Quelques images de la famille de France, rassemblée au Domaine royal de Dreux pendant le confinement.

Photos David Nivière - Tous Droits Réservés
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Photos David Nivière - Tous Droits Réservés
Tout est perdu fors l’…Horreur !
En abîmant le mot de François 1er, et en remplaçant l’Honneur par l’horreur, on peut pleurer de honte sur notre France !
Non, nous ne sommes pas en guerre, comme il a été dit, c’est faire injure aux Combattants que de comparer La Guerre à cette guéguerre qui donne des premiers rôles à nombre de sommités médicales qui viennent s’exprimer doctement sur les différents 20 Heures de toutes nos chaînes de TV.
1. De Catoneo : Le grand défi de la langue française est la création de mots nouveaux pour nommer par exemple une invention. Le travers académique est d'associer des mots existants quand l'anglais crée un seul mot. Au lieu de nommer, on décrit.
Deux mots français créés ex-nihilo font exception à la règle :
- ordinateur
- informatique
Les lecteurs de La Faute à Rousseau en connaissent-ils d'autres, à part "avion" dérivé de l'oiseau latin ?
Le passage en force de la « loi Avia » suscite une opposition large et nourrie. Que le premier texte voté après la douloureuse expérience du confinement soit attentatoire à la liberté d’expression relève de la provocation : après avoir suspendu les libertés d’aller et de venir, de travailler, de se réunir, de manifester, d’exercer son culte, voici que le pouvoir étrangle encore davantage la liberté d’expression dans notre pays. A peine les Français retrouvent-ils le goût de sortir, de renouer avec leurs familles et leurs amis, de fréquenter les magasins de leur choix, mais alors qu’ils n’ont pas encore la liberté de se déplacer à leur guise, on entend les punir d’avoir abusé de leur liberté de parole sur la toile, en profitant, les garnements, de leur inactivité.
Procession pour la fête de l’Assomption
© Pascal Deloche
À l’heure où la société française dans son ensemble entre dans un processus de déconfinement, avec toutes les prudences requises, quelques publicistes ont lancé un mot d’ordre sur les réseaux sociaux, qui s’adresse aux chrétiens. « N’est-ce pas l’Église elle-même qui devrait se déconfiner ? » Notre Église serait-elle par trop renfermée sur elle-même ? Il y a bien sûr une pointe polémique dans ce qui ressemble à une mise en demeure.
La députée Laetitia Avia (LREM). STEPHANE DE SAKUTIN/AFP
Source : https://www.lefigaro.fr/
La proposition de loi de la députée Laetitia Avia, visant à mieux lutter contre les «propos haineux» sur Internet, sera certainement adoptée ce mercredi 13 mai à l’Assemblée nationale. Jean-Thomas Lesueur et Cyrille Dalmont, de l’Institut Thomas More, dénoncent le caractère subjectif de la définition de ces «contenus haineux».
Source : https://www.causeur.fr/
On le dit et on le répète: "Causeur" a une dent contre la loi Avia.
C’est une loi qui représente un enjeu fondamental pour la liberté d’expression qui s’apprête à être votée ce mercredi 13 mai, presque en catimini, à l’Assemblée nationale.
Cette citation issue d’un discours d’Emmanuel Macron, Président de la République, tenu le 6 Mai, prêta à sourire et suscita quelques interrogations plus ou moins déplacées…
Pourtant, cette notion de « chevaucher le Tigre » n’est pas un élément de la novlangue libérale. Bien au contraire, il s’agit d’un principe confucéen décrit et introduit par l’auteur fasciste Julius Evola en 1961 dans l’ouvrage éponyme : « Chevaucher le Tigre », que le Président de la République a sciemment utilisé lors dudit discours pour décrire le mode de dépassement de la Crise en cours. Cette référence directe d’un Président libéral à une figure fasciste a par ailleurs déjà été soulevée et mise en exergue par pléthore de médias. Mais qu’est-ce que « Chevaucher le Tigre » concrètement ?
Source : https://lepcd.fr/
Le Parti Chrétien-Démocrate avait déposé, mardi 5 mai, un référé-liberté auprès du Conseil d’Etat pour contester la décision gouvernementale de prolonger l’interdiction des célébrations cultuelles à partir du 11 mai, date du déconfinement.
Malgré le confinement, célébrons Jeanne d'Arc, dont la fête fut instituée il y a 100 ans par la République elle-même, après des années de combats et 10 000 jours de prisons pour les camelots du Roi.
Mercredi 19 juin, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Jacques SAPIR sur le thème “La question de la stratégie politique”.
Pendant plusieurs décennies, nous avons connu des stratégies d’union – de la gauche et de la droite - qui ont permis aux deux camps de gouverner successivement. Puis, à gauche en 2012, la tactique a été appliquée sans stratégie et, après la victoire d’Emmanuel Macron, la constitution d’un bloc oligarchique a conduit à de nouvelles réflexions stratégiques autour de concepts tels que le populisme et le souverainisme.
L’éclatement des oppositions politiques et sociales conduit à poser en termes neufs “la question de la stratégie politique” après les élections européennes qui ont vu le succès du Rassemblement national et l’échec de la France insoumise sur fond de révolte des Gilets jaunes. Nous avons demandé à Jacques SAPIR, auteur de nombreux ouvrages et articles sur les aspects théoriques et pratiques de la stratégie, de nous donner son analyse de la situation politique et de tracer les perspectives d’évolution sur le champ politique et social.
Pierre-Yves Rougeyron revient sur la déclaration de Jean-Pierre Chevènement du 08 avril 2020 demande la mise en place d'un "gouvernement de salut public".
Robert Menard, Maire de Béziers, ancien journaliste, fondateur de Reporters sans Frontières au micro d'André Bercoff.
Source : https://www.facebook.com/Marianne.magazine/
Le magazine Marianne a organisé un débat par visioconférence entre Michel Onfray et Natacha Polony. Un échange qui a été diffusé en direct sur Facebook hier soir à 18h30.
L'occasion de faire le point sur la revue Front Populaire lancée il y a un mois par le philosophe. Et de constater que Michel Onfray et Natacha Polony partagent la même ambition : faire entendre des voix différentes face à l'étouffant conformisme médiatique et politique qui règne en France.
Tous les sujets du moment, et ceux qu'imposent plus que jamais l'exigence démocratique pour les mois à venir, seront au cœur de ce dialogue.
Lundi 11 mai : De 1309 à 1376, la Papauté en Avignon...
Mardi 12 mai : La grande peste de 1348...
Mercredi 13 mai : Le Dauphiné devient français...
Jeudi 14 mai : La France face à la Maison de Bourgogne...
Vendredi 15 mai : Acquisitions de Louis XI...
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