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Rechercher : qu'est ce que le système ?

  • Voter Macron que soutiennent Hollande, Hamon, Juppé, Artaud, Cohn Bendit, Hue et Madelin ? Merci... non merci !

     

    3578948983.jpgComme à son habitude - cela relève de l'existentiel chez lui ! - Emmanuel Macron fédère tout et n'importe quoi, tout et son contraire.

    Avec lui, ce n'est plus « de la » politique, ce n'est plus « du » politique, c'est du racolage qui tourne au sordide, avec un seul mot d'ordre : quelqu'un est là qui peut nous piquer les places, tous unis contre ce quelqu'un ! Car, que personne ne voie autre chose que ce qu'il y a dans ces ralliements en cascade à cet illusionniste enfumeur qu’est Macron : c'est le Pays légal qui, apeuré - et on se demande bien pourquoi... - prétend faire barrage au Front national, dans le but, nous dit-il, de sauver la France de l'extrémisme, mais qui, en fait, ne veut rien d'autre que poursuivre et pérenniser son confortable et si douillet établissement : lamentable, misérable...

    Notre ennemi, c'est le Système. Encore n'est-il « notre » ennemi que parce qu'il est l'ennemi de la France ; que parce qu'il la déclasse inexorablement et constamment, jour après jour, année après année, décennie après décennie. Nous serions de fiers et acharnés défenseurs de la République si elle avait fait de la France plus et mieux que ce que les rois avaient fait d'elle : la première nation du monde, guidée par un régime menant une authentique politique de civilisation.

    18118611_1168923176551106_1868355620216102634_n.jpgMais qu'ont fait la République idéologique - et sa matrice : la Révolution - du pays le plus avancé de l'Europe et donc, en 1789, du monde ? Un pays qui ne cesse de descendre la pente d'un déclin aussi lent qu'inexorable, marqué par les effroyables moments de la Terreur et du Génocide vendéen et les boucheries napoléoniennes, l'année terrible de 1870, le million et demi de morts de 14-18, le désastre de 1940, pour nous amener au pays en grand danger d'aujourd'hui, miné par ses six millions de chômeurs, ses huit millions et demi de mal logés, ses neuf millions de pauvres, ses presque quinze millions d'immigrés, dont une bonne part sont de réels « ennemis de l'intérieur ». Encore ne fait-on, là, qu'un très rapide bilan, à très grands traits, de l'effacement du pays induit par la funeste instauration de la République en 1875...

    Voilà ce qui justifie notre existence, et fonde notre irréductible originalité ; c'est, non pas d'être l'un des rouages ou l’un des partis de ce Système de décadence et d'effacement national, mais c'est, exclusivement, de mener, continûment, une action politique de réelle opposition au régime en soi-même. Nous n'avons aucune énergie ni aucun temps à perdre, pas de moyens à gaspiller dans les jeux faussés du Pays légal, où des illusions n'amènent que désillusions.

    C'est la raison pour laquelle, nos lecteurs le savent bien, nous ne donnons pas de consignes de vote. Nous n'en avons pas donné cette fois-ci plus que les précédentes, et voilà du reste que, le deuxième tour de la présidentielle n'étant même pas encore passé, celle-ci est déjà dépassée, périmée. Ce qui compte, maintenant - et nombreux sont ceux qui l'ont fait remarquer en pleine campagne - c'est de savoir avec quelle majorité l'élu(e) va gouverner. Or, il apparaît déjà clairement que si, malheureusement, Emmanuel Macron était élu, il aurait sans-doute le plus grand mal à en faire élire une, et pourrait même se trouver dans l'impossibilité de le faire. Ce qui - sauf dissolution - signifierait cinq ans de cohabitation, dont on ne connaît que trop les inconvénients, après cinq ans d’un quinquennat horrible. Vu l'état désastreux dans lequel les deux précédents mandats ont mis le Pays, qui ne voit l'impasse calamiteuse dans laquelle l'élection d'Emmanuel Macron le mènerait ?

    Mais bien plus, c’est sur le fond, sur sa politique affichée, son idéologie proclamée, c’est à raison des puissances dont il dépend, des intérêts qu’il sert, que Macron constitue un danger pour la France d’autant plus que ses chances d’être le prochain président de la République, sont grandes. Nous signalons et explicitons ici ce danger à la fois dans la perspective du deuxième tour de cette présidentielle mais aussi de notre opposition déterminée à Emmanuel Macron au cas où il deviendrait Chef de l’Etat. Est-ce là une de consigne de vote ? C’est bien plus. C’est plutôt une ligne de conduite générale d’opposition au Système Macron – politique, économique, sociétal, idéologique, historique et culturel - qui se trouve ainsi définie et proposée aux royalistes et aux patriotes français. Elle exclut de voter en faveur d’Emmanuel Macron au deuxième tour de la présidentielle, mais au-delà du processus électoral, elle nous définit comme des opposants déterminés à la politique d’Emmanuel Macron, s’il venait à être élu.  

    Les tenants de l'Etablissement ont d'ores et déjà fait savoir qu'aucune voix ne devrait aller à Marine Le Pen. Nous disons, nous, qu’au contraire faire barrage à Emmanuel Macron est dans l’intérêt du pays. 

    Sa candidature a été conçue pour la perpétuation et le fonctionnement réputé  immuable ou impérissable d'un Système que tout le monde voit bien, pourtant, à bout de souffle ; et pour faire croire que son élection sauvera la France.

    Oui, nous refusons bien plus que nos voix à Emmanuel Macron, fils illégitime du mariage contre nature d'une droite, d'un centre et d'une gauche toujours compères lorsqu'il s'agit de confisquer le pouvoir à leur seul profit.

    Les consignes de vote, redisons-le, sont, stricto sensu, en soi, ridicules. Nous rappelons seulement ici ce qui, en la circonstance, nous paraît être l’intérêt national. Nous n’avons pas d’autre rôle : oeuvrer pour le Bien commun, en travaillant inlassablement à la fin d’un Régime ou d’un Système qui déclasse, ruine et efface la France.  

  • Mathieu Bock-Côté : « La France se fait voler son élection présidentielle »

     

    Par Mathieu Bock-Côté           

    Mathieu Bock-Côté, démontre ici [Figarovox, 20.03], comment les affaires ont « vidé la campagne de sa substance politique ». Comment est en quelque sorte volé - sans-doute momentanément - le travail de réflexion de tout un pan de l'intelligence française en réaction contre les trahisons du Système. Nous n'avons pas sa confiance dans la capacité qu'aurait eu François Fillon à incarner et traduire dans les faits cette réflexion traditionaliste dans son fond, indépendamment des problèmes éthiques qui ont soulevé sur sa personne même de légitimes soupçons. La rupture de la droite ou prétendue droite française avec le Système en tant que tel nous semble trop incertaine et trop peu radicale pour mériter cette confiance. Sur le fond des choses, sur la trame de ses analyses et de sa pensée, nous nous considérons néanmoins en accord. Mathieu Bock-Côté est devenu un penseur incontournable du courant antisystème et, en ce sens, antimoderne.  Lafautearousseau    

     

    On l'a dit : l'élection présidentielle de 2017 semblait imperdable pour la droite. Mais rien ne se passe jamais comme prévu en politique et la fragilisation de la campagne de François Fillon depuis quelques semaines est telle qu'il semble de moins en moins certain de participer au deuxième tour de la présidentielle, où pourraient se retrouver face à face Emmanuel Macron et Marine Le Pen, dans un duel exacerbant comme jamais les tensions et les passions françaises. La chose est d'autant plus dramatique que la candidature Fillon, avant son effondrement, semblait offrir une sortie par le haut à un pays en crise, avec un conservatisme décomplexé qui savait toutefois ne pas être histrionique. Il semblait y avoir là un débouché politique raisonnable à l'exaspération populaire. Le conservatisme semblait la meilleure manière d'éviter le populisme. On ne réécrira pas l'histoire, mais il se pourrait bien qu'une défaite de la droite à la présidentielle soit un jour considérée comme un moment gâché dans l'histoire française.

    L'observateur de la campagne ne pourra s'empêcher, néanmoins, d'y voir un incroyable détournement de démocratie, qui va bien au-delà du sort de François Fillon. Depuis cinq ans, la France était prise de convulsions politiques. Le quinquennat de François Hollande aura poussé jusqu'au bout la reprogrammation terra-noviste de la gauche. Paradoxe ? L'homme qui voulait renouer avec un socialisme en lutte contre la finance aura achevé sa conversion aux questions identitaires et sociétales. En cela, il aura été fidèle à son inspiration mitterrandienne. Mais ces questions ne sont pas insignifiantes : au contraire, elles réfèrent à l'idée de l'homme sur laquelle on fait reposer la cité. À travers elles, on aura assisté à une repolitisation de grands segments de la population qui s'apprêtait à vivre la présidentielle de 2017 à la manière d'une querelle entre visions du monde. La présidentielle devait mettre en scène de grands projets et les Français trancher entre eux comme rarement ils auraient eu l'occasion de le faire dans leur histoire récente. Le peuple français aurait ainsi confirmé sa vocation de peuple politique par excellence.

    Mais ce n'est pas ce qui arrive. L'élection se vide de sa substance politique et le système médiatique, effrayé depuis quelques années par la montée des thèmes conservateurs qui alimenteraient la « droitisation » de la France, reprend le contrôle de la vie démocratique en définissant ses thèmes.

    L'élection présidentielle ne porte plus sur le fond des choses. La France se fait voler son élection présidentielle. On pourrait aussi parler d'une élection présidentielle avortée : la poussée conservatrice ne sera pas traduite politiquement. La quête de la transparence éthique, qui n'est évidemment pas condamnable en elle-même, écrase le politique et étouffe un conflit qui aurait pu mettre en scène de manière féconde les contradictions du pays en renouvelant les grands termes de la polarisation politique. Et qu'est-ce qu'une élection présidentielle sans substance politique, sinon une mascarade faite pour dégoûter l'homme ordinaire de la chose publique ?

    Le combat des visions et des programmes ne parvient plus à prendre forme. Les aspirations profondes du pays sont de nouveau déportées vers les marges politiques ou condamnées à l'émiettement électoral. Ce n'est pas un problème absolument nouveau, toutefois : cela fait une trentaine d'années qu'il y a en France une dissociation grave entre l'offre et la demande politiques ce qui a favorisé de nombreuses jacqueries électorales, généralement autour de l'enjeu européen, et la recherche d'une troisième voie qui n'est jamais vraiment parvenue à se faire une place dans un système partisan bloqué. De Séguin à Chevènement en passant par Pasqua et de Villiers, ils auront été nombreux à chercher à reformuler les termes du jeu politique, sans vraiment y parvenir. La poussée du Front national, au-delà de son rachitique électorat d'origine, s'inscrivait aussi dans ce contexte. Le décalage entre le pays et son système politique s'accentuera.

    Nous sommes témoins d'un détournement de démocratie à grande échelle. La France bouillonnait politiquement depuis 5 ans. Des grandes manifestations autour des questions sociétales aux enjeux essentiels remués par la multiplication des attentats islamistes, en passant par le déploiement de la question identitaire et la nécessaire remise en question d'un multiculturalisme ne disant pas son nom et de l'immigration massive, l'élection devait non seulement donner un nouveau président à la France, mais un nouveau cap au pays. Ce ne sera probablement pas le cas, et la protestation populaire peinera à se convertir en politique de redressement. Cela doit être d'autant plus insupportable pour un grand pan du pays que la droite, à travers le travail de nombreux essayistes et intellectuels, avait mené un authentique travail de renouvellement programmatique. Ces débats refoulés ne disparaîtront pas. Il ne suffit pas de cesser de parler d'une question pour la faire disparaître - la politique n'est pas un pur exercice de communication. Ils risquent toutefois d'entraîner un pourrissement de la vie politique française et de séparer le pays en deux camps irréconciliables. L'impuissance politique est mortifère pour la démocratie.

    La politique trouve sa grandeur lorsqu'elle permet de saisir les grands enjeux d'une époque et de les traduire en options intelligentes et raisonnables offertes à la population. Elle devient médiocre et détestable lorsqu'elle met en scène seulement de petites guerres de clans en lutte pour un pouvoir qui sert moins à servir qu'à se servir. Il y a un tel décalage, en ce moment, entre l'importance des enjeux qui devraient être au cœur de la présidentielle et la manière dont elle est menée qu'elle pourrait radicaliser comme jamais le dégoût des Français pour une classe politique qui s'acharne à ne pas être à la hauteur de l'histoire. Personne n'en sortira gagnant. 

    Mathieu Bock-Côté           

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Fiasco du Stade de France : désaccord sémantique avec Philippe Bilger !

    • Philippe Bilger dit :

    "#Fiasco du Stade de France : un rapport accablant contre la hiérarchie policière et le ministre de l’Intérieur. Une honte nationale et internationale. Personne n’a été et ne sera sanctionné. C’est la #France!!!"

    • Nous lui répondons, évidemment très amicalement :

    Non, Philippe Bilger, ce n'est pas "la France" : c'est "le Régime", "le Système", "la République idéologique", qui sont comme une tunique de Nessos, qui tue à la longue ce beau pays qui était, jadis, le mieux géré d'Europe - aux dires des Ambassadeurs de Venise et d'ailleurs... - le pays à la pointe du progrès dans tous les domaines... et que notre République idéologique a transformé en un pays en voie de tiers-mondisation acccélérée :

    •  avec son Etat obèse et impuissant, qui croule sous ses archaïsmes, ses inefficacités et ses injustices...

    •  ses plus de 450.000 Lois, normes et règlements souvent contradictoires, et plus souvent encore paralysantes et décourageantes (pourquoi tant de jeunes Français quittent-ils la France ?)...

    • l'insécurité chronique qu'il a lui-même organisée et installée, aussi bien dans les villes que dans les campagnes, avec sa folle politique d'immigration/invasion, imposée à un Peuple qui n'a rien demandé et à qui le-dit Système se garde bien de demander son avis par référendum, qu'il sait perdu d'avance pour lui...

    • la Dette himalayenne de plus de 3.000 milliards d'euros qu'il a créee et qui hypothèque gravement notre avenir, notre sécurité et notre indépendance nationale...

    • bref son Etat idéologique incapable d'être, tout simplement, un État normal, véritable, au seul service du Pays et de ses intérêts supérieurs et vitaux, comme l'est par exemple, l'État Suisse...

    Ce n'est pas "la France" qu'il faut incriminer à chaque fois  : sur-administration, sur-imposition qui frôle le confiscatoire, Santé en péril, École démolie, Armées échantillonaire malgré la qualité indéniable de nos ingénieurs militaires, pauvreté qui augmente sans cesse, avec son cortège de précarités, mal-logés et mal nourris (ces files impressionnantes aux Restos du Coeur, Banques alimentaires et autres : mais où on est ?)...

    Non, ce n'est pas "la France" qui est fautive ou bien qui serait "née comme ça" ! C'est le Système qui nous tue parce qu'il est mauvais et que, comme un arbre malade, il produit des fruits mauvais...

    LA FRANCE MÉRITE MIEUX QUE CE SYSTÈME  FAILLI EN TOUT ET PARTOUT !

    IL FAUT LUI RENDRE SON RÉGIME TRADITIONNEL,

    CELUI QUI L'A FAITE,

    ET LUI ARRACHER CETTE TUNIQUE DE NESSOS QU'EST LE SYSTÈME ET QUI LA TUE !

     

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    1. De Sauvegarde Paysages d'Iroise :

    "Excellent article sur la modulation nucléaire au profit des #ENR intermttes qui bénéficient d'une priorité sr le réseau entraînant une usure prématurée de notre parc non conçu pour cela, générant dc des pbs de sûreté et unedes coûts de fct. Solutions lemondedelenergie.com/modulation-nuc

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    2. (sur LCI) Virage du tout-électrique : les sérieuses réserves du patron de Stellantis Carlos Tavares... :

    https://www.tf1info.fr/transports/video-interview-virage-du-tout-electrique-les-serieuses-reserves-du-patron-de-stellantis-carlos-tavares-2235971.html

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    3. Évidemment d'accord avec ce que dit ici Zemmour sur l'immigration et la "pensée" (?) de Macron... :

    "...Emmanuel Macron ne comprend rien aux enjeux de l’immigration. Il pense les hommes ne sont que des consommateurs et des travailleurs interchangeables. Pour lui, les peuples et les cultures n’existent pas..."

    (extrait vidéo 1'53)

    https://twitter.com/LYEfrat/status/1625063798385135617?s=20&t=iAoJlDlc6gfTTMtUUMSkvg

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    4. Des nouvelles de Notre-Dame, postées par Baptiste (sur tweeter) :

     "En direct de Notre-Dame : les tailleurs de pierre ont achevé les arcs et l’oculus de la croisée du transept : l’ensemble est en cours de pose ! C’est la première étape de la reconstruction de la flèche ! Bravo !!!"

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    5. Éoliénicide partout, pour tous : dans l'Hérault, un aigle royal mâle retrouvé mort dans le parc éolien de Bernagues, à Lunas... Merci les escrolos ! :

    https://actu.fr/occitanie/lunas_34144/herault-un-aigle-royal-male-retrouve-mort-dans-le-parc-eolien-de-bernagues-a-lunas_57335398.html

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    6. Défense de notre agriculture et de nos paysans... Cédric, "agriculteur du Cantal, éleveur Aubrac, producteur de lait AOP cantal, passionné de rugby, intéressé par la politique" comme il se présente lui-même, demande de "partager ce message" au Ministre de l'Agriculture. Voilà qui est fait, en ce qui nous concerne...

    (vidéo 1'55)

    https://twitter.com/agric15/status/1625185949645783066?s=20&t=vWePzEw6ViIKkh7egW1miw

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    Une nouvelle pullulation de rats taupiers (ou campagnols terrestres) désespère les éleveurs du Cantal, impuissants face à ce fléau récurrent en Auvergne. "Toutes nos parcelles sont touchées, certaines complètement ravagées" :

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/cantal/rats-taupiers-dans-le-cantal-il-y-a-des-agriculteurs-qui-se-retrouvent-sans-herbe-et-sans-fourrage-pour-leurs-animaux-2378425.html

     

     

    7. À noter déjà sur vos tablettes !

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    TOUS DERRIÈRE YANNICK MOREAU, LE COURAGEUX ET ÉNERGIQUE MAIRE DES SABLES D'OLONNES !

    C'EST EN AGISSANT AINSI, EN NOUS MOBILISANT, EN CESSANT DE TOUJOURS "TOUT LAISSER FAIRE" QUE NOUS MAINTIENDRONS NOTRE FRANCE FRANÇAISE, QUE LA FRANCE RESTERA LA FRANCE !

    Yannick MOREAU 
     
    "Retour en images sur la « Saint Michel 2022 » aux Sables d’Olonne. La pluie et la pénurie de carburants n’auront pas douché notre enthousiasme à défendre notre #patrimoine commun. #SaintMichel : Notre #statue restera devant l’église, place et quartier St Michel"

    (extrait vidéo 2'20)

    https://twitter.com/YannickMOREAU/status/1581359438249619456?s=20&t=4eqX-zbdPHMQdCEazLWEqg

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    CONTRE CE SYSTÈME PERNICIEUX, MALFAISANT ET MORTIFÈRE

    QUI NOUS MUTILE ET VEUT NOUS AMPUTER DE NOS RACINES

    POUR NOUS DÉTRUIRE...

    SURTOUT, SUR TOUT,

    VIVE LA FRANCE !

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    1. Toujours sur cette "affaire" des Sables d'Olonnes, justes paroles de Naïma M’Faddel, sur CNews :

    "Il n’y a pas pire aujourd’hui que d’assister à une autodestruction de ce qu’est la France".

    (extrait vidéo 1'43)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1581236644681687040?s=20&t=rtJTCtCp2zXpPR1ufLK9Ew

    Il faut juste rappeler que cette auto-destruction a commencé avec la Révolution, son Génocide vendéen et ses 600.000 morts de mort violente et barbare (guillotinés, noyés dans la Loire, "cannonés" à Lyon, égorgés ailleurs...) et le tiers de notre Patrimoine artistique détruit. Puis, elle se prolonge depuis l'instauration de la République en catimini, en 1875, la date la plus triste de notre Histoire : depuis cette date, le Système mène "une guerre d'extermination" - selon le mot du très sectaire et haineux Viviani en 1906 - contre le catholicisme en particulier, toutes nos Racines en général (gréco-romaines et judéo-chrétiennes). C'est en débarrassant la France de ce Système anti-Français qu'on lui rendra un avenir, qu'on lui permettra de poursuivre "l'aventure France" car, sinon, si nous restions dans ce Système, il y aura toujours un pays et des gens à l'endroit où furent la France et les Français, mais ce ne serait plus la France ni les Français. Tel est le sens profond de notre VIVE LE ROI ! :

    mener une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

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    2. "Vivre ensemble", avec ces adeptes d'une "religion de paix et d'amour" ? Vraiment ? Non, mais, là, il faut "consulter" !... En Tchétchénie, deux ans après la décapitation de Samuel Paty, le père du tueur dévoile une fresque faisant de son fils un héros : "Abdoullakh Anzorov s'est adressé à Allah pour défendre l'honneur du Prophète Mahomet en donnant sa vie ! Ô Allah, nous te demandons d’accepter la shahadah d’Abdoullakh Anzorov !". Le père d’Abdoullakh estime que la décapitation de Samuel Paty "a remboursé la dette de tous les musulmans".

    Des "voisins" comme "ça" ?

    MERCI, MAIS... NON MERCI !!!!!

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    3. Jean-Christophe Buisson continue inlassablement son beau travail d'alerte et d'information pour défendre l'Arménie :

    J-Christophe Buisson
     
    "Aliev refuse la mission d'observation envoyée par l'UE à la frontière . Sans doute pour ne pas avoir à évacuer ses troupes des 50km2 de territoire #armenien occupés depuis 1 mois. Ou à reconnaître les violations de cessez-le-feu. La balle est donc dans le camp de  et UE..."
    • "Autre raison pour laquelle Aliev refuse la mission d'observation de l'UE à la frontière  : elle constaterait que les communiqués azéris prétendant chaque jour ou presque que les soldats #armeniens ont tiré sur des positions azéries sont faux. Alors que l'inverse est vrai..."

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    Le rêve génocidaire d'épuration ethnique des nazéris (et des Turcs, et des Islamistes...) expliquée par une simple carte : l'océan turco-musulman veut effacer et submerger la petite île "Arménie chrétienne"...

     

    4.                                                            

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    On l'a déjà dit, et il faut le redire jusqu'à cela soit fait : cette révélation/aveu doit entraîner la réintégration immédiate de tous les personnels suspendus et le versement rétroactif de leurs salaires, avec les intérêts, évidemment...

     

    5. Hydraulique, énergie... Oui, il faut se révolter contre "Bruxelles" !

    (extrait vidéo 2'08)

    https://twitter.com/Genesis1063/status/1580708410487541760?s=20&t=loJhuGVanQLipVRsBNxISQ

     

    6. Et encore un coup de couteau dans le dos, un !, de nos ennemis allemands du quatrième Reich, "costard cravate et sans salut nazi" mais avec la même morgue pangermaniste et le même expansionnisme germanique destructeur de tout ce qui n'est pas lui (c'est-à-dire, nous, entre autres...) : Berlin rallie quatorze pays de l’OTAN à l’achat d’un bouclier antimissile, au grand dam de Paris. La France est restée à l’écart du projet, composé de systèmes allemands, américains et possiblement israéliens, car elle développe son propre bouclier avec l’Italie...

    https://www.lemonde.fr/international/article/2022/10/15/berlin-rallie-quatorze-pays-de-l-otan-a-l-achat-d-un-bouclier-antimissile-au-grand-dam-de-paris_6145891_3210.html

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    7. Et, puisque la CGT prolonge la grève, on prendra la chose du bon côté, avec un petit sourire !

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    À DEMAIN !

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  • Face à la crise ... le bon sens du peuple, et l' ”opinion” : rien à voir....

     

    L’on aurait sans-doute raison de distinguer le bon sens du peuple français, dans ce qui lui reste de tradition et d’enracinement, qui s’exprime encore, parfois, en certaines circonstances particulières et sur des sujets concrets, de façon nette et conforme à la simple sagesse ou à l’instinct de survie, de ce que l’on nomme abusivement l’opinion qui est, en fait, une création pure et simple du conditionnement médiatique au jour le jour et se caractérise par la frivolité, la superficialité, le caprice, la tyrannie de l’immédiateté, l’inconséquence. Ou, pour parler plus simplement, tout bonnement la sottise. On pourrait dire, en ce sens, que le sentiment populaire est sage et que l’opinion est stupide, conformiste et serve. Et le « système » veille en permanence à étouffer le sentiment spontané du peuple français au profit de son contraire qu’il crée, façonne, manipule à l’envi et qui est l’opinion. Le peuple, il s’en méfie. L’opinion, c’est sa chose, sa créature. Elle va toujours, comme lui, et il fait tout pour cela, dans le sens de la dissolution, de la médiocrité, du vulgaire.  

     

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    Ainsi, dans la crise qui ébranle, en ce moment, toutes les économies du monde, le réflexe habituel des Français, du moins d’une bonne partie d’entre eux, s’est exercé : épargner davantage, se «  serrer la ceinture » pour quelques temps, et attendre des jours meilleurs, qui ne manqueront pas de revenir, parce que la terre tourne et que les jours succèdent aux nuits. Ce n’est pas de la haute stratégie économique, mais c’est le bon sens et c’est sans-doute, en pareille situation, où nous ont mis les puissants et les intelligents du « système », tout ce que peut faire le commun des mortels. Ce réflexe d’épargne qui reste dans le fond du tempérament d’un grand nombre de Français, ne contribue d’ailleurs pas à la sortie de crise. Mais vivre sur des montagnes de dettes, qui sont d’ailleurs, le plus souvent, des dettes à la consommation (dont une bonne part de gadgets) et non des dettes d’investissement, est-ce la sagesse, est-ce le bon sens ?     

      

    Les médias, le « système » l’entendent autrement : « l’opinion » veut à tout prix savoir quand la crise va finir. Cette unique question, à laquelle, pourtant, personne ne peut répondre sérieusement, est posée en boucle, comme on dit aujourd’hui, aux nombreux économistes, les compétents et les autres, ou aux responsables politiques qui se succèdent, sur les plateaux de télévision ou les studios de radio. S’ils ont le malheur de fixer un terme de quelques mois, les mines des journalistes s’allongent, la désapprobation se manifeste, sévère : c’est demain matin ou, tout au plus, après-demain que l’on aimerait entendre car, n’est-ce pas, l’opinion le veut. 

     

    Tout le monde aimerait bien, dans le « système », que les choses reprennent leur train : le crédit facile ; l’immobilier que l’on peut acheter sans en avoir vraiment les moyens parce que sa valeur doublera nécessairement en cinq ou six ans ; les voyages pour tout le monde, à bon marché, très bon marché, même s’ils sont nuls et le plus souvent sans but, ni enrichissement, ni intérêt pour les voyageurs, considérés comme des troupeaux en simple transhumance ; la gadgétisation à outrance des biens de consommation, par une profusion de produits dont l’utilité pour la plupart est fort contestable et qui grèvent les budgets, au détriment de ce que l’on estimait, jusqu’à présent, l’essentiel ; les délocalisations, en Europe de l’Est, en Chine, ou en Inde, qui dopent momentanément la compétitivité des entreprises et qui nous permettront bientôt de ne plus travailler – ou presque – de nos mains, d’être tous des « cerveaux », des petits ordinateurs « intelligents » ; et puis les trente-cinq heures, les RTT ; les défilés de la CGT, comme en 36, les lycéens ou les étudiants ignares, mais dans la rue, avec leurs profs, devenus guère plus savants, en tout cas guère plus sages … ; et puis la confusion du monde politique avec celui du show-biz, la politique spectacle, le Bling Bling, et tout le reste, que l’on est contraint de mettre un peu en sourdine, pour un temps, le temps d’une crise que l’on aimerait très courte ; et, en contrepartie, les petits jeux de bourse pour tout le monde, pour adultes, ou même pour ados, qui donnent l’illusion que l’on peut gagner – et conserver - une fortune, en quelques semaines, en quelques clics d’ordinateur ; et puis, les stock options distribuées à profusion, les salaires mirobolants même en cas d’échec, les parachutes dorés. Et cetera … Nos anciens se méfiaient de « l’argent qui n’est pas transpiré » et sans-doute avaient-ils raison. Mais l’idéologie du « système » est tout à l’inverse : en tous domaines, financier ou autre, c’est, en quelque sorte, toujours la dette qui est prônée ; c'est-à-dire la consommation au présent des richesses accumulées dans le passé et la primauté de l’immédiat sur le long terme.

     

    Il paraît assez normal que nous sortions de la crise et qu’une reprise intervienne à terme plus ou moins rapproché, ne serait-ce qu’en raison des liquidités considérables que les banques centrales et les Etats ont injectées ou qu’ils ont garanties - dans des entreprises du secteur financier puis industriel qui, sans cela, auraient été placées inéluctablement en redressement judiciaire ou liquidées. En un certain sens, il aurait été sain qu’elles le soient. C’eût été au détriment des actionnaires, mais surtout des épargnants et, plus généralement, de l’activité économique elle-même. Mais les immenses volumes de dettes qui auraient été épongés par des redressements judiciaires ou des liquidations, ne se sont pas évanouis : ils ont été, en fait, transférés et pris en charge, ou, à tout le moins, garantis, par les Etats, qui ont creusé d’autant leurs propres engagements ou leurs propres dettes, souvent déjà considérables et excessives. Il faudra bien les payer un jour et c’est ici, après que nous soyons sortis d’une première crise, grâce à l’intervention financière de la puissance publique, que nous entrerons assez probablement dans une seconde crise qui sera bien, alors, celle des Etats.

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    Il n’y a pas beaucoup de moyens pour un Etat, lorsqu’il lui devient difficile d’emprunter, de réduire ou contenir sa dette. Il n’y en a même guère que deux, à notre connaissance : le recours à l’impôt et l’inflation, ou à l’un et l’autre. Le bon sens nous suggère que le recours à l’impôt sera difficile, du moins en France, parce qu’il y atteint déjà des niveaux record et parce qu’il pénalise immédiatement l’activité économique. L’inflation est plus indolore et ses effets sont différés. Elle rogne essentiellement l’épargne, souvent détenue par des personnes d’un certain âge, et les rentes de divers ordres, notamment les retraites, alors que la pression sociale, en période d’inflation, permet généralement aux salariés d’obtenir au moins le maintien de leur rémunération.

     

    Ici, les Français qui en ont fait l’expérience, d’ailleurs du temps des trente glorieuses qui furent une ère de grande prospérité, savent que l’on peut vivre avec l’inflation et s’en accommoder un certain temps, comme l’on peut vivre avec du cholestérol ou du diabète. Elle n’ira pas toutefois, en l’occurrence, sans conflits et difficultés substantielles. Sur le plan international, par exemple, la Chine accepterait-elle sans se considérer gravement lésée, que la dette américaine soit financée par la dévaluation du Dollar, dont elle détient des stocks considérables, en bons du trésor américain ? Sur le plan intérieur, les épargnants de tous les âges et les retraités français – qui sont en partie les mêmes - n’ignorent pas qu’ils seraient sans-doute les premières victimes d’un retour à l’inflation.

     

    Peut-être faudra-t-il, comme en certaines périodes difficiles, que les Français, du moins un certain nombre d’entre eux, les plus touchés, recourent au complément d’un deuxième emploi et que des retraités reprennent un travail, pour compenser l’insuffisante revalorisation de leurs retraites, face à l’inflation. Le mouvement est déjà amorcé, notamment par les dispositifs Novelli qui viennent d’être mis en place.   

     

    Si ces perspectives – ou hypothèses - plutôt pessimistes, ont quelque réalisme, l’infantilisation de l’opinion par les médias et le « système » en général a quelque chose de dérisoire et de coupable qui finira bien par apparaître un jour, parce qu’ils se heurteront au mur des évènements et de situations nouvelles, sérieuses et graves. Les journaux télévisés devront bien alors, au moins pour quelques temps, « ouvrir » sur autre chose que sur le petit garçon, si triste que ce soit, qu’un chien a mordu grièvement … ou sur la petite fille franco-russe ou russo-française enlevée par sa maman et retrouvée par son papa, à la frontière austro-hongroise …  

     

    Le très vieil homme, mais très sage, très expérimenté et très noble qu’est l’archiduc Otto de Habsbourg l’a dit récemment, à propos de la crise : les problèmes d’argent ne sont pas les plus graves ; ce n’est pas d’eux dont on souffre le plus, encore moins ceux dont meurt.

     

    Mais de quels maux est-ce donc que l’on meurt ? Et comment le « système » qui n’est préoccupé que de savoir quel mois, quel jour nous « sortirons de la crise » pour que le monde mercantile, médiocre et dérisoire qui est le sien reprenne sa course sans souci, comprendrait-il un tel langage ?    

     

  • ”Intégration, modèle Légion” : d'accord avec François d'Orcival....

    ... "on" n'a que le mot à la bouche, mais "on" détruit l'un des rarissimes endroits où "ça marche" ! "On" étant, bien entendu, le Système....

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  • La dernière « couv » de Valeurs actuelles : D'accord, mais ...

     

    ... On ne réarmera pas la France

    - c'est à dire d'abord au plan

    mental et politique - à

    l'intérieur du Système !

  • La vaste campagne orchestrée contre le FN n'a pas les apparences de l'efficacité ...

    Illustration : FigaroVox

     

    Ce qui affaiblit la France, ce n'est pas tant le système bi ou tri-partisan. C'est, en lui-même, le régime des partis...

  • Sur le Cercle Aristote, Nicole et Gérard Delépine : La médecine est prise en otage par des technocrates !

    Nicole et Gérard Delépine répondent aux questions de Maxime Le Nagard sur l'organisation et l'état de notre système de santé face à la crise du coronavirus.

  • Action française Le Mans : Non à la loi Avia.

    Ce matin nos militants étaient présents devant la préfecture de la Sarthe afin de dénoncer la loi liberticides dite Avia ainsi que l'incompétence du système à gérer la crise du coronavirus.

  • Ils viendraient faire le travail que nous ne voudrions pas faire ? Mais non ! Ils le disent eux-mêmes !

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    Quelque part en France...

    Dédié à ces "idiots utiles", vrais idiots mais aussi vrais complices/collabos de l'entreprise inédite menée par le Système de dépossession des Français de leur Pays...

  • Sur Marianne, Présidentielle : à quoi servent (vraiment) les primaires ?

    Importé des Etats-Unis, le système des primaires de gauche et de droite favorise-t-il l’émergence de candidatures intéressantes et capables de rassembler ?

  • Sur notre page facebook aujourd'hui...

    Lafautearousseau Royaliste Publié par Jean-Baptiste Collomb

     

    2,4 milliards en quatre ans !

    SYSTÈME POURRI !

     

     

     

  • Amusant : ”Ils” ont descendu la Canebière pour célèbrer la fin des privilèges, mais pour dénoncer leur retour !..... Ou

                Oui, on a beau chercher, on a du mal à trouver un autre adjectif pour qualifier leur démarche, et surtout pour les qualifier, eux.

                "Eux", c'est-à-dire, en l'occurrence cette petite "cinquantaine de manifestants affiliés à des syndicats, associations et partis de gauche" qui - raconte La Provence du 5 août - ont défilé sur la Canebière pour célébrer cette journée du 4 août "où, en 1789, les privilèges furent officiellement abandonnés, faisant entrer la France en République" !

                Comme c'est beau ! On en pleurerait presque... Sauf qu'on a franchement envie de rigoler un bon coup.

                Car, enfin, si c'était vrai, ce que dit La Provence, si on avait basculé dans la République, si c'en était fini des privilèges, pourquoi manifester, après 135 ans de République, héritière de la Révolution, contre le retour de ces mêmes privilèges ? Serait-ce que ce merveilleux système, cette merveilleuse république les crée, ou les re-crée, ou est impuissante à les annihiler ?

                On nage en pleine aberration, mais cela ne semble pas troubler un seul instant la cinquantaine de marcheurs et, à travers eux, toutes celles et tous ceux qui ont leur réflexion anesthésiée par l'idéologie.....

                Car, enfin, en être réduits, 135 ans après l'instauration d'une République qui règne sans partage, à demander "un sursaut républicain à l'heure où le peuple est constamment obligé de courber l'échine", cela devrait, semble-t-il, les interpeller quelque part, et leur faire se poser la question : tout çà, pour çà ?

                Mais non, ils ne veulent pas voir ce qui crève les yeux : leur merveilleux système n'a pas tenu ses promesses, il a échoué, tout simplement.....

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    La République idéologique n'a pas tenu ses promesses; elle a échoué, tout simplement;
    elle a été incapable de supprimer ces "abus" qu'elle prétendait combattre
    et les a au contraire laissé proliférer,
    multipliant Bastilles, privilèges et privilégiés...
    Tout çà, pour çà !.....

                Les idéologues arrivent en effet à casser, mais il leur est beaucoup plus difficile de construire.

                Ainsi, en 1793, par la Terreur au sens propre, c'est à dire en terrorisant les Français et en les massacrant, ont ils pu détruire en un rien de temps une Société qui comptera pour toujours parmi les plus raffinées, les plus policées, les plus civilisées de toute l'histoire de l'humanité. Ce que la Royauté avait édifié en 1000 ans d'efforts ininterrompus, et pas toujours faciles, fut jeté à bas par la violence la plus barbare qui ait jamais sévi sur notre sol: la Révolution causa la mort de 800.000 personnes (l'équivalent, aujourd'hui, de la ville de Marseille); elle inventa et pratiqua le premier Génocide des temps modernes; elle inventa les Colonnes Infernales, auxquelles les Waffen SS ont, finalement, peu de choses à envier, et elle organisa plusieurs Oradour sur Glane bien avant d'être imitée par la division Das Reich, en l'occurrence, héritière et digne continuatrice de Robespierre et de l'hystérique Convention....

                Et tout cela pour entrer dans l'ère nouvelle, où la Raison devait apporter enfin le bonheur à l'humanité.... Et régénérerla France, comme disait Saint Just.....

                Sauf qu'il y a maintenant 200 ans qu"ils" ont assassiné Louis XVI, et nos révolutionnaires en sont toujours a parler de leur société qui vient, qui va venir, qui viendra... Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle n'est pas pressée !

                Ecoutez Olivier Besancenot, expliquant que c'est demain qu'on rasera gratis, et qu'il faut encore, aujourd'hui, se débarrasser des exploiteurs et des nantis, "des 7 % de riches qui nous volent", vitupérant contre ces patrons qui traitent les ouvriers comme "des kleenex ou des citrons". Et que, ce qu'il nous faut, c'est "une bonne vieille révolution" !

                Mais cela fait plus de deux cents ans que leur révolution a commencé, et on a toujours ces horreurs dont -soi disant-on avait été "débarrassé" (1) ? Et on n'y est toujours pas, 200 ans après, aux "lendemains qui chantent" ? Mais, qu'est ce qu"ils" ont donc fait pendant tout ce temps ? et qu'est ce que c'est que ce merveilleux système, ce régime qui met autant de temps à...ne pas tenir ses promesses ?

                La vérité toute simple est que ce par quoi les révolutionnaires ont remplacé la Royauté est largement plus pire, mais très largement... que la Royauté !

                Et voilà pourquoi Madame Royal doit promettre (encore !) la "modernité politique", la fin de la domination "des valeurs boursières et financières...de la collusion et du favoritisme", la fin "d'un État dominé par les puissances d'argent" (dans un de ses discours prononcé à Nantes): rien que ça !

                En somme, on se demande bien pourquoi Robespierre et les siens ont tout cassé, si c'était pour créer à terme un État aussi monstrueux. Soyons sérieux: quand donc Laguiller, hier, Besancenot et Royal (et tous les autres...), aujourd'hui, accepteront-il de se remettre en cause, de répondre à cette simple question: expliquez nous pourquoi nous en sommes là, puisque ceux dont vous vous réclamez ont fait la Révolution ?

                 Et si votre honnêteté intellectuelle, ou votre courage, ne sont pas assez grands pour vous permettre cette salutaire introspection, sachez que, en dénonçant pêle mêle collusion, favoritisme, puissances d'argent, État livré aux clans etc...vous êtes nos meilleurs propagandistes et nos meilleurs arguments et nos meilleurs commis voyageurs.

                 Vous faites notre travail et, somme toutes, vous le faites très bien: surtout continuez...!

    (1) : pour reprendre le mot d'Arlette Laguiller qui, il y a quelques temps maintenant, expliquait doctement, à la télé, qu'il avait fallu cinq ans pour "se débarrasser de la Royauté".

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Réflexions vagabondes et spontanées sur un article de "The Telegraph", qui étrille ce qu'est devenu la France et le bilan de Macron :

    "Autrefois le pays le plus beau, le plus brillant et le plus civilisé du monde, il est maintenant pris dans une spirale de déclin apparemment irréversible..."

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    On remerciera nos excellents ennemis de toujours, les Anglais, pour l'éloge flatteur de ce qu'était la France sous la Royauté - car c'est forcément d'elle et de ce qu'elle a fait de la France qu'il s'agit, lorsqu'on parle de cet "autrefois... beau... brillant... civilisé..." - et l'on partagera l'analyse du désastre que représente, à lui seul, le premier quinquennat Macron, que le second ne va qu'amplifier...

    Pourtant - et tout particulièrement en ces jours où nous faisons mémoire du 70ème anniversaire de l'entrée dans la Vie de Charles Maurras - nous signalerons au "Télegraph" cette maxime de notre Maître : "Tout désespoir en politique est une sottise absolue". Et aussi celle-ci, de son ami et de notre autre Maître, Jacques Bainville, pour nous le plus grand historien de tous les temps : "...Pour les Renaissances, il est encore de la foi".

    Car, oui, certes, les apparences nous sont clairement contraires, à nous autres, Français en général; et à nous autres, royalistes, en particulier, qui essayons depuis un siècle de redresser la barre. Le Système malfaisant, la République idéologique mortifère, qui règne sans partage depuis bientôt 150 ans, ont saccagé "le plus beau Royaume du monde, après celui des Cieux", comme le disait le Hollandais Grotius; le pays le plus riche, le plus peuplé, le plus avancé et le mieux géré de toute l'Europe, que l'on appellait - car il l'était - "la Grande Nation"...

    Mais il nous semble que l'on peut, et qu'il faut, nuancer le juste tableau que trace le Telegraph, et son pessimisme, au moins sur deux points :

      il faut d'abord noter que tous les grands pays du monde vont mal, même si les causes de leurs problèmes sont, évidemment, toutes différentes, et si les causes du mal français sont pour une large part propres à la France : les États désunis d'Amérique vont très mal, et s'acheminent lentement mais sûrement vers un "éclatement de fait" entre des communautés devenant trop différentes, jusqu'à l'hostilité, même si elles restent encore, pour l'instant, dans le même cadre politique; le Royaume désuni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord va très mal lui aussi, et s'est peut-être auto-enterré avec sa peut-être dernière vraie souveraine (pour lui et pour le Commonwealth); l'Allemagne découvre avec effroi qu'elle est un colosse économique aux pieds d'argile, et s'affaisse lentement sur elle-même, grignotée par ses immigrés turcs (entre autres) et le vieillissement de sa population (comme le Japon qui lui, au moins, s'est préservé des problèmes de l'immigration); la Chine aussi est confronté à des problèmes aussi immenses qu'elle, et, pour ce qui est de la Russie...

    mais surtout il ne faut pas perdre de vue que les causes "essentielles" du mal français sont politiques, dûes à la malfaisance et à la nocivité de son Système, qui a "réussi" (!), en cent cinquante ans, à l'épuiser, démographiquement, économiquement et, surtout, mentalement, moralement, spitituellement. C'est là que l'on retrouve notre Maurras, à qui nos excellents ennemis Anglais pourraient accoler, comme surnom, le titre d'une série télévisée anglo-saxonne qui passe régulièrement sur nos chaînes télé : "Good doctor". Oui, Maurras a disséqué le mal, en a montré l'origine, et proposé le remède. Sera-ce suffisant ? Ou bien la France - mais avec elle, on l'a dit, l'ensemble du monde... - sera-t-elle engloutie par la spirale inéluctable de la décadence, car nous sommes, en effet dans une période de décadence ? Le Telegraph a, d'ailleurs, bien pris soin de mettre un "apparemment" devant son "irréversible"...

    Tout en étant lucidement réalistes, nous voulons donc espérer contre toute espérance, sachant que les virus aussi sont mortels; que la cause idéologique de tous nos maux peut fort bien s'effondrer dans les années qui viennent, victime elle-même de ses propres ferments de dissolutions (comme cela se passa en 1991 pour une URSS qui avait toutes les apparences, dix ans avant sa chute cataclysmique, de devoir vivre encore longtemps).

    "On a vu souvent rejaillir le feu / d'un ancien volcan qu'on croyait trop vieux" chantait Jacques Brel.

    Oui, comme le disait Maurras, et tant qu'il reste des Français sains et jeunes de corps et d'esprit, "Tout désespoir en politique est une sottise absolue"; et comme le disait son ami Jacques Bainville, "Pour les renaissances, il est encore de la Foi"...

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    1. Court extrait (1'41) d'un débat entre Laurent Obertone et Matthieu Bock-Côté sur, justement, l'état très inquiétant de la situation dans la quelle se trouve la France...

    https://twitter.com/Magnus_editions/status/1589226594463518721?s=20&t=Q3PBuOJPwGxK4zG3TkqMaQ

    Alors, que faire ?

    Nommer la source de nos maux, leur cause : le Système, la République idéologique;

    et proposer le remède, qui est "à côté du mal", comme aimait à le dire Jacques Bainville : renvoyer ce Système qui nous tue et "rebrancher" la France - si on nous passe l'expression... - sur l'Institution qui l'a faite, qui a fait sa grandeur et son bonheur : sa Royauté capétiennne millénaire...

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    2. Entièrement d'accord avec Sites & Monuments qui communique :

     "Titre génial du Canard enchaîné de cette semaine, décrivant parfaitement le processus à l’œuvre dans le projet de loi d’accélération des #ENR : "Le soleil a rendez-vous avec la thune"

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    Sites & Monuments (SPPEF) est une association nationale reconnue d'utilité publique agréée pour la protection de l'environnement

     

    3. Le coup de gueule bienvenu d'André Bercoff : les oreilles de la Greta, des "khmaires verts" et autres escrolos vont siffler...

     "40 000 enfants travaillent dans des mines de cobalt pour que Madame Greta Thunberg puisse conduire un jour une voiture électrique..."

    (extrait vidéo 1'45)

    https://twitter.com/cacahuete88600/status/1588990813291565056?s=20&t=HvVZ9XtBkCX1rP2Ld8HVDw

     

    4. Vers une explosion de la taxe foncière des ménages à 23 milliards en 2023... Le Système ne prélève plus des impôts, ils nous "tond" carrément, il nous rackette, il nous sur-taxe, bref : il nous vole !...

    https://www.ifrap.org/budget-et-fiscalite/taxe-fonciere-des-menages-une-explosion-23-milliards-en-2023

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    5. Marion Marechal continue sa spectaculaire progression et devient la 5ème personnalité politique préférée des Français...

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir, puis utilisez le zoom...

     

    6. LE MONDE JUIF.INFO a repris de volée - et il a  bien fait - l'islamo-gauchiste Gérard Miller :

     

    7. Ce Système pourri et fou furieux, qui a transformé la France en un gigantesque foutoir/dépotoir, en grande poubelle bu monde : c'est lui qu'il faut renvoyer ! Vallée de Chevreuse. Un clandestin de 15 ans a commis 4 cambriolages et tentatives en une seule nuit; il n’est pas expulsable avant sa majorité (source : Revue de Presse Police et Réalités) :

    https://policeetrealites.com/2022/11/07/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-vallee-de-chevreuse-un-clandestin-de-15-ans-a-commis-4-cambriolages-et-tentatives-en-une-seule-nuit-il-nest-pas-expulsable-avant-sa-majorite/

     

    Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui par ces quatre photos de la manifestation de dimanche dernier : des milliers de personnes dans les rues de #KosovskaMitrovica  pour rappeler que le Kosovo et la Métochie sont serbes !

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    SOLIDARITÉ KOSOVO !

     

     

    À DEMAIN !

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