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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Paris : Manifestation d’Action française devant l’ambassade de Grèce

    Défiant la neige et le froid, une centaine de personnes est venue, hier soir vendredi 18 janvier, à l’appel du CRAF (Centre Royaliste d'Action Française), devant l’ambassade grecque, manifester leur solidarité avec ce peuple martyr de Bruxelles, et crier leur volonté de sortir de l’euro et de rentrer dans l’histoire. Quittons leur "Europe" ! Sécession ! 

    Outre Olivier Perceval, secrétaire général du CRAF, Elie Hatem, du comité directeur du CRAF et François Marcilhac, directeur éditorial de l’Action Française 2000, étaient également présents : Karim Ouchikh, président de Souveraineté, Indépendance et Libertés et Alain Bournazel, président du Rassemblement pour l’indépendance de la France, sans oublier Mme Jany Le Pen, qui est venue honorer la manifestation de sa présence et a prononcé quelques mots de soutien au peuple grec, en témoignage de ses origines hellènes.

     

    Le boulet européen

     Olivier Perceval exprimant les raisons d'une manifestation d’Action française devant l’ambassade de Grèce

     L’intervention de Karim Ouchikh, rappelant le sort subi par le peuple grec

     Maître Elie Hatem a tenu à manifester sa solidarité en langue grecque.

     L’émouvant témoignage de Mme Jany Le Pen

    De droite à gauche : Olivier Perceval, François Marcilhac, Karim Ouchikh et Alain Bournazel

     Liberté ! Eleuthéria !

  • Sur le site officiel de l'Action française : IL Y A DU TRAVAIL SUR LA PLANCHE !, l’éditorial de François Marcilhac.

    Alors que les plus modestes des Fran­çais affrontent, après la pan­dé­mie et les déboires éco­no­miques et finan­ciers qu’elle a engen­drés, une hausse sans pré­cé­dent des prix des car­bu­rants du gaz – sans comp­ter celle de l’électricité –, le Gou­ver­ne­ment, que la crise des Gilets jaunes n’a mani­fes­te­ment pas échau­dé, ater­moie, ren­voyant la res­pon­sa­bi­li­té de cette hausse aux « mar­chés », voire à la Rus­sie, grande pour­voyeuse de gaz à l’Europe (elle lui four­nit un tiers de sa consom­ma­tion), éter­nel bouc émis­saire, som­mée d’accroître ses expor­ta­tions, une demande pres­sante à laquelle, bon prince, Pou­tine a déci­dé de répondre favo­ra­ble­ment, ce mer­cre­di 13 octobre, jugeant « très impor­tant » de sta­bi­li­ser à terme le mar­ché du gaz – du moins est-ce ce qu’il a décla­ré à l’ouverture d’un forum éner­gé­tique à Moscou.

    françois marcilhac.jpgSelon l’é­co­no­miste en chef du Fonds moné­taire inter­na­tio­nal (FMI), Gita Gopi­nath, l’ac­cal­mie va encore se faire attendre. Dans un entre­tien accor­dé à l’A­gence France-Presse et rap­por­té par Le Point, elle explique : « Pour le moment, même si à court terme […] pen­dant les quelques mois d’hi­ver, les prix de l’éner­gie seront éle­vés, nous nous atten­dons à ce qu’ils redes­cendent d’i­ci la fin du pre­mier tri­mestre de l’an­née pro­chaine et au cours du deuxième trimestre. » 

    Il serait donc ridi­cule de nier les effets des fluc­tua­tions du mar­ché sur le prix de l’essence, du gazole ou du gaz payé par le consom­ma­teur final et, en cela, cette hausse n’a pas été décré­tée dans les cabi­nets hors sol des minis­tères pari­siens, comme celle des taxes sur l’essence qui avait pro­vo­qué l’ire du pays réel à l’automne 2018. En revanche, le refus de bais­ser les taxes est bien de la res­pon­sa­bi­li­té du Gou­ver­ne­ment, d’un Gou­ver­ne­ment en grande par­tie pri­son­nier d’une double idéo­lo­gie : celle qui l’asservit à l’Europe, qui doit vali­der toute poli­tique en la matière, et celle des éco­lo­gistes qui voient, fina­le­ment, d’un très bon œil cette hausse ver­ti­gi­neuse, qui ne peut qu’inciter les Fran­çais qui se chauffent au gaz, au fioul ou cir­culent au die­sel à modé­rer leur consom­ma­tion d’ « éner­gies fos­siles », fût-ce au prix de leur san­té ou de celle de leurs enfants, et à limi­ter leurs dépla­ce­ments, dans la mesure du pos­sible. Car il faut bien aller tra­vailler. Du reste, la der­nière charge sur­réa­liste d’Emmanuelle War­gon, la ministre du loge­ment, contre les mai­sons indi­vi­duelles, au nom, bien sûr, de l’impératif éco­lo­gique, en dit long sur le mépris de nos élites à l’encontre des Fran­çais qui boudent de plus en plus l’entassement dans des métro­poles pol­luées et pol­luantes. N’est-elle pas allée jusqu’à inven­ter le concept orwel­lien d’ « inten­si­té heu­reuse », pour requa­li­fier la vie dans les grands ensembles ? L’écologisme : le com­mu­nisme du XXIe siècle ? Quoi qu’il en soit, aux yeux de ces gens-là, bais­ser les taxes ou la TVA serait envoyer un mau­vais signal… Qu’importe à ces pri­vi­lé­giés la double ou triple peine (finan­cière, sociale, sani­taire) vécue par ces Fran­çais péri­phé­riques qui, non contents de n’être rien, ne savent, en plus, exis­ter qu’en polluant ? 

    Certes, le pou­voir joue les mesures de court terme, espé­rant ain­si pas­ser le cap de l’hiver, en sur­jouant, fina­le­ment, son impuis­sance à chan­ger la donne. Pense-t-il tou­te­fois que les Fran­çais accep­te­ront long­temps d’avaler la ficelle, qui est un peu grosse, et ne fini­ront pas par se deman­der à quoi sert un pou­voir qui ne peut pas ? Il est vrai qu’aucun des can­di­dats décla­rés ne remet en cause notre sou­mis­sion juri­dique au Lévia­than euro­péen, qui doit, nous l’avons dit,   vali­der les mesures éven­tuelles de baisses de taxes ou de TVA — les Fran­çais vont, dans leur fac­tures éner­gé­tiques, jusqu’à payer de la TVA sur les taxes ! Mais, sur­tout, c’est Bruxelles qui nous a impo­sé la mise en concur­rence du sec­teur de l’énergie, la dis­lo­ca­tion de ser­vices publics qui satis­fai­saient tous les Fran­çais – le der­nier en date : nos bar­rages –, jusqu’à la dis­pa­ri­tion des tarifs régle­men­tés en 2023, laquelle entraî­ne­ra à moyen terme une hausse encore aggra­vée des prix de l’énergie – cela s’est par­tout véri­fié. On dit que, trop sou­vent, nos poli­tiques se défaussent sur l’Europe : en cela, ils ne mentent pas, mais ils oublient de pré­ci­ser qu’ils ont vou­lu leur propre impuis­sance et cette mise en concur­rence, et sont donc res­pon­sables des consé­quences de celle-ci. Cette obses­sion de la mise en concur­rence de tous les biens com­muns va jusqu’à nous contraindre, alors que notre élec­tri­ci­té est, pour la plus grande par­tie, d’origine nucléaire, d’en ali­gner le prix sur celui du gaz, en rai­son de règles euro­péennes ins­tau­rées pour consti­tuer un mar­ché unique de l’énergie, dont le consom­ma­teur final se moque bien ou, plu­tôt, voit les consé­quences funestes en réglant sa facture.

    À l’heure où nous écri­vons, nul ne peut dire si le Gou­ver­ne­ment réus­si­ra à jugu­ler le mécon­ten­te­ment qui monte, dans tout le pays. Sa morgue à l’égard des Fran­çais, qui n’a d’équivalent que sa sou­mis­sion à Bruxelles, ne pré­juge rien de bon. En jan­vier, Macron pren­dra la pré­si­dence tour­nante du Conseil euro­péen, pour six mois — jusqu’à fin juin 2022. Nul doute qu’il en fera un argu­ment de cam­pagne élec­to­rale. Nul doute sur­tout qu’il en pro­fi­te­ra pour faire avan­cer ses marottes euro­philes, décon­nec­tées non seule­ment des besoins des Fran­çais mais, plus encore, des aspi­ra­tions des autres peuples euro­péens, qui sont bien plus natio­na­listes que nous ! Le pays réel va-t-il retrou­ver la voie des mani­fes­ta­tions ? Macron et ses satel­lites en pro­fi­te­ront alors pour appa­raître de nou­veau comme le par­ti de l’ordre. Et engran­ger les voix d’un élec­to­rat fri­leux. Soyons, quant à nous, déter­mi­ner à mon­trer à nos com­pa­triotes que la solu­tion ne sau­rait rési­der dans un simple chan­ge­ment de pré­sident. Si nous pou­vons sou­hai­ter que tel ou tel soit élu de pré­fé­rence à tel autre, si nous devons même nous déme­ner pour évi­ter le pire, demeu­rons lucides : il y a du tra­vail sur la planche pour libé­rer la France d’une Répu­blique plus apte à affir­mer la force abso­lue de ses lois, fût-ce aux dépens de nos liber­tés fon­da­men­tales, dont la liber­té reli­gieuse, avec laquelle elle a tou­jours été fâchée, qu’à assu­rer le Bien com­mun.  Oui, il y a du tra­vail sur la planche !

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    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Action française - Restauration nationale : extraits de la conférence de Pierre-Yves Rougeyron.

    "Ce n'est pas l'empire que nous combattons. Nous combattons le penchant impérial parce que celui-ci condamne les nations."
    "L'empire a une tentation de prise mondiale. Il n'a pas de frontières.
    Barroso : "l'UE est le premier empire non impérial."
    L'UE entend plier la totalité du monde à son anthropologie post-civilisationnel."

    "Les peuples ont le droit à l'autonomie de leur pensée. Le nationalisme porte en lui un fait tolérance contrairement à l'empire qui est un fait unique.
    "L'homme en face de moi, du moment qu'il ne revendique aucun droit sur ma terre ou sur moi, a les mêmes droits que moi." "
    "Le roi est empereur en son Royaume"
    "Toute l'histoire de France est une conquête de liberté contre le fantôme impériale"
    "Le libéralisme a avancé avec un masque humaniste et s'est servi des droits de l'homme pour les transformer en droits d'ingérence vers l'épopée néo-impériale.
    Les droits de l'homme sont des choses au nom desquelles on tue. Ils ont tué plus de choses qu'ils en ont sauvé."
    "Tous les peuples ne sont pas faits pour être des nations. Certains sont des peuples d'empire, faits pour être soumis à un empire."
    "Aujourd'hui aucun empire ne dure, le prix du maintien de la domination est trop élevé."
    "Les vieux États nations durent, eux.
    La Chine est un État nation de 5000 ans."
    "La puissance nucléaire permet un Westphalie planétaire et une paix pérenne. Ça, la force impériale ne peut le supporter."
    "Les GAFAM sont des féodaux qui ont des tentations impériales.
    Mais, si le président des États-Unis le veut, Zuckerberg est un homme mort, Sorros est un homme mort. Le vrai pouvoir politique a ce pouvoir."
    "L'esthétisme peut faire tomber dans l'impolitique. Le mythe Patagon n'est pas assez prégnant pour mener à une politique ou à une impolitique."
    Nous étions plus de 160 ce soir, merci à tous ! Merci beaucoup à
    Pierre-Yves Rougeyron pour cette nouvelle intervention chez nous.
    Vous pouvez trouver nos enregistrements ici :
  • Samedi 27 mars pour cette réunion de lancement des activités de l’Action française en Morbihan.

    Nous étions nombreux ce samedi 27 mars pour cette réunion de lancement des activités de l’Action française en Morbihan.
    Réunis à l’initiative d’Erwan Boreau, correspondant AF Morbihan et d’Amaury de Perros, président de la fédération de Bretagne, nous avons rencontré sur le site de la chapelle expiatoire du Champ-des-Martyrs (commune de Brech) amis et sympathisants de la région, afin de préparer la structuration du mouvement dans ce département.

    Amaury de Perros et Erwan Boreau ont rappelé qu’elles étaient les idées de l’AF, sa doctrine, ses combats d’aujourd’hui, ses modes d’action, de formation et comment était organisé notre mouvement dans la région Bretagne (fédération, sections de Brest, Nantes et Rennes). A l’issue de cet exposé, notre ami Thierry Bectarte venu des Côtes d’Armor, rappela l’histoire de ce lieu où furent fusillés plus de 200 royalistes à la suite de la défaite des chouans à Quiberon.
    Un dépôt de gerbe et le respect d'une minute de silence furent suivi d'un moment convivial où nous avons pu discuter avec l’ensemble des participants, certains étant encore en pleine découverte de l’AF et du royalisme. Nos camarades des autres sections de Bretagne ont pu leur parler de leur expérience de création d’une section, dans des contextes parfois difficiles.
    Nombreux bretons ayant répondu présent, nous pouvons aujourd’hui envisager dans les semaines qui viennent la création d’une section d’AF. La Bretagne va se royaliser et comme dans la France entière, les idées de l’Action française trouvent de plus en plus d’écho au sein de la population.
    Amis du Morbihan, il est plus que temps. Le combat pour la France et le roi doit être mené dès à présent, rejoignez-nous !
    Amaury de Perros, président de la fédération de Bretagne
    (merci à Action Française - Rennes et Action Française - Brest)

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  • Communiqué de l'Action française : 100 ans de la fête de Jeanne d'Arc.

    Depuis plus d’un siècle, l’Action Française rend hommage à Jeanne d’Arc, pour avoir, grâce à son sens politique et à son dévouement inspiré, sauvé la France. De 1909 à 1912, les étudiants et ligueurs d’AF et les Camelots du Roi ont payé au prix de 10 000 jours de prison l’autorisation de manifester cette fidélité. Maurice Barrès, en 1920, impose à la République la loi instituant la Fête Nationale de Jeanne d’Arc, le deuxième dimanche de mai. L’Église canonisera, cette même année, la sainte de la patrie.

    Le centenaire de la fête officielle de Jeanne d’Arc tombant cette année ce dimanche 10 mai et le confinement, dû à l’épidémie de covid-19 nous empêchant de fêter l’héroïne nationale avec le faste que ce centenaire méritait, nous avons néanmoins invité les Français qui le peuvent à fleurir aujourd’hui individuellement les statues de celle qui incarne le redressement national. Le 30 mai, jour de la fête religieuse de Sainte Jeanne d’Arc, les sections d’Action Française seront invitées à déposer des gerbes de fleurs devant les monuments de leurs villes.

    N’oublions pas ces fortes paroles que le comte de Paris, de jure Philippe VII, adressa le 29 avril 1894 à la jeunesse royaliste de France, qui s’apprêtait à participer aux fêtes visant à célébrer alors le premier acte de la canonisation de Jeanne d’Arc :

    « Votre place est marquée dans ces fêtes. La mémoire de la grande libératrice appartient à tous les Français ; elle doit les réunir dans une pensée commune de patriotisme. Mais il ne faut pas permettre que sa mission surnaturelle soit dépouillée par l’esprit de parti du caractère catholique et royaliste qu’elle-même lui attribuait. […] La fille du peuple que Dieu alla chercher sous l’humble toit de Domrémy, accomplit le plus grand, peut-être de tous les miracles. Elle réveilla la nation tombée en léthargie, rendit la confiance aux plus découragés, la foi aux plus sceptiques, inspira le dévouement aux plus égoïstes, et fit cesser toute division parmi ceux qui se groupaient autour de sa sainte bannière. Inspirons-nous tous de ces exemples, et n’oublions pas que l’avenir appartient à ceux qui savent joindre la persévérance à l’énergie. »

    Alors que, plus que jamais, notre pays, subissant le régime de l’étranger, est livré à une oligarchie qui met la nation en coupe réglée, les militants de l ‘Action française, dans la fidélité à la Maison de France, incarnée aujourd’hui par l’actuel comte de Paris, mettront en œuvre ces fortes paroles de son grand-oncle.

    Pour que vive la France, Jeanne assit les droits du roi Charles VII. Pour que la France continue de vivre, imitons-la, à la fois en sauvegardant l’héritage et en ramenant l’héritier. Pour que vive la France, vive Jean IV !

    Le bureau politique de l’Action française

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  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (46, 1/2)...

    (Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP : contribution, commentaires, informations, renseignements, prêt de photos etc... bienvenus; retrouvez l'ensemble de ces documents dans notre Catégorie : Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP)

     

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    47 (1/2) : Fidélité au Royalisme, dans l'URP et dans l'Action française...

     

    Témoignage d'estime et d'affection réciproques d'un martégal royaliste, "blanc du midi" à un autre martégal royaliste et "blanc du midi"...

    Copie d'un portrait de Maurras, réalisé à la plume et à l'encre de Chine, sur un papier velin, présenté à Maurras - qui le lui a dédicacé - par le jeune Camelot du Roi Pierre Davin, fils du Camelot Émile Davin, l'un des neuf fondateurs de la section d'Action française de Martigues (la section de Charles Maurras...), dans les années 1910...

    Né le 23 janvier 1906, Pierre Davin a alors 21 ans. Apprenant que Maurras va venir passer quelques jours chez lui, à Martigues, dans sa Bastide du Chemin de Paradis, il y part aussitôt, pour lui présenter ce portrait. Maurras le reçoit fort aimablement, connaissant bien son père, "voisin de trois cent mètres", et d'une famille établie depuis plusieurs générations sur "l'Île", le quartier central de Martigues, le quartier natal de Maurras; de la fenêtre de notre maison familiale, au premier étage, où est né mon père, on a une vue imprenable sur la bastide du Chemin de Paradis, à Ferrières, le quartier de Maurras. Cette maison (ci-dessous), située au 2 Quai Kléber, est entrée dans notre famille par ma grand-mère, Thérèse Mégy...

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    La discussion entre Maurras et mon père porta (entre autres...) sur les origines grecques des villes de Marseille et Martigues (ce qui explique la dédicace) et elle a duré "une bonne partie de l'après-midi", me disait mon père, à chaque fois que nous en parlions...

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    "À Pierre Davin, en souvenir de la trouvaille - si mémorable ! - au château de la Castille et de notre vieux Martigues oublié ! Très cordialement..."

     

    D'abord "carrossier" (mais, d'avant les véhicules automobiles !) mon grand-père Émile devint pêcheur, et fut membre de la Prudhommie des Pêcheurs de Martigues, et l'était toujours dans les années terribles de l'épuration, sinistre re-Terreur, en 45; lorsque le président de cette Prudhommie, Dimille, écrivit la juste, belle et surtout très courageuse lettre en défense de Maurras, lue lors de son inique procès :

    Communauté des Patrons-Pêcheurs de Martigues.

    Martigues, le 16 Octobre 1944.

    Nous, Conseil des Prud'hommes pêcheurs des quartiers maritimes de Martigues, représentant 700 pêcheurs, attestons que notre concitoyen Charles Maurras a, depuis toujours et jusqu'à son incarcération, faisant abstraction de toute opinion politique, fait entendre sa grande voix pour la défense des intérêts de notre corporation.
    Par la presse, il a attaqué les trusts et les autres grands profiteurs, ainsi que certaines administrations qui voulaient nous brimer.

    Pour le Conseil des Prud'hommes, le Président Dimille. 

     27 janvier,viollet le duc,saint denis,sainte chapelle,saint sernin,carcassonne,vezelay,notre-dame de paris,lassus,victor hugo,chateaubriand,louis philippe,merimee

    Face au théâtre, la Prudhommie des Pêcheurs de Martigues

     

    François Davin (à suivre : suite et fin le 20 novembre...)

  • Communiqué de presse de l'Action française Compiègne : HIER UNE POLICIÈRE, DEMAIN VOS SŒURS ?#Rambouillet

    Nos militants ont déployé une banderole cet après-midi devant le château royal de #Compiègne pour alerter les Français sur le danger mortel que représentent l’immigration massive et la présence sur notre sol d’ennemis déclarés de notre nation et de notre civilisation.

    Stéphanie M. - 49 ans, mère de deux enfants - a été égorgée au cri d’« Allah Akbar ! » dans le commissariat de Rambouillet par Jamel G. vendredi dernier.
    Ce crime, signé et caractéristique d’un islam guerrier, s’ajoute à la longue liste d’attentats que connaît la France depuis une dizaine d’années. Ce Tunisien #clandestin, arrivé en 2009 puis régularisé en 2019, n’était pas connu des services de police, ce qui illustre une des nombreuses faillites d’un Etat qui ne maîtrise plus rien. 
    Jamel G. n’avait rien à faire en France, et aurait dû être expulsé rapidement après son entrée sur notre sol. Rappelons-nous, Brahim Issaoui, le terroriste de Nice ayant tué trois catholiques dans la cathédrale était aussi un clandestin tunisien, arrivé par l’île de Lampedusa. 
    Par l’immigration massive et clandestine, la République et ses gouvernements successifs organisent le chaos et mettent en péril la sécurité des Français. Les services de renseignements ne peuvent surveiller ces centaines de milliers d’arrivants. 
    La France doit retrouver sa souveraineté et le contrôle de ses frontières en sortant au plus vite de l’Union Européenne. 
    Le terrorisme aveugle peut frapper chacun d’entre nous. Seule une politique nationale forte et constante saura éviter la répétition de ce scénario que nous promet l’aveuglement de nos élites. Hommage à Stéphanie M. et soutien à sa famille !
     
    Action française - Compiègne
  • Action française Chalon sur Saône : DIJON,DES TAGS SUR LE MUR DU PRIEURÉ DE LA SAINTE-FAMILLE !

    Le prieuré de la Sainte-Famille à Dijon et dépendant de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X, a été l'objet de dégradation de la façade dans la nuit de vendredi à samedi. Dégradations réalisées par l'extrême gauche dijonnaise "antifa" Protège ton église

    L'Action Française Chalon-Sur-Saône dénonce avec la plus grande fermeté les actes de christianophobie. Nous demandons à ce que la ville de Dijon prennent les mesures nécessaires avec la plus grande fermeté pour combattre la délinquance d’extrême gauche.

    Le mouvement antifa, activistes violents et dogmatiques, anarchiste et libertaire, profondément intolérant et totalitaire, est toujours prêts à foncer en meute sur un ennemi quelconque désigné. Refuse toute discussion et utilise la violence contre tous les gens en désaccord avec leurs idées désignés sous l’appellation de «fachos».

    La fermeture à la critique sous prétexte qu’elle émanerait de gens «intolérants», «nauséabonds» ou «infréquentables» ne mène qu’à l’entre-soi, au dogmatisme et en définitive à la tyrannie. Celui qui est persuadé de savoir déjà est condamné à ne plus rien apprendre !

    De nombreuses personnes ont subis ces dernières années des attaques des antifas, et bien évidemment les plaintes ont toutes été classées sans suite, les antifas sont-ils au-dessus des lois ? quels sont leurs liens avec l’état pour qu’ils bénéficient d’une telle clémence ?

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  • L'Action française communique :  Moins d'UE = plus d'heureux !

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    Alors que nous traversons une crise énergétique spectaculaire, le gouvernement a encore annoncé une énième augmentation du prix de l'électricité.  

    La faute à un marché européen de l'électricité qui désavantage la #France, pays du #nucléaire.

    L'#UE mine depuis des années notre industrie nucléaire, nous menant dans une léthargie profonde ayant pour conséquence une perte astronomique de compétences.  Bien que nous sortions peu à peu de cette léthargie, la France continue de subir les assauts de cette UE dont le maître-mot est la libre concurrence du marché. Ouverture du marché de l'électricité et du gaz à la concurrence, projet Hercule, la privatisation toujours plus intrusive de nos barrages, deuxième source d'électricité en France et la seconde moins polluante. Tout est mis en place par l'UE pour casser l'exception #française.  

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    Pourtant les chiffres sont là, la France produit une des électricités les moins carbonées au monde et une des moins chères d'#Europe, si nous étions libérés du carcan européiste !  

    En conséquence, notre fleuron #EDF vend à perte à des fournisseurs privés n'apportant aucune plus-value. Nos artisans, commerçants et TPE/PME payent des factures d'électricité toujours plus exorbitantes. Le gouvernement ne proposant que des solutions court-termistes dont les #Français paieront les frais !  

    C'est pour cela que l'Action française appelle le gouvernement à prendre la mesure de la situation, et au-delà des belles paroles à acter concrètement la relance de notre industrie nucléaire, à poser les premières pierres des nouveaux EPR2, à se concentrer sur le regain de compétences.

    Mais également à nous sortir du marché européen de l'énergie qui est funeste pour notre pays et notre peuple !  

    Pour que vive la France, vive le roi ! 

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : dans L'Action française, Léon Daudet annonce la guerre avec Hitler...

    1933 : Léon Daudet annonce la guerre avec Hitler...

     

    1A.jpgEn première page de L'Action française, ce 1er février 1933, Léon Daudet met en garde contre l'ancien putschiste de Munich, devenu légalement et au gré de la logique démocratique, Chancelier d'Allemagne.

    Sous le titre Hitler et l’œuvre de Briand, l'ancien député royaliste de Paris alerte ses lecteurs devant le péril qui se précise :

    "...Voici Hitler dans le fauteuil de Bismarck. Le "chef de bande" du Petit Parisien, le "peintre en bâtiment" du Journal, le "maboul" du Matin est aujourd'hui, avec son programme guerrier, le maître absolu, en l'absence du Kronprinz, d'un pays de soixante-dix millions d'habitants, qui ne rêve que plaie et bosse. Les bonnes gens de chez nous ne se doutent pas qu'ils ne sont plus séparés d'une guerre d'extermination que par une feuille de papier à cigarette..."

     

    1AA.jpgLa même année, un peu plus tard, en novembre, c'est Jacques Bainville qui alertera, dans son Journal, contre Hitler, et sera le premier à dénoncer les persécutions juives dans sa note du 9 novembre.

    Trois ans plus tôt, le 26 juin 1930, et dans son même Journal, Jacques Bainville dénonçait "l'énergumène", le "monstre", le "Minotaure"...

    L'Action française a fait tout ce qu'elle a pu. Elle a analysé, froidement, lucidement, la réalité. Elle a annoncé les conséquences tragiques des renoncements et des "nuées". Le Pays légal n'a pas voulu entendre, trahissant le pays qu'il avait la charge de servir; l'opinion publique a préféré le lâche assoupissement, et ne rien voir.

    On a eu les conséquences...

    Dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française", voir le numéro du 1er Février 1933 :

    Grandes "Une" de L'Action française : Léon Daudet annonce la guerre, au lendemain de l'arrivée au pouvoir (démocratiquement !) d'Hitler...

  • Chantal Delsol à L’Action Française 2000 : « Il y a un abîme entre la démagogie et le populisme »

    Philosophe, professeur des universités, membre de l’Institut, Chantal Delsol vient de consacrer une livre au “populisme", un courant d’opinion qu’il est convenu de vilipender, mais qui mériterait davantage de considération à ses yeux.

    (Article paru dans L’Action Française 2000, 19.02.2015) 

    L’Action Française 2000 – Considérant qu’il est difficile d’évoquer une catégorie qui relève davantage de l’injure que de la politique, vous procédez à une généalogie du populisme qui vous conduit tout droit en Grèce antique. Peut-on dire que le populiste est à la démocratie moderne ce que le démagogue était à la démocratie athénienne ?

    Chantal Delsol – On peut dire que l’un et l’autre représentent le même symptôme : un problème que l’élite rencontre avec le peuple, dans un régime où, précisément, c’est le peuple qui est souverain. D’ailleurs ces catégories n’émergent que dans les démocraties. Mais tout mon livre consiste à montrer qu’il y a un abîme entre la démagogie antique et le populisme contemporain, parce qu’il y a eu un glissement à l’époque des Lumières, qui a transformé qualitativement les choses. Aujourd’hui, on traite les chefs populistes de démagogues, mais ; justement ; ils ne le sont pas du tout.

    Selon vous, ce « saut qualitatif » qu’est « le passage de la grande particularité » (la cité, le royaume) « à l’universel » (devenir un citoyen du monde devient un impératif catégorique) s’accomplit entre Rousseau et Kant. Quelle est la responsabilité des Lumières dans ce passage de la politique à la morale ?

    Le moment des Lumières est crucial. C’est le moment où le monde occidental se saisit de l’idéal émancipateur issu du christianisme, et le sépare de la transcendance : immanence et impatience qui vont ensemble – le ciel est fermé, tout doit donc s’accomplir tout de suite. C’est surtout vrai pour les Lumières françaises. Ce qui était promesse devient donc programme. Ce qui était un chemin, lent accomplissement dans l’histoire terrestre qui était en même temps l’histoire du Salut, devient utopie idéologique à accomplir radicalement et en tordant la réalité. Pour le dire autrement : devenir un citoyen du monde, c’était, pour Socrate (et pour Diogène, ce Socrate devenu fou), un idéal qui ne récusait pas l’amour de la cité proche (dont Socrate est mort pour ne pas contredire les lois). Être citoyen du monde, pour les chrétiens, c’était une promesse de communion, la Pentecôte du Salut. Mais pour les révolutionnaires des Lumières, dont nos gouvernants sont les fils, être citoyen du monde signifie tout de suite commencer à ridiculiser la patrie terrestre et les appartenances particulières – la famille, le voisinage, etc. Lénine a bien décrit comment s’opère le passage dans Que faire ? – il veut faire le bien du peuple, mais il s’aperçoit que le peuple est trade-unioniste, il veut simplement mieux vivre au sein de ses groupes d’appartenance, tandis que lui, Lénine, veut faire la révolution pour changer le monde et entrer dans l’universel : il va donc s’opposer au peuple, pour son bien, dit-il. C’est le cas de nos élites européennes, qui s’opposent constamment au peuple pour son bien (soi-disant). Pour voir à quel point l’enracinement est haï et l’universel porté aux nues, il suffit de voir la haine qui accompagne la phrase de Hume citée par Le Pen « Je préfère ma cousine à ma voisine, ma sœur à ma cousine, etc. », pendant qu’est portée aux nues la célèbre phrase de Montesquieu : « Si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais à l’oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie, et qui fût préjudiciable à l’Europe, ou bien qui fût utile à l’Europe et préjudiciable au genre humain, je le regarderais comme un crime. » Or nous avons besoin des deux, car nous sommes des êtres à la fois incarnés et animés par la promesse de l’universel.

    La catégorie de l’« idiotie » est centrale dans votre réflexion : le goût pour l’enracinement n’est pas forcément criminel, dites-vous, et ne conduit pas directement au nazisme...

    Oui, la démagogie antique, qui est en quelque sorte un crime lèse-démocratie, commence par la rencontre avec l’idiot. Celui-ci, au sens grec, est un particulier englué dans sa particularité. Il ne s’occupe que de sa famille et ne pense qu’à cela ; les affaires de la cité ne l’intéressent pas : aussi, il n’est pas un citoyen – car le citoyen, c’est celui qui s’élève à l’universel pour vouloir le bien commun. Le chef démagogue est celui qui flatte les penchants de l’idiot. Aujourd’hui, un chef de parti démagogue serait celui, par exemple, qui exhorterait les gens à ne pas payer leurs impôts, ou à ne pas aimer la France. Mais les chefs de partis populistes exhortent à aimer les entités proches et particulières, comme la France justement, et c’est tout à fait différent. Ils cultivent les penchants des citoyens pour l’enracinement, alors que les élites sont dans l’émancipation sans frein. Nous sommes dans un cas de figure très différent de celui de l’antiquité. Dans l’antiquité, les démagogues étaient susceptibles de détruire la démocratie (car lorsque les gens ne se comportent plus en citoyens, ils se mettent en situation de tyrannie). Mais aujourd’hui, les chefs populistes réclament que la démocratie prenne davantage en compte les valeurs d’enracinement et réfléchisse aux limites de l’émancipation tout azimut. Le besoin d’enracinement et le besoin d’émancipation font partie peut-être du destin humain, en tout cas certainement du destin occidental – l’enracinement est un besoin spécifiquement humain, l’émancipation répond au temps fléché judéo-chrétien. On pourrait même dire, mais ce serait un autre sujet, qu’au fond l’invention de la démocratie répond à la nécessité de trouver à chaque époque un équilibre entre les deux, car ils se contredisent. Mais il est tout à fait faux de dire, comme le disent nos élites, que l’enracinement est une faute contre l’esprit, une faute contre la démocratie, et s’apparente au nazisme. Le nazisme a été la perversion de l’enracinement, comme le communisme a été la perversion de l’émancipation. Mais assimiler constamment un besoin (ce que Simone Weil appellerait un besoin de l’âme) à sa perversion, c’est une imposture.

    Pour Sartre, dans Réflexions sur la question juive (1954), « si le Juif n’existait pas, l’antisémite l’inventerait » ; il ajoutait que, finalement, « c’est l’antisémite qui crée le Juif », du moins tant que celui-ci ne revendique pas son authenticité. Ne pourrait-on pas dire, parallèlement, que ce sont les membres d’une élite mondialisée, déconnectée du pays réel, qui créent, parce qu’ils en ont besoin pour asseoir moralement leur pouvoir sur le peuple, cette « France moisie » dont le populiste serait le représentant politique ? Comment dès lors rendre la parole au peuple ?

    Je ne dirais pas cela, de même, d’ailleurs, que je tiens les paroles de Sartre pour de l’exagération. Il est de toute façon difficile de créer une réalité de cette manière ! Le peuple de l’enracinement décrit par nos élites haineuses existe bien, et on le rencontre ici ou là dans les médias où il s’exprime. Personnellement, je n’aimerais pas qu’il parvienne au pouvoir tel quel (on me confisquerait aussitôt mon stylo, en tant que femme !), et d’ailleurs je n’ai jamais voté pour ces partis. Mais je pense qu’il faut travailler à élever ces gens, à les civiliser en quelque sorte, et pour cela cesser d’abord de les injurier. De même qu’il faut travailler à élever l’élite en lui faisant comprendre les nécessités de l’enracinement. Je ne dirais pas que les dits populistes sont une invention de l’élite qui aurait besoin d’un ennemi, mais qu’ils sont grandis et radicalisés par l’élite qui tente de biffer des composantes essentielles de l’humain.

    Propos recueillis par François Marcilhac

    Chantal Delsol, Populisme – Les demeurés de l’Histoire, Le Rocher, 220 p., 17,90 euros.

  • Communiqué de l'Action française Restauration Nationale : le macro­nisme laisse tout passer.

    « On ne lais­se­ra rien pas­ser ! » Ces mâles paroles chez un homme qui ne nous a jamais habi­tué à la fer­me­té, sauf contre les gilets jaunes, c’est-à-dire le pays réel, sont-elles vrai­ment ras­su­rantes après plus de 260 morts depuis Char­lie Hebdo ? 

    Aujourd’hui, une poli­cière, âgée de 49 ans, mère de deux enfants, égor­gée devant ses col­lègues est l’illustration tra­gique du fameux « en même temps ». 

    Et les « experts », du haut de leur exper­tise, viennent expli­quer sur les pla­teaux télé avec des têtes de croque-morts que le risque zéro n’existe pas !

    Ne rien lais­ser pas­ser dites-vous M. Macron ?

    Pour­tant on laisse tout pas­ser quand l’immigration mas­sive, incon­trô­lée, légale et illé­gale conti­nue de tra­ver­ser nos frontières. 

    On laisse tout pas­ser quand s’installe la haine raciste des déco­lo­niaux, qu’on se met à genoux devant eux, qu’on a honte de nos ancêtres et qu’on parle en anglais de « décons­truc­tion de notre Histoire » !

    On laisse tout pas­ser, quand on frappe uni­que­ment sur les natio­naux lan­ceurs d’alerte en fai­sant pla­ner le spectre du dan­ger fan­tas­mé de l’extrême droite. 

    Enfin, aujourd’hui, on a tout lais­sé pas­ser en accor­dant à ce meur­trier tuni­sien après dix ans de clan­des­ti­ni­té, un titre de séjour per­ma­nent pour obéir aux ordres de Bruxelles. 

    La machine de trans­for­ma­tion radi­cale de notre socié­té lan­cée par les hypers capi­ta­listes, qui règnent notam­ment à Davos, com­porte de sor­dides dom­mages col­la­té­raux et c’est le peuple de France qui paye la note de son sang !

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • À la découverte du fonds lafautearousseau (43) : Dans L'Action française, le naufrage du Titanic...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Dans L'Action française, le naufrage du Titanic...

    (tiré de notre Catégorie Grandes "Une " de L'Action française)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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    1912 : Roger-Marie Bricoux, violoncelliste de l'Orchestre du Titanic, périt dans le naufrage   

         

    Dans notre Catégorie Grandes "Une" de L'Action française, voir :

    Grandes "Une" de L'Action française : 15 Avril 1912, le naufrage du Titanic...

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    L'orchestre continua de jouer jusqu'à la fin (Image : Titanic, de James Cameron, 1997) 

     

    Les témoignages sont unanimes : s'ils varient quelque peu sur le dernier morceau joué par l'Orchestre (pour la grande majorité des survivants, il s'agit du cantique "Plus près de toi, mon Dieu...") tous les rescapés s'accordent à dire que, jusqu'aux derniers instants, l'Orchestre des huit musiciens a joué, comme si de rien n'était. Donnant ainsi un exemple rare de courage personnel et de noblesse de coeur.

    Roger-Marie Bricoux était le violoncelliste du groupe... Il était né le 1er juin 1891 à Cosne-sur-Loire, sa famille se fixant ensuite à Monaco.

    Sur le Titanic, il était passager de seconde classe : il n'avait pas 21 ans...

    Il y avait 48 Français à bord du Titanic : ils formèrent une association, "Les Français du Titanic", et rédigèrent collectivement l'histoire du naufrage, dans un livre qui porte ce même nom...

     

    "Le Naufrage" a inspiré à Jacques Bainville un célèbre article, paru trois jours après la catastrophe, dans L'Action française du 18 avril 1912 : voir, dans notre Catégorie "Lire Jacques Bainville", l'article XI, Le Titanic ? Insubmersible ! Ou : réflexion sur la crédulité, d'hier, d'aujourd'hui, de toujours.

     

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    L'orchestre du Titanic au grand complet : de gauche à droite et de haut en bas : George Krins, Wallace Hartley, Roger Bricoux, Theodore Brailey, Percy Taylor, Wes Woodward, John Clarke et John Hume.

  • À l’Action Française, « chaque section rendra hommage à Jeanne d’Arc ».

    Source : https://www.infos-toulouse.fr/

    L’Action française organise deux concours dans le cadre des fêtes johanniques. Jeanne d’Arc faisant partie intégrante de l’identité du mouvement royaliste, hors de question de la laisser de côté, malgré le coronavirus.

    Le coronavirus aura eu raison de la traditionnelle marche pour Jeanne d’Arc qui se déroule chaque année à Paris. Mais les organisateurs, l’Action française en tête ne compte pas laisser de côté le centième anniversaire de la canonisation de la sainte patronne de France. Plusieurs initiatives sont prévues pour rendre les honneurs à sainte Jeanne d’Arc. 

    Infos-Toulouse : La traditionnelle marche pour Jeanne d’Arc ne pourra pas avoir lieu cette année, prévoyez-vous une solution alternative pour honorer la sainte patronne de France ?
    Enzo Sandré : Bien entendu. Le déconfinement débutera le 11 mai. À partir de cette date et pendant tout le mois de mai, chaque section rendra hommage à Jeanne d’Arc, parfois plusieurs fois afin de respecter la limite de rassemblement de 10 personnes.

    Comment y participer ?
    La limite de 10 personnes nous oblige à n’inviter aux hommages officiels que les militants que nous souhaitons spécialement distinguer. Cependant, n’importe qui peut participer aux deux concours qui rythmeront ce mois de mai : un concours de fleurissement des statues de Jeanne d’Arc et un concours de rédaction de discours. Des récompenses sont prévues. Toutes les informations se trouvent sur le Discord.

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    © Étienne Lafage / Infos-Toulouse

    Pendant le confinement vous avez mis en place des conférences quotidiennes. Comment cela s’est passé ?
    Beaucoup de nouvelles têtes ont été ravies de pouvoir se nourrir l’esprit pendant le confinement. Ce Discord a été un succès, tant par la qualité des conférences que par la fréquentation. Le direct oscille chaque soir entre 110 et 200 personnes. Les auditeurs sont nombreux en différé, sur Spotify ou Soundcloud. Nous espérons que la reprise sera l’occasion d’intégrer cette masse de sympathisants aux activités normales des sections.

    Est-ce une forme que vous allez perdurer ?
    Oui, même si l’activité baissera probablement. La place des militants est sur le terrain, Internet est seulement un levier.

    Avez-vous prévu de nouvelles actions à la sortie du confinement ?
    Ce n’est pas prévu, mais qui sait ?

    Comment analysez-vous la gestion de cette crise par le gouvernement ?
    Il serait imprudent de critiquer la gestion de crise en elle-même, il faudra attendre le retour à la normale pour juger, avec du recul. Cependant, il est atterrant de constater l’état d’impréparation du gouvernement avant la crise. Gouverner c’est prévoir, la République n’est clairement pas au niveau. Où sont les stocks stratégiques ? Pourquoi n’a-t-on aucune indépendance dans l’approvisionnement ? Qui a pillé le domaine ? Toutes ces questions sont politiques, donc à notre portée.

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    © Étienne Lafage / Infos-Toulouse

    Vous reconnaissez vous dans cette union nationale décrétée par le pouvoir ?
    L’heure est grave, il faut faire France. Une fois cette épidémie endiguée, nous demanderons non seulement des comptes, mais surtout la chute de cette « machine à mal faire » qu’est la République. L’union nationale est légitime, aujourd’hui comme en 14. Au siècle dernier l’Action française a fait l’erreur de ne pas conserver ses sources d’information et ses experts, se livrant pieds et poings liés à la République, au nom de l’Union Sacrée. Nous ne recommencerons pas cette erreur. Nos experts médicaux sont au niveau des comités scientifiques du gouvernement et notre réseau nous offre un aperçu exhaustif de l’état du pays.

    Un dernier mot ?
    Cette crise aura rendu évidente la nécessité pour la France d’être une puissance. Une puissance, qui ne peut pas être autre chose qu’indépendante, souveraine et affirmée. La république s’en montre incapable, il ne faut pas avoir peur de conclure à l’obsolescence de cette forme de gouvernement. À la fin de ce confinement, les français auront deux alternatives : manifester stérilement une fois de plus contre les joueurs que sont les politiciens ou renverser le plateau et refuser le jeu absurde qu’est la République.

  • Communiqué de presse de l'Action française Vannes : sauvons la fonderie de Bretagne !

    Vannes, le 22 06 2021
    À l’at­ten­tion du ser­vice politique

    Ayant déjà délo­ca­li­sé une grande par­tie de la pro­duc­tion de pièces en Tur­quie, le Groupe Renault, pro­prié­taire du site de la Fon­de­rie de Bre­tagne situé à Cau­dan, a concré­ti­sé le 11 mai 2021 son pro­jet de vente du site de fabri­ca­tion, en enta­mant les recherches d’un nou­veau repre­neur.

    Le Groupe Renault met ain­si en péril les 340 emplois bre­tons et les mil­liers d’emplois indi­rects qui y sont liés, et dans une fra­gi­li­té éco­no­mique into­lé­rable l’ensemble des familles de ces salariés.


    Cette vente réa­li­sée dans le cadre du plan d’économie de mai 2020 du Groupe, s’inscrit dans la longue liste des délo­ca­li­sa­tions réa­li­sées depuis le début des années 2000, où le Groupe Renault s’est illus­tré par son zèle anti­fran­çais. En 2004, plus de 333 000 emplois étaient liés à la concep­tion et fabri­ca­tion de voi­tures en France ; en 2019, on ne comp­tait plus que 210 000 emplois. Cette année-là, le Groupe Renault lan­çait sa nou­velle Clio V, entiè­re­ment pro­duite dans l’usine de Bur­sa (Tur­quie).


    Le Groupe Renault, en fai­sant le choix de l’intérêt éco­no­mique plu­tôt que l’intérêt natio­nal, en fai­sant le choix de la ren­ta­bi­li­té plu­tôt que de la sau­ve­garde de l’emploi, s’oppose à l’intérêt fran­çais : traître à la Patrie, Renault a choi­si son camp – celui du mer­can­ti­lisme nihiliste.


    Tou­te­fois, cette traî­trise éco­no­mique n’a été pos­sible qu’avec la com­pli­ci­té de la Répu­blique : en offrant les pleins pou­voirs au dik­tat bruxel­lois sur la France, elle a aban­don­né la défense de la Nation fran­çaise et ain­si expo­sé l’ensemble des Fran­çais au libé­ra­lisme apa­tride et à ses consé­quences sociales dramatiques.


    L’Action fran­çaise, parce que pro­fon­dé­ment atta­chée à la défense de la Nation et à la pro­tec­tion de l’ensemble des Fran­çais, ne peut se rési­gner à voir la France aban­don­née aux délo­ca­li­sa­tions et aux inté­rêts mer­can­tiles. Le Bien Com­mun de la Nation impose un véri­table patrio­tisme éco­no­mique, seul capable de conci­lier la sur­vie des entre­prises et la pro­tec­tion de l’ensemble des tra­vailleurs. Pour ce faire, la France doit non seule­ment retrou­ver son indé­pen­dance face au dik­tat libé­ral de Bruxelles, mais sur­tout un sys­tème poli­tique réel­le­ment sou­cieux du Bien Com­mun. Face aux délo­ca­li­sa­tions, pour les emplois bre­tons et pour la Nation, vive le Roi !

    Action fran­çaise – Vannes

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    Source : https://www.actionfrancaise.net/