L'assassin de Villeurbanne est un demandeur d’asile afghan, nommé Sultan Marmed Niazi; il a tué un jeune homme de 19 ans et a grièvement blessé trois autres personnes, toujours entre la vie et la mort. Selon un témoin direct de l’agression cité par Le Progrès, l’auteur aurait « fait part d’une allusion religieuse au moment des faits » : « Ils ne lisent pas le Coran. »
Mais, attention ! PADAMALGAM ! Il faut attendre, comme Gérard Collomb, le maire : « Il faut attendre les conclusions de l’enquête et rester très prudent. »
Prudent, comme ne le sont pas nos gouvernants dans le contrôle de l’immigration, de l’asile, du développement de l’islamisme... Sils étaient prudents, nos dirigeants, ils prendraient immédiatement une mesure toute simple, gratuite et facile : les demandeurs d'asile (dont 80% sont déboutés, rappelons-le tout de même...) font leur demande chez eux (en l'occurrence, à Kaboul) au lieu de venir la faire chez nous. Puisque on sait très bien que, une fois entrés, ils ne ressortent plus.
Le Système préfère laisser les étrangers à problème(s) s'entasser en France, avec les conséquences que l'on voit...
A-t-on le droit d’être islamophobe ? débattait-on, ces jours-ci, sur CNews et d'autres chaînes radio/télé.
On pourrait répondre : A-t-on (encore) le droit d'avoir 19 ans, aujourd'hui, en France, et de se balader dans les rues sans être assassiné par un demandeur d'asile, qu'il soit afghan ou autre ?
PS : le débat d'hier soir, dimanche, sur CNews, a battu des records de "politiquement correct", particulièrement écoeurant, jusqu'à la nausée. Tous et toutes, ligués contre le représentant du Rassemblement national, l'ont accablé de "nauséabond" et autres insanités, y compris le journaliste présentateur, qui a confondu allègrement sa carte de presse avec la carte du parti "politiquement correct"... Julien Odoul a quand même bien résisté, et a proposé ce que les Français attendent : un référendum sur l'immigration, puisque le droit d'asile est totalement dévoyé, et que le sentiment d'exaspération devant l'immigration massive et ses conséquences semble partagé par deux tiers des Français, si ce n'est plus...