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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • L'entretien du duc et la duchesse de Vendôme avec Isabelle Rivière, de Gala...

    prince jean les quatre.jpgQui sera le Prince ? se demande Pierre Boutang, de ces deux personnages allégoriques - imaginés par Maurras dans L'Avenir de l'Intelligence - engagés dans une lutte à mort : l'Or, c'est-à-dire les puissances d'Argent, les forces du matériel, et le Sang, c'est-à-dire l'ensemble des forces de la Tradition et de l'Esprit : politique, histoire, culture, religion, spiritualité. Qui sera le Prince de ce temps ? : cette question est au coeur de notre présent. 

    Aujourd'hui, il est clair que les apparences sont en faveur du Système en place depuis 1875, et ce Système continue d'appliquer son idéologie révolutionnaire, conduisant méthodiquement et sytématiquement l'oeuvre de déconstruction de notre vieille nation historique dans ses fondements essentiels.

    L'état actuel de décadence et de faiblesse extrême dans laquelle près de 140 ans de République idéologique ont plongé la France ne rend pas impossible l'idée ni la perspective d'une "sortie de l'Histoire" pour elle.

    "A moins que...", comme le disait le même Maurras dans la conclusion de ce même ouvrage - L'Avenir de l'Intelligence - à moins que ne se noue une alliance de tout ce qu'il reste de sain dans ce pays, et qu'on assiste, face au danger, dans cet Âge de fer où nous a mis le Système, à "la fédération solide et publique des meilleurs éléments de l’Intelligence avec les éléments les plus anciens de la nation; l’Intelligence s’efforcerait de respecter et d’appuyer nos vieilles traditions philosophiques et religieuses, de servir certaines institutions comme le clergé et l’armée, de défendre certaines classes, de renforcer certains intérêts agricoles, industriels, même financiers, ceux-là qui se distinguent des intérêts d’Argent proprement dits en ce qu’ils correspondent à des situations définies, à des fonctions morales..."

    "Là où il y a une volonté il y a un chemin" et, comme le disait Bainville, "le remède est à côté du mal" : si, d'aventure, dans un sursaut contre cette spirale de l'affaiblissement national qui s'accélère sous nos yeux, les Français cherchent un recours, c'est du côté du "Prince chrétien" - pour reprendre les mots de Boutang - qu'ils le trouveront.

    Ce rôle de recours, seul le Prince peut l'incarner. Et c'est ce qui fait que le principe qu'il représente garde toutes ses chances et toute son actualité, malgré nos faiblesses et malgré l'état très dégradé de notre pays. Malgré la toute puissance apparente du Système en place et des forces de subversion qu'il nourrit en son sein et qui se déchaînent sous nos yeux...

    Voilà pourquoi, parce qu'il est, tout simplement, ce qu'il est : "l'Héritier des siècles", comme le dit Chateaubriand, nous sommes indéfectiblement "Autour du Prince Jean", toujours et partout; et voilà pourquoi rien de ce qui le touche ne peut nous laisser indifférents, car, seul de ce recours peut venir le relèvement...

    Jean et Philomena d'Orléans: «Nos enfants seront libres de leurs choix». Rencontre avec l'héritier des rois de France et son épouse, à Dreux : http://www.gala.fr/l_actu/les_indiscretions_du_gotha/jean_et_philomena_d_orleans_nos_enfants_seront_libres_de_leurs_choix_298881

     

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    Fils du prince Henri d’Orléans, comte de Paris, et de la princesse Marie-Thérèse d’Orléans, duchesse de Montpensier, le prince Jean d’Orléans, duc de Vendôme, est l’héritier des rois qui se sont succédé sur le trône de France depuis Hugues Capet, et le descendant direct de Louis-Philippe, roi des Français d’août 1830 à février 1848. Branche cadette de la maison de Bourbon, la maison d’Orléans doit son nom au deuxième fils de Louis XIII, Philippe de France, duc d’Orléans, le frère de Louis XIV. 

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    Aider Gaston, trois ans et demi, et Antoinette, dix-neuf mois, à tracer leur propre chemin, leur transmettre l’esprit de famille des Orléans et la fierté de leur histoire tout en les ouvrant au monde dans lequel ils vivent… Le couple se confie sur le bonheur – et les défis – d’être parents.

     

    Gala: Votre mariage a été célébré en mai 2009. Fonder une famille rapidement, c’était important pour vous ?


    Le duc de Vendôme : Nous sommes toujours à la recherche de ce qui nous correspond profondément. Pour moi, le mariage et la paternité sont l’aboutissement d’une volonté intime, c’est lorsque l’on a une femme et des enfants que l’on commence à vivre vraiment. Je suis proche de Gaston et d’Antoinette, très impliqué auprès d’eux au quotidien. Mon fils a beaucoup d’énergie, ma fille, beaucoup de caractère. Il faut s’accrocher, mais l’aventure est formidable. Devenir père c’est ne plus faire les choses pour soi-même, mais donner de nouvelles perspectives à son existence. Pour un homme, il n’y a rien de plus valorisant.

    Gala: Comment souhaitez-vous les élever, les aider à grandir ?

    Le duc de Vendôme : Je veux avant tout qu’ils mordent dans la vie à pleines dents. Il y a tellement à faire et à voir, tellement de personnes passionnantes à rencontrer. Du haut de ses dix-neuf mois, Antoinette comprend déjà beaucoup de choses, Gaston, qui a trois ans et demi, est très attentif. Philomena et moi, nous nous appliquons aussi à leur enseigner les valeurs et les principes chrétiens qui nous paraissent essentiels. Et l’esprit de famille, fondamental pour nous.


    La duchesse de Vendôme : Mon mari et moi souhaitons que nos enfants soient libres de leurs choix. Gaston est le descendant d’une longue et prestigieuse dynastie, ce qui est important, c’est qu’il s’épanouisse pleinement. Il pourra décider de devenir marin pêcheur ou coureur automobile, peu importe, l’important est qu’il suive son chemin en faisant les choses de son mieux.

    Gala : Avez-vous déjà pensé au jour où il vous faudra lui expliquer sa condition de prince, ce qu’elle implique ?
    Le duc de Vendôme : J’ai eu la chance, lorsque j’étais enfant, que jamais on ne me dise : « Tu es le descendant des rois de France, alors voilà ce que nous attendons de toi. » Nous ferons tout pour que Gaston puisse connaître cette liberté-là à son tour, tout en gardant une conscience pleine et entière de son héritage.

    La duchesse de Vendôme : Depuis un peu plus de deux ans, nous habitons à Dreux, tout près de la chapelle royale où sont inhumés les Orléans. Gaston s’est très vite intéressé à ce que la chapelle représente. Catherine et Fatiha, les guides du domaine, qui sont très attachées à lui, lui en parlent souvent, il n’est pas rare qu’il s’échappe pour aller les rejoindre pendant qu’elles travaillent. Notre fils s’imprègne de l’histoire de ses ancêtres, pour l’instant il ne pose pas de questions. Le jour où il en posera, mon mari lui expliquera que ses aïeux étaient princes et rois, et que, le moment venu, il deviendra, comme eux, le chef d’une grande famille. Nous lui dirons que c’est une grande chance, une chance qui ne lui confère aucun privilège, mais des devoirs, envers sa famille d’abord, mais aussi envers le nom qu’il porte, dont il peut être fier et dont ses enfants devront pouvoir être fiers à leur tour. Nous lui dirons aussi qu’il fera des erreurs, que ses erreurs lui coûteront peut-être plus cher qu’à d’autres, mais que, quoi qu’il arrive, il s’en relèvera.
     
    Gala : Pensez-vous que la famille de France souffre d’une mauvaise image dans l’opinion ?

    La duchesse de Vendôme : Je suis persuadée que les Français gagneraient à la connaître un peu mieux. Les Orléans sont avant tout une belle, une très belle famille, où l’on se querelle, certes, parce que tous ses membres ont des caractères entiers, mais où l’on se parle, où l’on s’estime. Jean et ses cousins ne manquent pas une occasion de se retrouver, que ce soit pour les mariages, les baptêmes ou les vacances. Ils se rassemblent aussi tous les deux ans en souvenir de la comtesse de Paris, leur grand-mère adorée qui les réunissait tous les étés. Certains viennent des Etats-Unis, d’Allemagne, de Grèce, d’Espagne. Pour tous, l’attachement est là, bien vivant.
     
    Gala : Monseigneur, espérez-vous que votre travail à la tête de votre association, Gens de France, contribuera à changer les choses ?
    Le duc de Vendôme : Je le souhaite, oui. Depuis plusieurs années, je m’efforce par exemple de rendre l’histoire accessible aux jeunes défavorisés ou marginalisés pour toutes sortes de raisons. Je leur fais visiter des lieux comme la basilique de Saint-Denis, je leur raconte tout ce que je sais, je constate à quel point il manque à ces jeunes un enracinement, des perspectives. Ces actions sont très concrètes, elles me permettent aussi de garder une certaine… discrétion. Je pense en effet que lorsqu’on ne peut plus faire un pas sans être reconnu, il est difficile d’avancer. Pour Philomena et moi, la vie publique ne peut s’accomplir au détriment de la vie privée.

    La duchesse de Vendôme : Notre histoire est une belle histoire. J’ai connu mon mari à un moment de ma vie où je ne pensais ni à me marier ni à avoir des enfants, où j’avais envie d’aventure, de parcourir le monde. J’ai rencontré Jean dans un dîner. Lorsqu’il m’a rappelée, j’étais sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, je lui ai dit : « Si vous voulez prendre un café, c’est demain à Cahors ou dans trois jours à Moissac. » Il a pris le train de nuit et m’a téléphoné le lendemain en m’annonçant : « Je suis à Cahors. Pour un café, c’est toujours O.K. ? » Quand il m’a demandée en mariage, c’était une évidence. J’avais l’impression de le connaître depuis toujours.
     

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  • 200.000 étrangers ”reconnus” entrent en France chaque année : avec les clandestins, le PS veut-il faire passer ce chiffr

    basta-mafalda1.jpgAlors que le bilan du Système s'établit à 8 millions de pauvres et 6 millions de chômeurs; alors que 150.000 personnes dorment dans la rue et 81.000 vivent dans des bidonvilles; alors que 3 millions 500.000 personnes sont officiellement reconnues "mal logées" (tous ces chiffres ont été fournis au JT de 20 heures de France 2), le gouvernement - gauche aujourd'hui, droite hier - poursuit la folle politique qui consiste à continuer de faire entrer en France des centaines de milliers d'étrangers par an !

    Question n° 1 : pour "quoi" faire ? Pour qu'ils travaillent, alors qu'on fabrique plus de 1.000 chômeurs par jour depuis l'élection de Flanby ?

    Question n° 2 : qui, et quand, hurlera enfin le necessaire et salutaire BASTA ! qui s'impose, face à cette politique de fous furieux ?

    * Augmentation du nombre de régularisations de clandestins en 2013 de 30% par rapport à 2012, avec un objectif annuel fixé par Manuel Valls à 100 000 naturalisations (contre 46 000 en 2012). 

    * Diminution sensible du nombre d'expulsions sur 2013, selon un rapport de la Police aux Frontières : Immigration : 9000 expulsions de moins en 2013 (Valls)

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  • 24 mesures retoquées” : le ”pas beau cadeau” de fin d'année des Sages au gouvernement...

    annulé.jpgPatatras ! Comme si tout ce qui ne va pas - et qu'il serait beaucoup trop long de récapituler ici - ne suffisait pas à notre pauvre exécutif à la dérive, voici que les Sages viennent de lui infliger un camouflet, un affront, un revers (qu'on prenne le mot qu'on voudra), et que cette déconvenue est de taille : à elle seule, elle suffirait à discréditer n'importe quel gouvernement, mais il est vrai que, de ce point de vue là, le nôtre n'a plus rien à craindre puisque, discrédité, il l'est déjà très largement, et depuis longtemps : Hollande est le premier président à être passé sous la barre des 20% de "satisfaits", et au-dessus de la barre des 80% de "mécontents" ! "Il faut le faire !", comme on dit familièrement : eh, bien, lui, il l'a fait !... 

    Revenons au jugement des Sages, et qu'on en juge : pour ce qui est des propositions relatives au Budget 2014, 24 propositions ont été retoquées ! Un record ! Qui marque le peu de sérieux des "équipes" (?) gouvernementales, et le peu de qualité de leur travail" (!). Si tant est que l'on puisse encore appeler cela du "travail"...

    A l'inverse, parmi les mesures acceptées, celles qui conduiront, de fait, à une augmentation des impôts des classes moyennes : merci François !

    "On fera payer les riches !", qu'il disait, et les gogos l'ont cru. "Mais çà... - comme le dit une excellente pub - c'était... avant !"

  • Jean Castarède évoque le voyage à Rome et le lancement de l'anné Henri IV...

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           Jean Castarède faisait partie de la délégation officielle -dirigée par Jacques Perot, président de la société Henri IV- qui vient d'effectuer le voyage à Rome. Celui-ci, qui a été marqué entre autre par une journée à la Villa Médicis, et la messe solennelle en la cathédrale de Rome, Saint Jean de latran, a constitué le lancement offciel des manifestations de l'année Henri IV.

            Jean Castarède l'évoque sur son blog: http://jeancastarede.blogspot.com/

  • Tout ce qui est Racines est bon...: Deux années de festivités pour le 1.300e anniversaire du Mont-Saint-Michel...

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              Le Mont-Saint-Michel, haut lieu de la spiritualité occidentale, fêtera à partir du 1er mai et jusqu'en 2009 le 13e centenaire de la fondation de son abbaye.

              Mgr Stanislas Lalanne, évêque de Coutances et Avranches, a détaillé devant la presse, le jeudi 10 avril, le programme des festivités: une messe solennelle, des concerts, un festival, des expositions, des pèlerinages et des randonnées..... 

              C'est en effet en 708 que l'évêque Aubert, inspiré par des apparitions de l'archange Michel, décide de construire un sanctuaire sur un îlot rocheux nommé Mont Tombe et situé au fond d'une vaste baie.

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              Consacrée en 709, l'église, qui évoluera au cours des siècles pour devenir une prouesse de l'architecture monastique avec à son sommet la statue de Saint-Michel culminant à 170 mètres, a de tous temps attiré curieux et pèlerins du monde entier. Aujourd'hui, site touristique le plus visité de France après la tour Eiffel et le château de Versailles, "le Mont" accueille plus de trois millions de visiteurs par an.

              Les festivités se tiendront parallèlement aux vastes travaux engagés en juin 2006 pour rendre au rocher son caractère maritime. Il s'agit d'évacuer les tonnes de sédiments qui s'accumulent autour de l'îlot et de remplacer l'actuelle digue-route qui le relie à la terre par une passerelle qui permettra aux courants de circuler librement.

              Le coup d'envoi de l'anniversaire sera donné par une messe célébrée par le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, le jeudi de l'Ascension.

              Le 2 juin s'ouvrira une exposition de photographies de Jean-Michel Guillaud sur les montagnes sacrées dans le monde, baptisée "Entre ciel et terre". Sous la houlette du Centre des monuments nationaux, elle présentera jusqu'au 11 novembre 150 photographies de hauts lieux dédiés au sacré et classés, comme le Mont, au patrimoine mondial de l'Unesco.

     

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              Du 17 au 27 juillet, la première édition du festival "13 siècles entre ciel et mer" proposera concerts, tables rondes et rencontres d'artistes, avant une deuxième édition en 2009.

             Un colloque international sur la "représentation du Mont et de l'archange Saint-Michel dans la littérature et les arts" se tiendra du 29 septembre au 3 octobre à l'abbaye.

             A la fin de la saison estivale, une randonnée rassemblera du 27 au 29 septembre, jour de la Saint Michel, des marcheurs partis de différents pays d'Europe pour rejoindre le Mont-Saint-Michel, en suivant "les chemins de Saint-Michel". Des traversées de la baie à pied, des randonnées en VTT, à vélo, à cheval, en roller ou pour personnes à mobilité réduite seront proposé jusqu'au 16 octobre 2009, avec des concerts de l'Orchestre de Bretagne et des expositions consacrées aux habitants de la baie du Mont depuis l'époque romaine ou encore à l'évolution de l'environnement de l'îlot rocheux depuis 708....

  • Au début des années 2000, le prince Jean de France avait été l'invité de la la Pologne ...

     

    En visite en Pologne, le Prince Jean de France avait rencontré deux personnalités particulièrement marquantes, qui ont été l’une et l’autre, très proches du pape Jean-Paul II : Lech Walesa, prix Nobel de la Paix, venu, tout exprès, de Gdansk à Varsovie et le cardinal Dziwisz, primat de Pologne … L’épouse du président de la république polonaise avait aussi tenu à saluer le Prince - qui avait rencontré par ailleurs le président de la Diète.

  • Comme chaque année, le Café d’Actualité d’Aix-en-Provence reprendra en octobre...

    Comme chaque année, le Café d’Actualité d’Aix-en-Provence reprendra en octobre.

    A noter : la prochaine réunion n’aura pas lieu le premier mais le second jeudi du mois.
    Nous vous attendons donc JEUDI 10 OCTOBRE.
     
  • Depuis des années comme aujourd'hui Lafautearousseau signale et analyse les dangers que court l'Espagne et avec elle la

     

    4oftqdou.jpgNous avons voulu consacrer nos articles de ce jour à l'actualité espagnole, brûlante s'il en est. Ils composent, sans épuiser le sujet, comme un mini-dossier.

    La situation que vit l'Espagne est grave pour elle-même, car elle met en jeu son unité, son intégrité, sa cohésion, la paix civile chez elle. Mais ce qui se produit dans ce pays voisin et ami depuis des siècles constitue aussi un risque majeur pour les grands équilibres de l'Ouest européen et pour la France en particulier.

    Il y a cinq ans, en novembre 2012, nous avions analysé ici la situation de l'Espagne à travers l'actualité du moment, mais aussi à partir de données pérennes : les divisions créées par le système des partis et par les indépendantismes montants, basque et catalan. Nous avions envisagé, prévu les extrémités auxquelles ces phénomènes pourraient conduire la société espagnole. Nous y voici. On lira à la suite deux articles de novembre 2012 sur ces sujets et l'on verra que de l'actualité d'alors correctement analysée se dégage la situation de l'Espagne d'aujourd'hui. L'un est signé Pascual Albert, l'autre Louis-Joseph Delanglade. 

    Nous avons aussi publié ces temps derniers différents articles sur la situation actuelle au fur et à mesure des événements et ce depuis l'attentat de Barcelone jusqu'à aujourd'hui. On pourra lire un article récent que nous avons choisi de reprendre aujourd'hui et l'on pourra se reporter aux autres dans notre catégorie Actualité Europe.

    Enfin, nous avons voulu reproduire ici le discours du roi Philippe VI parce qu'il a été déterminant dans la suite des événements par sa noblesse et par sa fermeté, marquant aussitôt un net coup d'arrêt aux menées séparatistes et réveillant partout, y compris en Catalogne, un puissant sentiment national espagnol.

    Rappelons enfin que nous ne sommes pas favorables à la désintégration des grands Etats européens, qui ne ferait qu'ajouter aux désordres du monde ; que nous nous prononçons, dans la situation présente, pour le maintien de leur intégrité. Celle de l'Espagne en particulier.  

     

    Lafautearousseau     

  • Sur Sud Radio, allez-vous quand même vous passionner pour le Tour de France cette année, malgré le coronavirus ?

    Avec Romain CAUBIN, Directeur de la Route d’Occitanie et Pascal CHANTEUR, Consultant Sud Radio, ancien cycliste professionnel, président du syndicat de coureurs UNCP.


  • Solidarité Kosovo : Nous n'emmènerons pas les enfants des enclaves au bord de la mer cette année..

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    NOUS N’EMMÈNERONS PAS LES ENFANTS DES ENCLAVES AU BORD DE LA MER CETTE ANNÉE...

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