

              Se croit-il si bien placé pour parler d'intégrité territoriale ? A-t-il déjà oublié le peu de cas qu'il a fait de celle de la Serbie, dont il a approuvé et en quelque sorte parrainé le récent dépeçage ? Le Kosovo c'est déjà de l'histoire ancienne pour lui ! Il devrait pourtant méditer cette parole de Bismarck : "On écrase une Nation, on ne l'humilie pas..."

              Mais revenons-en à sa rodomontade. Son explication semble claire : "on" est inflexible devant les "petits", mais "on" s'écrase lamentablement devant les "gros". Il n'y avait pas grand-chose à craindre de la petite Serbie, ruinée par ses cinquante années de communisme et achevée par le "règne" désastreux du dictateur marxiste Slobodan Milosevic. Avec la Chine c'est différent. Il y a des coups à prendre, si on fait des remontrances; Mais du fric à gagner, si on s'écrase. Beaucoup de fric...

              Et là, quand la peur se combine à l'esprit de lucre, on ne réfléchit plus. C'est l'aplatissement généralisé à tous les niveaux ! Le syndrome de la carpette, mais alors en grand, en très grand...

  • Livres • Il n'y a plus de mystère Louis XVII

     

    Une intéressante recension de Philippe Maxence*, notamment destinée aux passionnés du sujet. Mais peut-être pas seulement... Pour nous qui voyons la monarchie non comme une fantasmagorie mais comme un recours politique pour la France, l'affaire est classée.   LFAR

     

    220px-Philippe_Delorme.jpgDepuis de longues années, Philippe Delorme s'intéresse à la destinée tragique de Louis XVII, le dauphin emporté dans la tourmente révolutionnaire. Il publie ici une véritable somme sur le sujet, rassemblant en un seul volume ses travaux antérieurs tout en les mettant à jour afin de donner une réponse précise à rune des plus célèbres énigmes de l'histoire de France : Louis XVII est-il mort au Temple ou a-t-il survécu sous le nom de Naundorff ? Pour l'auteur, le jeune roi est bien mort de la tuberculose, le 8 juin 1795, après avoir vécu un véritable enfer en prison.

    Pour clore le débat, Delorme rapporte les conclusions des analyses ADN effectuées sur le coeur de l'enfant du Temple, non sans en avoir retracé l'étonnant parcours. L'historien montre notamment que ce coeur ne peut être confondu avec celui de son frère aîné, décédé en 1789, qui avait été embaumé.

    Dans Sang royal, Jean-Louis Bachelet (Ring, 316 p., 18 €) conclut dans le même sens : ce coeur est bien celui de l'enfant martyr.

    LOUIS XVII,  LA BIOGRAPHIE, de Philippe Delorme, Via Romana, 448 p., 24 €.

    * Figaro magazine [30.01.2016]

  • Duel d'anthologie Zemmour - Cohn-Bendit : c'est avec Zemmour qu'on n'est pas couché !

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    Le retour d'Eric Zemmour dans l'émission de Laurent Ruquier a donné lieu a un extraodinaire dialogue entre lui-même et Cohn-Bendit. Un grand moment à regarder, à revivre, à ne pas manquer ! On y retrouve la vivacité de certains débats des grandes années d'On n'est pas couché. Mais surtout la perspicacité, désormais largement reconnue et appréciée, des analyses de Zemmour.

    Théophane Le Méné a donné de cette émission, pour Figaro Vox, un récit fidèle, vivant, aux remarques et commentaires d'un ton toujours juste. Vous pourrez le lire ici.

    Eric Zemmour est, depuis la sortie du Suicide français, sur tous les plateaux de télévision, sur toutes les radios, il est de tous les débats, sur toutes les chaînes, sur tous les sites et blogs de la toile, il fait la une des quotidiens, la couverture des hebdomaires, la matière de quantité d'articles. En vérité, il est devenu incontournable. Il est partout invité parce qu'il assure l'audience des émissions auxquelles il participe. Et de ce succès, largement mérité et, sans-doute, pour lui, libérateur, il fait, partout, sans concession, l'usage que l'on sait. Il est en train de devenir une réfrence intellectuelle et d'acquérir une autorité politique indéniables. Et sa politique consiste, en tous points, dans la défense de l'héritage français. On ne peut que lui en savoir gré. Lafautearousseau   u

     

    Tout avait pourtant si bien commencé. Laurent Ruquier arbitrait joyeusement, Léa Salamé et Aymeric Caron s'aimaient, Cécile Duflot performait et Bernard Kouchner s'enthousiasmait sur lui-même en même temps qu'il jouait sa scène de colère habituelle. Ainsi repartait l'émission «On n'est pas couchés» pour une nouvelle saison, dans la joie et la bonne humeur. Elle annonçait une année paisible, loin des tracas quotidiens. Et puis il a fallu qu'Eric Zemmour s'invite samedi dernier et nous ressasse ses vieilles rengaines: le monde, ce vieux rafiot à la dérive, la société postmoderne et ses déclinaisons multiculturelles, multisexuelles. En somme qu'il nous raconte à nouveau que la France se meurt et qu'avant c'était mieux. Une complainte qu'il avait même osé poser sur le papier dans un ouvrage au titre saisissant: «Le suicide français».

    Cette intervention cathodique en aurait laissé plus d'un coi si l'on n'avait pu compter sur la présence salvatrice d'invités de marque, précisément soucieux de se démarquer d'un journaliste coupable de s'obstiner à nommer les choses, surtout quand elles sont déplaisantes. Car c'est bien de ce crime dont on juge Eric Zemmour coupable: ne pas voir dans l'embrasement des banlieues une manifestation festive de la diversité, ne pas voir dans la mort symbolique du père la fin d'une oppression séculaire, ne pas voir dans l'avènement du féminisme et des revendications des minorités la désinfection d'une France moisie.  

    Il fallait du dur pour porter l'estocade. Bien loin de la noblesse du duel à fleuret moucheté, ce fut l'ensemble des invités, sans exception, qui eurent droit à leur petit morceau de Zemmour. Daniel Cohn-Bendit joua de son capital sympathie et gueulard pour acculer dans les cordes celui qui représente son exact contraire: on n'en retint rien. La comédienne québécoise Anne Dorval essaya d'arracher quelques larmes en évoquant l'amour, la condition des femmes et tutti quanti: une engeance qui règne un peu partout comme une mélodie trop écoutée dont on n'arrive plus à se défaire. Même Michel Denisot, dont on connait la propension à ne pas mettre les mains dans le cambouis par une platitude légendaire, hasarda quelques piques en même temps qu'il racontait ses histoires à Avoriaz ou dans la poissonnerie de Gérard Depardieu qui borde la rue des Saint-Père. Puis vint le tour d'Aymeric Caron. Le plus célèbre des végétariens allait enfin pouvoir montrer qu'il avait des crocs et plastronnait, fier comme Artaban de montrer à son prédécesseur qu'il pouvait donner la réplique, malgré une inculture assumée et une hargne qui la mettait en exergue. Alors il attaqua sur les chiffres, les sources, s'attachant bien sûr à ce qu'Eric Zemmour ne puisse répondre. On a beau multiplier quelque chose par zéro, le résultat est toujours nul. Il eut mieux fait de lire le livre. Léa Salamé ne fut pas en reste. Sûrement, celle qui arbitra un temps le débat hebdomadaire entre Domenach et Zemmour, voulait-elle montrer qu'elle entrait dans la cour des grands. En parfaite réductrice, elle en vint à réduire Zemmour à sa judéité non acceptée ; en cause, sa vision de l'histoire de Vichy. Une étudiante en première année de psychologie aurait sûrement fait mieux. Un étudiant d'histoire en première année l'aurait volontiers corrigée.

    La fin de l'émission arriva. Les arbitres de l'élégance retourneraient bientôt à leurs quartiers du boulevard Saint-Germain, rassurés d'avoir pu, ce soir, redonné un coup de rose à la sombre réalité qu'avait osé peindre Eric Zemmour.

    Le sourire bright, le teint bronzé et la verve éloquente, on peut railler ce que dit Eric Zemmour sur les plateaux et s'imaginer que si le peuple pense mal, il faut changer le peuple. Mais l'histoire grecque est là pour nous rappeler ce qu'il en coûte de ne pas écouter certains présages. Eric Zemmour, sans aucun doute, est la Cassandre de notre siècle. Et la guerre de France ne doit pas avoir lieu.

     

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     Par Théophane Le Méné

     

  • Sur le blog ami de la Couronne : Livre sur le château de Nouvion en Thiérache.

    Monsieur Yannick Vanacker vient d’écrire un livre très bien documenté sur le château du Nouvion en Thiérache, où naquit en 1908, le Comte de Paris, Henri VI de France.

     

    Le château du Nouvion-en-Thiérache, construit à partir de 1853, se situe dans le département de l’Aisne au cœur même de l’ancien duché de Guise. Il appartenait autrefois à Marie Stuart dont la mère était une Guise. Le domaine passa par héritage aux Bourbon-Condé puis au duc d’Aumale et enfin au prince Jean III de France, duc de Guise, qui l’habita au début du XXème siècle. À la mort du duc de Guise en 1940, le Comte de Paris, Henri VI et ses sœurs héritent du domaine .

     

    Faisant suite à un accord familial, le comte de Paris et le prince Michel de Grèce (fils de la princesse Françoise) deviennent les seuls propriétaires de l’important domaine forestier. Le prince Michel de Grèce vendra sa part quelques années plus tard. Le comte de Paris resté seul propriétaire, le vend en 1980 à la ville de Roubaix pour en faire un centre d’accueil pour enfants.

     

    Dans ce livre, entre récit historique, recueils d’anecdotes et interviews, Yannick Vanacker, nous raconte  l’histoire de ce château, mais également la vie des princes de France en ces murs.

     

    Vous pouvez commander le livre « Un château au cœur de la Thiérache », directement auprès de l’auteur, par la biais du coupon téléchargeable :  ici

  • Quatre extraits de ”Rois de France”, de Balzac...

    lfar flamme.jpgNotre Ephéméride du 20 mars évoque Balzac, à l'occasion de la naissance de l'écrivain.

    En 1837, une des plus glorieuses années de Balzac - où il publia Histoire de la grandeur et décadence de César Birotteau - il publia également un court ouvrage, Rois de France, consacré aux six Louis qui se succèderont, de Louis XIII à Louis XVIII.

    Devenu introuvable, ce petit ouvrage, fort intéressant, a été réédité en 2017 par notre ami Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, qui le fera suivre de pages fort intéressantes également sur Napoléon 1er, tirées d'un ouvrage précédent (1833) : Le médecin de campagne.

    Péroncel-Hugoz dédia cette "édition marocaine de Rois de France" à :

    "Son Altesse royale l'émir Moulay-Hassan, prince héritier du Maroc (né en 2003).

    Et à son Altesse royale le prince Gaston de France (né en 2009), espoir des royalistes français."

     

    Dès sa parution, lafautearousseau a donné quatre extraits de ce petit ouvrage, sous forme de "bonnes feuilles" : nous les redonnons cette semaine, de mercredi à samedi inclus : bonne lecture !

    Le Blogmestre

     

    2ème extrait : Les erreurs de Louis XVI face à la Révolution (chapitre complet)

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  • Quatre extraits de ”Rois de France”, de Balzac...

    lfar flamme.jpgNotre Ephéméride du 20 mars évoque Balzac, à l'occasion de la naissance de l'écrivain.

    En 1837, une des plus glorieuses années de Balzac - où il publia Histoire de la grandeur et décadence de César Birotteau - il publia également un court ouvrage, Rois de France, consacré aux six Louis qui se succèderont, de Louis XIII à Louis XVIII.

    Devenu introuvable, ce petit ouvrage, fort intéressant, a été réédité en 2017 par notre ami Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, qui le fera suivre de pages fort intéressantes également sur Napoléon 1er, tirées d'un ouvrage précédent (1833) : Le médecin de campagne.

    Péroncel-Hugoz dédia cette "édition marocaine de Rois de France" à :

    "Son Altesse royale l'émir Moulay-Hassan, prince héritier du Maroc (né en 2003).

    Et à son Altesse royale le prince Gaston de France (né en 2009), espoir des royalistes français."

     

    Dès sa parution, lafautearousseau a donné quatre extraits de ce petit ouvrage, sous forme de "bonnes feuilles" : nous les redonnons cette semaine, de mercredi à samedi inclus : bonne lecture !

    Le Blogmestre

     

    1er extrait : La « secte » des Encyclopédistes, la décomposition morale - élites et société - au XVIIIe siècle (pages 75 à 79)

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  • Quatre extraits de ”Rois de France”, de Balzac...

    Nlfar flamme.jpgotre Ephéméride du 20 mars évoque Balzac, à l'occasion de la naissance de l'écrivain.

    En 1837, une des plus glorieuses années de Balzac - où il publia Histoire de la grandeur et décadence de César Birotteau - il publia également un court ouvrage, Rois de France, consacré aux six Louis qui se succèderont, de Louis XIII à Louis XVIII.

    Devenu introuvable, ce petit ouvrage, fort intéressant, a été réédité en 2017 par notre ami Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, qui le fera suivre de pages fort intéressantes également sur Napoléon 1er, tirées d'un ouvrage précédent (1833) : Le médecin de campagne.

    Péroncel-Hugoz dédia cette "édition marocaine de Rois de France" à :

    "Son Altesse royale l'émir Moulay-Hassan, prince héritier du Maroc (né en 2003).

    Et à son Altesse royale le prince Gaston de France (né en 2009), espoir des royalistes français."

     

    Dès sa parution, lafautearousseau a donné quatre extraits de ce petit ouvrage, sous forme de "bonnes feuilles" : nous les redonnons cette semaine, de mercredi à samedi inclus : bonne lecture !

    Le Blogmestre

     

    3ème extrait : l'infanticide perpétré contre le petit roi Louis XVII (pages 96 à 99)

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  • « C'est l'Europe et les peuples sont conviés à applaudir mais c'est le silence. » Un commentaire à lire ... 

    Louis XIV fait porter sa vaisselle d'or et d'argent à la Monnaie pour y être fondue 

     

    1417414836 - Copie.jpgL'article de Marc Rousset publié hier, Mensonges sur le chômage aux Etats-Unis : vers une crise économique mondiale pire qu’en 1929 - a suscité un commentaire intéressant, fondé sur l'Histoire et le bon-sens. Celui de Richard. On le lira avec intérêt.  LFAR 

     

    Le commentaire de Richard

    Des millions on en fabrique avec la planche à billets ; des euros comme s'il en pleuvait et le but serait de pousser la consommation des ménages - à crédit.

    Si ce plan fou fonctionnait, l'inflation serait relancée de manière inouïe, tant pis pour les épargnants qui paieraient la note, on ne les verrait pas faire une manif.

    On moque les Allemands et leur souci de la stabilité monétaire mais aucun journaliste ne rappellera que dans les années 20 les Allemands payaient leur pain avec des milliards et la viande avec des billions, sur fond de misère noire ; la suite est connue.

    Que dire à ceux qui pensent que les Etats peuvent emprunter larga manu, et ne point rembourser sinon que Louis Quatorze lui même dut faire fondre son argenterie pour rembourser les préteurs. L'Etat républicain vend immeubles prestigieux, aéroports, parts de capitaux etc ... traitement spécial pour les « citoyens » mis à contribution par l'impôt et les taxes pour ceux qui peuvent payer, précarisation pour les petites gens et baisse de qualité des services pour tous. Oui la France est riche et reçoit à Versailles mais c'est une façade . 
    Bien entendu, pas mieux pour l'Espagne, l'Italie etc ; Pour les Allemands, il faut les voir se serrer la ceinture. Bref c'est l'Europe et les peuples sont conviés à applaudir mais c'est le silence.
     

    Mensonges sur le chômage aux Etats-Unis : vers une crise économique mondiale pire qu’en 1929