Idées, débats... - Page 172
-
-
Sur TV libertés, de l'idéologie néoconservatrice à l'exemple illibéral - Poléco n°288 avec Guillaume de Prémare.
-
Sur Valeurs Actuelles, mythes et réalités sur Jair Bolsonaro.
Dans "Brésil, voyage au pays de Bolsonaro", Virginie Jacoberger-Lavoué décrit le parcours du président Jair Bolsonaro depuis son élection en tissant un bilan à mi-mandat, portant son analyse sur la gestion complexe d'un pays à redresser.
-
Sur le Cercle Aristote, Pierre-Yves Rougeyron chez André Bercoff : Les vertus du nationalisme ( Sud Radio - 22.02.21).
-
Obsession du blasphème et nouvelles sacralités, par Ingrid Riocreux.
La presse satirique apparaît à la Révolution française. Elle s'emploie bien sûr à détruire ce qui est sacré, Dieu et le roi. Le pli est pris, la caricature révèlera les antagonismes et les journaux se multiplieront, jusqu'à Charlie Hebdo. Qui tire sur de vieilles ambulances, comme l'Église, avant de s'attaquer au tank musulman.
-
Alain Finkielkraut ou l’art de vivre selon la nuance…, par Bérénice Levet.
Alain Finkielkraut en habit d’apparat le jour de son élection à l’Académie française, 28 janvier 2016. © JACQUES DEMARTHON / AFP
Depuis Socrate, le devoir du penseur n’est pas de répéter la doxa du moment mais de la questionner. Sans cette liberté d’exprimer opinions et pensées, point de démocratie. C’est pourquoi le silence ou l’approbation des médias après le limogeage d’Alain Finkielkraut laisse présager un avenir bien sombre.
-
Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi être royalistes aujourd'hui ?
La réponse du Groupe d’Action Royaliste (partie 6 : Pour un État “dégraissé”.)Dans le cadre d’une “Monarchie active”, celle que le royaliste Charles Maurras n’a cessé d’appeler de ses vœux et celle qui nous apparaît comme le moyen d’un équilibre institutionnel viable, le Roi apparaît comme l’incarnation d’un État libre, non pas étatiste, mais souverain et “allégé” d’un certain nombre de tâches rendues aux régions, aux administrations ou aux forces économiques, qu’elles soient fiscales, d’aménagement territorial, socio-économiques ou culturelles. -
Le prix de la vie, par Claude Wallaert.
Un petit livre qui en dit long, et profond ! En cette conjoncture de déboussolement mondial face à la pandémie, en à peine plus de cent pages, l’auteur nous invite à un rigoureux examen de conscience ; sans acrimonie, mais avec une belle fermeté, Alexandra Laignel-Lavastine nous dit en substance : « Arrêtons de paniquer, de nous comporter comme des papillons autour d’une lampe ! Asseyons-nous, calmons-nous et réfléchissons…
-
Sur le Cercle Aristote, Pierre-Yves Rougeyron : Philippot se radicalise-t-il ?
Pierre-Yves Rougeyron revient, entre autres, sur l'article de Valeurs Actuelles présentant Florian Philippot comme un "nouveau radicalisé" "en plein virage radical et contestataire".
-
Sur Valeurs Actuelles, ÉRIC ZEMMOUR PRÉSIDENT ? (RA#26).
-
(1/2) D'accord avec Jean Sévillia...
1/2. Sur les 28 préconisations du rapport #Stora, la première que reprend Emmanuel Macron va dans le sens d'une mise en accusation, accentuée par son grossissement médiatique, de l'action de la France en Algérie. Apaisement des mémoires ? Et si on faisait plutôt de l'histoire ? -
(1/3) L'annonce bienvenue de Jean Sévillia...
-
(1/1) D'accord avec Jean Sévillia...
Jean Sévillia1/1. Si la mort d'Ali #Boumendjel a réellement été un assassinat camouflé en suicide (P. Pellissier, La Bataille d'Alger, Tempus, 2002, ne recoupe pas Aussaresses), ce drame ne peut être isolé de son contexte : le terrorisme du FLN contre les civils européens à Alger en 1956-57. -
Sommes-nous gouvernés ou trahis ?, par Christian Vanneste.
Sommes-nous gouvernés ou trahis ? Telle est la question à laquelle répond Olivier Marleix dans son excellent livre : Les liquidateurs. En fait, à le lire, on découvre qu’il y a un liquidateur en chef, notre président de la République, Emmanuel Macron. Ce livre est un réquisitoire contre celui qui n’aurait jamais dû être là où il est.
-
L’Académie française met en garde contre le « péril mortel » de l’écriture inclusive.
L’Académie française réunie en séance publique, le 1er décembre 2016 à Paris.
Dans un communiqué, les Immortels jugent que l’écriture inclusive « aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression ».