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Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapi

    Avant-propos.....  Ce qui se cache, en réalité, derrière la façon idéologique de concevoir l'identité nationale, et à quoi nous renvoient les élucubrations désolantes Éric Bresson...

               Les propos d'Éric Besson-et plus généralement les propos de tous ceux qui mènent un combat acharné contre nos Racines- doivent bien entendu être replacés dans un contexte plus large. Évidemment, celui du Grand cycle, ouvert en 1789/1793, par une Révolution qui a, justement, voulu du passé faire table rase

               Mais aussi celui du Petit cycle, ouvert à la fin du XXème siècle par les tenants orgueilleux du marxisme-léninisme, qu'ils voyaient comme la quintessence, définitivement aboutie, de la-dite Révolution.

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               Lorsqu'ils ont vu leur rêve s'effondrer, après n'avoir plus été qu'un sinistre cauchemar, ces idéologues endurcis jusqu'à la moelle auraient pu -et du- ouvrir les yeux. Certains, d'ailleurs, chez eux, l'ont fait. Mais d'autres ne l'ont pas voulu. Et ils ont inventé une sorte d'idéologie de substitution à leur rêverie défaillante. Un autre messianisme pour remplacer celui qui venait d'expirer sous leurs yeux.

                Finkielkraut l'a très bien analysé: l'anti-racisme -a-t-il expliqué en substance- sera le marxisme du XXIème siècle; et au nom de l'anti-racisme, demain, on exclura et on éliminera comme on l'a fait au nom du marxisme hier....

                Il convient donc de prendre du recul lorsque l'on veut réagir à ces attaques contre un Peuple et une Nation française qui n'existeraient pas en tant que tels, pour les idéologues, alors qu'ils existent évidemment bel et bien, avec leurs spécificités et leurs caractéristiques, reçues et héritées de 2.000 ans  d'Histoire, et plus.... Et le mieux est, probablement, de se borner à rappeler sereinement les évidences: quand on a affaire à des idéologues secs et froids, la meilleure arme est de présenter les faits et les réalités, non de tomber dans le travers qui consisterait à opposer une idéologie à une autre idéologie....

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     "Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé" (Jean-Baptiste Carrier, ci dessus).
    Charnier en Vendée, ci dessous.
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                 En sachant bien -politique d'abord !... - que l'on n'aura pas réglé le problème, tant que l'on n'aura pas clôturé les deux cycles. Tant que l'on n'aura pas mis fin à cette grande mystification, cette arnaque du siècle qu'est "leur" soi-disant anti-racisme, dont les élucubrations désolantes d'Éric Besson ne sont, finalement, qu'un écho supplémentaire; mais un soi-disant anti-racisme qui n'est lui-même que la perpétuation aujourd'hui, par les héritiers actuels de la Révolution, du combat idéologique qu'elle a entamé en 89/93; qui n'est que la traduction en 2010 de la haine de la Révolution pour tout ce qui concerne notre Passé, nos Traditions, notre Mémoire, nos Racines, et que malgré tous ses efforts, elle n'a toujours pas réussi à abolir.... Et de la rupture définitive qu'elle a voulu accomplir.

                 Pour celles et ceux qui auraient du mal à y croire, Philippe Val, qu'on ne présente plus, leur a bien mis les points sur les "i": écoutez sa chronique -sur France inter- et nos très rapides commentaires : Philippe Val crache le morceau......pdf   

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    Toujours pas mortes, les nuées révolutionnaires sont, au contraire, toujours à l'oeuvre.....

                 On voit bien qu'il fallait prendre ce recul, qu'il fallait mettre en perspective ce problème et le replacer dans son contexte, beaucoup plus large, avant d'entrer -si l'on peut dire- dans le vif du sujet, et de voir ce que nous dit l'Histoire.....            (à suivre....).

  • Le père d’Anne-Lorraine, un an après… (2/2) : Un système devenu incontrôlable ?...

                Monsieur Schmitt, on vous sent en colère…

                Contre le système ? Totalement, oui. Notre système judiciaire est bien malade.

                La preuve, je ne peux plus ouvrir un quotidien sans lire une nouvelle affaire liée à un multirécidiviste hâtivement remis en liberté. Notre système judiciaire relâche des « bombes humaines » en sachant pertinemment qu’il y a une forte chance qu’elles explosent à nouveau.

                Un juge des libertés qui a devant lui quelqu’un qui vient d’être arrêté a la possibilité de le remettre en liberté. Mais la loi lui permet aussi de le neutraliser en l’enfermant ! Quand il ne choisit pas cette solution et qu’il laisse dehors quelqu’un de dangereux, cela relève à mon  sens de sa responsabilité et j’aimerais qu’il l’assume.

                Je suis intimement persuadé que le premier crime commis par le présumé coupable de l’assassinat de notre fille a été traité de façon très légère à tous les niveaux (1). Au soir du verdict de la cour d’assises, une autre jeune fille ou jeune femme était potentiellement en danger. C’est tombé sur Anne-Lorraine, mais cela aurait pu tomber sur Sylvie, Laure, Mathilde…

    (1) : Le 25 janvier 1965, déjà dans une rame du RER D, Thierry Deve Oglou avait agressé sexuellement une jeune étudiante. Pour ces faits, il avait écopé d’une peine de cinq ans de prison, dont deux fermes

     

  • Dans notre Système, dans cette ”république idéologique”, lutter contre l’illégalité est une « faute professionnelle grav

               «Violation du secret professionnel», «faute professionnelle grave». Les condamnations fusent après qu'une assistante sociale a dénoncé à la police un sans-papiers hébergé au sein d'une famille où elle intervenait.        

                L'assistante sociale s'est rendue (le 10 juin 2008, ndlr) dans un poste de police de Besançon dans le Doubs pour «dénoncer la situation administrative clandestine d'un ressortissant sénégalais».

              Intervenant dans le cadre de l'assistance éducative en milieu ouvert, la travailleuse sociale a «rencontré par hasard» ce sans-papiers au domicile d'une femme dont les quatre enfants font l'objet d'une mesure éducative. 

              D'après le procès verbal, l'assistante apprend au fil de leur discussion que cet homme, d'une vingtaine d'années, bien habillé et parlant un français châtié, ne possède pas de titre de séjour. L'homme, qui arriverait d'Italie depuis l'expiration de son titre de séjour et qui serait en France depuis un mois environ, sort peu de peur d'être contrôlé par la Police et vit à la charge de la protégée de l'assistante sociale.          

             L'assistante informe le clandestin qu'il ne «peut pas rester au domicile de la famille, la mère des quatre enfants vivant «une situation financière et familiale fragiles». Selon l'assistante sociale, le sans-papiers «présente un vague lien de parenté» avec la personne qui l'héberge (il s'agirait de son demi-frère)…… 

              Suite aux révélations de l'assistante, les policiers arrêtent le jeune sénégalais. 

            C’est là que les choses se corsent, et que l’histoire deviendrait savoureuse si elle ne révélait une terrifiante subversion morale et mentale : le clandestin va être relâché, et l’assistante menacée. N’est-ce pas cela, étymologiquement, la révolution ? Mettre en haut ce qui est en bas ?..... 

             Le jeune homme sans-papiers comparaît le 23 juin devant le juge des libertés à la demande du préfet qui souhaite prolonger de 15 jours son placement au centre de rétention mais il est remis en liberté ! Le code de procédure pénale impose en effet aux fonctionnaires de «donner avis sans délai», au procureur de la République - et non à la police comme l'a fait l'assistante -, des crimes ou des délits dont ils auraient connaissance. 

              La dénonciation spontanée de l'assistante sociale pourrait lui valoir des poursuites judiciaires. L'Association nationale des assistants de service social souligne que cette travailleuse sociale n'a pas respecté « le secret professionnel» et a commis une «faute professionnelle grave». L'ANAS estime qu'elle «n'a pas respecté les conditions légales lui permettant de lever le secret professionnel auquel elle est astreinte par sa profession», la «dénonciation d'une personne étrangère en situation irrégulière» n'entrant «pas dans les cas de dérogation prévus par les textes». Le code pénal prévoit un an d'emprisonnement et 15.000 euros d'amende pour la violation du secret professionnel. 

                Suggestion : tant qu’on y est, si on rétablissait la peine de mort, à usage unique pour cette monstrueuse fasciste-ennemie-du-genre-humain, qui a osé dénoncé un escroc ?.... Ou: la république dans ses délires.....

                Qui viendra s'étonner après, si "on" lance de tels "signaux forts" aux gens, que ceux-ci soient déboussolés ? Et qu'on ait dans les rues les conséquences de tels errements dans les esprits ?.....

  • Castro s'en va, mais le système demeure: la ”passion” du jeune Eliezer, et de tout le peuple Cubain: Acte I.....

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              Déjà Staline avait utilisé le procédé, juste après la Guerre: il avait été demandé à tous ceux qui souhaitaient des "changements" de les exprimer, afin de faire progresser l'URSS. Beaucoup y crurent:

              une fois qu'ils se furent bien déclarés, et que la police politique les eut bien identifiés, ils furent arrêtés et liquidés...Il vient de se passer un peu la même chose à Cuba. Le régime a demandé aux étudiants de dire ce qui n'allait pas et d'émettre leurs propositions. Un certain Eliezer a courageusement pris la parole. C'est ce que racontent Vincent Hervouët et Magali Bartés dans "Le Journal du Monde" du lundi 11 février, sur LCI:

              "Les promesses n'engagent décidément que ceux qui y croient, et c'est vrai comme jamais à Cuba. Il y a six mois Raoul Castro, le frère donc le gérant du pays promettait un grand débat sur le régime et il demandait même à ses compatriotes de s'exprimer, "avec courage" avait-il ajouté. Le message a été suivi, un peu trop au goût des dirigeants, par quelques adolescents et la critique a même pris de l'ampleur à l'Université, et donc le régime s'est braqué...." Voici l'intro du sujet, lancée par Vincent Hervouët, qui passe alors la parole à Magali Bartes, laquelle commente une vidéo montrant des étudiants se plaignant devant les autorités:

              "On ne parle plus que de cette vidéo à Cuba. Que ces étudiants, l'élite du régime, aient osé prendre à parti, dans un débat public, le Président du Parlement, c'est du jamais vu...." On voit alors à l'image un jeune étudiant, Eliézer Avila, apostrophant ainsi le dit Président: "Pourquoi le peuple cubain n'a-il pas la possibilité d'aller dans des hôtels pour touristes, ou de voyager à l'étranger? Avant de mourir, j'aimerais aller voir où est mort le Che, en Bolivie". La réponse du Président? A vous de juger: "Mais voyons, si le monde entier, soit 6 milliards d'habitants, pouvait voyager où il voulait, il y aurait un énorme trafic aérien..." Oui, vous avez bien lu. Est-ce du crétinisme total, au dernier stade, donc incurable. Ou du mépris cynique de l'interlocuteur, caractéristique des dictatures qui de toutes façons se fichent bien pas mal des personnes ? Ou un mélange des deux ? Magali Bartés reprend: "La réponse surréaliste de Ricardo Alarcon ne convainc évidemment personne, et les questions s'enchaînent: (c'est toujours Eliezer qui parle...ndlr) "Pourquoi le Ministère du Commerce a-t-il adopté le peso convertible comme les étrangers alors que nos ouvriers, nos paysans continuent d'être payés en peso cubain qui vaut vingt cinq fois moins ? Pour acheter une brosse à dent il faut au moins deux ou trois jours de travail..."

              Les images montrent maintenant un Raoul Castro âgé et fatigué lui aussi, comme son idéologie; à bout de souffle, mais toujours aussi malfaisante, tyrannique et cruelle.....Magali Bartes reprend la parole pour conclure le sujet: "Un autre étudiant poursuit: Pourquoi l'État met-il autant de restrictions sur les e-mails et les tchats sur Internet? Alarcon, au pie du mur reconnaît ne pas avoir de réponse. Ca ne va pas durer longtemps. Ce week-end, des agents de la Sécurité de l'Etat sont venus embarquer chez lui le jeune Eliezer Avila. Le régime pourrait l'obliger à se rétracter publiquement....Que ça serve de leçon à ceux qui auraient pu croire à l'ouverture promise par Raoul Castro...."

              La "morale" de ce reportage qui fait froid dans le dos en même temps qu'il est aussi, en un certain sens, désopilant ? Ça ce passe aujourd'hui, dans ce qu'il reste de l'empire communiste. Et la retraite de Castro n'y change rien, puisque le système perdure. Ce sera seulement à sa chute, comme en Russie et en Europe de l'Est, que Cuba retrouvera enfin la liberté et pourra (re)commencer à se reconstruire...A quand le grand procès de Nuremberg du communisme ? Mais pour le quarteron des inoxydables, de celles et ceux qui n'ont toujours pas eu le courage de reconnaître la monstruosité du système mis en place par le communisme, pour les Marie Georges Buffet, les Arlette Laguiller, les Olivier Besancenot: quel remède ?.....                         (à suivre.....)

  • Castro s'en va, mais le système demeure: la ”passion” du jeune Eliezer, et de tout le peuple Cubain: Acte II et fin....

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              Voici la conclusion de cet "épisode", vécu presqu'en direct grâce à LCI. Qui montre bien que l'étouffement des libertés durera tout le temps que durera la dictature révolutionnaire dans l'île...

              Vincent Hervouët lance le sujet; franchise, refus de la langue de bois et "points sur les i" sont au rendez-vous, comme d'habitude...: "Confesser ses fautes! C'est le Carême, c'est de saison...Mais la séance d'auto critique reste le grand moment parodique de la propagande totalitaire, et Cuba vient d'en infliger la leçon aux étudiants qui avaient eu le front d'interpeller un ministre en lui posant de bonnes questions sur la censure, sur l'interdiction de voyager, sur l'échec économique. C'était sur internet, leurs questions ont fait le tour du monde, c'était lundi. Ce soir (mercredi 13 février, ndlr), ils sont punis par où ils ont péché: une vidéo où ils s'humilient publiquement, ils se rétractent au mépris de l'évidence, ils se reprochent des fautes qui n'en sont pas. Un mensonge énorme, pour la plus grande gloire du Parti Communiste".

              La parole est alors cédée à Magali Bartés, qui comme la fois précédente parle sur des images: essentiellement celles du jeune Eliezer. Eliezer devant la caméra, devant son ordinateur, au restau-U, dans sa Fac...

              "Eliezer Avila l'a appris à ses dépens: on ne critique pas impunément le régime sans subir ensuite un recadrage en règle et en public."

              La vidéo s'arrête alors quelques instants sur une sorte d'affiche, en espagnol évidemment, traduite et sous-titrée en français: "Conversation avec des étudiants victimes de manipulation". Six étudiants sont assis sur des chaises, en demi-cercle autour d'une présentatrice. Magali Bartés reprend:

              "Autour de la présentatrice, les quelques étudiants qui ont osé mettre en cause le manque de liberté à Cuba. Ils vont maintenant jurer fidélité au régime. A les écouter, leurs propos ont été déformés par la presse étrangère et par les ennemis de la révolution".

            C'est maintenant Eliezer qui a le micro et la parole: "Tout ce qui est dit est un mensonge total. Nos questions, les problèmes que nous avons soulevé avaient pour unique objectif d'améliorer le socialisme, non le détruire. Nous faisons cela dans le cadre de la révolution."

             Magali Bartés: "L'émission continue avec cette image d'Eliezer, détendu au milieu de ses petits camarades, Eliezer travaillant sur son ordinateur...On l'avait pourtant dit arrêté: c'est sa mère, paniquée, qui a alerté samedi l'opinion quand la Sécurité de l'État est venue embarquer son fils chez lui. Elle avait dû mal comprendre. C'est en tout cas ce qu'il se doit de faire croire devant les caméras."

            Eliezer: "Je tiens à être clair: à aucun moment je n'ai été arrêté. Ma famille est tout à fait tranquille, il n'y a aucun problème. Le fait que je n'ai pas pu venir à l'Université ces derniers jours a pu paraître un peu mystérieux à mes camarades qui ne sont pas au courant de mes problèmes de santé."

            Conclusion de Magali Bartes, sur des images d'Eliezer portant son plateau-repas: "Bien sûr il affirme à l'antenne parler librement et sans aucune pression. Cette mascarade orchestrée par le régime prouve une chose: sa volonté de tuer dans l'oeuf toute tentative de contestation à Cuba...."

              LCI, a eu le courage de montrer, presque en direct, les procédés d'une dictature révolutionnaire que certains intellectuels refusent toujours de dénoncer et de condamner chez nous. Tout comme ils refusent toujours de dénoncer et de condamner, plus largement, l'idéologie marxiste-léniniste, dont le pitoyable avatar Cubain n'est qu'un des prolongements....Cuba est dans un état de délabrement qui fait penser, bien sûr, à ce qu'étaient les pays du bloc de l'Est avant la chute du mur et de l'empire marxiste. Mais l'aveuglement et le délabrement moral et mental d'une certaine intelligentsia n'est pas reluisant non plus.....                    (fin)

  • Le vote national, celui des Français : un refus profond des appareils et du système, par Hilaire de Crémiers

     
            Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine, analyse, dans cette vidéo, les raisons et les conséquences du vote national lors de l'élection présidentielle.
     
            Son analyse se développe hors de tout clivage partisan, de tout esprit d'appareil. Telle est, aussi, notre état d'esprit à la veille du second tour de l'élection présidentielle. 
     
            Et c'est parce que François Hollande est essentiellement un homme de parti et d'appareil que sa probable élection perpétuera la situation de crise profonde de la France.
     
    Publié le vendredi 27 avril 2012, sur le site de Politique Magazine.
  • Le Système, qui échoue partout transforme la France, qu'il appauvrit et qu'il ruine, en une gigantesque pétaudière...

    ...ou en un gigantesque foutoir, comme on voudra.

    Notons, au passage, que ces immigrés d'hier sont le chômage d'aujourd'hui, notamment dans cette industrie automobile où des patrons à courte vue, sacrifiant le long terme au court terme, ont préféré, pour des profits immédiats, se payer des armées d'esclaves sous-payés, plutôt que d'investir massivement dans la modernisation de l'appareil de production, comme l'ont fait certains de nos voisins qui, du coup, aujourd'hui, s'en sortent beaucoup mieux que nous...

    Responsabilité partagée avec les mouvements immigrationnistes et "anti-Nation historique", qui ont vu là un excellent moyen de "changer le peuple" en diluant la Nation française; responsabilité partagée également par les syndicats et partis de gauche et d'extrême-gauche, qui y ont vu un excellent moyen de remplacer l'ex "classe ouvrière" et les ouvriers français - dont ils ont abandonné la défense des intérêts...

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  • MONDE • Une conférence utile sur le système constitutionnel d'un pays ami injustement critiqué ...

    parlement-hongrois.jpgIl nous est précisé que cette conférence s’adresse en priorité aux juristes. Mais elle intéressera aussi tous les amis de la Hongrie. Ce que nous sommes depuis longtemps de diverses manières, par exemple à raison des longues relations et de l'amitié d'esprit qui nous liaient au regretté Thomas Molnar. Dont plusieurs conférences faites à Marseille peuvent être retrouvées en vidéo sur ce blog.

    Aujourd'hui encore, nous considérons la Hongrie avec sympathie, en particulier à cause du souci qui est le sien de préserver son identité et ses frontières, ce qui, de fait, protège aussi l'Europe.   

     

  • MEDIAS & SOCIETE • Laurent Obertone : ”Le système retourne les faits à l’avantage de son utopie”

    laurent_obertone_ring.jpgEntretien de TV Libertés avec Laurent Obertone sur son dernier livre La France Big Brother.

    Auteur du best-seller la France Orange mécanique, Laurent Obertone signe avec la France Big Brother (Ring) une critique tous azimuts du « conditionnement » imposé aux Français. Pour lui, « l’oligarchie dissimule ses crimes » après les attentats islamistes en France. Ce nouvel essai de Laurent Obertone est un réquisitoire parfaitement antisystème. Michel Houellebecq a estimé en novembre 2010 qu'il est « le grand polémiste de demain »

    La vidéo qui suit dure environ 30 minutes. Ce n'est pas une perte de temps que de l'écouter ...  

     

     

     La France Big Brother, Ring, 360 pages, 18 €. 

     

    A voir, aussi, cette courte bande-annonce :

     


     

  • Détour par la littérature, avec Verlaine, pour donner de l'altitude à notre critique du Système

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    Un médiocre fait-divers (une Marianne insolite et obscène exposée puis retirée de la mairie de Quimper), un article amusé et sans grand intérêt d'une certaine Jany Leroy, dans Boulevard Voltaire, ont amené le site de l'Action française à rappeler ce sonnet de Verlaine, qui insulte Marianne dans des termes, en effet, fort gaillards, comme seul un poète y est autorisé. Terrible poème, anti-républicain à l'extrême. Le fait-divers médiocre a provoqué une redécouverte littéraire et poétique, voire politique, que nous avons quelque plaisir, avouons-le, à remettre sous les yeux de nos lecteurs. Lecteurs courageux de cet été d'où la poésie est plutôt absente. Nous y reviendrons en reparlant de Baudelaire, lui aussi, peu ami du régime sous lequel nous vivons, et peu ami de la modernité ...  

     

    Buste pour mairies

    Marianne est très vieille et court sur ses cent ans,
    Et comme dans sa fleur ce fut une gaillarde,
    Buvant, aimant, moulue aux nuits de corps de garde,
    La voici radoteuse, au poil rare, et sans dents.
     
    La bonne fille, après ce siècle d’accidents,
    A déchu dans l’horreur d’une immonde vieillarde
    Qui veut qu’on la reluque et non qu’on la regarde,
    Lasse, hélas ! d’hommes, mais prête comme au bon temps.
     
    Juvénal y perdrait son latin, Saint-Lazare
    Son appareil sans pair et son personnel rare,
    A guérir l’hystérique égorgeuse des Rois.
     
    Elle a tout, rogne, teigne… et le reste et la gale !
    Qu’on la pende pour voir un peu dinguer en croix
    Sa vie horizontale et sa mort verticale. 

     

    Paul Verlaine, sonnet, Invectives, Buste pour mairies (1881) 

     

  • Macron, chef du Système qui en est à l'origine, veut lutter contre le séparatisme islamique !

    Dieu se rit des hommes qui déplorent les conséquences dont ils chérissent les causes (Bossuet).

    Nous vivons l'époque de la hideuse Sainte Alliance de la Révolution et du Fric (ce que l'Action française appelait "la fortune anonyme et vagabonde"). L'une comme l'autre unies dans la volonté acharnée de noyer la France (et l'Europe) sous le flot incessant de l'immigration invasion :

    - les révolutionnaires pour briser les dernières résistances qui s'opposent à leurs chimères universalistes, et qui sont culturelles, nationales, identitaires; celles qu'opposent à une utopie mondialiste révolutionnaire les anciens peuples/nations historiques de l'Europe chrétienne, ancrés dans une Histoire bi-millénaire, et partageant un socle commun de valeurs gréco-romaines et judéo-chrétiennes...

    - les serviteurs de l'Argent (devenu Roi par la Révolution française et la république idéologique qui en est issue) afin de se payer une  armée d'esclaves - selon le mot de Jean Raspail - et d'augmenter ainsi encore plus, toujours plus, leurs profits immédiats...

    Les uns comme les autres ont cru trouver, essentiellement, ce qu'ils cherchaient avec les populations d'Afrique du Nord et subsaharienne, pas toujours mais très souvent musulmanes. Ils manifestent en cela une incompréhension immense du fait religieux - en général - et - en particulier - une tragique inconscience de ce qu'est en réalité l'Islam.

    Or l'Islam est une religion conquérante, qui s'impose comme obligation que le monde entier soit musulman.

    Si le chef du Système républicain idéologique né de la Révolution française, qui a voulu et mené l'immigration/invasion de la France, prétend s'opposer au séparatisme d'une religion qui induit le Totalitarisme, alors qu'il refuse dans le même temps de dénoncer le danger de cette religion, il est tout simplement en contradiction avec la politique menée par ce Système, qu'il préside !...

    Car c'est ce Système, "son" Système, celui dont il est le chef actuel, qui a voulu, organisé, imposé l'arrivée de ces populations nouvelles sur notre sol, qui aujourd'hui veulent se "séparer" car l'Islam - comme le rappelle Gérard Leclerc - "c’est un tout culturel, social, politique tout autant que religieux".

    Le Système ne s'en est pas rendu compte avant; ou n'a pas voulu s'en rendre compte; ou a cru naïvement que ce "tout" serait absorbé et digéré par ses "vieilles lumières" (l'expression est du socialiste Hubert Védrine, qui ferait un excellent Ministre des Affaires étrangères... du Roi de France !).

    Maintenant, il est trop tard. Le mal est fait, et il est sans remède(s); ou "irrémédiable", comme on voudra.

    La seule question est : qui aura, prendra ou gardera le pouvoir sur l'ensemble des terres de ce qui constitue encore, aujourd'hui, notre douce France ? 

    PS : les prières de rue sont interdites en Algérie, Tunisie et dans de nombreux pays musulmans...

    lafautearousseau