L’histoire de la gauche germanoprantine débuta comme un film de La Nouvelle Vague. Elle s’achève à la manière d’un drame social des frères Dardenne ou du Festen de Thomas Vinterberg. De la pédophilie glauque des prolétaires d’Outreau à celle justifiée par les considérations psychosociales pseudo-scientifique des libertaires chics des beaux quartiers parisiens, il n’y a qu’un carnet de chèques et un carnet d’adresse pour faire office de ligne de démarcation. Les écuries d’Augias étaient-elles plus propres que les arcanes des élites républicaines contemporaines ?
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