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Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • Je rends impossible la réforme des retraites (comme la réforme de tout, du reste...) : qui suis-je ?

    1. Je suis champion du monde des impôts (46% de prélèvements obligatoires, soit un tiers de plus que la moyenne des pays européens);

    2. Je suis champion du monde de la durée de travail la plus faible;

    3. Je suis champion d'Europe des prélèvements du PIB pour payer les retraites (je prélève 14%, le double de la moyenne européenne);

    4. Je suis champion d'Europe de la fin d'activité...

    Qui suis-je ?

    Mais... le Système, bien sûr !

    Alors... ne vous étonnez pas que nous soyons royalistes !

    lafautearousseau

  • Sur TV Libertés, le Zoom avec Rémi Mosca : Quand le pétrole disparaîtra.


    Dans son ouvrage "Sang noir - Le dernier siècle du pétrole", Rémi Mosca enquête sur les conséquences de la disparition du pétrole. D'ici 2035, l'auteur estime que nous aurons épuisé près 40% des réserves mondiales connues. Qu'adviendra-t-il de notre corps productif, de nos systèmes de transport, de nos organes de distribution ? Cette crise pourrait-elle changer nos relations sociales, notre raison, voire même les fondements de notre humanité ? Rémi Mosca nous invite à découvrir l'histoire d'un péril auquel personne n'est encore préparé.

  • Sur TV Libertés, contre Macron, l’alternative conservatrice - Le Zoom - Jean-Frédéric Poisson.

    Ancien député, Jean-Frédéric Poisson est président de Via, la voie du Peuple (ex-PCD). Après un constat alarmant sur l’état de la France, il propose non pas un échantillon programmatique, mais une refonte totale du système institutionnel. Dans son dernier livre, "La Voix du Peuple", Jean-Frédéric Poisson livre sa vision de l’Etat, entre Gaullisme et subsidiarité, et l’annonce clairement, il est candidat à l’élection présidentielle de 2022, contre Emmanuel Macron.

  • Sur TV Libertés, ”Il y a une contre-société islamiste en France” - Ivan Rioufol.

    Le journaliste et éditorialiste du Figaro se bat depuis des années contre la montée de la violence islamiste. Chaque jour, les faits lui donnent raison. Malgré les menaces et les insultes, Ivan Rioufol s'en prend au "Camp du Bien" et n'hésite pas à prendre la défense des Gilets Jaunes, de Trump, de Raoult qui agacent tant le système ! Relire les analyses hebdomadaires d'Ivan Rioufol (rassemblées dans "Le réveil des somnambules") montre à quel point les faits sont têtus. L'auteur s'inspire du cardinal Sarah :"Tant que nous n'aurons pas conscience de la gravité de notre déchéance, nous ne réagirons pas !".

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : les leçons d’un scrutin pré-présidentiel.

    Les élections régionales ont confirmé les sortants en les reconduisant tous, en métropole, à la tête de la région qu’ils présidaient avant le scrutin : stabilité ou immobilisme ? La question peut se poser car, depuis ces quatre années de présidence Macron, des colères nombreuses ont secoué le pays, sans en changer la structure politique et sans aucune portée électorale, du moins sur les partis dominants déjà avant 2017, ce qui peut surprendre l’observateur distrait…

    Il est même clair et net que les sortants et leur système partisan sont les grands vainqueurs du scrutin de ces derniers jours, l’abstention n’étant qu’une « absence » sans aucun impact sur les politiques pratiquées par les institutions de la démocratie représentative.
    Cela peut démontrer plusieurs choses :
    - Tout d’abord, l’abstention, désormais, peut mieux servir le système qu’elle ne le dessert, du moins dans le cadre actuel de la démocratie représentative et partisane ;
    - Ensuite, les partis contestataires, intégrés à ce même système, ne parviennent pas à tirer profit du discrédit de la partitocratie traditionnelle de la Cinquième République et sont marginalisés, confinés à un rôle d’épouvantail qui renforce encore les sortants ;
    - Enfin, la République des partis est un système d’autant plus solide qu’il ne trouve en face de lui que des opposants qui ne pensent que dans le cadre préétabli des idéologies dominantes, et qui n’osent « imaginer autre chose que ce qui existe », et que le comportement électoral des électeurs actifs français est structurellement « conservateur », voire conformiste.
    Quant à eux, les Royalistes n’ont pas de timidité doctrinale à l’égard de la République : ils ne peuvent ainsi se contenter de critiquer sans proposer, et ils tiennent compte de ce qui est, non pour l’accepter mais pour l’influencer et le changer, que cela soit de l’intérieur ou de l’extérieur. Il faut sortir des impasses des partis « seulement » contestataires, et prôner un nouveau régime qui puisse accorder la nécessité d’un Etat sûr de lui et actif face aux féodalités contemporaines, et celle d’une participation concrète des citoyens aux affaires de leur région, de leur commune, de leur métier.
    Ce nouveau régime porte un nom, celui de Monarchie royale, et il n’est pas encore évident pour nombre de nos concitoyens : il appartient donc aux Royalistes d’en exprimer et expliquer la définition concrète et politique, et de s’engager pour la faire advenir tout en continuant, au quotidien, à servir la nation française et ses membres, présents comme futurs, par tous les moyens, même légaux.
     
  • France : 66 millions de ”décapitables” en sursis, victimes potentielles permanentes du Terrorisme !

    Par sa folle et criminelle politique d'immigration massive, imposée depuis près d'un demi siècle au Peuple français sans que celui-ci ait jamais été consulté, le Système est responsable et coupable de la mise en danger permanente de la vie de tous les Français. Il "regroupe" (!) des familles, naturalise à tour de bras, octroie sans les moindres précautions des cartes de séjour de dix ans et des "droits d'asile" à tout-va à de soi-disant "réfugiés politiques"... et c'est le peuple français - "la France d'en-bas" - qui en supporte les conséquences, pas les dirigeants d'en haut, protégés dans leurs hautes sphères...

    L'immigration massive est voulue et organisée par le Système, qui est aux mains des forces de l'Argent et prisonnier de son idéologie révolutionnaire fondatrice, parce que :

    1. Elle permet une pression à la baisse sur les salaires, ce qui fait gagner de plus en plus d'argent à "la Fortune anonyme et vagabonde"...

    2. Elle permet aussi aux révolutionnaires au pouvoir (représentants du "chaos figé des conservateurs du désordre" dont parlait Thibon) de continuer à démolir ce qu'il reste encore de l'héritage millénaire gréco-romain et judéo-chrétien de la France, après 145 ans de règne de la République idéologique : ils pensent pouvoir diluer, dissoudre ce qu'il reste de notre Héritage dans ces masses venues d'ailleurs, inassimilables parce que ne désirant tout simplement pas s'assimiler...

    Ce que n'avaient pas prévu les idéologues qui nous gouvernent (si mal !) c'est l'explosion de la violence terroriste islamiste. Bien sûr, nous ne disons pas que tous les immigrés sont des terroristes, mais les chiffres se chargent de nous montrer que, dans la masse des nouveaux arrivants, même un simple "deux ou trois pour cent" de fanatiques qui veulent transformer le pays en République islamique suffisent à rendre notre Pays dangereux vingt quatre heures sur vingt quatre, sept jours sur sept et trois cent soixante cinq jours sur trois cent soixante cinq...

    C'EST CE MÊME SYSTÈME,

    QUI A DÉCLASSÉ LA FRANCE DANS LE MONDE,

    QUI NOUS MET, AINSI, TOUS EN DANGER,

    À TOUT MOMENT, À L'INTÉRIEUR !

     

    C'EST CE SYSTÈME QU'IL FAUT CHANGER !

     

    LFAR FLEURS DE LYS.jpg

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgPremier février 1933 : dans les colonnes de L'Action française, Léon Daudet annonce la guerre avec Hitler.

    Dans ces mêmes colonnes, quinze ans ans auparavant, Jacques Bainville dénonçait le calamiteux Traité de Versailles, et annonçait "la guerre pour dans vingt ans" avec une Allemagne laissée intacte, et conduite par un parti "social-nationaliste"...

    Trahissant les intérêts supérieurs du peuple français, et agissant en intelligence de fait avec l'ennemi, le Système, représenté alors par Clemenceau préféra ne pas démembrer l'Allemagne : il nous "donna" Hitler et les horreurs de la Seconde Guerre mondiale...

    lafautearousseau

  • Société • Marin de Viry : « Comment le tourisme de masse a tué le voyage »

     

    Entretien par Eugénie Bastié 

    Du tour d'Italie de Lamartine au Club Med, Marin de Viry, auteur de l'essai Tous touristes, nous raconte l'avènement du tourisme de masse et comment celui-ci, en tuant la possibilité d'un ailleurs, a rendu le voyage impossible. Une réflexion particulièrement fine et opportune en cet été tragique [Figarovox, 17.08]. Y compris pour le tourisme de masse ...  LFAR 

     

    974767902.jpgVous écrivez dans Tous touristes : « Si le monde est un vaste dance floor sans frontières, quel sens a le mot tourisme ? ». Pouvez-vous expliquer ce paradoxe ? La mondialisation, en tuant la possibilité d'un « ailleurs » par l'uniformisation du monde, aurait-elle tué le tourisme ?

    Le tourisme n'a plus rien à voir avec ses racines. Quand il est né au XVIIIe siècle, c'était l'expérience personnelle d'un homme de « condition », un voyage initiatique au cours duquel il devait confronter son honneur - c'est-à-dire le petit nombre de principes qui lui avaient été inculqués - à des mondes qui n'étaient pas les siens. Il s'agissait de voir justement si ces principes résisteraient, s'ils étaient universels. Un moyen d'atteindre l'âge d'homme, en somme. Le voyage, c'était alors le risque, les accidents, les rencontres, les sidérations, autant de modalités d'un choc attendu, espéré, entre le spectacle du monde et la façon dont l'individu avait conçu ce monde à l'intérieur de sa culture originelle. Au XIXe, tout change : le bourgeois veut se raccrocher à l'aristocrate du XVIIIe à travers le voyage, qui devient alors une forme de mimétisme statutaire. Le bourgeois du XIXe siècle voyage pour pouvoir dire « j'y étais ». C'est ce qui fait dire à Flaubert lorsqu'il voyage avec Maxime Du Camp en Égypte : mais qu'est-ce que je fais ici ? - C'est-à-dire qu'est-ce que je fais à me prendre pour un aristocrate du XVIIIe siècle ? Avec l'époque contemporaine, on a une totale rupture du tourisme avec ses racines intellectuelles. Même chez ceux qui aujourd'hui veulent renouer avec le voyage, pour s'opposer au tourisme de masse, il n'y a plus de profonde résonance, de profond besoin, car le monde est connu, et le perfectionnement de leur personne ne passe plus forcément par le voyage. Là où le voyage était un besoin, au XVIIIe, pour devenir un homme, se former, parachever son âme et son intelligence, il devient quelque chose de statutaire au XIXe, puis une simple façon de « s'éclater » aujourd'hui. C'est devenu une modalité de la fête permanente, laquelle est devenue banale. Le monde est ennuyeux parce qu'il est le réceptacle de la fête, devenue banale. Solution : il faut « rebanaliser » le monde et débanaliser la fête.

    Dans notre monde globalisé, est-il encore possible de voyager ?

    Toute la question est de savoir s'il reste des destinations ouvertes à la curiosité. Or, plus elles sont organisées, balisées par le marketing touristique de la destination, moins elles sont ouvertes à la curiosité. L'exemple du musée Guggenheim à Venise est éclairant. Je l'ai connu avant qu'il ne soit aseptisé, on avait l'impression de visiter en catimini une maison privée, comme si Peggy Guggenheim l'avait quitté la veille, c'est tout juste s'il n'y avait pas un œuf à la coque encore tiède dans la salle à manger. Dans sa version actuelle, avec des faux plafonds traités par des architectes néo-suédois et une signalétique d'aéroport, la curiosité ne fonctionne plus. Ce qui fait qu'on articule ce qu'on est avec ce qu'on voit, c'est que ce que l'on voit n'est pas préparé, organisé de façon à produire une impression prédéterminée. De la même manière dans les musées, les panneaux explicatifs à côté des œuvres ont pris une importance incroyable. Il est devenu impossible d'avoir un regard spontané, vierge, ouvert sur les œuvres, bref de les regarder vraiment, en prenant le risque d'être désorienté et renvoyé à son absence de culture.

    Les dispositifs marketing et commerciaux des destinations ont tué toute possibilité de l'ailleurs, toute curiosité. Pour être un touriste authentique, désormais, c'est dans le quotidien, dans la banalité du réel, qu'il faut se promener. Pour être dépaysé, il faut aller visiter la réalité, des usines, des champs, des bureaux. Le tertiaire marchand est devenu authentiquement exotique. D'une façon générale, le monde réel est plus exotique que le monde touristique définitivement balisé.

    Cette perte de sens n'est-elle pas due tout simplement à la démocratisation du voyage et à l'avènement du tourisme de masse qui fait perdre toute prétention intellectuelle au voyage ?

    Je vais être néo-marxiste, mais je crois que c'est le salariat, plus que la démocratisation, qui change tout. Les congés payés font partie du deal entre celui qui a besoin de la force de travail et celui qui la fournit. À quoi s'ajoute la festivisation, qui est d'abord la haine de la vie quotidienne. Et il est convenu que la destination doit être la plus exotique possible, car la banalité de la vie quotidienne, du travail, est à fuir absolument. Au fur et à mesure de l'expansion du monde occidental, la fête se substitue à la banalité, et la banalité devient un repoussoir. Il n'y a pas d'idée plus hostile à la modernité que le pain quotidien.

    Autour de ce deal s'organise une industrie qui prend les gens comme ils sont, individualisés, atomisés, incultes, pas curieux, désirant vivre dans le régime de la distraction, au sens pascalien du terme, c'est-à-dire le désir d'être hors de soi. Le tourisme contemporain est l'accomplissement du divertissement pascalien, c'est-à-dire le désir d'être hors de soi plutôt que celui de s'accomplir. Promener sa Game boy à 10 000 kilomètres de la maison, si ce n'est pas s'oublier, qu'est-ce c'est ?

    Où, quand et par qui est inventé le tourisme de masse ?

    C'est Thomas Cook qui invente le tourisme de masse. Cet entrepreneur de confession baptiste organise, en juillet 1841 le premier voyage collectif en train, à un shilling par tête de Leiceister à Loughborough, pour 500 militants d'une ligue de vertu antialcoolique. C'est la première fois qu'on rassemble des gens dans une gare, qu'on les compte, qu'on vérifie s'ils sont bien sur la liste, qu'on déroule un programme. Les racines religieuses puritaines ne sont pas anodines. Il y a comme un air de pèlerinage, de communion collective, dans le tourisme de masse. Le tourisme est très religieux. Et il y a en effet quelque chose de sacré au fait de pouvoir disposer de la géographie du monde pour sortir de soi. S'éclater à Cuba, c'est une messe !

    Vous essayez dans votre livre de ne pas tomber dans la facilité qui consiste à opposer « bons » et « mauvais touristes », les ploucs contre Paul Morand, les touristes sexuels de Houellebecq contre les voyages de Stendhal. Est-ce à dire pour autant qu'il n'y a pas de bons touristes ?

    Les poulets de batterie, je veux dire les touristes de masse, ont une âme. Faire une distinction entre un globe-trotter qui fait du « tourisme éthique » et un hollandais en surcharge pondérale et en tongs qui ahane à Venise, c'est d'une goujaterie incroyable vis-à-vis du genre humain. C'est pourquoi je déteste le livre Venises de Paul Morand : c'est un bourgeois du XIXe qui essaie d'imiter l'aristocrate du XVIIIe en crachant sur le peuple du XXe, alors qu'il est moralement inférieur à lui.

    Comme l'homo « festivus festivus » décrit par Muray, qui « festive qu'il festive » et « s'éclate de s'éclater » le touriste moderne se regarde voyager, et il ne semble voyager que pour vérifier que ce qu'il a lu dans son guide est bien réel et pour « prendre des photos ». Que vous inspire cette dimension spectaculaire du tourisme ?

    Nous sommes dans la culture de l'éclate, de la distraction permanente, sans aucune possibilité de retour sur soi. Le monde moderne est une « conspiration contre toute espèce de vie intérieure », écrivait Bernanos. Je crois que le tourisme est une des modalités de destruction de la vie intérieure.

    Prenons l'exemple du « syndrome de Stendhal ». Stendhal s'est senti mal à force de voir trop de belles choses à Rome et à Florence. Trop de beauté crée un état de sidération, puis de délire confusionnel : en Italie, on est souvent submergé par le superflu. C'est l'expérience limite de la vie intérieure : la beauté vous fait perdre la raison. C'est exactement le contraire que vise l'industrie touristique, qui cherche à vendre la beauté par appartements, en petites doses sécables d'effusions esthétiques marchandisées. Elle ne veut pas que ses clients abdiquent leur raison devant la beauté, mais qu'ils payent pour le plaisir. Immense différence.

    Pourquoi faites-vous du romantisme le terreau idéologique du tourisme tel qu'il est pratiqué aujourd'hui ?

    Lamartine écrit Graziella en 1852. C'est l'histoire du tour en Italie complètement raté d'un jeune aristo français. Quand un jeune homme du XVIIIe siècle (car Lamartine appartient encore au XVIIIe, ou en tout cas le voudrait) va tester son honneur de par le monde pour le renforcer, il doit en revenir plus fort, raffermi dans ses principes. Mais Lamartine tombe amoureux d'une jeune fille de 16 ans en Sicile, qu'il n'a pas le courage d'épouser pour des raisons sociales, car elle est fille de pêcheur, et lui d'un comte. Lamartine revient à la niche à l'appel de sa mère et Graziella meurt de chagrin. Le romantisme, c'est l'histoire d'un voyage raté. L'ailleurs devient le lieu, où, au lieu de se trouver, on se perd. L'expérience de la découverte de soi dans le voyage devient une expérience malheureuse. Donc, il faut se venger du voyage en lui interdisant de devenir une expérience intérieure. Les générations suivantes ont parfaitement compris le message.

    Dans La Carte et le territoire, Michel Houellebecq décrit une France muséale, paradis touristique, vaste hôtel pour touristes chinois. Est-ce là le destin de la France ?

    Dans un éditorial, Jacques Julliard écrivait que la France avait 60% de chances de finir dans un scénario à la Houellebecq, 30% de chances de terminer selon le scénario de Baverez, et 10% de chances de finir autrement. Je ne suis pas totalement dégoûté par le scénario de Houellebecq. C'est une France apaisée, bucolique. On retournerait tous à la campagne pour accueillir des cohortes d'Asiatiques et de Californiens. On leur expliquerait ce qu'est une église romane, une cathédrale, une mairie de la IIIème République, un beffroi. Ce serait abandonner notre destin pour se lover dans un scénario tendanciel dégradé mais agréablement aménagé, et nous deviendrions un pays vitrifié plutôt qu'un pays vivant. Nous aurions été détruits par la mondialisation, mais notre capital culturel nous sauverait de l'humiliation totale : on nous garantirait des places de médiateurs culturels sur le marché mondial. Si on pense que Dieu n'a pas voulu la France, ou que l'histoire n'a pas besoin de nous, on peut trouver ça acceptable.   

    Marin de Viry est écrivain et critique littéraire. Il est l'auteur d'un essai sur le tourisme de masse: Tous touristes (Café Voltaire, Flammarion, 2010). Il a publié récemment Un roi immédiatement aux Éditions Pierre-Guillaume de Roux.

    Cet entretien est une rediffusion.

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    Eugénie Bastié

    Journaliste & essayiste - Sa biographie

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    « Un roi immédiatement » ... Un livre dont on parle déjà beaucoup, dont on reparlera

    « Un roi immédiatement » ... Un livre dont on parle déjà beaucoup : réactions dans les commentaires ...

    Et si, pour redresser la France, on restaurait la monarchie ? C'est sur Boulevard Voltaire que la question a été posée

    Entretien • Marin de Viry : « Le roi, c’est la France telle que l’éternité l’a voulue »

  • Pourquoi SOS Éducation ne s’est pas associé à la grève du 27 septembre 2011...

    (Communiqué)

    Les 16 000 postes supprimés ne changent rien à l’état de souffrance de notre système éducatif.

    Depuis quinze ans, tous les rapports et classements nous alertent : deux élèves sur cinq sortent du primaire sans savoir lire, écrire et compter correctement ; nous ne formons plus suffisamment d’ingénieurs, de médecins et d’artisans compétents ; nos universités régressent et mettent en place des cours d’orthographe et de grammaire.

    « Notre école accueille 500 000 à 600 000 élèves en moins que dans les années 1980 et 1990, pourtant nous avons toujours autant de difficultés : le problème est donc ailleurs. » souligne Olivia Millioz, porte-parole de SOS Éducation.

    Pour SOS Éducation, il est urgent de changer d’objectifs et de se focaliser sur du concret : la recherche de qualité et d’efficacité pour l’ensemble de notre système scolaire. Pour cela, le ministère doit jouer son rôle d’aiguillon. Les évaluations nationales peuvent permettre de repérer les professeurs et les écoles qui obtiennent les meilleurs résultats et faire bénéficier les uns et les autres de leurs conseils.

    « Notre système éducatif a besoin de devenir plus performant et de ne plus échouer là où il n’a surtout pas le droit de le faire c’est-à-dire au début des apprentissages de l’enfant. Or faut-il rappeler qu’aujourd’hui encore 40 % des enfants sortent de l’école primaire sans savoir lire, écrire et compter correctement », note la porte-parole de SOS Éducation.

     

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  • Comment je suis devenu conservateur, par Daniel Cohn Bendit......

                .... et comment je me suis fait - ou laissé... - récuperer par le Système.

                On le savait, parce qu'il l'avait déjà dit, mais on en a eu confirmation : Cohn Bendit ne rêve plus désormais que d'un certain nombre de sièges que lui attribuerait le PS, en échange de quoi il ne présenterait pas de candidat à la Présidentielle de 2012 et soutiendrait le candidat (ou la candidate) à la rose.

     

                Sordide magouille électorale, naufrage intellectuel et triste récupération par le Système - ce broyeur d'illusion(s)...- de celui qui a cru un temps, avec tant d'autres, être jeune et révolutionnaire, et qui s'est si vite transformé en un vieux notable conservateur de ce Pays Légal qu'il a - peut-être sincèrement - cru combattre un jour, mais dont il est clair qu'il est l'un des rouages aujourd'hui....

     

                Eh, oui, même si beaucoup l'ignorent, intellectuellement anesthésiés et chloroformés par le Système comme ils le sont, les conservateurs, c'est "eux".

     

                Si l'on veut des  alter-révolutionnaires, c'est de notre côté qu'il faut chercher.....

  • Ce qu' ”ils” réputaient impossible il y a cinquante ans -là-bas- pourrait-il être devenu possible, mais ”à l'envers”, ic

                   Plusieurs lectures possibles de "ça":

    IMMIGRATION ALGERIENS.jpg

                Il y a cinquante ans, "ils" nous ont expliqué -par A + B- que l'Algérie française, c'était pas possible; les chrétiens et les musulmans, vous comprenez..., les européens et les arabes..., l'occident et l'orient..., ça peut pas marcher...

                Bon.

                Aujourd'hui -c'est amusant...- les mêmes semblent avoir changé radicalement: ils ont trouvé "le" truc miracle: la di- ver - si -té !.... Si, si....

                C'est le Système qui veut "ça", et qui l'organise: par haine de nos racines chrétiennes, le Système est prêt à accueillir n'importe qui, n'importe quoi, n'importe quelle religion: c'est la nôtre qu'il déteste, et rien qu'elle; les autres, il s'en fiche bien pas mal, et elles ne lui donnent pas de boutons (voyez Besancenot, qui prend une musulmane voilée sur ses listes....); le Système est même prêt à leur donner la place, si cela devait permettre d'éradiquer enfin ce satané christianisme qui (c'est lui qui parle, évidemment...), deux siècles après, résiste encore.....

                 Suggestion: allez en Arabie saoudite, au Maroc, en Iran ou dans un de ces délicieux pays musulmans: et promenez-vous avec ce genre de Tee-shirt "inversé": la carte du pays, aux couleurs françaises et avec une croix....

                 En Iran, on vous pend; en Arabie on vous tue aussi, au sabre, à moins qu'on se contente généreusement de vous couper une main ou un bras; au Maroc, en Syrie, en Lybie, au Soudan, en Indonésie, bref, partout et, évidemment en Algérie,.... mieux vaut tout simplement ne pas y penser non plus....

                 Il n'y a que dans le foutoir/pétaudière de la république idéologique dite française qu'on tolère "ça"....

  • Accablant ! Quand Sophie Coignard dénonce, sur France info ”L'oligarchie des incapables”....

           Pas "tous pourris", mais le Système, lui, est pourri jusqu'au trognon.....

           Réveillle-toi, Saint-Just, toi qui a cru que tu allais régénérer la France "sur un monceau de cadavres", et regarde ta créature, deux siècles après : elle est tout simplement le contraire de régénérée : elle est, tout simplement, pourrie.....

            Nous sommes sur France info, ce jeudi 5 janvier : Sophie Coignard dénonce "L'oligarchie des incapables" (qu'elle a écrit avec Romain Gubert), c'est-à-dire le Système, notre Système.....

    (Attention : patientez une minute vingt et supportez le Bulletin météo qui, pour une raison qui nous échappe, nous est imposé au début de cette vidéo...)

    sophie coignard,l'oligarchie des incapables

    Albin Michel, 300 pages, 20 euros

     

    Ils monopolisent les postes les plus importants, cumulent les privilèges et font de l'argent leur principale passion. 
    Ils se servent de l'Etat pour aider leurs amis, fabriquent des lois sur mesure pour leur bon plaisir et laissent le pays aux mains de bandes rivales. 
    Patrons, hauts fonctionnaires, élus ou experts, ces oligarques nous gouvernent avec un mélange d'incompétence et de lâcheté.

    Sophie Coignard, co-auteur de L'Omertà française, dont les enquêtes font trembler le monde politique, et Romain Gubert, journaliste au Point, nous révèlent vingt ans de compromissions et d'affaires cachées qui ont permis à une caste de maintenir son règne malgré ses échecs répétés. En toute impunité.

  • Aujourd'hui Dijon, demain toute la France : les violences ethniques ? le fruit pourri d'une politique pourrie menée par

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    Depuis 1975 et les scélérats décrets Chirac, validés par le Président Giscard d'Estaing, la hideuse alliance du Fric et de la Révolution a fait entrer en France des millions et des millions d'étrangers : le Fric, pour payer moins cher des quasi esclaves, la Révolution pour dissoudre la Nation historique France.

    Politique folle et suicidaire, volontairement et méthodiquement appliquée par le Système, qui a ainsi "libanisé", ethnicisé le pays, chaque entité s'attribuant une part du territoire national.

    N'ayant pas nos "pudeurs de gazelle" (comme dirait Mélenchon), ces nouvelles ethnies, qui se fichent de la France comme d'une guigne et ne sont là que pour leur(s) intérêt(s) matériel règlent leurs différents promptement : pas de Justice, pas de Lois, pas de procès ni d'avocats, la kalach, la batte de base ball, la mort subite (pas la bière, non, ce serait trop beau !).


    Ce n'est pas à ces voyous/délinquants/barbares dangereux qu'il faut s'en prendre d'abord et avant tout, même si, bien sûr, les forces de l'ordre et - pourquoi pas ? - l'Armée, doivent immédiatement ramener la paix dans les rues et donc les mettre au pas, hors d'état de nuire et - pour bien faire - les chasser du pays.

    Ce tout premier travail d'urgence fait, dans l'urgence, c'est au Système qu'il faut s'en prendre : ce Système qui nie la France historique, héritée des Âges, surgie du fond de l'Histoire et qui "change le peuple", ce qui "défait" la France.

    Si l'on veut remettre en ordre, il faudra d'abord remettre en cause, et mener une politique "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" :

    A bas cette République idéologique qui mène une politique anti-nationale, vive le Roi, qui sera le protecteur et garant des républiques françaises !

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  • Merci, Macron, de ne pas nous avoir souhaité ”Joyeux Noël”. Petit rappel instructif...

    ... qui en dit long sur la perversité essentielle de ce Système, où l'ennemi, qu'il faut exterminer, c'est le christianisme, et lui seul...

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    C'est écrit et dit en 2017...

    Alors, comme ça, depuis deux mille ans, sur cette vieille terre dont le sol "est approprié par les races dont le sang coule dans nos veines"∗, Noël n'est pas "un temps de partage" ? 

    Macron est  bien le digne semble-Président nocif d'un Système nocif qui veut tuer la France traditionnelle; il l'est après Hollande, après Sarkozy, après Chirac, après tous : ce ne sont pas les semble-Présidents qu'il faut combattre, ou changer :

    c'est ce Système-contre-la-France qu'il faut détruire !

     

    extrait de l'article de Maurras, L'Hospitalité, paru dans L’Action française, le 6 juillet 1912 : "...Ce pays-ci n’est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d’un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."

    À noter : Le Premier ministre israélien ainsi que des dizaines de représentants musulmans chiites et sunnites ont souhaité un Joyeux Noël aux Chrétiens mais pas Macron... Pas le Chef, le Grand-Prêtre de la Nouvelle Religion Républicaine, qui est engagée dans une lutte à mort avec le christianisme, qu'elle veut exterminer...

  • ”Attaque pour tuer” de Champigny : Darmanin, martial, lève le menton et déclare ”nous ne les lâcherons pas”. Il a tort..

    ... Il veut évidemment parler de cette armée barbare d'invasion qui a voulu tuer aussi à Herblay, et dans d'autres lieux auparavant, et qui a déjà tué, plusieurs fois, ailleurs.

    Mais, répétons-le, Darmanin a tort, se trompe et trompe les Français sur l'état réel de la situation. 

     

    Ce n'est pas lui et son ridicule bombage de torse qui "ne lâchera pas " l'armée barbare d'invasion : c'est l'armée barbare d'invasion qui ne nous lâchera pas, et qui va, jour après jour, s'enhardir, attaquer de nouveau, encore et toujours, encore plus fort et toujours plus fort.

    Elle est riche, cette armée, avec ses trafics de tous ordres, et se procure toutes les armes qu'elle veut; elle est nombreuse, et de plus en plus nombreuse, augmentée chaque année par la folle immigration/submersion imposée par le Système; il n'est que de voir cette seule année 2020 pour voir sa montée en puissance, l'augmentation du nombre de ses actions et l'augmentation de leur violence.

    "On", c'est-à-dire le Système, nous a imposé cette armée barbare d'invasion.

    Il faudra bien l'éradiquer un jour, sinon, c'est elle qui nous éradiquera.

    Qu'on choisisse les mots qu'on voudra : cela s'appellera, non pas une "guerre civile" mais une guerre de libération nationale.

    Et ce ne sera certainement pas le Système - qui nous a imposé la situation actuelle - qui aura la volonté et la force de la mener...