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Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie fait du temps un allié.

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Ce qui manque à l’État aujourd’hui pour s’imposer à la mondialisation, nouvelle forme de la féodalité économique, c’est le temps, l’indépendance et la capacité de décision et de mise en pratique de cette dernière.
Coincée entre deux élections, la République oscille entre démagogie et déni : la Monarchie (et nous parlons de la Monarchie active et politique « à la française » et non d’autres modèles monarchiques étrangers), elle, inverse la problématique et fait du temps un allié parce qu’elle peut, non le dominer, mais le maîtriser ou, mieux, l’accompagner pour mieux le guider. Cet avantage certain, lié au mode de transmission héréditaire et à la possible longueur du mandat royal, permet d’envisager la mise en place de véritables politiques, en particulier sociales, et d’avoir à la tête de l’État un magistrat suprême garant de ces politiques. Un magistrat qui joue son rôle d’arbitre et peut, le cas échéant et dans le cadre de la Monarchie active que nous prônons, engager sa parole au sein des instances internationales qui « réglementent » les échanges et les politiques économiques et commerciaux. Cette magistrature royale est un moyen de rendre sa visibilité au pays au-delà des seules échéances électorales et gouvernementales, et de rendre à l’État son visage et sa présence éminemment politiques. Le Roi n’est pas un économiste ou un expert, il n’est pas non plus un « syndic du capitalisme », et ce qu’il incarne, au-delà de sa propre personne physique, peut donner une plus grande force à la parole de la France.
Face à la cryptocratie des grandes féodalités financières, à cette « fortune anonyme et vagabonde » qui rêve d’une gouvernance sans politique et en particulier sans politique sociale, le Roi est un visage, il est un État, il est le politique, celui qui ne compte pas seulement en millions d’euros mais qui pense en termes de personnes et de communautés, en intérêts humains et non en simples taux.
La Monarchie française est, par essence, profondément sociale (ce qui, jadis, lui a d’ailleurs coûté cher…) car elle a ce devoir d’humanité sociale dont la Finance, aujourd'hui plus encore qu'hier, semble s’affranchir pour mieux satisfaire ses « clients » ou ses actionnaires…
 

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