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Sur la HALDE et sur RESF, deux députés UMP ont très bien parlé. Mais, à quand les actes ? (2/2).

pierre cardo.jpg             Très peu de temps après que Jean-Marc Nesme se soit exprimé sans ambigüité sur la Halde, Pierrre Cardo, à son tour, a fait une très intéressante déclaration.

             Il a expliqué par a + b la perversion et la malfaisance de RESF, comme on va le lire ci-après.

             Question, là aussi. Qu'attend-on, dans la majorité -puisqu'elle est au pouvoir- pour interdire et dissoudre cette association d'agitateurs, qui n'hésitent pas à se mettre dans l'illégalité afin de soutenir ceux qui sont déjà dans l'illégalité, à savoir les clandestins ?

              Là aussi, par son action permanente contre les lois, RESF donne perpétuellement le motif à son interdiction et sa dissolution. Démonstration, par un élu de terrain, qui sait de quoi il parle.....   

            "Nous avons l'obligation d'accueillir à l'école tous les enfants à partir de six ans. Cette loi visait notamment les gens du voyage et me semblait juste. Mais elle a été détournée de son objet. Cette obligation est devenue une nouvelle filière d'immigration. Car les familles qui ne sont pas en règle le savent : une fois leur enfant bien installé dans une école, il est pris en charge par le Réseau Éducation sans frontière (RESF ndlr), les parents se mobilisent et la famille devient pratiquement inexpulsable.... L'immigration clandestine se massifie, notamment dans les grandes villes et la proche banlieue parisienne. La solidarité entre migrants s'exerce pleinement. Avec la création de RESF qui mène réellement bataille, l'école est devenue une porte d'entrée, s'ajoutant aux mariages blancs et aux certificats d'hébergement....

            Ces familles [...] ne paient rien à la commune. Or à Chanteloup, déjà 66% des foyers sont non imposables, car trop pauvres. L'afflux de personnes précaires, sans compensation de l'état, puisqu'elles ne sont pas recensées, nous fait souffrir un peu plus. Il faut héberger, scolariser, soigner, en bref mobiliser les services sociaux pour ces personnes en difficulté. Or les communes pauvres sont au bord de la faillite."

            À Grigny, ville PCF de l'Essonne, ces immigrés hébergés pourraient représenter jusqu'à 20% d'habitants supplémentaires, La ville fait face à un surcoût scolaire d'au moins 2 millions qui vient creuser le déficit qui avoisine déjà les 14M€. En aparté, les maires de ces communes pauvres d'Ile-de-France reconnaissent le problème. Mais beaucoup ferment les yeux. Ce qui ne rend service à personne...."

              Là non plus, ce n'est pas nous qui contredirons le maire de Chanteloup. Notre opposition radicale et résolue à RESF -comme à la Halde-est bien connue.

              Mais RESF -qui est certainement à combattre- n'est pas seule à combattre. Comment qualifier un Système qui tolère ce que dénonce -avec justesse- le maire de Chanteloup ? N'est-ce pas un Système délinquant lui-même ? N'est-ce pas le premier délinquant de France, grand prêtre et grand organisateur de la délinquance ?

              C'est pourquoi, pour RESF, comme pour la Halde, si le seul mot d'ordre est: Delenda est !, ce mot d'ordre ne saurait s'appliquer seulement à ces deux entités: il faut les détruire, certes, l'une et l'autre, mais c'est le Système qu'il faut remettre en cause, afin de remettre en ordre.....

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