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  • Pourquoi le comte de Paris, prétendant au trône de France, veut-il récupérer le château d'Amboise ?, par Romain Dézèque.

    Le comte de Paris (à droite), lors de la messe d'hommage à son père, Henri d'Orléans © Maxppp - MAXPPP

    Le comte de Paris a récemment assigné en justice la fondation créée par son grand-père, la fondation Saint-Louis, afin de récupérer la gestion du patrimoine royal, dont fait partie le château d'Amboise. Il estime que la fondation ne remplit plus sa mission. Explications.

    10.jpgC'est le début d'un long feuilleton judiciaire et médiatique. Il y a quelques semaines, le comte de Paris, Jean de France, a assigné en justice la fondation Saint-Louis. Une fondation reconnue d'utilité publique en 1974, créée par son grand-père, le prince Henri d'Orléans, pour assurer la pérennité et la valorisation des biens de la famille royale, dont le château d'Amboise fait partie. 

    Sauf que Jean de France estime que la fondation ne gère pas assez bien ce patrimoine. "Si la fondation ne respecte pas les objectifs qu'elle s'est elle-même fixée, alors les biens qui lui sont confiés peuvent être rendus" argue l'avocat du prétendant au trône de France, Jacques Trémolet de Villers. "L'objet social, autrement dit la mission de la fondation, c'est la mise en valeur du patrimoine capétien, la création d'un musée de l'histoire de France, ce sont des colloques, des conférences autour de l'histoire de France et de la tradition capétienne... et tout cela n'a pas été fait."

     

    Une manoeuvre de représailles - Maître Rouhette, avocat de la fondation Saint-Louis

     

    Des arguments contestés par la fondation Saint-Louis. "Il y a des investissements considérables, des manifestations culturelles régulièrement organisées", explique Thomas Rouhette, avocat de la fondation. "Rien que pour le château d'Amboise, sur ces dernières années, c'est un total de plus de 12 millions d'euros d'investis. Sur ces 12 millions, vous avez un montant de l'ordre de 10 millions qui a été financé sur les fonds propres de la fondation. Imaginer que la fondation, qui est sous la tutelle du ministère de la Culture et de l'Intérieur, ne fait pas son œuvre est quelque chose qui ne nous paraît pas sérieux. C'est une manœuvre de représailles."

    Des représailles qui seraient liées à un autre contentieux. Il y a quelques mois, le comte de Paris s'est vu imposer un loyer pour l'occupation du domaine royal de Dreux, qu'il occupait gratuitement avec sa famille. Un domaine de 120m², propriété de la fondation. Interpellés par cette situation, les ministères de la Culture et de l'Intérieur, ont fait remarquer qu'il était impossible d'occuper ces lieux sans verser de loyer. D'après maître Rouhette, la fondation a donc proposé un bail de 1.200 euros par mois, provoquant ainsi la colère du comte de Paris. Expliquant, chez nos confrères de l'Echo républicain, que les règles de vie imposées devenaient insupportables, il a donc préféré faire ses valises.

    Source : https://www.francebleu.fr/ 

    Article relayé par : https://www.facebook.com/lecourrierroyal/

  • Après Louis XIV, une association veut débaptiser le pont Bonaparte à Lyon, par Frédéric de Natal.

    Après Louis XIV menacé par les apprentis sorciers locaux du BLM, c’est désormais au pont Bonaparte de Lyon de faire les frais d’une relecture de l’histoire manichéenne. On apprend qu’un certain Pierre Rauzada, coprésident de l’association des Droits du piéton, a écrit une longue lettre au maire écologiste de la capitale des Gaules pour lui demander de rebaptiser le pont Bonaparte qui enjambe la Saône.

    frédéric de natal.jpgSelon lui, rien ne justifie que la ville possède un tel nom « immoral » et qu'il soit inscrit au patrimoine local, affirmant même que Napoléon a été « un des plus grands dictateurs sanguinaires de toute l’histoire moderne et contemporaine de la France ».
    « Napoléon Bonaparte cumule tous les aspects négatifs : anti-républicain, dictateur, sexiste, esclavagiste, limite raciste, possible criminel de guerre lors de sa répression à Saint-Domingue (Haïti) » a expliqué à la presse Pierre Rauzada qui réclame que le nom du pont soit donné à une personne plus « « humaniste et progressiste ». Et pour cet associatif rien de plus facile à réaliser pour Grégory Doucet « dans la mesure où il n’y aura aucun document administratif d’ordre public ou privé à changer puisqu’aucune habitation, aucun commerce, aucun bâtiment quel qu’il soit n’existe sur ce pont ».
    « Je me trouvais si bien dans cette ville qu’il me semble que j’aurais voulu y passer ma vie. J’aurais voulu avoir ma capitale à Lyon, mais tout y était à créer […]. J’aime fort les Lyonnais : ils me le rendent bien. ». Avec 25 séjours entre Rhône et Saône, l’empereur des français a noué un sentiment très fort avec cette ville catholique qui lui a été longtemps fidèle et qu’il a contribué à embellir architecturalement et administrativement. On dit même qu’il a eu une fille illégitime ( Émilie Pellapra ) avec une habitante et qu’il avait songé à se faire couronner au bord du Rhône. Lors des Cent jours, l’empereur fit une halte à Lyon. Sur la place Bellecour ou repose actuellement la statue du roi-soleil, les régiments se rallièrent à lui comme un seul homme. Les témoins de l‘époque rapportent que les lyonnais manifestèrent alors leur attachement au Premier empire dans « la liesse populaire ».
    En 1852, la place Carnot se dota d'une statue équestre de l'Empereur le représentant en costume populaire arrêtant son cheval, la main sur le cœur mais qui fut déboulonnée à la chute du Second empire. Pour le bicentenaire de sa mort, le 5 mai dernier, la mairie (DVD) de Jonage a organisé un hommage local entouré de passionnés du Premier empire. « Je ne suis ni royaliste, ni bonapartiste mais il faut savoir honorer. Je considère que ça fait partie du devoir de mémoire » a déclaré Lucien Barge à Lyon Capitale. Frederic de Natal
     
  • Stéphane Bern fustige les mensonges du diktat éolien, par Iris Bridier.

    « Il est grand temps de dénoncer cette supercherie. L’énergie éolienne n’est en rien écologique et renouvelable. Elle pollue gravement la nature et détruit le patrimoine naturel et bâti de la France, ces sites remarquables de beauté et ces joyaux architecturaux dont nous sommes collectivement dépositaires et que les défigurent. »

    10.pngDans une tribune magistrale publiée par Le Figaro, le défenseur du patrimoine en péril s’adresse à , vent debout contre cette calamité écologique. Troquant son ton admiratif et bienveillant, l’animateur préféré des Français devient plus combatif et militant. Chirurgical, il évoque des « chantages odieux » et des « pressions intolérables ». Il invite à « ouvrir les yeux et cesser de se mentir », dénonce une « implantation abusive et anarchique ».

    La semaine dernière, le dogmatique ministre, sans doute à court d’arguments, n’avait rien trouvé de mieux qu’une reductio ad hitlerum pour dénoncer les opposants aux éoliennes. À ce sujet, Jean-Paul Oury déclarait, dans Atlantico : « Il est évident que l’écologisme est une idéologie qui veut s’imposer dans le paysage politique de manière unilatérale et en refusant tout dialogue ou argumentation scientifique. C’est très dangereux, car quand l’idéologie commande la science, on arrive toujours à des catastrophes. »

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    Au clivage gauche-droite que tente donc d’installer Barbara Pompili, décrit plutôt les ruraux contre les citadins bobos et les compare à David contre Goliath… « Les opposants aux éoliennes ne sont pas des châtelains accrochés à leurs vieilles pierres qui refusent le “progrès”, comme vous aimez le faire croire. L’immense majorité des ruraux refusent de voir leur pollué par cette énergie inutile, coûteuse, non recyclable, dont les nuisances sont visuelles et sonores, qui ruine la valeur de leur maison, sans qu’ils puissent jamais rien dire, pour la simple et unique raison qu’ils n’ont plus voix au chapitre », écrit l’auteur de Sauvons notre patrimoine.

    Alors que le projet de programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) gouvernemental prévoit de porter à 15.000 le nombre d’éoliennes d’ici 2028, Stéphane Bern met les écologistes face à leurs contradictions. Exemples à l’appui, il démontre en quoi les éoliennes ne sont pas compatibles avec la de l’environnement, tuent des oiseaux (dont ce gypaète barbu qui a percuté une pale d’éolienne, la semaine dernière, alors qu’il avait été réintroduit dans la Drôme il y a un an seulement) et nourrissent « des promoteurs puissants qui se parent des habits de l’écologie pour faire de l’argent facilement ».

    Si la bataille de l’image est en partie gagnée par les écologistes qui ont réussi à faire de l’éolienne le « symbole de la transition écologique et de la lutte contre le réchauffement climatique », l’animateur, qui sort en librairie, le 2 juin, son nouveau cahier de vacances « Secrets d’Histoire », use de sa notoriété pour porter la voix de la France rurale, de tous ces élus et citoyens qui « s’indignent du déni de démocratie ». Gageons avec lui que sa grande popularité fasse tourner le vent de l’ contre ce projet.

     

    Iris Bridier

    Journaliste

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : Villers-Cotterêts: le sauvetage d'un joyau royal, futur «cité internationale de la l

    Dans ce château situé dans l’Aisne, à 85 km au nord-est de Paris, François Ier avait émis en 1539 l’ordonnance imposant le français comme langue de l’administration: un acte fondateur dans l’histoire du Royaume de France.

    Redonner son éclat Renaissance à une résidence royale défigurée: c’est l’énorme défi à relever d’ici 2023, pour sauver le château de Villers-Cotterêts, qui doit abriter la futur “cité internationale de la langue française”. Cette ancienne résidence royale deviendra un lieu à la fois de visites, de recherche, de formation sur la langue de Molière.

    Depuis un an, 250 ouvriers et artisans s’affairent derrière des bâches de plastique qui couvrent murs et toitures. Avec un financement public de 185 millions d’euros, c’est le deuxième chantier du patrimoine, après Notre-Dame de Paris. Cet été, à plein régime, ils seront 600 artisans de divers corps de métier à y travailler. La première tranche du chantier, avec la finalisation d’un parcours de visite racontant l’histoire de la langue française, doit être achevée au printemps 2022, l’ensemble un an plus tard.

    Après la Révolution, le château souffre profondément pendant deux siècles de plusieurs occupations: il sert de caserne, puis de dépôt de mendicité pendant 85 ans, puis d’hôpital militaire, de maison de retraite… Aujourd’hui, il faut retrouver l’enveloppe architecturale d’origine, en retirant tous les ajouts incongrus, restaurer un monument dans un état de dégradation avancé.

    Les façades Renaissance et trois joyaux, escalier du roi, celui de la reine et la chapelle, doivent retrouver toute leur splendeur. Dans la chapelle, le plancher XVIIIe ajouté par le duc d’Orléans sera retiré pour dégager la voûte d’origine sur charpente lambrissée. Pour le reste, les murs intérieurs ajoutés au fil des siècles sont abattus et l’espace est libéré pour des gestes architecturaux novateurs. Pour les volumes intérieurs, c’est la période Renaissance qui sera privilégiée. Les espaces d’origine, particulièrement amples et largement ouverts sur la cour et le parc grâce à leurs grandes fenêtres percées au XVIIIe siècle, seront restitués et valorisés. À l’exception de l’aile sud, ces espaces n’ont pas conservé leurs décors et leurs aménagements. Les extérieurs du Logis royal seront restaurés dans leur état de la fin du XVIIIe siècle.

    Quand elle sera achevée en 2023, la “cité internationale de la langue française” offrira, outre le parcours de visite permanent ouvert dès 2022, des salles d’expositions, un auditorium, douze résidences d’artistes. Et un “ciel lexical”: sur 600 m2 de verrière, où des mots seront inscrits, dont certains s’éclaireront la nuit.

    L’état actuel du Château

    (cliquez sur les images pour les agrandir)

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    Le projet architectural

    (cliquez sur les images pour les agrandir)

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    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal/

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Joséphine, l’atout irrésistible de Napoléon….

    1.jpgEn DVD : Joséphine, l’atout irrésistible de Napoléon… de Jean-Louis Rémilleux, présenté par Stéphane Bern, avec divers intervenants dont les historiens et écrivains Jean Tulard, Thierry Lentz et Pierre Branda (Fondation Napoléon).

    guilhem de tarlé.jpgNul ne sait quel parti il aurait pris au temps de…

    Pharisien ou chrétien, ou encore, comme certain, précurseur des gestes barrières, se serait-il lavé les mains ?

    Le Dieu, « le fils de L’Homme », nous a mis en garde : « Ne jugez point » (Mt 7,1)

     

    Alors… Napoléon…

    Il y a chez tout homme, et chez tout meneur d’hommes, du bon et du mauvais, et je me garde bien, à deux siècles de distance, d’émettre une opinion unique et définitive à l’égard du général Vendémiaire et de l’Empereur des Français. En revanche, je veux profiter du bicentenaire de sa mort, de cette année Napoléon, pour me cultiver de son histoire qui est une page de 15 ans de l’Histoire de France dont nous sommes les héritiers conscients.


    Comment ne pas y revenir en ce 22 juin, anniversaire de sa deuxième et définitive abdication (1815), et aussi en ce 23 juin, double anniversaire de celle dont une diseuse de bonne aventure avait prédit qu’elle serait « plus que reine ».

    C’est en effet le 23 juin 1763 que naît à la Martinique Marie-Josèphe-Rose Tascher de la Pagerie qui épousera, le 13 décembre 1779, le Vicomte Alexandre de Beauharnais. Ce dernier était un « libertin consommé » et, après les naissances d’Eugène (1781) et d’Hortense (1783), les époux vécurent séparés durant plusieurs années avant de se retrouver à la prison des Carmes où l’ancien Président de l’Assemblée Constituante fut guillotiné, le 23 juin 1794. Il s’en fut de peu, par la suite, que la « ci-devant veuve Beauharnais », ne fut, elle aussi, à son tour guillotinée, avant que la Révolution, le 9 thermidor an II, ne dévore son enfant « vertueux » Robespierre.   

    La vidéo, trop longue, sans chapitres, nous montre comment, sortie de prison, cette séductrice, frivole et gourgandine, bien introduite dans les milieux débauchés du pouvoir thermidorien, sut « déniaiser » et subjuguer le capitaine Bonaparte jusqu’à l’accompagner au sommet du pouvoir avant de l’aider par son goût de la nature, des arts et des belles choses, en dépensant sans compter, à se mouvoir parmi les puissants.

    Couronne sur la tête, elle sut s’effacer pour permettre à l’Empereur d’avoir un héritier, inaugurant avant la lettre le « divorce par consentement mutuel » tandis que « son ex » déclarait « Elle a embelli 15 années de ma vie ».

     

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et 500 autres sur mon blog Je ciné mate

  • L’Âge du Covid-19 !, par le Général (2s) Roland Dubois.

    J’avoue que je suis las de ces émissions à répétition sur toutes les chaînes radio et télé, et de ces commentaires hystériques qu’on entend et qu’on lit partout. 

    4.jpegTant d’experts contredisent tant d’autres experts, tant de commentateurs, connus ou anonymes, appellent à la révolte contre des décisions de politiques émetteurs d’oukases sanitaires qu’ils disent dangereux ou attentateurs aux libertés individuelles, alors que d’autres, beaucoup moins nombreux il faut dire, en louent les bienfaits. Rien ne sera plus de nature à éclairer davantage les Français ignorants, dont je suis, et qui sont noyés dans un océan de banalités, d’outrances, de fake news sur lequel surnagent d’authentiques informations scientifiques qu’on peine à identifier.

    Je remarque simplement que près des deux tiers des Français ont reçu au moins une dose de vaccin. La majorité est donc pro-vaccin, même si elle aurait préféré pouvoir s’en passer. Les manifestations de rue contre le « passe sanitaire » ne traduisent pas une hostilité de masse des Français pour qui il est la suite logique de leur acceptation du vaccin.

    Fin de l’histoire ; de cette histoire-là. Je zappe désormais les émissions « Covid », je ne supporte plus tous ces textes outranciers sur les risques des ou la fin des libertés individuelles. C’est trop ; c’est l’écœurement !

    Cette sanitaire passera sans doute ; et même si elle devait durer, je ne vois pas quel programme électoral pourrait, par une originalité propre à la résoudre, apporter une solution conduisant à une situation très différente de ce que nous vivons. Alors, cela suffit. Cessons de nous exalter pour rien. Aucun pays ne semble avoir trouvé une autre voie que celle de la vaccination.

    À ne parler que de la crise de la Covid-19, d’un prétendu complot mondial dont M. Macron serait l’instrument, on lui rend service. On finit par ne plus parler des enjeux primordiaux pour le destin de notre pays ; il serait pourtant urgent d’y revenir à huit mois de l’élection présidentielle. Il ne faut plus sortir de là. Les patriotes de ce pays doivent comprendre que la crise sanitaire est désormais un nuage de fumée entretenu par le pouvoir et les médias et destiné à camoufler et faire oublier le reste. Ne nous en rendons pas complices.
    Il faut revenir à l’essentiel : nationale, , .

     

    Général (2s) Roland Dubois

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • LE ROI À VENIR ! par Guy Adain

    (Après l'assemblée générale de l'association Gens de France, qui s'est tenue ce 2 février dernier à Montréal d'Aude)

    Là où le ciel rencontre la terre

     

    Il y a la France du passé, celle royale de l’Ancien Régime, qui nous rend nostalgiques…
    Il y a la France du présent, plutôt glauque et qui nous désespère…
    Et grâce à Dieu, celle de l’avenir, qui nous fait rêver !
    Le Passé, c’est nos racines, elles sont belles, solides, profondément ancrées dans la terre de France.
    Le Présent, c’est Sodome et Gomorrhe juste avant la pluie de soufre et de feu… Qui malheureusement se profile dans l’horizon glacé des steppes et de la toundra…
    L’Avenir, c’est notre espérance transcendantale en l’être humain malgré tout !!!
    L’avenir est prometteur, les progrès extraordinaires de la science, les innovations techniques changent le monde et l’homme n’a jamais été aussi choyé ! Nos possibilités sont immenses, et dans tous les domaines. 
    Les portes du Paradis terrestre sont ouvertes, il ne tient qu’à nous d’y pénétrer !
     
    Oui mais bien sûr cet optimisme béat est contrarié par la Nature humaine : 
    …« Où il y a de l’Homme, il y a de l’Hommerie » 
    Autant d’Abel que de Caïn 
    Non quand même pas, les Abel sont les plus nombreux, mais il faut aussi vivre avec nos frères Caïn !
    Dans les temps ancestraux, nos Anciens s’étaient royalement organisés ; au dessus du Peuple, il plaçaient un berger, un pasteur, un père, un chef…Bref, un Roi !
    Un Roi qui serait un modèle, d’Honneur, de Beauté, de Justice, et qui  serait garant de toutes les qualités d’un Père aimant. 
    Et doté aussi de bien d’autres pouvoirs. 
    Un Roi pour guider le Peuple et surtout le Servir !
    Un Roi Sacré, une Icône, en contact avec le Ciel, et qui soit notre salut.
    Bien sûr un Roi, c’est aussi un homme, avec ses défauts, ses travers et ses faiblesses ; une Famille même royale est exemplaire par principe, mais fragile par nature, comme toutes nos constructions humaines.
    La nôtre n’en n’est pas exempte, elle n’est préservée de rien, elle a tout subi, son histoire, c’est l’Histoire de France !
    « Le Roi Avenir », à venir ; c’est notre Prince Jean, l’actuel Comte de Paris.
    Les Français méritent un Roi, et le temps est venu de faire entrer à nouveau l’Amour, l’Honneur, la Beauté et la Justice Royale dans le Royaume de France.

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  • Notre feuilleton : Une visite chez Charles Maurras (85)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : Maurras, Daudet, Bainville, une amitié que seule la mort interrompit...

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    Que trois hommes aussi différents et, chacun, d'une personnalité aussi affirmée, aient pu durant toute leur vie - à partir du moment où ils se sont rencontrés - être et rester amis au quotidien, dans le même mouvement et les mêmes locaux, sans la moindre "dispute" notable, voilà qui constitue une exception remarquable dans l'histoire politique.

    À partir des années 1900 - dès qu'ils se rencontrèrent - les trois hommes ne se quittèrent plus : oui, c'est un fait unique dans les annales et dans l'histoire de la Presse politique, de la Presse tout court, française et même internationale, qui mérite d'être relevé...

    Tous les trois furent membres de l'Institut mais, s'ils se voyaient tous les jours dans les locaux du quotidien L'Action française (lorsqu'il n'y avait, évidemment, pas de réunion publique en province...) ils n'y siégèrent jamais ensemble :

    d'abord parce que Léon Daudet ne fut pas membre de l'Académie française, mais de l'Académie Goncourt, dont le style plus "décontracté" (comme on dirait aujourd'hui...) convenait beaucoup plus à son tempérament bouillant et volcanique que l'Académie française, nettement plus solennel...

    ensuite parce que, si Maurras et Bainville furent tous deux élus à l'Académie française, là non plus ils ne purent sièger ensemble : Bainville fut élu le 28 mars 1935, alors qu'il ne lui restait plus que dix mois à vivre (il mourut le 9 février de l'année suivante...) mais Maurras ne fut élu que trois ans plus tard, le 9 juin 1938...

    À noter également (car beaucoup l'ignorent) : Charles Maurras aurait même pu, peut-être, être présenté comme candidat au Prix Nobel de la Paix (lorsqu'il  s'agissait de ne pas laisser Mussolini tomber entre les mains d'Hitler, afin d'isoler celui-ci, dans la guerre que tout le monde voyait arriver...). Le 7 mai 1936, en effet, fut effectivement lancé un "Comité Inter-universitaire pour le Prix Nobel de la Paix à Charles Maurras", sous la présidence de Fernand Desonay, Professeur à l’Université de Liège. Parmi les autres fondateurs, des universitaires de Londres, Montréal, Anvers et Wilno (alors en Pologne, aujourd’hui Vilnius). La demande officielle parviendra en bonne et due forme au comité de Stockholm, signée de "professeurs belges, canadiens, suédois, polonais, français et suisses". Rapidement ce Comité reçut de nombreuses adhésions et, en 1937, la liste en était publiée par L’Action française : on y dénombrait quarante universités de seize pays différents. À titre individuel, derrière la France comptant 33 adhésions, venait la Roumanie avec 23.

    Mais peu après ce fut Munich, et l’attribution du Prix Nobel de la Paix fut suspendue pendant un certain temps (source Maurras.net).

     

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  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (62), La Gaule sous Dagobert...

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    De Jacques Bainville, Histoire de France, Chapitre II, L'essai mérovingien :

    "...Après cette longue guerre civile, l'Empire des Francs se trouva de nouveau réuni dans une seule main, celle de Clotaire II. Mais l'Austrasie, la Bourgogne et la Neustrie avaient gardé chacune une administration distincte et, par l'effet des désordres, l'autorité royale s'était affaiblie, dépouillée. Grands et petits, laïcs et religieux, lui avaient arraché des « immunités ». Le pouvoir s'émiettait, le territoire se démembrait.

    En outre, pendant cette période troublée où la mort allait vite, il y avait eu des minorités à la faveur desquelles une nouvelle puissance avait grandi : le maire du palais, c'était en somme le premier ministre devenu vice-roi quand le souverain était mineur ou incapable.

    Avec les maires du palais paraissait une nouvelle force. L'un d'eux, Pépin de Landen, en Austrasie, devait donner naissance à une deuxième dynastie.

    Les Mérovingiens eurent encore deux règnes brillants et forts avec Clotaire II et Dagobert. Celui-là, grand lettré, grand bâtisseur, véritable artiste, est resté fameux, ainsi que son ministre saint Éloi. C'est peut-être, de tous les princes de sa race, celui qui a porté le plus loin l'imitation des empereurs de Rome. Les Francs s'étaient entièrement romanisés.

    Après Dagobert (638), ce fut la décadence; les partages recommencèrent entre ses fils et l'effet des partages fut aggravé par les minorités. Les maires du palais devinrent les véritables maîtres. Quelques Mérovingiens, parvenus à l'âge d'homme, essayèrent de réagir et de rétablir l'autorité royale. Ils ne réussirent pas à remonter le courant. On avait perdu l'habitude d'obéir. Les grands conspiraient et défendaient par tous les moyens ce qu'ils appelaient déjà la liberté. Chilpéric Il passa pour un despote et un réactionnaire : il fut assassiné.

    Des années de guerre civile s'en suivirent, luttes entre des partis rivaux qui exploitaient la vieille concurrence entre Neustriens et Austrasiens, et qui, selon les besoins du jour, couronnaient ou détrônaient des rois enfants. Le grand conflit qui mit aux prises Ebroin, maire de Neustrie, et saint Léger, tout-puissant en Bourgogne, formerait une histoire fastidieuse de coups d'État et de révolutions politiques. Les contemporains assistèrent avec terreur à cette anarchie où la France sombrait, à peine apparue au jour.

    Il fallait autre chose. L'expérience mérovingienne, bien commencée, finissait mal. On sentait le besoin d'un nouveau Clovis. Où le prendre ? Une dynastie ne se fonde pas toute seule. Il y avait bien, en Austrasie, une famille dont l'influence ne cessait de croître, et c'était encore, malgré les efforts des hommes politiques de Neustrie, l'Austrasie qui disposait des plus grands moyens matériels pour diriger l'Empire franc.

    Cette famille, celle des ducs d'Héristal, qui devait être la souche de la dynastie carolingienne et qui se rattachait au maire du palais Pépin de Landen, mit près de cent ans à s'emparer de la couronne. Ce fut un beau travail de patience jusqu'au jour où les circonstances permirent la substitution...."

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

    lafautearousseau

  • À la découverte du fonds lafautearousseau (52) : Chrétien de Troyes...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

     

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Christian de Troyes...

    (tiré de notre Éphéméride du 13 juin)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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    2022 : La BNF acquiert un manuscrit médiéval de Chrétien de Troyes

     

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    L’histoire de la découverte de ce manuscrit est digne d’un roman. Mis au jour dans l’étude d’un notaire, ces feuillets faisaient alors office de reliure !

    On sait fort peu de choses sur Chrétien de Troyes. L'essentiel est que, dans la littérature française, ses œuvres, de la fin du XIIème siècle, auront une influence majeure sur la diffusion de la légende arthurienne, notamment par le biais de l'histoire des chevaliers de la table ronde...

    Les chevaliers de la Table ronde sont au service du roi Arthur, qui les a chargés de mener la quête du Graal et d'assurer la paix partout. Si la première trace écrite de la légende des chevaliers de la Table ronde se trouve  dans le Roman de Brut, écrit par le poète normand Wace en 1155, c'est bien Chrétien de Troyes qui a donné au thème toute son importance, et qui reste le poète des légendes arthuriennes...

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    Chrétien de Troyes naît aux environs de 1130 et sert à la cour de Champagne. Il écrit de nombreux romans chevaleresques, en vers octosyllabiques et en ancien français. S'inspirant des légendes bretonnes et celtes du roi Arthur et de la quête du Graal, Chrétien de Troyes écrit notamment Lancelot ou le Chevalier de la charrette (1177), Yvain ou le chevalier au lion (vers 1176), Perceval ou le Conte du Graal (vers 1180). Ces aventures mythiques sont parfaitement réadaptées à l'esprit du temps et, donc, à la littérature courtoise, dont Chrétien de Troyes devient, en quelque sorte, le grand poète : ses héros sont souvent confrontés à un choix difficile entre leur amour et leur devoir moral de chevalier...

    Ses oeuvres sont :

    • Érec et Énide (1170)
    • Cligès ou la Fausse morte (1176)
    • Lancelot ou le Chevalier de la charrette (1175-1181, achevé par Godefroy de Lagny)
    • Yvain ou le Chevalier au lion (1175-1181)
    • Perceval ou le Conte du Graal (1182-1190, inachevé)
    • Guillaume d'Angleterre

     

    • Sur le manuscrit acquis par la BNF :

    https://actualitte.com/article/106445/livres-anciens/un-manuscrit-medieval-de-chretien-de-troyes-a-la-bnf

    • Sur Chrétien de Troyes :

    https://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Chr%C3%A9tien_de_Troyes/113534

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    L'avertissement de Gilbert Collard :

    "On est en train d'assister, si l'on n'y prend pas garde, à la destruction de la civilisation judéo-chrétienne. Toute la construction de notre culture, de notre identité, de notre Histoire est en train de disparaître !"

    (extrait vidéo 4'24)

    https://twitter.com/GilbertCollard/status/1493158251055271936?s=20&t=4KX4KNwHQXEUjKIrFd_bAw

    Nous, royalistes, chantons dans "La Royale" :

    "...Les Rois ont fait la France,

    Elle se défait sans Roi..."

    Ce processus de déconstruction, de grand effacement de la France, de grand remplacement de la France, il est voulu, planifié, organisé, mis en pratique par le Système, fondé sur les nuées révolutionnaires et qui s'oppose frontalement à toutes nos Traditions fondatrices, à tout ce qui représente notre Être profond...

    Seule l'alter-révolution que nous représentons, la ré-instauration de notre Royauté traditionnelle mettra fin à l'entreprise de démolition méthodique entamée en 1875 avec l'installation de la République idéologique anti-nationale et redonnera toute leur vigueur à "notre culture, notre identité, notre Histoire", pour reprendre les mots de Gilbert Collard.

     

    À BAS LA RÉPUBLIQUE IDÉOLOGIQUE !

    VIVE LA FRANCE !

    ET POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

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    LA FRANCE A UN RÔLE PROPRE À JOUER EN UKRAINE

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir et pouvoir lire le texte...

     

    1. En vingt-huit petites secondes, Éric Zemmour, serein, répond calmement et dignement à l'insulte minable de ce misérable Yannick Jadot qui perd ses nerfs parcequ'il "coule" dans les sondages...

    https://twitter.com/F_Desouche/status/1493329141646692363?s=20&t=tj0yq6u9eSKmXIB7jvJfSg

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    2. À ce propos, le toujours excellent Goldnadel persifle et signe :

    "Qui pourrait avoir l’obligeance de m’adresser la condamnation par #Sosracisme des propos de #Jadot sur ce Juif taxé de #JuifDeService ? Impossible de la trouver. Récompense généreuse à escompter."

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    3. Dans Marianne : Le discours de Pécresse "Sans doute l'un des plus mauvais discours de la Ve République"

    https://www.marianne.net/politique/meeting-de-pecresse-sans-doute-lun-des-plus-mauvais-discours-de-la-ve-republique

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    3 BIS. Le Kärcher de Pécresse ?

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    3 TER. On montre ça, on montre rien...

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    Pécresse/Détresse ? Elle a appelé à voter pour qui, en 2017, au soir du premier tour? À 20h02 ?...

     

    6. La dernière "question bombe" du Canard : le nombre de lits de réanimation en Ile-de-France -affirme-t-il - est passé de 2.500 en mars 2020 à 1.700 aujourd'hui... La question est donc : pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits ?

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    7. La Fondation du Patrimoine communique :

     "Félicitations à la Maison forestière du Spitzberg à Dabo (Moselle) qui remporte aujourd’hui le Prix du public du Prix du mécénat populaire avec 61% des voix. Ce beau projet avait déjà été sélectionné en 2020 par la #missionpatrimoine portée par @bernstephane"

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    À DEMAIN !

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  • Espagne : des députés à la mentalité de guerre civile veulent retirer la dépouille de Franco du Valle de los Caídos

    Le Valle de los Caidos dans la Sierra de Madrid

     

    Mur-bleu gds.jpgIl n'est ni dans notre vocation ni dans nos habitudes de nous ingérer dans les affaires intérieures d'un pays souverain. Nous avons du reste bien assez à faire comme cela en nous occupant seulement de notre tâche centrale : faire tout ce qui est en notre pouvoir afin de rétablir dans sa vigueur passée notre chère France, que le Système déclasse inexorablement depuis 1875.

    Pourtant, il est des moments où l'on peut - où l'on doit - ne pas rester indifférent à ce qui se passe ailleurs, et même réagir avec vigueur. Car, en l'occurrence, la France est concernée par le lamentable épisode dont vient de se souiller lui-même le parlement espagnol. Pour ceux qui l'ignoreraient, une motion est passée au parlement afin de retirer de sa sépulture du Valle de los Caidos la dépouille de Francisco Franco, qui y repose depuis sa mort, le 20 novembre 1975, selon sa volonté.

    Laissons aux Espagnols le soin de se mettre au clair avec leur histoire. Mais il se trouve qu'à un moment de la nôtre, le généralissime Franco a été intimement, et d'une façon décisive, lié à la nôtre : et pour nous, ce fut « pour le meilleur ». Rencontrant Hitler à Hendaye, le 23 octobre 1940, il lui refusa tout ce qu'Hitler demandait, notamment le passage de ses troupes par l'Espagne pour aller attaquer notre armée d'Afrique du Nord. Ce danger immédiat écarté, nos forces purent être préservées, et se préparer pour leur rôle futur.

    Mais il y a plus encore : on sait la puissance des partis communistes français et italiens, à l'époque, et combien la religion révolutionnaire - heureusement morte depuis - soulevait les foules. Il est clair que si Staline et le Komintern, maîtres absolus de cette sanglante marionnette qu'on appelait « République espagnole », s'étaient emparés de l'Espagne, ils prenaient la France et l'Europe de l'Ouest à revers. Nous, Français, nous courions alors le risque et le grand danger de devenir une « démocratie populaire » avant la lettre, comme le devinrent en 45, pour leur plus grand malheur, les pays de l'Europe de l'est, enfermés pour quarante ans dans une oppression épouvantable, et qui connurent une terrible régression, dans tous les domaines de leur existence. C'est à Franco que nous devons d'avoir échappé à cette horreur.

    Pour ce service immense rendu à la France et à la liberté, et par son attitude face à Hitler, dans toute la mesure de ses moyens, il est juste de dire que Franco évita un mal effroyable, hâta la fin des hostilités et le retour de la paix. Il agit donc bien en ami de la France, mais aussi de la Paix. Cela nous donne le droit de dire notre reconnaissance, en tant que nation, à l'attitude courageuse du généralissime Franco, et d'exprimer notre plus profonde commisération envers le ramassis de députés qui ont osé voter une motion à leur image : parfaitement méprisable !

    La France et la Paix, l'Histoire disent merci à Franco. La honte reconnaitra les siens. 

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  • Espagne : un dirigeant à la mentalité de guerre civile veut retirer la dépouille de Franco du Valle de los Caídos.

    L’image contient peut-être : nuage, ciel, plein air et nature

    Le Valle de los Caidos, où repose Franco...

    Il n'est ni dans notre vocation ni dans nos habitudes de nous ingérer dans les affaires intérieures d'un pays souverain. Nous avons du reste bien assez à faire comme cela en nous occupant seulement de notre tâche centrale : faire tout ce qui est en notre pouvoir afin de rétablir dans sa vigueur passée notre chère France, que le Système déclasse inexorablement depuis 1875.

    Pourtant, il est des moments où l'on peut - où l'on doit - ne pas rester indifférent à ce qui se passe ailleurs, et même réagir avec vigueur. Car, en l'occurrence, la France est concernée par le lamentable épisode dont vient de se souiller lui-même le parlement espagnol. Pour ceux qui l'ignoreraient, une motion avait déjà été votée par le Parlement espagnol - il y a quelques temps - afin de retirer de sa sépulture du Valle de los Caidos la dépouille de Francisco Franco, qui y repose depuis sa mort, le 20 novembre 1975, selon sa volonté.
    Puis, rien ne s'était passé...

    Aucun texte alternatif disponible.


    Voilà qu'à peine installé, l'ultra minoritaire et ultra fragile nouveau premier ministre socialiste trouve qu'il n'y a rien de plus urgent en Espagne, aujourd'hui, que de... retirer Franco du Valle de los Caidos. Terrrorisme, chômage, pauvreté, immigration/invasion ?... Foin d e tout cela ! Allons à l'essentiel, déterrons Franco !...
    Laissons aux Espagnols le soin de se mettre au clair avec leur histoire. Mais il se trouve qu'à un moment de la nôtre, le généralissime Franco a été intimement, et d'une façon décisive, lié à la nôtre : et pour nous, ce fut « pour le meilleur ». Rencontrant Hitler à Hendaye, le 23 octobre 1940, il lui refusa tout ce qu'Hitler demandait, notamment le passage de ses troupes par l'Espagne pour aller attaquer notre armée d'Afrique du Nord. Ce danger immédiat écarté, nos forces purent être préservées, et se préparer pour leur rôle futur.
    Mais il y a plus encore : on sait la puissance des partis communistes français et italiens, à l'époque, et combien la religion révolutionnaire - heureusement morte depuis - soulevait les foules. Il est clair que si Staline et le Komintern, maîtres absolus de cette sanglante marionnette qu'on appelait « République espagnole », s'étaient emparés de l'Espagne, ils prenaient la France et l'Europe de l'Ouest à revers. Nous, Français, nous courions alors le risque et le grand danger de devenir une « démocratie populaire » avant la lettre, comme le devinrent en 45, pour leur plus grand malheur, les pays de l'Europe de l'est, enfermés pour quarante ans dans une oppression épouvantable, et qui connurent une terrible régression, dans tous les domaines de leur existence. C'est à Franco que nous devons d'avoir échappé à cette horreur.
    Pour ce service immense rendu à la France et à la liberté, et par son attitude face à Hitler, dans toute la mesure de ses moyens, il est juste de dire que Franco évita un mal effroyable, hâta la fin des hostilités et le retour de la paix. Il agit donc bien en ami de la France, mais aussi de la Paix. Cela nous donne le droit de dire notre reconnaissance, en tant que nation, à l'attitude courageuse du généralissime Franco, et d'exprimer notre plus profonde commisération envers le ramassis de députés qui ont osé voter une motion à leur image : parfaitement méprisable !
    La France et la Paix, l'Histoire disent merci à Franco. La honte reconnaitra les siens. •

     
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  • Après notre feuilleton ”Chateaubriand...” : projets et réalisations à venir...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgCette semaine aura donc vu la parution du dernier chapitre de notre quatrième feuilleton : "Chateaubriand, "l'enchanteur" royaliste...".

    Nous "passons" en ce moment les 11 livraisons de notre série sur la Croisière du Campana, dans notre Catégorie des "Grandes "Une" de L'Action française" : comme pour le "Chateaubriand", vous êtes nombreux à nous avoir dit que vous aviez appris, ou approfondi, pas mal de choses avec ces "Une" et ce feuilleton; merci à vous pour vos félicitations, forcément toujours appréciées, et qui sont, pour nous, un encouragement à continuer, tout simplement...

    Quoi donc à venir, pour "continuer", dans les semaines et mois qui viennent ?

    La "série du Campana" s'achèvera ce 13 novembre. Juste après, ce 16 novembre, nous donnerons la seconde partie de l'hommage à Charles Maurras, pour le 71ème anniversaire de son entrée dans la Vie (la première partie ayant été publiée le 20 avril dernier, jour de sa naissance, avec, comme sous-titre : Fidélité au Royalisme dans l'URP, en remontant le temps, dans l'Action française, et même bien avant...).

    Ensuite, nous avons déjà préparé les trois "sujets" qui nous occuperont pendant plusieurs jours chacun, à partir des "grandes Une" :

    d'abord, entre l'hommage à Maurras et Noël, et en sept livraisons : "Du 10 au 17 février 34, la semaine tragique : mort de Bainville, odieux complot de Blum et dissolution de la Ligue d'Action française"...

    puis, en une dizaine de livraisons, les débuts/premiers jours de la Guerre d'Espagne, sous le titre général : "Espagne, 18 juillet 36 : la Tradition se soulève contre la Révolution. Début de la Guerre d'Espagne..."

    en janvier (c'en sera "l'époque anniversaire"), et en une vingtaine de livraisons : "Janvier 1910 : dans Paris inondé, les Camelots du Roi au secours des sinistrés"

    et, fin février, pour notre dix-septième anniversaire, un cinquième Album : Léon Daudet. Ce sujet si vaste nous permettra d'écrire à nouveau, comme nous l'avons dit plusieurs fois, non pas une nouvelle histoire de l'Action française, mais de la raconter différemment, en donnant et redonnant vie à nos prédécesseurs, en les montrant et en les faisant connaître tels qu'ils furent, "en chair et en os", à partir de faits, d'anecdotes parfois oubliées ou simplement inconnues... Ce feuilleton sera long : environ trois mois, et nous mènera donc presque aux vacances d'été. 

    Bien entendu, en parallèle, vous aurez toujours (au sens propre du terme : "tous les jours") votre Revue de Presse et d'actualité et vos Éphémérides, l'une et les autres étant des exclusivités de lafautearousseau (comme le sont d'ailleurs ses "Grandes Une..." et sa série sur les Documents pour servir à une histoire de l'URP)...

    Ensuite, et pour la suite, on vous en parlera à ce moment-là...

    Disons seulement, d'ores et déjà, que nous gardons le sixième feuilleton (Jacques Bainville) pour notre dix-huitième anniversaire, que nous organisons donc déjà, en quelque sorte !

    François Davin,

    Blogmestre

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  • Au cinéma : Une vie, par Guilhem de Tarlé

    Une vie - Film 2023 - AlloCiné
     

    A l’affiche : Une Vie,  le premier long-métrage, britannique, de James Hawes, avec Anthony Hopkins (Nicholas Winton),
    d’après le livre de Barbara Winton, publié en 2014, qui raconte le haut fait de son père.

    « Ce qui fait l’Histoire, selon notre conception occidentale et chrétienne, c’est la volonté des hommes, c’est l’intelligence des hommes, ce sont leurs passions ».

    Rappelons-nous avec émotion cette profession de foi du Colonel Bastien-Thiry à son procès, alors qu’en ce jour anniversaire nous faisons mémoire (le devoir de mémoire) de son exécution le 11 mars 1963. Je n’ai pas souvenance qu’à cette époque le « Panthéonisé » Robert Badinter, ni personne à gauche, ni personne chez les Gaullistes, se soit élevé contre la Peine de mort !

    Une Vie raconte l’action d’un Homme de volonté, un héros méconnu, Nicholas Winton, l’un de ces Hommes qui font l’Histoire, en sauvant 669 enfants de la barbarie nazie.
    Il y a aujourd’hui environ 6 000 personnes qui lui doivent leur existence.

    1938, les 29 et 30 septembre sont signés les « Accords de Munich » par la France, la Grande-Bretagne, l’Italie et l’Allemagne, en l’absence de la Tchécoslovaquie. Ils reconnaissent l’annexion par l’Allemagne du pays des Sudètes à savoir, en Tchécoslovaquie précisément, bordant la Bohême et la Moravie, le long de la frontière du Reich, une région dont les 3 millions d’habitants germanophones avaient demandé vainement en 1919 leur rattachement à l’Allemagne.
    Au lendemain de ces accords, l’Allemagne occupa ce « pays des Sudètes », et provoqua ainsi une fuite de réfugiés vers Prague, la capitale tchécoslovaque en plein cœur de la Bohême.
    Informé par un ami, Nicholas Winton s’investit dans leur accueil puis, dès l’invasion des pays tchèques de Bohême et de Moravie, le 15 mars 1939, il affrète des trains d’enfants, pour la plupart juifs, vers le Royaume Uni.

    Le film, malheureusement, n’est pas très didactique sur l’enchainement de tous ces événements, ni même sur les raisons de l’engagement du banquier Nicholas Winton, sans doute à cause du choix du réalisateur de procéder par « flash-backs ». Il nous instruit néanmoins et met en valeur une action héroïque et un véritable grand homme, à la veille de la deuxième guerre mondiale, dont on salue – et ce n’est pas le moindre de ce qu’il fut – l’humilité qui l’a caché au grand public jusqu’à ce jour.
    En France, il mériterait, lui, certainement, le Panthéon.

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