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Rechercher : Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi la Monarchie ?

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie... pourquoi pas ?

    Petit rappel : cette affiche royaliste a été publiée dans les années 1930.. mais elle reste entièrement valable et actuelle, non ?

    Source : https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie fait du temps un allié.

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    Ce qui manque à l’État aujourd’hui pour s’imposer à la mondialisation, nouvelle forme de la féodalité économique, c’est le temps, l’indépendance et la capacité de décision et de mise en pratique de cette dernière.
    Coincée entre deux élections, la République oscille entre démagogie et déni : la Monarchie (et nous parlons de la Monarchie active et politique « à la française » et non d’autres modèles monarchiques étrangers), elle, inverse la problématique et fait du temps un allié parce qu’elle peut, non le dominer, mais le maîtriser ou, mieux, l’accompagner pour mieux le guider. Cet avantage certain, lié au mode de transmission héréditaire et à la possible longueur du mandat royal, permet d’envisager la mise en place de véritables politiques, en particulier sociales, et d’avoir à la tête de l’État un magistrat suprême garant de ces politiques. Un magistrat qui joue son rôle d’arbitre et peut, le cas échéant et dans le cadre de la Monarchie active que nous prônons, engager sa parole au sein des instances internationales qui « réglementent » les échanges et les politiques économiques et commerciaux. Cette magistrature royale est un moyen de rendre sa visibilité au pays au-delà des seules échéances électorales et gouvernementales, et de rendre à l’État son visage et sa présence éminemment politiques. Le Roi n’est pas un économiste ou un expert, il n’est pas non plus un « syndic du capitalisme », et ce qu’il incarne, au-delà de sa propre personne physique, peut donner une plus grande force à la parole de la France.
    Face à la cryptocratie des grandes féodalités financières, à cette « fortune anonyme et vagabonde » qui rêve d’une gouvernance sans politique et en particulier sans politique sociale, le Roi est un visage, il est un État, il est le politique, celui qui ne compte pas seulement en millions d’euros mais qui pense en termes de personnes et de communautés, en intérêts humains et non en simples taux.
    La Monarchie française est, par essence, profondément sociale (ce qui, jadis, lui a d’ailleurs coûté cher…) car elle a ce devoir d’humanité sociale dont la Finance, aujourd'hui plus encore qu'hier, semble s’affranchir pour mieux satisfaire ses « clients » ou ses actionnaires…
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : La Monarchie, contre la dictature et pour les libertés !!

    Dans l'histoire comme dans le projet contemporain, et c'est de la France dont il s'agit ici, la Monarchie n'est pas une dictature et n'a pas vocation à le devenir, même si la tentation d'un régime autoritaire a pu exister de la part de quelques royalistes lors du premier XXe siècle, furieux de la déliquescence d'une IIIe République qui laissait la voie ouverte à la puissance germanique.

    Sous l'Ancien régime, la Monarchie était plus fédérative que centraliste, et les provinces, les villes, les métiers avaient de nombreuses libertés, des « franchises et privilèges » disait-on alors, au point que l'historien Funck-Brentano a pu parler d'une « France hérissée de libertés ». Cela n'empêchait pas la construction d'un État central qui s'imposait peu à peu à tous, à un rythme lent mais sans discontinuer et sans, sur le fond, attenter aux « libertés traditionnelles », cherchant plutôt l'équilibre que la démesure. Bien sûr, la nécessaire lutte contre les féodalités ne se faisait pas toujours dans la délicatesse et la raison d’État, en devenant un élément important de l'exercice et de l'essence même de l’État, a parfois justifié des mesures qui ressemblent à celles d'un état d'urgence contemporain. Comme tous les régimes humains, la Monarchie n'est pas « parfaite », en particulier parce qu'elle reconnaît, justement, l'imperfection des hommes, et qu'elle s'en contente sans vouloir forger un « homme nouveau », vieux rêve des utopies que les républicains de 1793 voudront mettre en application, obligés alors d'instaurer un régime de Terreur qui préfigure les totalitarismes du XXe siècle...
    La Monarchie, aujourd'hui, ne serait pas plus une dictature qu'elle ne l'a été avant 1789 et de 1814 à 1848, cette dernière période étant celle de l'installation définitive d'un système parlementaire qui, sous les Républiques suivantes, a dégénéré en parlementarisme, au moins jusqu'en 1958 et l'instauration d'une République plus « monarchique » que les précédentes sans aller jusqu'à son terme institutionnel logique...
    S'il y a l'exemple des Monarchies européennes, plus symboliques que décisionnaires, elles ne sont pas forcément représentatives des espérances monarchiques françaises. Mais elles montrent à l'envi que l'idéal monarchique n'a rien de dictatorial, et, dans le cas de l'Espagne, la royauté a permis et a mené une « révolution tranquille » qui, si elle peut parfois nous surprendre, voire nous choquer, a inauguré véritablement une pratique du débat politique décomplexé et un régime parlementaire classique selon les canons européens... Ce dernier exemple ne signifie pas que cette forme de la Monarchie soit exactement adaptée à la France, mais il montre les possibilités démocratiques offertes par une Monarchie locale.
    La Monarchie « à la française », par son essence même, est le meilleur antidote à la dictature, y compris à celle de l'Opinion publique, souvent versatile et parfois inflammable : en ancrant la magistrature suprême de l’État dans le temps et dans les habitudes, au-delà des intérêts particuliers (et antagonistes, souvent) du moment et d'un lieu, elle peut jouer ce rôle de représentation diplomatique nationale et celui d'un trait d'union entre les diversités françaises, d'un arbitrage permanent et mesuré sans être omnipotent et hyperactif... En somme, tout l'inverse d'une République trop centralisée ou (et ?) trop féodaliste (partitocratique, entre autres) dont l'état d'urgence apparaît désormais comme la défense maladroite, celle d'un régime qui ne croit même plus en sa légitimité propre...
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie, contre la dictature et pour les libertés !

    La Monarchie « à la française », par son essence même, est le meilleur antidote à la dictature, y compris à celle de l'Opinion publique, souvent versatile et parfois inflammable : en ancrant la magistrature suprême de l’État dans le temps et dans les habitudes, au-delà des intérêts particuliers (et antagonistes, souvent) du moment et d'un lieu, elle peut jouer ce rôle de représentation diplomatique nationale et celui d'un trait d'union entre les diversités françaises, d'un arbitrage permanent et mesuré sans être omnipotent et hyperactif...

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : sur la question sociale et la Monarchie.

    La toile est un champ de bataille et il n’est pas certain qu’il soit le meilleur vecteur du débat d’idées car, trop souvent, elle n’est que le lieu du lynchage, de l’invective et de la calomnie : cela en est souvent désespérant pour qui conçoit la « disputatio » politique comme un moyen de faire progresser ce qui paraît nécessaire pour le pays et ses populations, ou comme celui d’élever les hommes vers des causes honorables, par l’intelligence et la réflexion…

    Mais elle peut parfois permettre, entre gens de bonne volonté, d’évoquer quelques vérités et de les valoriser quand elles sont ignorées de l’éducation nationale comme des médias. Ainsi, sur la Révolution française et la question sociale, par exemple. Voici ci-dessous les extraits d’une réponse qu’il m’est arrivé de faire il y a quelques semaines sur un réseau social bien connu… (Le débat portait sur la condition ouvrière en France.)
    « Si vous étudiez l'histoire sociale française, vous constaterez aisément que la Révolution française fut le pire moment "libéral" de l'histoire de France, en particulier à travers les lois d'Allarde et Le Chapelier de 1791 qui détruisent les corporations et tout le modèle social corporatif quand les lois de 1790 contre l’Église avaient déjà entraîné une hausse immédiate de la pauvreté, en particulier dans les campagnes... Ces deux lois révolutionnaires interdisaient la grève et l'association ouvrière, et permettaient la "libéralisation" (sic) du temps de travail. Le dimanche, d'ailleurs, perd alors son statut de jour de repos pour les ouvriers et il faudra attendre le roi Louis XVIII pour qu'il le redevienne, en 1814, pour tous les travailleurs... Les royalistes sociaux ont été les premiers à lutter pour redonner des droits aux classes laborieuses qui en avaient été privés par la Révolution, la République et l'Empire, ce que Marx (pas vraiment royaliste...) a lui-même remarqué...
    « Pourquoi le roi Louis XVIII n’a-t-il pas remis officiellement en cause les lois de 1791 ? Sans doute parce que la bourgeoisie, qui venait de « lâcher » l’empereur, ne s’est ralliée à la Monarchie que du bout des lèvres, craignant de tout perdre de ses nouveaux pouvoirs économiques et politiques acquis sous la Révolution et confortés par l’Empire, et que le roi, soucieux de refaire l’unité française plutôt que de raviver les blessures, a préféré contourner la bourgeoisie plutôt que de la braquer. En légalisant le repos dominical (1) par le biais d’une loi dite de « sanctification du dimanche », il semblait déplacer la question sur le terrain religieux sans s’en prendre directement à la bourgeoisie elle-même, et il permettait à cette dernière, peu conciliante sur ses « droits » issus de la « liberté du travail » de 1791, de ne pas perdre la face. En somme, une habileté royale en attendant que l’État monarchique restauré soit assez puissant pour imposer d’autres concessions à la bourgeoisie… Mais la Restauration, malgré certains de ses préfets qui alertent sur les terribles conditions de travail des ouvriers dans les régions minières et manufacturières (Villeneuve-Bargemont, en particulier), n’en aura ni l’occasion ni le temps, la révolution de 1830 renforçant la bourgeoisie tout en affaiblissant la Monarchie, désormais sous le risque permanent d’une nouvelle révolution libérale.
    « Si la Monarchie n’a pas eu toute la latitude nécessaire pour agir sur la question sociale, elle en a au moins eu la conscience et ce n’est pas un hasard si les premières lois sociales visant à soulager les ouvriers, le plus souvent en « contournement » plutôt qu’en affrontement direct avec la bourgeoisie, sont votées et appliquées dès le roi Louis XVIII qui, en 1818, met aussi en place le livret d’épargne (aujourd’hui livret A) qui doit permettre à tous les Français de pouvoir « mettre de l’argent de côté » dans l’idée d’enraciner (au-delà des possédants et des bourgeois) les classes moyennes et les travailleurs (indépendants ou salariés) au cœur de la société : puisque les corporations protectrices n’existent plus, l’idée est de les remplacer (en attendant mieux…) par une épargne individualisée et garantie par l’État qui prend ainsi le relais des institutions professionnelles encore interdites. La stratégie royale est habile, n’est pas inutile, et nous en mesurons encore les effets aujourd’hui avec le recours massif à ce livret en période d’incertitudes, non pour « faire du profit » mais pour préserver « ce que l’on a » en attendant des jours meilleurs pour sortir cette épargne de son nid et permettre la reprise des activités économiques et commerciales dans les meilleures conditions qui soient, la prudence prévalant plutôt que l’avidité…
    « Tout l’intérêt d’une Monarchie royale en France est de « prendre son temps » pour bien faire les choses. Mais, convenons-en, cela peut, dans les périodes de restauration, de nouvelle instauration ou de ré-instauration, être une faiblesse, parfois fatale : cela doit donc nous inciter à poser les bases théoriques avant que d’être pratiques d’une Monarchie royale qui doit mener, dès son avènement, une politique véritablement sociale et qui s’appuie sur les forces productives et pas seulement financières, ces dernières devant être sérieusement encadrées dès le premier jour si la Monarchie veut pouvoir s’enraciner vraiment. L’élément fort de la légitimation de la nouvelle Monarchie ne peut être, en ce domaine, que l’application « sanctoludovicienne » de la justice sociale. Le comte de Paris des années 1930 l’avait fort bien compris, lui dont l’un des premiers et plus importants écrits portera sur ce thème et s’intitulera « Le Prolétariat » qui aurait pu être sous-titré : « Comment mettre fin à l’indignité sociale par la Monarchie sociale... ».
    (à suivre)
    Notes : (1) : Napoléon 1er avait toujours refusé de remettre en place le repos dominical en prétextant que les ouvriers pouvaient travailler ce jour-là aussi puisqu’ils mangeaient bien tous les jours de la semaine… Argument désarmant de cynisme et de mauvaise foi, mais qui convenait à la part la plus libérale de la bourgeoisie !
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : pourquoi la Monarchie plutôt que la République ?

    L'exemple norvégien...

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : questions, réponses sur la Monarchie 1.

    Pourquoi vouloir la Monarchie ? Quel type de Monarchie ? Sera-t-elle plus coûteuse que la République ? Et le Peuple là-dedans ?
    Quelques questions et quelques réponses dans cette vidéo de 2014...
    NOS RAISONS POUR LA MONARCHIE :
    Voici présenté une série de cinq questions sur la monarchie, par Jean-Philippe Chauvin
    0:57 Pourquoi vouloir la Monarchie au 21ème siècle ?
    2:57 Quel type de Monarchie ?
    4:39 Qu'est_ce qu'un Roi apporterait de plus qu'un président ?
    6:30 Et le Peuple ? Qu'a-t-il à y gagner ?
    8:27 La Monarchie coûtera-t-elle plus chère que la république ?

    Sources : /GroupeDActionRoyaliste

    http://www.actionroyaliste.fr/https://www.facebook.com

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : pour un nouveau régime, la Monarchie.

    Un programme simple et complet, en quelques mots, pour 2022...
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : questions, réponses sur la Monarchie 2.

    Et si le roi était fou ? En quelques minutes, une réponse simple, et d'autres questions-réponses sur la Monarchie...

    Voici présenté une série de cinq questions sur la monarchie, par Jean-Philippe Chauvin :
    0:57 Et si le Roi devenait fou ?
    2:45 Pourquoi ne pas perfectionner la république au lieu d'une Monarchie ?
    4:33 Quelle sera la place de la Religion et de la laïcité ?
    6:23 Que deviendront les partis politiques ?
    8:08 Le Peuple continuera-t-il de voter ? Si oui comment ?
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Monarchie sociale et corporative !

    « La relocalisation industrielle Française ne se fera pas sans une formation pointue dans tous les domaines. La France a perdu énormément de savoir-faire, tant au niveau recherche et développement que techniquement. Il faut reformer des jeunes à tous ces métiers industriels, ils seront le fer de lance de notre relance industrielle :

    si nous ne prenons pas en compte cette donnée, la France ne retrouvera jamais sa compétitivité. Ces jeunes, une fois formés, seront les piliers de notre renouveau industriel. Des jeunes avec des connaissances et des savoirs-faires multiples comme un généraliste en médecine.
    Le problème que nous avons aujourd'hui avec nos entreprises, c’est qu’elles sont trop souvent dirigées comme la France actuellement, par un conseil d'administration qui se trouve de l'autre côté de la planète, qui prend des décisions en ne prenant en compte que la rentabilité financière (ce qui n’est pas forcément illogique, mais qui est trop limité) mais sans tenir compte des autres aspects, car bien souvent les conseils d’administration ne connaissent l'entreprise que par des audits, ou sous formes de tableau excel, ou de plan d'amortissement… En fait, il faut à nouveau avoir de vrais capitaines d'industrie à la barre de nos usines et entreprises. »
    M. Christophe P.
    Une réflexion de bon aloi que nous faisons nôtre !!

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : pour la justice sociale, Monarchie populaire.

    « Fais bonne justice au peuple et surtout protège les pauvres et les petits contre l’insolence des orgueilleux. »
    Ainsi le roi Philippe-Auguste conseillait-il son fils, le futur Louis VIII.

     
    Dans cette période d’indécence et de démesure sociales symbolisée par l’aggravation des injustices sociales et salariales dans notre pays (41 millions d’euros nets d’impôts pour un seul joueur de balle-au-pied quand, dans le même temps, il y a un million de pauvres supplémentaires depuis le printemps 2020), son conseil reste d’une grande actualité.
    Ne laissons pas la loi de la jungle s’installer et rappelons les multinationales du sport et de la finance à leurs responsabilités sociales et nationales : c’est aussi cela, « faire bonne justice au peuple » !
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : pour la justice sociale, Monarchie Populaire.

    Les Royalistes sociaux ne sont pas des utopistes ou des "gauchistes" mais ils luttent depuis le XIXe siècle contre les injustices, fidèles en cela à l'idée du roi Louis XVI de toujours chercher à trouver les moyens de la justice sociale, une formule d'ailleurs créée par le monarque en 1784.

    Or, aujourd'hui, que constatons-nous ? La démesure des inégalités sociales, aggravée par la crise sanitaire qui est aussi une crise de la mondialisation et des rapports sociaux. Nous ne sommes pas des égalitaristes et nous pensons qu'il peut y avoir des inégalités protectrices et justes. Mais nous condamnons la démesure des inégalités qui deviennent alors de véritables injustices !! Le fait que la crise sanitaire entraîne la destruction de 250 millions d'emplois à travers le monde, le basculement de plus d'un million de nos concitoyens dans la pauvreté depuis un an, tout en renforçant l'immense fortune des plus riches, voilà qui n'est ni normal ni juste, et nous n'hésitons pas à le dénoncer, non pour "pendre les riches" mais pour appeler ceux-ci et les institutions politiques de notre pays au respect de leurs devoirs sociaux. Le théoricien du royalisme social et corporatiste La Tour du Pin expliquait qu'il faudrait sans doute que le Roi torde le bras des plus riches pour leur faire entendre raison (et ce dernier terme est le bon !), mais la République en est-elle capable, gênée qu'elle est par sa dépendance à l'Argent qui, trop souvent, "fait" les élections, en particulier présidentielle ces dernières décennies ? Dans son dernier rapport, l'organisation Oxfam évoque ces dérives de ces grandes fortunes irréelles, comme le souligne LCI dans un article récent :
    "Ainsi, la crise sanitaire et sociale, engendrée par le Covid-19, a décuplé la richesse des uns et la situation de précarité des autres, selon l’association relevant que "les 1000 personnes les plus riches du monde ont retrouvé leur niveau de richesses d’avant la pandémie en seulement neuf mois alors qu’il pourrait falloir plus de dix ans aux personnes les plus pauvres pour se relever des impacts économiques".
    Les Royalistes sociaux dénoncent cette situation et souhaitent une réponse politique française à cette indécence sociale. Car tout le monde doit, dans notre société et en fonction de ses capacités et de ses efforts, être récompensé de bonne et juste manière, et ceux qui "ont trop" doivent participer, en particulier dans les temps d'épreuves, à la solidarité nationale et sociale.
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie Royale.

    La Monarchie royale n'est pas une solution-miracle à tous les maux de notre temps, mais elle est la condition à la fois de l'unité française et de sa diversité provinciale et culturelle ; elle est aussi, si l'on y prête attention "l'écologie intégrale" tournée vers les hommes comme vers l'environnement et ses multiples aspects. Fédérale, sociale, écologique... La Monarchie royale "à la française" n'est pas qu'un régime, elle est un état d'esprit et une "politique de civilisation"...

    Sources : https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

    http://www.actionroyaliste.fr/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : questions, réponses sur la Monarchie 3.

    Quels pouvoirs, quels contre-pouvoirs, quelles libertés dans la France monarchique de demain ? Quelques éléments de réponse sur cette vidéo !

    Voici présenté une série de cinq questions sur la monarchie, par Jean-Philippe Chauvin :
    0:57 Que deviendra le Parlement ?
    2:06 Quelles sont les contre-pouvoirs que la Monarchie nous autorisera d'exercer ?
    4:00 Qu'en sera-t-il des libertés en général ?
    5:12 Quelle sera la devise de la Monarchie et que deviendra le drapeau tricolore ?
    7:15 Comment sera géré le monde du travail dans la Monarchie de demain ?
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie arbitrale.

    Pour tenir sa place dans le concert des nations, la France se doit d'être elle-même et d'avoir la volonté de sa liberté, mais aussi d'enraciner sa politique dans la durée et la mémoire, ce que, mieux qu'une République présidentielle ou parlementaire, peut faire et assumer une Monarchie royale qui ne détient pas son pouvoir ni sa légitimité d'un « vote de fracture » d'une majorité contre une minorité :

    par essence, la Monarchie royale, « non élue », n'est pas d'un camp contre l'autre, elle est au-dessus de la mêlée politique sans pour autant être indifférente ou insignifiante.
    En somme, elle est arbitrale, et, comme l'arbitre d'une rencontre de balle-au-pied, elle suit la partie mais ne la joue pas, se contentant de « distinguer » entre des points de vue qui peuvent être, pour de multiples raisons, divergents, et de décider de valider ou non telle ou telle option de grande politique, par sa signature ou son « conseil ».