Actualité France - Page 149
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En ce 15 novembre 2020, journée mondiale de la pauvreté, les Royalistes sociaux rappellent quelques éléments de réflexion et d'action :La pauvreté contrainte est, en France et aujourd’hui, un véritable scandale social, ne serait-ce que parce que notre société contemporaine a désormais les moyens de l’éradiquer, ce qui n’était pas forcément le cas en des temps plus lointains.
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L’échec est dans le pré : la double peine du confinement pour les ruraux, par Anne Thoret.
Le monde d’après, c’est un peu comme le monde d’avant, la pluie en plus. La solidarité en moins.
On nous avait prédit l’avènement d’une France chaleureuse, fraternelle, retournant à la campagne comme Perrette à son pot. Il n’en est rien. -
Monseigneur Bernard Ginoux : « Ils ont un besoin essentiel de la messe et voudraient qu’en pays de liberté leur cri soit entendu ».
Monseigneur, dimanche 15 novembre, dans de nombreuses villes de France, des catholiques ont prévu de se rassembler pour demander que soient à nouveau autorisées les messes publiques. Certains évêques ont pris leur distance avec ces initiatives et, à Paris, la manifestation annoncée a été interdite. Quel regard portez-vous sur ces rassemblements ?
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Sur le Centre Lesdiguières, un ministre en exercice.
Merci à nos amis du Centre Lesdiguières de nous avoir relayé cette vidéo.
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Sur Sud Radio, face au confinement, les nouvelles technologies vont-elles balayer l'économie ?
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Sur le Cercle Aristote, Pierre-Yves Rougeyron : Raoult poursuivi, Perronne menacé, Macron contre la liberté médicale.
Pierre-Yves Rougeyron analyse la nouvelle vague d'attaques contre les Professeurs Raoult et Perronne.
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Sur Valeurs Actuelles, Général de Villiers : "C'est dans l'équilibre qu'on réconciliera les Français".
Confrontée depuis les années 90 à une crise socio-économique plus prégnante que jamais, la France lutte aujourd'hui sur un nouveau front : l'islamisme, un ennemi que certains voudraient voir défait par la seule répression. Pour Pierre de Villiers, les faits tiennent en échec depuis bientôt deux décennies les politiques répressives et sécuritaires menées par les gouvernement successifs. Quelles solutions donc ?
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Sur Front Populaire, Guillaume Bigot : "Chronique d'un éternel retour".
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Sur TV Libertés, Les malades au service de l'agenda technologique - Le Zoom - Olivier Rey.
Comment la vie en est-elle venue à prendre la place du sacré ? Comme l’a montré la crise engendrée en 2020 par l’épidémie de coronavirus, sa conservation semble bien être devenue le fondement ultime de la légitimité de nos gouvernements. Que cela apprend-il du rapport des populations à la politique, au pouvoir ? À quelles servitudes nous disposons-nous, si nous accordons à la "vie" la position suprême ? Le mathématicien et philosophe Olivier Rey présente son ouvrage "L’idolâtrie de la vie" publié dans la collection Tracts de la maison Gallimard.
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Rendez-nous la Messe ! D'accord avec "La Jeunesse de Dieu"
(sur Tweeter)
La Jeunesse de Dieu#RendezNousLaMesse : Au lieu d'interdire les messes, Darmanin devrait plutôt s'investir pour fermer les milliers de mosquées radicales qui pullulent un peu partout en France... et expulser les islamistes qui viennent nous égorger et nous décapiter dans nos églises (#Nice). -
D'accord avec Goldnadel, qui "recadre" Dupond Moretti après son dérapage" sur Marine Le Pen...
Éric, je t’aime bien , mais tu n’as même pas accepté qu’on parle comme cela à la mère de Merah. Et tu étais avocat. Maintenant tu es ministre de la République, Garde des Sceaux et astreint à un devoir minimal de retenue à l’égard de la présidente députée d’un parti politique. -
Ce qui cloche, dans l’interdiction des messes, par Jean Bexon.
Aptonyme : nom de famille qui semble refléter plaisamment l’occupation de quelqu’un. Un exemple ? L’actualité juridique nous en offre un cocasse. Représentante du gouvernement défendant le maintien de la suspension des messes publiques : Pascale Léglise. Samedi 7 novembre, le Conseil d’État rejetait, sur son conseil, le recours de différentes associations catholiques, de fidèles et d’évêques.
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La République en comité restreint, par Jean Bouër.
Hémicycles quasiment vides, lois votées en présence de peu d’élus, mesures décisives prises par l’exécutif : on savait que la politique désintéressait les citoyens, mais là, ce sont les élus qui s’en détachent. Analyse d’un phénomène inquiétant où l’apathie des masses est maintenant relayée par celle des élites.
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Non, M. Mélenchon, la France ne cultive pas la « haine des musulmans », par Grégory Roose.
Le revoilà. Jean-Luc Mélenchon, la baudruche politique artificiellement gonflée pour la présidentielle de 2017, vient de se déclarer candidat à l’élection présidentielle de 2022. Malmené dans les sondages d’opinion, il vient de faire d’une pierre deux coups en déclarant, sur BFM TV, le 12 novembre : « Il y a, dans ce pays, une haine des musulmans déguisée en laïcité. » Une outrance de plus, une ineptie supplémentaire.
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Maurice Genevoix au Panthéon : ceux de 14 et ceux de 2020, par Natacha Polony.
"Faire entrer Maurice Genevoix au Panthéon ne devrait pas relever du simple exercice « mémoriel », selon le jargon de l’époque."
"La France peut-elle retrouver une force vitale, une foi en elle-même, en son histoire – sans en effacer pour autant les noirceurs et les ombres, mais en les digérant, en les regardant en face ?