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Il fut l'ami, le bras droit et le continuateur de cet autre immense Pape que fut Saint Jean-Paul II, tombeur du communisme et beau défenseur de la Foi, autant qu'il lui fut possible...
En guise d'hommage respectueux au Pape Benoît, lafautearousseau redonne, simplement, les deux Grands Textes de notre série qui lui sont consacrés :
Il y a peu de temps encore, quand la majorité des Libanais était des Chrétiens, le Liban était un pays riche, on l'appelait "la Suisse du Proche Orient", mais les musulmans (les Palestiniens et les Syriens) ont envahi le Liban, les musulmans ont répandu la terreur et l’islamisme dans ce pays. Partout où les musulmans ont chassé les chrétiens d’un pays (où les chrétiens se trouvaient avant eux), ces chrétiens travailleurs et honnêtes, la violence et la misère ont envahi ce pays...
Il est honteux que la France ne lance pas un grand plan d’aide a nos fréres Chrétiens Libanais (idem pour les Arméniens...). Encore faudrait-il que la France fût restée chrétienne et royale ! Comment voudrait-on que notre République idéologique laïcarde et anti chrétienne, se voulant elle-même la Nouvelle Religion Républicaine, dont le but premier est essentiel est de mener un combat d'extermination à l'Église catholique, comment voudrait-on qu'elle volât au secours de nos frères chrétiens du Liban et d'Arménie ? Qu'elle entreprît quoi que ce soit pour les défendre, pour les sauver ? Ce serait se renier elle-même, elle qui est la descendante et l'héritière de Robespierre et de la secte des Encyclopédistes, dont la devise bien connue est "Écrasons l'Infâme !"
La seule réponse à cette question n'est donc pas matérielle, humaine; elle ne peut qu'être spirituelle : comme en Égypte chrétienne (qui fait partie de la Terre Sainte puisqu'elle a acueilli la Sainte Famille fuyant Hérode) asservie par l'Islam depuis un millénaire et demi et où le christianisme se maintient...
Selon les évaluations de nombreux analystes indépendants, la raison principale qui a conduit à une intensification du conflit en Ukraine est l'expansion de l'infrastructure de l'OTAN vers les frontières russes. Ces dernières années, les dirigeants de la Russie ont fait savoir qu'ils considéraient ces mesures comme dangereuses et qu'elles portaient directement atteinte à la sécurité nationale de la Fédération de Russie.
Le président russe, Vladimir Poutine reçu lundi par le roi Salmane dans son palais, à Ryad
Confiants, les Occidentaux attendaient une hausse de la production de pétrole de l’OPEP. Ils ont été gratifiés d’une baisse et il est donc peu probable de voir les cours baisser significativement. Leur oscillation entre les 120 dollars le baril constatés au mois de juin les 75 de septembre, devrait, sauf imprévu, se poursuivre. La baisse de la production est en effet compensée par les craintes de ralentissement économique mondial. De la guerre en Ukraine aux masochistes sanctions occidentales en passant par l’absurde politique sanitaire chinoise, les occasions ne manquent pas pour précipiter le monde dans la récession.
Vladimir Poutine, lors de son discours au Kremlin, qui fera date, d’unification à la Fédération de Russie, du vendredi 30 septembre, a accusé l’Amérique d’avoir provoqué l’explosion des gazoducs : « La dictature des États-Unis repose sur la force brute, c’est la loi du plus fort ». Poutine a imputé ce sabotage aux États-Unis qui « font pression » sur les pays européens pour qu’ils coupent complètement leur approvisionnement en gaz russe « afin de s’emparer (eux-mêmes) du marché européen ».
Et Poutine accusateur encore plus direct et formel contre les États-Unis d’ajouter dans son discours afin d’ouvrir les yeux aux Européens lobotomisés, des traîtres que sont Macron, Scholz, von der Leyen :
La Commission européenne ne se contente plus d’alerter sur l’approvisionnement en gaz pour cet hiver 2022/2023, mais prévoit également des difficultés pour l’hiver 2023-2024. Baisser la consommation de gaz de 15 % entre août 2022 et mars 2023 par rapport à la moyenne des cinq dernières années conduira néanmoins à des coupures d’électricité et de gaz pour les particuliers et les industries si la Russie arrête ou diminue très fortement ses fournitures de gaz !
Un arrêt des livraisons de gaz russe réduirait la valeur du PIB allemand de 5 % entre 2022 et 2024, a calculé le Fonds monétaire international (FMI). Nord Stream achemine actuellement seulement 20 % des 55 milliards de m3 annuels de gaz. Les Allemands verront bientôt leur facture quadrupler afin d’éviter la faillite du groupe énergétique allemand Uniper, malgré une aide financière gigantesque de l’État allemand. Uniper doit en effet acheter du gaz au comptant sur le marché européen où le prix de référence néerlandais a atteint aujourd’hui le prix faramineux de 190 euros le mégawattheure (MWh) ! Uniper, qui emploie 12 000 salariés dans le monde, perd actuellement des dizaines de millions d’euros chaque jour !
Ce "numéro 89" est la première des trois Petites feuiles vertes qu'Annie Laurent consacre à ce thème : Islam et féminisme.
Nous donnerons évidemment - comme d'habitude - le lien de cet article-ci lors de la publication de la prochaine PFV (la 90) et le lien des deux premières lors de la parution de la troisième et dernière (sur le sujet) : afin que vous puissiez, comme d'habitude, consulter aisément l'ensemble de cette sorte de mini-dossier...
J'en profite pour renouveler mes remerciements personnels - et, j'en suis sûr, les vôtres... - à notre chère Annie Laurent, qui ne manque jamais de me communiquer les textes si éclairants et si nécessaires qu'elle publie très régulièrement, et qui nous aident tous à mieux comprendre ce "sujet" immense : l'Islam...
Lors de la dernière intervention turque, les Américains avaient abandonné leur allié kurde et laissé les mains libres à Erdogan dont le poids dans l’OTAN est trop important pour se fâcher avec lui. Ce sont les Russes qui avaient arrêté les ambitions turques : ils étaient alors les maîtres absolus du jeu. Erdogan avait dû s’incliner et interrompre la progression de ses troupes tout en conservant le terrain conquis.
Mais les rapports de force évoluent avec la guerre en Ukraine. Les Russes ont envoyé sur le champ de bataille une partie de leurs soldats stationnés en Syrie et ne comptent de toutes façons pas s’opposer militairement à Erdogan.
Le Dow Jones vient de céder 2,9 % la semaine dernière, soit sa huitième semaine de baisse consécutive, une première depuis 1932, tandis que le Nasdaq qui représente les valeurs technologiques et de croissance a reculé de 3,82 %, soit une septième semaine de baisse consécutive, une première également depuis 2001.
Arrêt des achats de titres obligataires par les banques centrales, hausse des taux d’intérêt partout dans le monde occidental, les masses monétaires émises d’une façon inconsidérée commençant à se stabiliser et parfois à décroître, une guerre en Ukraine conduisant à des pénuries et à la hausse des matières premières, énergétiques, et des produits agricoles, des difficultés d’approvisionnement en provenance de Chine, suite à la crise du Covid , tout cela contribue à déclencher des poussées inflationnistes en Europe tandis que les cryptomonnaies se sont effondrées. Une bulle s’est constituée pour la plupart des actifs ; un krach retentissant apparaît de plus en plus vraisemblable.
Les élections législatives du 15 mai ont été riches d’enseignement dans un Liban ravagé par la crise et les blocages institutionnels et communautaristes.
Les observateurs craignaient tout d’abord une abstention massive. Proche de 50%, la participation est finalement conforme à ses scores habituels. Mais c’est surtout la poursuite de l’immobilisme qui suscitaient les plus grandes inquiétudes.
Notre excellent ami Antoine de Lacoste me fait parvenir à l'instant cet article très instructif et très éclairant, comme d'habitude, sur le Liban. Notre Page de ce jour étant bouclée, et nos "partages" sur les groupes auxquels nous appartenons étant terminés, nous le passerons dès demain...
Six mois après leur piteuse retraite d’Afghanistan où ils furent la risée du monde, les Américains semblent tenir leur revanche. L’invasion russe de l’Ukraine, qu’ils ont annoncé si fort qu’ils semblaient bien la désirer, n’a, pour l’instant, que des avantages.
Tout d’abord, les sanctions prises dans la précipitation par les Européens vont leur permettre de leur vendre du gaz naturel liquéfié (GNL) au prix fort. Jusqu’à présent, l’écart de prix était tel avec le gaz russe que les achats européens étaient marginaux. Les présidents américains n’avaient pourtant pas ménagé leurs efforts pour inciter les Européens à être plus compréhensifs mais sans grand succès, grâce notamment aux Allemands qui préféraient traiter avec les Russes. Le fameux gazoduc Nord-Stream II avait pu s’achever dans la douleur malgré les menaces et les sanctions des États-Unis.
Décidemment 2022 sera une année charnière sur le plan géopolitique. Tandis qu’en Europe l’OTAN, c’est-à-dire l’Amérique, a décidé de produire pour l’Ukraine un immense effort de guerre contre la Russie, le Proche-Orient se lance au contraire dans une vaste entreprise de réconciliation.
Déjà l’Arabie Saoudite et le Qatar avait mis fin à leur brouille née d’un conflit idéologique très ancien entre Wahhabites et Frères musulmans. Parallèlement, les Emirats Arabes Unis se sont rapprochés d’Israël qui a fourni d’importants renseignements militaires dans la guerre au Yemen contre les Houthis soutenus par l’Iran.
Tous les galonnés en retraite qui se succèdent sur les plateaux de télévision tiennent le même discours : les opérations militaires ne se passent pas comme prévu, l’armée russe est en difficulté, ses pertes sont énormes, Poutine a sous-estimé l’armée ukrainienne, etc
Passons sur le côté comique de répétition et rappelons juste que ces « vérités » assénées sont actuellement tout à fait invérifiables. D’autant que seules les sources ukrainiennes sont reprises en boucle. Les « héros » de l’île aux serpents ou les « 1000 morts » du théâtre de Marioupol annoncés par Zelenski lui-même devraient pourtant inciter à plus de prudence. Mais nous sommes dans la dictature de l’émotion, dans un manichéisme typiquement occidental qui nous rappelle les grandes heures de la Syrie ou du Kosovo. Faut-il rappeler que c’est à la fin d’une guerre que l’on sait qui l’a gagnée ?