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  • Patrimoine • Lancement du projet de reconstruction de la flèche de Saint-Denis

     

    Les projets de reconstruction sont nombreux. Peu se réalisent, beaucoup tardent à le faire. Tous sont intéressants, méritent d'être signalés et témoignent, en tout cas, de l'attachement persistant de la société française à son patrimoine historique. LFAR 

    En cette année 2015, la façade de la basilique vient d'être rénovée : elle a retrouvé la blancheur de ses pierres, ses inscriptions dorées et sa très originale horloge dont les aiguilles sont en forme de serpent. Mais, depuis un siècle et demi, il manque à la basilique sa tour nord, surmontée d'une flèche (croquis ci dessous).

    st denis 2.jpgJusqu'au XIXème siècle, les deux éléments culminaient à 86 mètres au-dessus du parvis. Frappés par la foudre puis déstabilisés par une tornade, ils avaient dû être démontés en 1846. Une intervention - pense-t-on à l'époque - provisoire... 

    Fin 2015, un Comité de parrainage du projet de reconstruction de la tour nord et de sa flèche, présidé par l'académicien Erik Orsenna se crée, appuyé par la mairie : "Cette basilique fait partie de notre histoire. Elle est inscrite dans les gènes d'une ville qui s'est édifiée autour d'elle. C'est l'une de nos grandes fiertés, et il est temps de lui redonner le visage qu'elle a eu pendant des siècles." (Didier Paillard, le maire PCF de Saint-Denis)  

    L'idée portée par la municipalité et les parrains du projet est d'installer un chantier médiéval en pleine ville, le visiteur étant ainsi plongé dans les techniques de l'époque, tout à côté de la cathédrale, découvrant comment sont façonnés les éléments de la tour, observant le travail des artisans (tailleurs de pierre, forgerons, charpentiers...), découvrant les méthodes de transport de l'époque, exactement comme ce la se passe au château de Guédelon, édifice construit aujourd'hui selon les méthodes utilisées au Moyen-Âge... 

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    L’horloge de la Basilique est une superbe rosace de 4,50 mètres de diamètre, restituée avec ses très curieuses - et très originales... - aiguilles en forme de serpent...

  • AUJOURD'HUI : FÊTE NATIONALE DE JEANNE D'ARC !

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    Avant l'arrivée de Jeanne, il y a "grande pitié au royaume de France"  :

    - les Anglo-Bourguignons tiennent tout le nord du pays ;

    - Orléans, assiégée depuis sept mois, va succomber à la famine ;

    - Charles VII, le "gentil dauphin", est réfugié à Chinon ;

    - la capitale est aux mains des Anglais : Henri VI, le "petit roi godon", y règne...

    A l'arrivée de Jeanne, tout change : dans l'enthousiasme qui suit la libération d'Orléans, Jeanne électrise ses soldats et, dans la foulée, va bousculer les Anglais à Patay ; elle a compris que Charles VII (dont la naissance légitime avait été mise en doute par sa propre mère, Isabeau de Bavière) ne sera pas reconnu roi légitime à la suite d'une ou deux victoires : c'est à Reims qu'il faut aller !

    Comme l'écrit Jacques Bainville, "la grande idée de Jeanne, c'est le sacre de Reims..."

     

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    Et, depuis, chaque année, la ville d'Orléans commémore l'évènement capital que constitua sa libération, en organisant les très belles Fêtes Johanniques à Orléans durant lesquelles la ville entière entonne la Cantate à Jeanne d'Arc : 

     

     

    "Tout désespoir en politique est une sottise absolue" (Charles Maurras). Quelle plus belle et plus noble illustration de cette pensée que la Geste héroïque de Jeanne, qui reste à jamais comme la plus exaltante preuve d'une espérance au-delà de toutes les apparences, d'une espérance qui peut tout et malgré tout, finalement, qui emporte tout ? 

    La Geste héroïque de Jeanne est un moment fondamental de notre Histoire nationale : nos Ephémerides essayent de vous en raconter ses moments essentiels :

    - 25 février (rencontre de Jeanne et du Dauphin, à Chinon);

    - 8 mai (libération d'Orléans);

    - 18 juin (victoire de Patay);

    - 17 juillet (sacre de Reims);

    - 23 mai et 21 novembre (capture, et livraison aux Anglais);

    - 30 mai (martyre);

    - 16 mai (canonisation);

    -10 juillet (instauration de la Fête nationale)...  

     

    ETENDARD DE LA DELIVRANCE !

    A LA VICTOIRE IL MENA NOS AÏEUX,

    A LEURS ENFANTS IL PRÊCHE L'ESPERANCE !

    FILS DE CES PREUX, CHANTONS COMME EUX :

    VIVE JEANNE ! VIVE LA FRANCE !

    lafautearousseau

  • Choses vues : deuxième message de nos amis en visite en Sicile...

    Quand on pose juste le pied à terre à Bagheria, on ressent tout de suite cette chaleur, cette quiétude propre à l'endroit. Il est agréable tout en se promenant dans cette ville tellement atypique de voir les visages radieux des habitants et la sérénité qui y règne. On ne discerne aucune animosité ou crainte alors que la Sicile, à tort ou à raison, a cette réputation d'être méfiante voire indifférente.

    On voit encore de très nombreuses affiches de Mattéo Salvini et surtout on remarque les drapeaux de l'Italie et de la Sicile mélangés aux fenêtres, balcons ou tout simplement accrochés sur les devantures des magasins locaux.

    Les passages remarqués de Salvini dans cette ville ont marqués les esprits de ses habitants non seulement par son discours, qui a convaincu jusqu'aux plus récalcitrants, mais aussi par sa personnalité joviale, charismatique, chaleureuse.

    Lorsque l'on rentre dans un simple bar afin de se désaltérer, au milieu de toutes ces petites conversations, on entend souvent les noms de Salvini, Sofo (cheville ouvrière et bras droit du mouvement de Salvini) et les mots de "remplacement", "migrants".

    Il n'y aucune gène de la part des habitants à parler de ces thèmes ouvertement et librement. Ils se sentent enfin écoutés par des personnes qui s'intéressent à leur vie quotidienne.

    Les choses avancent en  Italie, dans toute l'Italie, y compris chez eux, si longtemps abandonnés, et cela les habitants le voient et croient à nouveau en un futur meilleur pour eux et leur descendance.

    Il est clair que Bagheria est d'ores et déjà conquise et il semble bien que toute l'Italie soit en voie de l'être...

    BAYARD

     

    En guise de confirmation de ce billet, vous lirez avec intérêt cet article du Figaro :

    https://amp.lefigaro.fr/vox/monde/la-majorite-des-italiens-approuve-l-action-de-salvini-comme-ministre-de-l-interieur-20190819?__twitter_impression=true&fbclid=IwAR2r7_vFRFqRZAQsfiwCF8s5wZoq_7l3H8LtDd6NPAIs5oyoR4T8hd3qw_k

     

    Et, jeudi prochain, troisième billet : l'état d'esprit actuel de la population dans les deux petits villages de Sperlinga et Savoca...

  • Tout ce qui est Racines est bon ! Ce soir, c'est le début des Fêtes de Bayonne...

    C'est l'occasion de découvrir ces Fêtes, en regardant les quatre photos que nous leur consacrons dans notre Album - en cours de rédaction - :  Ces Fêtes qui "font", qui "sont", la France...

    Voici le texte de la première (et son illustration); pour consulter les suivantes (et, éventuellement, vous intéresser à d'autres Fêtes, qu'elles soient religieuses ou profanes, 

     

    Les fêtes de Bayonne, c'est tout le Pays Basque, cette terre magnifique où les traditions populaires se sont maintenues, plus qu'ailleurs exceptionnellement vivaces. 
    Ces fêtes commencent le mercredi qui précède le premier week-end du mois d'août, et se terminent le dimanche suivant. 
    Elles réunissent un million et demi de participants - tout de blanc et de rouge vêtus - et sont les les plus importantes de France; elles se célèbrent aussi bien le jour que, les nuits, dans un extraordinaire concours de peuple et une incessante animation.

    Les Fêtes de Bayonne, c'est donc, sur près d'une semaine, un million et demi de personnes qui se côtoient, se retrouvent et fraternisent, joyeusement, dans le bonheur de la fête et aussi - et surtout - la pleine conscience et la fierté légitime d'appartenir à un peuple, à une nation, héritiers d'une authentique culture, d'une riche et belle civilisation, de traditions plus que millénaires...

    Tout a commencé en 1932 : cette année-là, une quinzaine d'amis bayonnais sont à Pampelune, où ils découvrent le concept de la "fête de rue" en assistant aux traditionnelles Sanfermines, les fêtes de la Saint Firmin, et leurs lâchers de taureaux dans les rues de la vieille ville (les encierros). 
    Enthousiasmés, ils décident d'importer chez eux, à Bayonne, en l'adaptant, ce qu'ils viennent de vivre dans la ville navarraise. 
    La couleur traditionnelle, et officielle, en Navarre, est le "rouge et blanc" : au début, à Bayonne, ce fut bleu et blanc, mais, très vite, le rouge et blanc s'imposa. 
    On peut porter l'écharpe rouge avant 22 heures, ouverture officielle de la fête, par exemple au poignet; mais ce n'est qu'à partir de l'ouverture officielle de la fête que l'on peut porter l'écharpe autour du cou, ce qui rappelle le martyre de Saint Léon, décapité à Bayonne vers 890... 

    Site officiel :
    http://www.fetes.bayonne.fr/

  • Premier don, premiers remerciements...

    Un grand merci à S.C, de Vichy, qui vient de nous faire parvenir le premier chèque - généreux - que nous allons déposer sur notre nouveau compte bancaire. Un grand merci aussi à G.S. de Quarignon, en Wallonie, qui nous a écrit le lendemain même de notre premier appel aux dons pour nous demander notre IBAN, et nous enverra un don par Paypal - toujours pas installé : lenteurs administratives du Système obligent !... -

    Voici ce qui a été décidé lors de notre dernière réunion de Bureau : l'ancien Système de remerciement n'était pas satisfaisant (écrire juste le nom de la ville du donateur sous le visuel d'appel aux dons). Le Bureau m'a demandé, en ma qualité de Président, de répondre personnellement à chaque fois qu'un don nous parviendra :

    - soit par un courriel personnalisé, si une carte ou lettre accompagne le chèque envoyé par courrier à l'adresse de l'Association lafautearousseau, en indiquant une adresse de messagerie;

    - soit par une lettre manuscrite (comme c'est le cas pour S.C., ma lettre de remerciement est déjà postée) si aucune adresse internet n'est communiquée : je l'enverrai alors à l'adresse indiquée sur le chèque.

    Je dis bien "manuscrite", car tout don représente un geste de sympathie, peut-être de privation, voire de sacrifice : en aucun cas l'horrible photocopie sans âme, avec juste une signature en bas de page, ne saurait convenir; et, bien sûr, je n'utiliserai pas non plus de stylo-bille (bien commode pour d'autres tâches, il est vrai), mais... un stylo plume, s'il vous plaît ! Cela me semble la moindre des corrections...

    Le Bureau a aussi pensé que le montant du don ne devrait pas être indiqué, et que seules les initiales et le nom de la ville devraient apparaître, si nous décidions de publier la liste des donateurs...

    Il me reste juste à espérer que vous ne me contraindrez pas à passer tout mon temps à rédiger missive sur missive ! (Je plaisante, évidemment...)

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau

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  • Cinéma • Le Lion est mort ce soir

     

    Par Guilhem de Tarlé 

    Le Lion est mort ce soir, une comédie dramatique française de Nobuhiro Suwa, avec Jean-Pierre Léaud et Pauline Etienne. 

    Quoniam nominor Leo.

    Certes il s'appelle Léaud , mais seulement Jean dans le film ; certes, il y a la dernière image ; il n'en reste pas moins que le Lion et la chanson, dans le scénario et dans le titre, apparaissent comme tirés par la crinière, et Dominique Bourcier a bien raison dans Présent de dire l’ « allure de cabotin » de l'acteur.

    « et la raison,

    C’est que je m'appelle lion :

    À cela l’on n'a rien à dire ».

    Alors, où se situe l'intérêt du film ?

    Dans le décor, et ce fut une surprise, quasi « divine », venant de ce réalisateur japonais !

    Au bout de quelques minutes, nous voilà dans le port de La Ciotat avec son ancienne mairie, son quai, ses bateaux...

    Tandis qu’il y a quelques mois L’Atelier a fait sa pub sur la ville que l’on ne voyait pourtant que furtivement, ce long-métrage nous y promène, dans la rue des Poilus où Jean fait ses courses chez notre marchand habituel (5 fruits et légumes par jour), devant la fontaine de la place Sadi Carnot, et encore dans de nombreuses autres petites rues comme Fougasse ou Gueymard,..

    Le clou du spectacle enfin, la Villa d’Arcy où se joue le principal de l’action, et dans laquelle nous avons des souvenirs pour être allé enfant, adolescent et même il y a quelques années. Elle a d’ailleurs déjà été mise en scène, mais beaucoup plus brièvement, pour un téléfilm de 1990, Trahie. 

    Michel Simon, en son temps, avait aussi une villa à La Ciotat, et je me rappelle, petit, l’avoir vu en ville… Il avait, comme Jean-Pierre Léaud, le physique de l’emploi, et je l’imagine très bien dans ce film en tenir le rôle… mais ce Lion-là est bien mort… Est-ce pour cela que La Ciotat fait partie des soixante communes en France dont un maire, stupide, a signé un arrêté interdisant les représentations de cirque avec des animaux sauvages ?

    Curieux qu’il ait autorisé le tournage de ce film !    

  • Famille de France • Le prince Jean après le voyage d'Emmanuel Macron en Inde : « Penser global, agir local»

    Affiche de bienvenue déployée pour le voyage d'E. Macron en Inde

     

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    Penser global, agir local

    Le Président de la République est rentré de son voyage en Inde.

    Il avait la volonté affichée de faire de la France « la porte d’entrée » du géant asiatique en Europe ainsi qu’un partenaire stratégique privilégié. Ce voyage s’est conclu par plusieurs contrats pour quelques 13 milliards d’euros, dans de nombreux domaines comme l’environnement (la distribution d’eau potable et la modernisation du réseau dans le sud de l’Inde), l’énergie (l’inauguration d’une centrale solaire et un accord de vente définitive de réacteurs EPR), les transports (la fourniture et la maintenance de moteurs d’avion et l’alimentation électrique des métros ainsi que la fourniture de nouveaux trains) et enfin l’armement. 

    Un beau bilan, pour autant que cela puisse avoir des répercussions sur le tissu économique de notre pays, ce qui n’est pas forcément dit. Pour preuve, les centres de nos petites et moyennes villes se vident de leurs commerces. À Dreux, par exemple, en dehors de plusieurs axes de passages, notamment la rue piétonne qui va vers le Beffroi ou encore la place du marché couvert, il suffit de parcourir les rues adjacentes, pour observer de plus en plus de devantures vides, en dehors des coiffeurs, opticiens, assurances, etc… dont le développement semble lié aux périodes difficiles. L’une de ces rues, qui ne fait pas plus de cent mètres, compte jusqu’à dix devantures vides. C’est en partie la faute à Rousseau, mais pas uniquement. Le choix a été fait de développer prioritairement certaines zones à la périphérie des villes. Et puis il y a des erreurs stratégiques de certaines marques Amandiers-1-300x225.jpgqui ont choisi de mauvais emplacements, ou qui proposent de mauvais produits.

    Heureusement, le printemps revient.

    En tout cas, les amandiers sont en fleurs ce qui me semble être un bon présage. Peut-être pas pour résoudre la question de fond de notre économie, mais au moins pour nous donner l’énergie d’avancer !    

      

    Jean de France, duc de Vendôme
    Domaine Royal de Dreux le 23 mars 2018

     

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    Déclin des commerces au centre de Dreux 

    Le site officiel du Prince Jean de France

  • Sur la page facebook de Frédéric de Natal

     
     

    Un historien qui ne décolère pas : ils veulent déboulonner Louis XIV, Place Belllecour à Lyon. C'est le magazine "Lyon Mag' "* qui nous apprend ce soir que des (pseudo-) militants du mouvement Black Lives Matter (BLM) ont recensé "statues, plaques, rues, ponts honorant honteusement des Colons ou figures esclavagistes" de la capitale des Gaules. "Au total, une cinquantaine de points qui ont été listés dans l’agglomération de Lyon,d’après les réalisateurs de la carte interactive", déplore le magazine bien connu de la région.

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    La "carte de la honte" est disponible sur la Toile**. Parmi les noms et lieux pointés du doigt se trouvent les ponts Napoléon Bonaparte ou Gallieni respectivement accusés d'esclavagisme et d'avoir été des "instigateurs de nombreux massacres". Les statues ne sont pas non plus épargnées par l'inculture de ces personnes qui évoquent le point de rendez-vous le plus populaire de Lyon : la statue équestre de Louis XIV qui trône place Bellecour et qui fait face à la basilique Notre-Dame de Fourvière.

    Selon ces militants, "l’ancien roi a très largement participé au développement de la traite négrière" comme nous le rapporte le magazine et qui se fait l'écho des propos de ces militants sur les réseaux sociaux. Autre figure indissociable de l'histoire de la ville, l’ancien maire radical-gauche de Lyon de 1905 à 1940 puis de 1945 à 1954, Edouard Herriot accusé subitement de collusion colonialiste pour avoir "organisé l’exposition universelle de Lyon en 1914 qui comprenait l’installation du pavillon colonial. Dans celui-ci, 120 sénégalais ramenés des colonies doivent reconstituer un village local. 104 Chinois ont également été amenés pour servir de pousse-pousse dans la ville" dénoncent les activistes du BLM.

    Les militants, qui officient sur Twitter, appellent à débaptiser tous ces noms tout en se justifiant ainsi : "L'action, populaire, antiraciste, de déboulonner des statues est simplement un acte de réappropriation du lieu public, de l’environnement, pour le rendre moins oppressif" affirme l'auteur de cette initiative qui espère créer un mouvement comparable à ce qui se passe en Belgique, au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis.

    FdN (je remercie par ailleurs la personne qui m'a référencé dans le wikipedia consacré au Black Lives Matter)

  • Le Black Lives Matter fait retirer la statue de Louis XVI, par Frédéric de Natal.

    Source : http://www.monarchiesetdynastiesdumonde.com/

    Victime collatérale du mouvement Black Lives Matter (BLM), la statue de Louis XVI a été retirée de son socle sur décision de la mairie de Louisville.

    Offerte en 1967 par la ville de Montpellier à celle de Louisville, située dans le Kentucky, ce monument de 9 tonnes avait été vandalisé en mai dernier, aux premières heures des manifestations de protestations qui avaient suivies la mort des afro-américains George Floyd et Breonna Taylor. Considérée comme un symbole du commerce triangulaire par le BLM, sa main droite avait été arrachée par les manifestants, la statue entièrement recouverte de graffitis.

    «Étant donné l’état endommagé de la statue, les autorités s’inquiètent du risque de dommages supplémentaires qui pourraient causer des blessures au public», s'est justifié jeudi dans un communiqué, Greg Fischer, le maire de Louisville, qui semble avoir aussi cédé aux injonctions du mouvement antiracialiste qui exigeait le retrait du roi de France. Le 13 août , l'élu américain avait été même pris en otage par des militants du Black Lives Matter qui avaient manifesté devant sa résidence principale, réclamant sa démission.

    Au plus fort des manifestations, le duc d'Anjou, le prince Louis-Alphonse de Bourbon et le comte de Paris, le prince Jean d'Orléans (lequel a été cité hier, sur cette affaire, dans le magazine Le Point et le journal le Figaro) avaient fait part de leur regrets conjoints face à la dégradation de la statue représentant «le destin commun de deux pays». Louisville ayant été nommée en hommage à l'action du roi de France dans l'aide apportée aux américains dans leur désir d'émancipation du Royaume-Uni à la fin du XVIIIème siècle.

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    Plus offensif, le communiqué du duc d'Anjou avait fait l'objet d'un «bad buzz» et violemment critiqué dans la presse et par des mouvements de gauche qui lui avaient reproché de plus s'occuper d'une statue que du sort des afro-américains. Le monument a été treuillé et replacé loin des regards des habitants de Louisville. Conformément à la demande du prince Louis-Alphonse de Bourbon, ou suite logique des événements, la ville va nettoyer et réparer la statue qui porte la mention de «King of France». Tout un symbole pour ce qui ressemble à un second procès du roi-martyr, guillotiné par les révolutionnaires le 21 janvier 1793.

     

    Copyright@Frederic de Natal

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : reportage de TF1, week-end autour de Nérac, les terres d'Henri IV.

    Dans son reportage, les caméras de TF1 commence son parcours dans le Lot-et-Garonne sur les bords d'une rivière à Nérac, la ville où Henri IV avait passé sa jeunesse.

    Il subsiste son château et un patrimoine naturel à découvrir à vélo. Maurice Monnier, raconteur de pays, va nous servir de guide. Il nous emmène dans le parc royal de la Garenne qui a été créé par l'épouse d'Henri IV, la reine Margot. C'est un espace bucolique parsemé de fontaines, dont une statue de Fleurette, souffrante du roi qui se serait jetée dans la rivière par dépit amoureux.

    Direction Lot-et-Garonne pour profiter d'une promenade dans différentes époques de l'histoire.

    Dans le Lot-et-Garonne, notre parcours commence sur les bords d'une rivière à Nérac, la ville où Henri IV avait passé sa jeunesse. Il subsiste son château et un patrimoine naturel à découvrir à vélo. Maurice Monnier, raconteur de pays, va nous servir de guide. Il nous emmène dans le parc royal de la Garenne qui a été créé par l'épouse d'Henri IV, la reine Margot. C'est un espace bucolique parsemé de fontaines, dont une statue de Fleurette, souffrante du roi qui se serait jetée dans la rivière par dépit amoureux.

    Le Lot-et-Garonne dispose de nombreux cours d'eau plus ou moins grands, mais c'est le Lot qui est le plus important. C'est d'ailleurs un endroit incontournable. À Castelmoron-sur-Lot, à quelques dizaines de kilomètres de Nérac, Anibal Ferreira loue des canoës et des bateaux à moteur. En famille ou avec des amis, cet ancien champion de Kayak se met à l'eau dès que possible. Une occasion pour admirer cette rivière qui a forgé toute la vallée centrale du département. À peine accosté, il est temps de plonger dans le monde agricole. Quels sont les bons plans et les autres sites à découvrir ?

    Sources : https://www.lci.fr/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : le Comte et la Comtesse de Paris à l’inauguration de l’exposition «Ferdinand-Philipp

    Ce vendredi 18 juin 2021, avant l’inauguration officielle au musée Ingres-Bourdelle de l’exposition intitulée « Ferdinand-Philippe d’Orléans, images d’un Prince idéal », Axel de Labriolle, Maire de Montauban, et son épouse ont reçu à l’hôtel de ville le Comte et la Comtesse de Paris. 

    Après la visite à l’hôtel de ville de Montauban, Axel de Labriolle a conduit le Comte et la Comtesse de Paris au musée Ingres-Bourdelle afin d’inaugurer la grande exposition consacrée au Prince Ferdinand-Philippe d’Orléans, fils aîné de Louis-Philippe.

    « Un Prince charmant doté des plus enviables qualités. Courageux dans le métier des armes, respectueux de la tradition, sensible aux idées nouvelles, aristocrate par sa naissance et ami du peuple par le cœur, soutien des arts et des artistes, il était aussi fort bien fait de sa personne. » selon les propres mots du maire.

    Les Princes ont fait la visite sous la conduite de Florence Viguier-Dutheil, Directrice du Musée Ingres-Bourdelle et des commissaires scientifiques de l’exposition Stéphanie Deschamps-Tan, Conservatrice en chef du département des sculptures au musée du Louvre et Côme Fabre, Conservateur au département des Peintures au musée du Louvre. La Princesse Philomena reviendra dans les prochaines semaines avec ses enfants afin de leur faire mieux connaître l’histoire de leur famille.

    Le soir même un dîner fut servi en l’honneur du Comte et de la Comtesse de Paris dans l’ancienne chapelle de l’abbaye des Capucins à Montauban, un lieu historique où le Roi Louis XIII assista à la messe en 1632. A la fin du dîner, les convives ont entonné joyeusement un « Happy Birday, Princesse Philomena » en l’honneur de Madame, très émue, qui célébrait son 44ème anniversaire.

    (Cliquez sur les images pour les visualiser)

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    Merci à Charles – Photos mairie de Montauban et DR

    Comte de Paris, Site Officiel

    Comte de Paris, Page Facebook 

    Compte Twitter

    Instagram

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Repas sans viande dans les cantines scolaires : le couac de Paris, par Jeanne Sénéchal.

    Anne Souyris, adjointe en charge de la santé à la Mairie de Paris, sur le plateau de BFMTV lundi 22 février 2021. BFMTV

    Alors que l'annonce par la mairie de Lyon de supprimer la viande de la cantine scolaire fait débat, l'adjointe à la santé de la mairie de Paris a brièvement annoncé une piste similaire dans la capitale, avant d'être démentie.

    3.jpgDepuis plusieurs jours, le débat fait rage au sujet de l'annonce de la mairie de Lyon de supprimer la viande de la cantine scolaire. Tandis que des agriculteurs manifestent avec leur bétail place de l'hôtel de ville à Lyon, l'adjointe en charge de la Santé à la mairie de Paris, Anne Souyris, a déclaré ce lundi sur BFMTV qu'une piste est à l'étude concernant les cantines des écoles parisiennes.

    Pourtant, du côté de la ville de Paris, la réponse n'est pas la même. D'après une information publiée par le Parisien, «si les menus sans viande peuvent être « une solution intéressante, la question n'est pas du tout sur la table à Paris ». Une information confirmée par la mairie de Paris au Figaro.

    Anne Souyris affirmait alors que plusieurs solutions étaient envisagées à Paris, dont celle-ci, «pour des raisons pratiques». Même argument que Grégory Doucet, le maire EELV de Lyon, le choix d'un menu unique sans viande est la simplification du service, dans un cadre sanitaire difficile à tenir au sein des cantines à l'heure du Covid-19.

     

    Un «faux débat» pour Souyris, un «double discours» pour Collomb

     

    Sur BFMTV, l'adjointe à la mairie de Paris a rappelé que c'est une mesure qui avait été prise par Gérard Collomb en mai 2020 : «C'est vraiment assez étrange, alors qu'on sait qu'on doit aller dans ce sens-là pour des raisons sanitaires et pour des raisons de respect de la planète, de faire une espèce de faux débat là-dessus.»

    Gérard Collomb, quant à lui, explique de son côté la polémique autour de ce débat par «un double discours», entre la justification sanitaire et la volonté de réduire la consommation de viande.

    Le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie, a saisi dimanche le préfet du Rhône sur la légalité de la question des menus sans viande imposés par la mairie écologiste de Lyon dans les cantines scolaires. Une réponse qui sera donnée prochainement.

    Source : https://www.lefigaro.fr/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. Energie nucléaire, enfin le réveil ! L’association Défense du patrimoine nucléaire et du climat est née : PNC France. Son comité est composé de scientifiques, d’élus et d’anciens ministres de droite et de gauche dénonçant la réduction drastique de la production d’électricité nucléaire.

    https://www.bvoltaire.fr/energie-nucleaire-enfin-le-reveil/

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    2. Pourquoi les éoliennes ne sont pas, mais alors pas du tout écologiques :

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    3. Scandale à Saint-Denis : le nouveau Maire PS islamo/gauchiste retire toute subvention au journal de la Ville, qui avait dénoncé "le danger islamiste" !

    https://www.valeursactuelles.com/societe/le-journal-de-la-ville-de-saint-denis-souligne-le-danger-islamiste-la-mairie-de-gauche-lui-retire-ses-subventions-126930

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    4. Le scandale de ce qui se passe au restaurant Le Petit Cambodge, durement frappé par les attentats terroristes islamistes de 2015, squatté par des hurluberlus. Ou : le Système, complice des délinquants en tout genre...

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    Voilà qui est fait ! lafautearousseau est aux côtés des travailleurs honnêtes du Petit Cambodge !

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    5. Comment ce maudit Système déclasse inexorablement la France, et la ruine : la Dette publique vient d'atteindre les 2.674 milliards d'euros, soit 116,4% du P.I.B. ! Ce Système tue la France, lentement; c'est lui qu'il faut tuer !...

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    6. En sept minutes, Michel Onfray et Stéphane Simon reviennent sur l'énorme succès de Front Populaire :

    https://frontpopulaire.fr/o/Content/co336533/michel-onfray-et-stephane-simon-reviennent-sur-l-aventure-front-populaire

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    7. Et maintenant l'Azerbaïdjan menace ouvertement l'Arménie d'une nouvelle guerre : à Bakou, le "directeur de l'Institut pour la démocratie et les droits de l'homme en Azerbaïdjan" (sans rire, svp !) prédit avec une évidente délectation une nouvelle guerre contre l'Arménie. Armé par le sultan Erdogan, "le petit Hitler du Bosphore", l'expansionnisme ottoman/panturc n'a plus de limites. Seule Moscou pourra, (pourrait...) l'arrêter.

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  • 1er mai : Face à la gauche radicale, les syndicats ne font plus le poids

     

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    Ce qui s'est passé à Paris le 1er mai - un terrorisme en action en plein centre-ville - ne nous renseigne pas seulement sur la virulence de l'ultragauche mais aussi sur la déchéance syndicale.

    On se paye de mots, en effet, avec le syndicalisme français qui n'a de représentativité que celle qu'on lui reconnaît par habitude, facilité et lâcheté. (5% d'adhérents dans le secteur privé, 7% dans le secteur public !). 

    images.jpgLes troupes ont fondu, vieilli, les militants sont partis au Front National ou chez Mélenchon, les ex-gros bras de la CGT d'antan sont de vieux messieurs démotivés. Comme le PCF somme toute, qui n'a pour ainsi dire plus d'électeurs ni d'organisations militantes dignes de ce nom. Et encore moins de capacité révolutionnaire comme jadis. Tout cela ce sont des souvenirs. Ne restent plus que des bureaux, des apparatchiks à hauts salaires et des services comptables pour gérer les subventions et les aides diverses. Des coquilles vides. Le décompte des manifestants des grandes démonstrations de force se faisait jadis pour Paris et quelques grandes villes. Pour produire des chiffres de participation un peu moins ridicules, les syndicats, la police et les médias donnent désormais des résultats nationaux. 250 000 ? 140 000 ? Pour toute la France, cela ne fait plus grand chose. Le mythe révolutionnaire du Grand soir a fait long feu et le syndicalisme français, divisé, discrédité et exsangue, est une immense faillite, même s'il conserve, par le jeu de quelques minorités, un pouvoir de nuisance résiduel dont Emmanuel Macron fait en ce moment l'expérience. 

    Place donc dans la rue aux terroristes de la gauche radicale face à laquelle, désormais, les appareils syndicaux ne font plus le poids. Finis, en effet, les grands services d'ordre musclés de la C.G.T. ou du P.C.F. qui, il fut un temps pas si lointain, les auraient expulsés sans coup férir, ce premier mai.

    Nous n’avons plus affaire aujourd’hui à la révolution prolétarienne mais à la violence pure, aveugle et nihiliste.  

     

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

     

  • Lettre aux enfants d'Arménie, par Michel Onfray.

    Chers enfants,

    De mon bureau où je vous écris, il se trouve au cinquième étage d'un immeuble, je vois le nord de la ville de Caen en Normandie où j'habite. Dans l'axe de mon siège se dresse l'abbaye aux hommes construite par Guillaume le Conquérant il y a mille ans. Je vois également cinq ou six autres clochers qui lancent leurs flèches vers le ciel , elles ont toutes plusieurs siècles.

    Une place en bas de mon immeuble s'appelle place de la Résistance, c'est mon adresse. Un immense séquoia y a été planté après la guerre de 1945. Il vient du Canada, il se plaît ici et, comme la flèche des églises, il vise le ciel lui aussi. Des immeubles ont été construits après cette guerre, on dit qu'ils sont de la Reconstruction.

    Le 6 juin 1944, des soldats américains, anglais, canadiens, australiens, néo-zélandais, polonais, tchécoslovaques, norvégiens, belges, néerlandais ont débarqué sur les plages de Normandie pour combattre les nazis qui occupaient le sol français depuis 1940. Ils avaient pour la plupart moins de 20 ans.

    Pour avance dans les terres et combattre les nazis, l'état-major allié, autrement dit les Américains, ont bombardé la ville de Caen et l'ont réduite en poussière. Là où je regarde par la fenêtre, ce n'étaient que ruines, gravats, décombres, débris, détritus. Près de dix mille tonnes de bombes ont été lâchées. Trois mille civils ont été tués à Caen ce 6 juin 1944 – c'est autant que les soldats tués sur les plages... Ce débarquement a occasionné la mort de vingt mille civils en Normandie.

    Mais aujourd'hui, sur ce lieu qui fut désolation, des gens promènent leur chien sur la pelouse, des voitures et un tramway passent, des vélos croisent des marcheurs, des arbres fleurissent dans lesquels les oiseaux chantent, de vieilles personnes se réchauffent aux rayons du soleil. La vie a repris son cours.

    La leçon est que le pire ne dure pas toujours et que ce que des adultes venus de l'étranger ont détruit dans votre pays, il vous faudra le reconstruire – plus grand, plus haut, plus fort, plus beau, ce sera votre façon de leur répondre.

    En Normandie, où il pleut souvent, on sait qu'après la pluie arrive toujours le beau temps.

    Michel Onfray

    PS: Michel Onfray sera à Marseille le 20 octobre 2021 à l'invitation de SOS Chrétiens d'Orient pour parler du conflit et de la menace qui pèse sur l’Arménie.

    Source : https://michelonfray.com/