Blasphème royaliste, par Jeanne Estérelle.
Une dernière mise en scène de la fête révolutionnaire a eu lieu, à Toulouse, le 6 novembre. La mort programmée de toute entreprise personnelle a été mimée, parapluies noirs ouverts, devant la maison commune transformée, comme si un ballet de chauves-souris pouvait conjurer le maléfice mondialiste.