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Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Joséphine, l’atout irrésistible de Napoléon….

1.jpgEn DVD : Joséphine, l’atout irrésistible de Napoléon… de Jean-Louis Rémilleux, présenté par Stéphane Bern, avec divers intervenants dont les historiens et écrivains Jean Tulard, Thierry Lentz et Pierre Branda (Fondation Napoléon).

guilhem de tarlé.jpgNul ne sait quel parti il aurait pris au temps de…

Pharisien ou chrétien, ou encore, comme certain, précurseur des gestes barrières, se serait-il lavé les mains ?

Le Dieu, « le fils de L’Homme », nous a mis en garde : « Ne jugez point » (Mt 7,1)

 

Alors… Napoléon…

Il y a chez tout homme, et chez tout meneur d’hommes, du bon et du mauvais, et je me garde bien, à deux siècles de distance, d’émettre une opinion unique et définitive à l’égard du général Vendémiaire et de l’Empereur des Français. En revanche, je veux profiter du bicentenaire de sa mort, de cette année Napoléon, pour me cultiver de son histoire qui est une page de 15 ans de l’Histoire de France dont nous sommes les héritiers conscients.


Comment ne pas y revenir en ce 22 juin, anniversaire de sa deuxième et définitive abdication (1815), et aussi en ce 23 juin, double anniversaire de celle dont une diseuse de bonne aventure avait prédit qu’elle serait « plus que reine ».

C’est en effet le 23 juin 1763 que naît à la Martinique Marie-Josèphe-Rose Tascher de la Pagerie qui épousera, le 13 décembre 1779, le Vicomte Alexandre de Beauharnais. Ce dernier était un « libertin consommé » et, après les naissances d’Eugène (1781) et d’Hortense (1783), les époux vécurent séparés durant plusieurs années avant de se retrouver à la prison des Carmes où l’ancien Président de l’Assemblée Constituante fut guillotiné, le 23 juin 1794. Il s’en fut de peu, par la suite, que la « ci-devant veuve Beauharnais », ne fut, elle aussi, à son tour guillotinée, avant que la Révolution, le 9 thermidor an II, ne dévore son enfant « vertueux » Robespierre.   

La vidéo, trop longue, sans chapitres, nous montre comment, sortie de prison, cette séductrice, frivole et gourgandine, bien introduite dans les milieux débauchés du pouvoir thermidorien, sut « déniaiser » et subjuguer le capitaine Bonaparte jusqu’à l’accompagner au sommet du pouvoir avant de l’aider par son goût de la nature, des arts et des belles choses, en dépensant sans compter, à se mouvoir parmi les puissants.

Couronne sur la tête, elle sut s’effacer pour permettre à l’Empereur d’avoir un héritier, inaugurant avant la lettre le « divorce par consentement mutuel » tandis que « son ex » déclarait « Elle a embelli 15 années de ma vie ».

 

PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et 500 autres sur mon blog Je ciné mate

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