Sur Institut des Libertés, Christian Vanneste, homme politique et essayiste est l'invité de Charles Gave.
Avec Charles Gave, Christian Vanneste revient sur la crise politique actuelle et sur le référendum d'initiative populaire.
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Avec Charles Gave, Christian Vanneste revient sur la crise politique actuelle et sur le référendum d'initiative populaire.
Rappelez-vous, c’était il y a un an : face à la pénurie de masques, de tests, de pièces détachées et même de principes actifs du paracétamol, Macron et le pouvoir reprenaient à leur compte l’émotion de la population et promettaient de tout faire pour retrouver une souveraineté industrielle.
Les tendances boursières deviennent hésitantes tandis que les Bourses semblent plafonner partout dans le monde. Alors que la France a déjà dépensé plus de 420 milliards d’euros financés par des emprunts, tous les regards se tournent bizarrement vers les 39 petits milliards d’euros de subventions que doit nous attribuer l’Union européenne, moyennant une paperasserie hallucinante pour la bureaucratie bruxelloise : un plan moyen par pays représente 50.000 pages !
Même si cela semble dans une vie antérieure, dix ans, ce n’est pas si loin, et en ce temps-là, l’inquiétude était aux « déserts médicaux » : le mantra du moment n’était pas l’accès au vaccin, mais seulement « l’accès aux soins pour tous ». Alors se multiplièrent, entre autres, les « centres de vision », salariant, outre un seul ophtalmologiste en titre pour les signatures, une nuée de petites mains affectées à des machines éminemment rentables.
Avec Jean Baptiste Iosca, avocat expert auto
Après trois semaines de débats, les députés ont voté les articles du texte de la loi Climat et Résilience proposé par le gouvernement. Philippe Herlin analyse les enjeux et les conséquences de ces propositions, dont certaines sont issues de la Convention citoyenne pour le climat (CCC).
L’Union européenne et la France n'ont ni su ni voulu voir l'émergence de l'Inde, ni raisonner la volonté hégémonique chinoise. Sommes-nous capables d'agir ou même simplement d'exister dans ce “nouvel” économico-politique ?
Qu’est-ce que la cybercriminalité, qui touche les particuliers mais également les entreprises et les administrations ? Qui est derrière ce phénomène de piratage informatique et comment peut-on essayer de le contrer ?
Explications de Xavier Raufer au micro de Boulevard Voltaire.
Après trois séances sur cinq en baisse, le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P 500 n’ont finalement, respectivement, reculé cette semaine que de 0,46 %, 0,25 % et 0,13 %. Le taux américain de la dette à dix ans s’est assagi à 1,55 %. Quant au CAC 40, il s’est replié de 0,46 %, toujours en progression de 12,73 % depuis le début de l’année.
La toile est un champ de bataille et il n’est pas certain qu’il soit le meilleur vecteur du débat d’idées car, trop souvent, elle n’est que le lieu du lynchage, de l’invective et de la calomnie : cela en est souvent désespérant pour qui conçoit la « disputatio » politique comme un moyen de faire progresser ce qui paraît nécessaire pour le pays et ses populations, ou comme celui d’élever les hommes vers des causes honorables, par l’intelligence et la réflexion…
L'éolien a représenté 6,3% de la production d'électricité en France en
2019.
La contrainte politico-juridique: l'Union européenne a imposé à ses membres la construction de parcs éoliens en mer. C’est ainsi que dans le cadre de sa stratégie (ORES offshore renewable energy strategy), la Commission européenne a fixé en 2020 un objectif de 300 GW éolien offshore d’ici 2050, 25 fois plus que ce dont l'UE dispose aujourd'hui.
L'économiste Jacques Sapir estime que si l'immigration a pu avoir un effet positif sur la croissance économique, elle est de plus en plus coûteuse sur le plan budgétaire.
© KENZO TRIBOUILLARD / AFP
Contrairement à Jamal Bouoiyour, l'économiste Jacques Sapir estime que si l'immigration a pu avoir un effet positif sur la croissance économique, elle est de plus en plus coûteuse sur le plan budgétaire.