Bravo à lui ! Olivier Giroud se mobilise pour les chrétiens persécutés...

UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Wall Street a conclu la semaine sur de nouveaux records, avec un Dow Jones à 30.218, ignorant les 245.000 créations d’emploi en novembre, contre 610.000 en octobre, et des attentes de 650.000 pour les analystes. Près d’un tiers des PME sont en faillite, aux États-Unis, et le pays compte 10 millions de chômeurs, soit davantage qu’en 2008.
1. Les contrôles au faciès ? "On est sur un débat hypocrite", dénonce un policier... Les contrôles au faciès sont le reflet de la population carcérale ! Si c'était la communauté asiatique qui posait problème, les prisons seraient majoritairement jaunes !
Depuis plus de trois longues années, les Français subissent l’arrogance d’un président narcissique qui tient chacune de ses idées pour un trait de génie alors qu’elles naissent de la rencontre périlleuse entre quelques préjugés idéologiques superficiels et un total manque d’expérience. Non seulement Macron est privé d’enracinement, mais il prêche cette absence aux autres, fasciné par le monde où se déploient les échanges, en oubliant que sa priorité de président de la République française, tient à ce que la France garde ou retrouve son unité, pour cela sauvegarde son identité, et puisse encore exister dans ce monde.
Un des critères qui permet très facilement de différencier un régime libre d’un régime tyrannique, c’est la possibilité pour les habitants d’un pays de quitter celui-ci, en emportant leurs biens s’ils le souhaitent.
Les policiers sont en colère après les propos d'Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès. Plusieurs syndicats appellent à cesser les contrôles.
Place de la République, samedi 5 décembre. Frédéric Lagache, porte-parole du syndicat Allliance-Police nationale, est venu mesurer le désarroi des forces de l'ordre après l'interview accordée par le président de la République à Brut.
Le gouvernement présentera en Conseil des ministres, le 9 décembre, un projet de loi confortant les principes républicains, alors que l’intitulé initial devait concerner le renforcement de la laïcité et la lutte contre le séparatisme islamiste. C’est un aveu de faiblesse et de renoncement. Les objectifs affichés d’affermissement de la laïcité-civilité et de contrôle du financement des associations cultuelles musulmanes seront difficiles à atteindre sans une volonté farouche d’agir, totalement absente dans l’exécutif actuel.
L’interview d’Emmanuel Macron à Brut fera date. Comme on dit, et sans mauvais jeu de mots, ce fut du brutal. À moins d’un an du début de la campagne présidentielle, on ne peut d’ailleurs que recommander l’écoute de cet entretien, notamment pour tous ceux qui, à droite, sont frappés de strabisme macronien.
Vous vous rappelez peut-être que Victor Klemperer avait décrit la Lingua Tertii Imperii (paru en 1996 en France), la langue du Troisième Reich. Il explique ainsi comment les Nazis avaient modifié le sens de certains mots allemands de façon à ce qu’ils servent leur idéologie. La novlangue imaginée par Orwell était le rejeton adultérin de ce Nouvel Ordre Linguistique — quand « bon » signifie « conforme à la pensée de Big Brother », et que « inbon » exprime tout le reste.
Le numéro sera bientôt disponible en ligne ici : https://lebiencommun.net/kiosque/
Le chroniqueur revient sur le souhait de Jean-Luc Mélenchon de rétablir le service militaire obligatoire (SMO). S’il rappelle que ce service servait d’abord à faire la guerre, il estime que ce n’est pas sa suppression qui a favorisé les fractures françaises. Au contraire.