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  • 16 Octobre 1793, Assassinat de Marie-Antoinette : Acte fondateur des Totalitarismes modernes, scène II....

    marie-antoinette,napoléon,voltaire,carnot        Comme Louis XVI, le 21 janvier, la Reine n'est pas assassinée pour ce qu'elle a fait, mais pour ce qu'elle est.

            Elle l'est au cri de "Mort à l'Autrichienne", dans un déferlement de xénophobie indéniable, que l'on peut considérer comme étant l'une des sources lointaines du racisme.

            Les mêmes xénophobes, par ailleurs, n'hésitant pas à souhaiter "qu'un sang impur" abreuve leurs sillons, on est bien là dans ce qui est peut-être la première manifestation "moderne" du racisme authentique...

           Xénophobie et racisme dûment condamnés et flétris par les héritiers de la Révolution aujourd'hui, alors que leurs "grands ancêtres" en sont donc, pour une bonne part, à l'origine !.....

           Il est vrai que la République idéologique n'en est plus à un paradoxe près : elle accueille, dans le Panthéon ("Aux grands hommes, la patrie reconnaissante"), Lazare Carnot, l'organisateur du Génocide vendéen, et Voltaire, furieusement antisémite et joyeusement raciste; et elle laisse Napoléon aux Invalides, dans son monument d'orgueil, à l'admiration des foules, lui qui déclarait les juifs "des sauterelles et des chenilles qui ravagent la France".... 

    marie-antoinette,napoléon,voltaire,carnot

    Âgée de trente-huit ans (Louis XVI en avait 39, le 21 janvier), la Reine en paraissait alors soixante : depuis le retour de Varennes, ses cheveux étaient devenus blancs.....

           Un témoin oculaire, un nommé Lapierre, écrit à la société populaire de Carentan que la reine, qu’il appelle d’une injure qui ne déshonore que lui et que nous ne répéterons pas ici "a été à l’échafaud avec une fermeté incroyable, sans broncher".

  • Aujourd'hui, jour anniversaire de sa mort : la transcription du ”Je vous salue, Marie...” en provençal, par Charles Maur

    Te saludo Mario, plèno de gràci,

    Lou Sègne Mestre es emé tu.

    Benesido siés entre touti li fèmo,

    E benesi lou fru dou ventre tiéu, Jésus.

    Santo Mario,

    Maïre de Diéu,

    Prègo per nàutri, li pecadou,

    Aro, e  dins l'ouro de la mor nostro.

    Ansin siègue 

    MAURRAS 12.jpg

  • Bernard Maris sur France inter : Et une pierre de plus au processus de dé-révolution, une !....

    bernard maris.jpg        Il y a eu tout récemment ce bel éloge de Bainville prononcé par Philippe Meyer, le 7 mars, sur France culture, qui faisait suite aux deux interventions d'Edgar Morin, sur France inter, d'abord, puis sur Bibliothèque Médicis.

            Cette fois, c'est Bernard Maris, marqué à gauche comme chacun sait, qui apporte sa contribution de taille, et de poids, à ce processus indispensable de dé-révolution que nous avons maintes fois évoqué.

            Outre qu'il est souvent brillant, Bernard Maris a une qualité rare à France-Inter : l'honnêteté intellectuelle. Ce samedi 2 avril, à 7h20, dans le 7/9, il a avoué avoir en quelque sorte découvert la lune. De quoi s'agit-il ?...

            Notre économiste, actuellement en colloque à Moscou, avec des collègues allemands et russes, a en effet appris de ces derniers - tous très au fait des événements véritablement importants qui ont jalonné la Révolution française - a appris, donc, et il l'avoue humblement à l'antenne, que 1789 avait bien été une révolution bourgeoise et libérale et pas du tout une révolution populaire.

            La preuve, dit-il : le Décret d'Allarde (2 et 17 mars 1791) qui aura pour conséquence l'interdiction du droit de grève et l'interdiction pour les travailleurs de s'associer sous forme mutualiste; puis la fameuse loi Le Chapelier (14 juin 1791) qui abolit les corporations et interdit toute forme d'association ouvrière.

            Donc, même si Maris ne l'a pas dit, si Grands Ancêtres il y a, ce sont ceux des deux-cents familles et du CAC 40 réunis. Ce qu'il a bel et bien dit, par contre, c'est que si nos syndicats actuels font pâle figure à côté de ceux des pays du Nord, dans la mesure où ils privilégient toujours l'affrontement, c'est à la Révolution qu'on le doit.

            Et, cerise sur le gâteau, notre universitaire et journaliste fortement marqué à gauche, termine en torpillant les fameuses avancées sociales de 1945 : la République française n'a fait qu'imiter, en moins bien, ce que la monarchie allemande lui avait légué avec l'Alsace-Lorraine après 1918.

            (pour illustrer le propos de Bernard Maris, qui les évoque dans sa chronique, voici le texte complet de la très courte Loi Le Chapelier, du 14 juin 1791, interdisant les associations d'ouvriers pour la défense de leurs "prétendus intérêts communs" (sic) : Loi Le Chapelier du 14 juin 1791.pdf...; ainsi que l'article 7 du Décret d'Allarde : article 7 du décret d'Allarde.pdf ).

            Nous l'avons dit plusieurs fois : qu'elle vienne d'écrivains (Gallo), de philosophes (Finkielkraut, Morin), de journalistes (Zemmour, Maris), de tant d'autres..., cette incessante remise en cause de la pensée établie - que nous avons appelé processus de dé-révolution... - est, selon nous, indispensable si l'on veut qu'un jour, le Prince soit appelé aux affaires. Pour que cela se produise, il ne suffira pas, en effet, d'avoir un Prince à proposer à l'opinion, ni même que se présentent des conditions favorables. Il faudra également que les esprits de nos concitoyens, et en tous cas ceux des élites, aient été au préalable libérés de l'amas de nuées, de désinformations ou de mensonges dont des décennies de propagande officielle les ont encombrés. Et c'est seulement si, en plus des deux premières, cette troisième condition est remplie, nous semble-t-il, qu'un appel au Prince, considéré comme un recours, pourra être envisagé, en cas de crise majeure, par ceux qui comptent et qui sont actuellement aux commandes, sans risquer d'être immédiatement rejeté par des esprits trop prévenus contre la Royauté, aussi bien dans l'opinion que chez ceux qui la guident.

            Voilà pourquoi nous suivons avec intérêt toutes les déclarations allant dans le sens de cette dé-révolution que nous voyons à l'oeuvre, chez nous; même si elle n'est pas aussi rapide, aussi spectaculaire qu'en Russie, par exemple. Elle est réelle, elle est évidente, il suffit de savoir lire, entendre, écouter pour en avoir, maintenant, plusieurs exemples, et de taille, chaque mois. Et cela ne pourra pas éternellement rester sans conséquences, ni sur l'évolution des mentalités, ni sur l'évolution du cours des choses....

            En tant que remise en cause des certitudes de la pensée officielle, ce processus de dé-révolution dans les esprits est un préalable indispensable à ce qui pourra être, un jour, la remise en ordre que nous appelons de nos voeux...

  • Marie-France Garaud dit quelques mots sur le téléfilm consacré à la mort de Pompidou....

            ....qu'elle juge, dans l'ensemble, indécent. Mais c'est surtout ce court passage que l'on retiendra, dans les propos qu'elle confie à Gilles Boussaingault (La Provence du mardi 12 avril) :

            "...L"éventulaité d'une élection présidentielle était d'ailleurs repoussée tacitement hors de notre pensée même, peut-être un peu pour en conjurer le sort... Mais lorsque, par malheur, elle dut se tenir, nous fîmes tous les efforts possibles, Pierre Juillet et moi-même, pour que Messmer, alors Premier ministre, puisse être candidat. Les ambitions y firent obstacle. Cela est une autre histoire, mais le sort futur de la France aurait sans doute ainsi été mieux assuré..."

            Un jugement cruel mais, ô combien, justifié sur Chirac, et que l'on ne peut que partager !... 

  • L'image du jour: le Son et lumière du pélerinage d'automne aux Saintes Maries de la mer...

    SAINTES AUTOMNE.jpg
     
    Le spectacle Son et lumière évoquant l'arrivée des Saintes, l'un des temps forts de ce pèlerinage d'automne.
    Photo La Provence

  • Inexorablement liés par la même chaîne, jusqu’à leur double trépas final, Marie-Georges et Olivier…

              Chronique d’une mort annoncée :  l’une veut changer sans se perdre ; l’autre va se perdre parce qu’il ne veut pas changer……

                    L’une (Marie-Georges ) veut « changer sans se perdre » : c’est ce qu’elle a déclaré à Vieux-Boucau (dans les Landes) à l’occasion de l’université d’été du PCF. « Le Parti doit changer sans se perdre, sans se dénaturer, pour devenir un grand parti ouvert, rassembleur, porteur d’un projet moderne et audacieux. »

                   On passera très rapidement, par charité, sur le fait que cette phrase est le type même de la phrase qui ne veut strictement rien dire (en langage courant : bateau...) Changer sans se perdre ? Mais Clémenceau n’a-t-il pas dit (et, de fait, il a raison…) que la révolution était un bloc ? Regardez ce qui est arrivé à Gorbatchev, lorsqu’il a tenté de réformer l'URSS de l’intérieur, mais sans renoncer à elle ni au système qui l’avait généré : il n’a réussi qu’a accélérer la chute, de toutes façons inéluctable, de la-dite URSS. Comment Marie-Georges pourrait-elle changer, ou faire changer, un parti tout entier basé sur une idéologie ? Une idéologie c'est une construction intellectuelle; si vous enlevez un point, un seul, tout s’effondre ; la logique interne n’est plus  respectée ; l’ensemble ne tient plus ; or son idéologie, à Marie-Georges, elle s’est effondrée lamentablement, aussi bien à Moscou et dans l’empire est-européen du marxisme qu’à Pékin ; et Marie Georges ne le voit pas, ou ne veut pas le voir.....

                   L’autre (Olivier) ne veut surtout pas changer. « Ce qu’il nous faut, c’est une bonne vieille révolution ! », a-t-il proclamé, sans crainte d’apparaître pour un dinosaure lors du congrès destiné à préparer son NPA (Nouveau parti anticapitaliste). Mais lui aussi refuse de voir qu’elle s’est effondrée, son idéologie...

                   Dans l'opéra Carmen, l'ensorceleuse bohémienne cherche à faire comprendre à Don José qu'il est trop tard pour revenir en arrière, maintenant qu'il a tout abandonné pour elle; et qu'ils sont entraînés l'un et l'autre, inexorablement, vers le drame final : "... Et la chaîne qui nous lie nous liera jusqu’au trépas !..." chante-t-elle à son amoureux qui, mais un peu tard, se rend compte de son erreur.... 

                   C'est la même chaîne qui lie Marie Georges et Olivier. Tous les deux, mais aussi les socialistes, ont lié leur destin à une idéologie : l'idéologie révolutionnaire. Avec des nuances, certains plus exaltés ou plus extrêmistes; d'autres plus utopiques; mais il n'y a entre eux que des différences de degré -et pas de nature...- dans leur affiliation à la même idéologie. Celle-ci étant morte en direct, sous nos yeux, il est évidemment fatal que tous en soient atteints et en recoivent le contre coup.....

                   Voilà pourquoi, qu'ils cherchent à changer comme l'une, ou à ne pas changer, comme l'autre, cela ne changera rien au fond : leurs manoeuvres n'arrêteront pas le cours des choses. Ils sont morts, politiquement s'entend, condamnés par l'histoire. Quelle dérision ! Les voilà sortis de l'Histoire, balayés par elle, ces révolutionnaires qui ont tant usé et abusé de cette expression : le sens de l'Histoire.....

  • Terreur, Acte II : 16 Octobre 1793, Assassinat de Marie-Antoinette...

              Après l'Acte I, du 21 Janvier, qui constitue l'acte fondateur des Totalitarismes modernes, voici l'Acte II de la tragédie révolutionnaire, acte dans lequel on peut voir a la fois une barbarie inutile, et l'une des racines lointaines, mais profonde et essentielle, du Racisme moderne: après l'assassinat de Louis XVI, voici l'assassinat de Marie-Antoinette, deuxième personne de cette trilogie des martyrs, massacrée parce qu'elle était reine mais aussi parce qu'elle était autrichienne, étrangère (1); une trilogie qui ne sera complète dans l'horreur que le 8 (?) Juin 1795, avec la fin de la longue agonie (d'un an et demi...) d'un enfant de dix ans.
              En inventant un Homme abstrait, avec un "H" majuscule, qu'elle a idéalisé et divinisé, la révolution s'est ruée sur les hommes qui nous entouraient, et qui nous admiraient (car, à l'époque, tout le monde parlait français et "badait" devant la France... En parlant des "Droits de l'Homme", elle a foulé aux pieds les droits des hommes, nos voisins, qui n'étaient animés d'aucune mauvaise intention à notre égard, pour la très grande majorité d'entre eux: elle a semé la mort et la désolation en Europe pendant près de vingt ans, tuant les hommes de chair et d'os, et dévastant leurs terres, pour apporter soi-disant la liberté à un Homme abstrait et désincarné qui n'existe nulle part, et que nul n'a jamais rencontré. 2.300.000 français tués, et 500.000 séparés de la mère-patrie (soit 10% de la population !); 20 millions de morts en Europe; et un continent ravagé par cette effroyable guerre civile européenne dont la révolution porte seule la responsabilité, et qui est un crime imprescriptible contre l'espèce humaine.
              En parlant de Liberté, elle a attenté aux libertés les plus élémentaires des gens, instaurant la Terreur à l'intérieur, puis la dictature napoléonienne; et en imposant son ordre brutal à l'Europe (comme le feront plus tard ses héritiers directs Hitler et Staline). En parlant d'Égalité, elle a multiplié les injustices, les abus et les privilèges qu'elle dénonçait et qu'elle a prétendu combattre, nous faisant passer d'une Bastille quasi vide à des dizaines de Bastille qui font de nous des citoyens surveillés sans cesse par une bureaucratie tatillonne et omniprésente, et de notre société une société bloquée. En parlant de Fraternité, elle a massacré les Vendéens, accomplissant ainsi le premier génocide des temps modernes (dont se souviendront, là aussi, ses enfants naturels, Hitler, Robespierre, Pol Pot...)

    (1): on appréciera le fait que la république, qui a excité la populace contre une autrichienne (une étrangère...), donne la France aux étrangers deux cents ans après: deux habitants sur trois de la Seine Saint-Denis, aux portes de Paris donc, sont étrangers (noirs ou maghrébins pour la plupart): on aurait peut-être pu prévenir la-dite populace qu'on faisait tout "ça" (la révolution...), pour en arriver à "ça" (la France donnée aux étrangers...): il est vrai qu'il s'agit de noirs et de musulmans, pas d'autrichiens, européens et catholiques.....

  • Pour mieux connaître le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine, ”Le curé d'Ars de la Canebière”...

                Forcément, depuis notre reportage sur le 21 janvier à Marseille, et la diffusion de la propre page du site du Père Michel-Marie, relatant l'évènement -page à laquelle faisait suite la vidéo de la Messe, envoyée par les Marseillais- vous connaissez tous un peu, ou un peu mieux, le Père Michel-Marie Zanotti Sorkine, qui a si bien reçu le Prince, sa "chère épouse" et le "petit prince Gaston de France".

                 Et qui a célébré une Messe d'une haute intensité, au cours de laquelle il a notamment prononcé l'homélie dont vous avez pu goûter la grande élévation et la profonde spiritualité.

    zanotti sorkine.jpg

                Voici que, par le plus grand des hasards -qui, pour le coup, fait bien les choses, mais dont nous savons, aussi, qu'il n'existe pas...- voici donc que Famille chrétienne, dans son numéro 1672 (du 30 janvier au 5 février 2010), publie un beau reportage de cinq pages (pages 18 à 22) sur Le curé d'Ars de la canebière. L'occasion rêvée d'en savoir plus, pour ceux qui le connaissent, et de le découvrir, pour ceux qui ne le connaissent pas encore.

                Nul doute, après cette lecture, que celles et ceux qui passeraient, un jour, par Marseille, auront à coeur d'aller entendre ce prêtre exceptionnel, dans son église des Réformés, comme l'a fait, un jour, le Prince Jean; avant d'y retourner, ce 21 janvier, mais cette fois avec son épouse et le prince Gaston de France...

                Impossible de la manquer, cette église, c'est celle qui est tout en haut de la Canebière (ci dessous).... 

                N'étant pas des pirates, nous ne vous donnerons pas, ici, l'article de FC, du moins dans sa totalité. La revue, contactée, nous a fort aimablement autorisé à reproduire environ un tiers du texte -ce dont nous la remercions- et nous a demandé de renvoyer, pour le reste, au journal, s'agissant d'un article qui vient juste de paraître. De même, pour les cinq photos illustrant l'article (la première est vraiment très belle, et la cinquième également...), la revue nous a demandé de ne pas les publier, étant liée avec le photographe par des accords évidents de propriété artistique. Nous remettons donc, en tête d'article, la photo du propre site du Père Michel-Marie, et vous pourrez consulter texte et photos en recopiant le lien clôturant le début de l'article (préparé par FC):

               P.Zanotti.rtf

               Que dire de plus ? Sinon former le voeu que l'Eglise de France compte des dizaines, des centaines de prêtres comme le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine. Et que, toutes divisions cessantes, l'unité se fasse autour de personnalités aussi exceptionnelles.....

    REFORMES MARSEILLE.jpg
    A l'extérieur, le pastiche néo-gothique n'est franchement pas terrible,
    mais à l'intérieur, et spirituellement parlant -si l'on peut dire...-c'est du lourd......
    Tout en haut de la Canebière, à droite, la paroisse Saint Vincent de Paul, couramment appelée les Réformés....
  • Paris, 15 octobre, Cercle de l'Oeillet Blanc : Messe à la mémoire de Marie-Antoinnette

     

    Naturellement, nous encourageons nos lecteurs et amis qui le pourront à assister à cette messe. Le Cercle de l'Œillet accompagne son invitation des explications qui suivent.  

    « Fondé en 1895 par quelques gentilshommes français, le Cercle de l’Œillet Blanc constituait traditionnellement une Garde d’honneur du chef de la Maison de France. 

    Il œuvre aujourd’hui dans le but de conserver et de défendre la tradition royale en France, d’en promouvoir les principes et d’en illustrer la pertinence dans l’actualité.

     

    Une des actions principales du Cercle est l’organisation des cérémonies du 21 janvier à Saint-Germain l’Auxerrois célébrant le martyre du Roi Louis XVI et de toutes les victimes de la Révolution française.

    Après l'exposition, l'été dernier, dans le parc de Versailles, d'une "œuvre artistique" portant clairement atteinte à la mémoire de la reine Marie-Antoinette, l'Œillet Blanc a décidé une première réaction en organisant une messe le 15 octobre prochain, à sa seule intention, à l'occasion de l'anniversaire de son exécution  » 

    On nous annonce, par ailleurs, qu'une messe à la mémoire de la reine Marie-Antoinette sera dite à Nice le vendredi 16 octobre 2015 à 18h30, à l'Oratoire Saint Joseph, 18 rue Catherine Ségurane. Renseignements : M. Jean-Pierre Thouvenin. 04 93 81 22 27 ou 06 34 47 67 03.

  • Marie-France Garaud : « L'Etat français n'existe plus, nous sommes une province »

     

    Jeudi dernier, 20 août, Marie-France Garaud était l'invitée de la matinale de France Culture. Comme toujours, ses analyses méritent d'être écoutées et méditées. Elle pose une question préalable autour de quoi tout le reste s'ordonne : « Sommes-nous encore un Etat ? La réponse est non. » Suit une heure d'entretien remarquablement intéressante où Marie-France Garaud analyse avec l'extrême lucidité qu'on lui connaît, la crise grecque, la situation de l'Europe, le rôle de la diplomatie française au Moyen-Orient, la politique russe de la France, sa dépendance à l'égard des Etats-Unis. Sans négliger la situation intérieure du pays. A vrai dire, il n'y a guère de sujets où nous risquions d'être en désaccord avec ses points de vue. Elle a aussi le mérite de préciser que rien de ce qu'elle constate de très négatif dans la situation de la France n'est irréversible.   

     

    (A partir de la 34e minute)

     

  • Famille de France • La duchesse de Vendôme portant une création de la modiste Marie d’Argent

    La princesse Philomena, duchesse de Vendôme, portant une création de la modiste Marie d’Argent  [Photo : Marie d’Argent Facebook]

     

    823330531.jpgIl ne serait pas raisonnable du tout - au vu de son contenu quotidien - de craindre qu'en publiant cette photographie, Lafautearousseau verse dans le people. C'est simplement que la photo est très belle ; que l'élégance, la classe, la beauté et le maintien de la princesse Philomena ont été très remarqués, en la circonstance. Et il n'est pas interdit aux princesses de la Famille de France, spécialement lorsqu'il s'agit de la duchesse de Vendôme, il est même très bienvenu, de réunir ces qualités si féminines. Il ne nous est pas interdit, non plus, de les signaler ...  LFAR 

    Illustration source : Noblesse et Royautés

  • Famille de France • Messe des Rameaux à la Chapelle Royale de Dreux et hommage à la reine Marie-Amélie

     

    Dimanche 20 mars, la messe des Rameaux fut célébrée à la chapelle Royale Saint-Louis de Dreux en présence du Duc et de la Duchesse de Vendôme et de leurs trois enfants, le Prince Gaston et les Princesses Antoinette et Louise-Marguerite. A cette occasion le Prince Gaston – en aube blanche à droite sur ce document – a assisté le prêtre en tant qu’Enfant de Chœur.

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    La bénédiction des Rameaux a eu lieu dans le Parc du Domaine Royal avant la célébration de la messe. Après la bénédiction, les fidèles munis des rameaux bénis sont invités à rentrer dans la chapelle en cortège pour assister à la messe.

     

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    Durant la cérémonie le jeune Prince Gaston a pris très à cœur son nouveau rôle d’Enfant de chœur sous le regard admiratif des Princesses Antoinette et Louise-Marguerite. Sur ce document, on peut admirer les fameux vitraux réalisées par la manufacture de Sèvres. Ingres, Horace Vernet et Hippolyte Flandrin ont signé les plus belles œuvres faisant apparaître l’inimitable bleu de Sèvres.

     

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    A la fin de la cérémonie, le facétieux Prince Gaston se détend avec un camarade de Dreux également Enfant de chœur. (Copyright photos : N.Meliashkevich)

     

    Le duc et la duchesse de Vendôme rendent hommage à la reine Marie Amélie

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    Jeudi 24 mars 2016, 150 ans après sa mort, le Duc et la Duchesse de Vendôme et leurs trois enfants ont rendu hommage à la Reine Marie-Amélie devant son tombeau de la chapelle Royale Saint-Louis de Dreux. L’adjoint au Maire de Dreux, chargé de la Culture a également déposé une gerbe de fleurs au nom des habitants de Dreux, restés attachés à la personnalité de la Reine.

    indexplm.jpgLe Duc de Castro, Chef de la Maison Royale des Deux-Siciles, la Duchesse de Castro et leurs filles ont fait porter une gerbe de fleurs afin d’honorer la mémoire de la Reine Marie-Amélie, l’épouse aimante et dévouée du Roi Louis-Philippe. A la fin de la cérémonie, le jeune Prince Gaston, filleul du Duc de Castro, a souhaité prendre la pose devant le tombeau de ses ancêtres pour une photo souvenir.

    (Photos Echo Républicain et Gens de France)

    Textes et photos repris - avec remerciements - de Noblesse et royautés. [24 et 26.03.2016] 

    Noblesse et royautés

  • Paris, ce soir • Conférence de Jean-Marie Le Méné : « Le grand marché de l’eugénisme »

    Les mardis de Politique magazine

    Conférence mardi 5 avril 2016

    Le grand marché de l’eugénisme

    par Jean-Marie Le Méné
    président de la Fondation Jérôme-Lejeune, auteur de Les premières victimes du transhumanisme (Pierre-Guillaume de Roux)

    Rendez-vous à partir de 19h00 - Conférence à 19h30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen
    3, rue de la Trinité  75009 Paris  Métro: La Trinité, Saint-Lazare

    Renseignements : Politique magazine, 1 rue de Courcelles 75008 Paris - Tél. 01 42 57 43 22

  • Marie-France Garaud : pour Marine Le Pen et contre un IVe Reich !

     

    Par Nicolas Gauthier

    Une excellente chronique, comme souvent celles de Nicolas Gauthier, parue dans Boulevard Voltaire, le 29 avril. Elle relate un événement parmi d'autres, dans cette campagne présidentielle dont l'air est assez scélérat ; elle brosse aussi un portrait vivant de Marie-France Garaud, une femme politique de première importance. Une tête politique, enfin, dont le jugement importe. Ce qui donne à cet événement parmi d'autres, une importance singulière.  LFAR 

     

    745791051.pngLa vie politique française, parfois tourmentée, surtout en les temps qui nous occupent, offre parfois de délicieux moments de grâce. D’où la sortie, ce vendredi matin, de Marie-France Garaud dans Le Figaro, et non point de Marie-France Garo dans Le Figaraud, qui appelle à voter pour… Marine Le Pen.

    À quatre-vingt printemps largement sonnés, le loup-garaud a donc les crocs toujours bien aiguisés, et pas seulement les nuits de pleine lune. Il y a quelques années, dans l’émission « Ce soir (ou jamais !) », jadis animée par Frédéric Taddeï, elle n’hésitait pas à rappeler que Jean Monnet, père de l’Europe, n’était autre « qu’un agent américain payé par la CIA ». Grand moment de fraîcheur cathodique et de jouissance télévisuelle…

    Gaulliste revendiquée et figure historique du souverainisme, elle ne se contente plus aujourd’hui de renverser la table, mais de dynamiter le salon tout entier : « J’ai le sentiment que monsieur Emmanuel Macron n’a ni amour propre, ni lucidité. Il étale ses faiblesses avec un extraordinaire masochisme. Il a un petit côté chien battu. Il ne respecte pas la France et il est même en train de détruire le support de son existence politique. » Première salve d’avertissement…

    Car ce n’est qu’un début, le meilleur étant à venir : « Macron n’a pas de programme économique. Il ne peut pas en avoir parce que nous ne sommes plus qu’un territoire de l’intérieur de l’Union européenne. Il faut sortir de là le plus rapidement possible, quel qu’en soit le coût, car mieux vaut la liberté que l’esclavage. » Là, on passe du tir de mortier à celui de barrage, juste histoire de préparer la bataille à suivre…

    Réduction ad hitlerum prise à l’envers oblige, voilà maintenant que cette indécrottable chipie retourne à son profit les heures les plus pénibles de notre histoire, telle une chaussette ou une bande molletière, assurant, à propos de la sortie de l’Union européenne : « Il suffit de décider ce que nous voulons. À la fin de la guerre, deux hommes avaient compris cela, de Gaulle et Churchill, qui n’a jamais aliéné les pouvoirs de son pays.  

    Nous assistons à une tentative de domestication des pays européens, nous sommes placés devant l’éventualité d’un IVe Reich. » Bombardements massifs avant offensive terrestre… 

    À propos de l’Allemagne, donc : « La France n’a rien à lui dire. Elle doit sortir de l’Union européenne et ensuite, elle pourra échanger d’égal à égal. […] Nous n’avons plus d’État. Le quinquennat qui s’achève aura été inexistant et je note une carence historique extraordinaire chez nos dirigeants. Aujourd’hui, l’économie et la finance veulent remplacer la souveraineté. » Manu, si tu nous entends, sous ce tapis de bombes à phosphore et à fragmentation…

    D’ailleurs, ce pauvre Petit Chose, qu’en pense-t-elle ? La réponse coule de source : « Mais qui est Emmanuel Macron ? » Apocalypse Now et douce odeur de ce napalm largué au petit matin, ratiboisant tout sur son passage, hormis les quelques chrysanthèmes destinés à fleurir la tombe du sex-toy à la mère Trogneux…

    Marie-France Garaud, jadis vigie pompidolienne et pygmalion de Chirac, parle peu, mais toujours d’or. Il y a, chez cette vieille dame indigne, un je-ne-sais-quoi de réjouissant, quelque part entre la Ma Dalton de Morris et Goscinny et la Bette Davis du All About Eve de Joseph Mankiewicz. Mauvaise comme la gale et teigneuse comme pas deux. À chaque instant prête à sortir la pétoire de son sac Lancel et à tirer dans le tas tout en visant juste. Ainsi, à propos de Marine Le Pen : « Aujourd’hui, elle est la seule candidate qui n’est pas pieds et poings liés devant les Allemands. Manifestement, elle est la seule à avoir le tempérament pour rétablir la souveraineté de la France. »

    D’autres questions ? Non. Évitons, d’ailleurs. Des fois qu’une balle perdue…  

     
    Journaliste, écrivain
  • C'est ce soir : Messes à la mémoire de la reine Marie-Antoinette, guillotinée le 16 octobre 1793

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    =  Nîmes : jeudi 16 octobre, 19H00, Chapelle Sainte Eugénie.

    =  Grenoble : jeudi 16 octobre, à 19h, Collégiale Sint André.