Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Dark Waters.
A l’affiche : Dark Waters, un film américain de Todd Haynes, avec Mark Ruffalo (l’avocat Robert Bilott),
d’après une histoire vraie.
Autant j’aurais pu ne pas voir, Le Musée des merveilles, du même réalisateur en 2017, autant en ce 29 février 2020, malgré une fréquentation légèrement moindre des salles obscures, j’ai déjà constitué le premier podium de l’année avec Le cas Richard Jewell, la Fille au bracelet et maintenant Dark Waters.
C’est l’histoire de David et Goliath, l’avocat Robert Bilott contre le grand groupe industriel de chimie américain « E.I. du Pont de Nemours et Compagnie ».
j’avoue ne pas me souvenir de cette affaire de pollution mortelle avec le Teflon… et je ne sais rien de l’état des lieux à ce jour. J’entre rarement dans la cuisine et ne suis pas plus doué en cuisine que Gilbert Bécaud – « le sandwich aux sardines, c’est bon » – mais je m’interroge quand même en sortant du ciné sur les omelettes dans les poêles Tefal « qui n’accrochent pas ». Mon épouse évoque un film que je n’ai pas vu, avec Julia Roberts, Erin Brockovich, seule contre tous sur une autre affaire d’empoisonnement…
Moi pendant toute la projection, j’ai pensé à la lutte que je mène actuellement dans mon village contre ces escrocs de promoteurs éoliens, et la difficulté d’alerter la population notamment sur les risques électromagnétiques.
Le principe « constitutionnel » de précaution, quand il ne s’agit pas de condamner le nucléaire, n’intéresse plus personne.
Les Français, disait un chef d'État, ont « la mémoire courte», et effectivement ce sont les mêmes élites politico financières qui sont « responsables » - vous avez dit « coupables » ? – des scandales de l’amiante, du médiator, du sang contaminé, du PFAO… et des paysages éoliens.
PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.
Pour mémoire
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Il aurait été très dommage de ne pas le voir | Dark Waters | non | 29/02/2020 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Une bonne soirée | Sol | Non | 12/01/2020 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Un très bon film | La Fille au bracelet | oui | 12/02/2020 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Un bon film | Proxima | non | 23/02/2020 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(Très) intéressant | Un monde plus grand | non | 28/11/2019 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
A revoir en VF | La Famille | non | 08/10/2019 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
j’aurais pu | L’Adieu | non | 24/02/2020 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Je m’y suis ennuyé | Séjour dans les monts Fuchun | non | 09/02/2020 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Je n’ai pas aimé du tout | Chanson douce | oui | 10/12/2019 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
S’il faut retenir un film depuis le 1er janvier |
https://www.facebook.com/Baguette-Musette-100306598290197/ https://www.youtube.com/channel/UCD0D7CMu4FE1VmSgO3IHuwQ/videos Voici la 4ème vidéo d'un groupe "avec une ligne patriote et royaliste" qui se fixe pour but "l'enracinement local sur les régions et identités françaises". Ce groupe nous signale ses intentions : "Nous essayons de faire un condensé des cultures locales en parlant de plusieurs domaines comme l'architecture, la danse, la gastronomie, la langue, le chant, l'histoire, les paysages et les savoir-faire". Cette 4ème vidéo traite du Périgord. Les suivantes traiteront d'autres Provinces et terroirs. Terre de nos Pères sur le Périgord Tableau de présentation : Jean-Georges PASQUET (Périgueux 1851 - 1936) Moulin et château de Rognac, à Bassillac Aquarelle sur papier, H. 290 mm ; L. 440 mm Signé en bas à droite et daté "juin 1893" Florent Piednoir Galerie Ars Pictura contact@ars-pictura.com Www.ars-pictura.com Extrait du début : Recette : Le casse-croûte du chasseur | Archive INA https://www.youtube.com/watch?v=MmAeM... Introduction Les paysages du Périgord 1:04 Le Périgord, pays de la préhistoire 02:49 L’Histoire du Périgord, entre romanité et invasions barbares 03:42 Haut Moyen-âge et Moyen-âge Périgourdin 04:25 Les guerres successives en territoire du Périgord 04:56 L’architecture rurale du Périgord 05:53 La cathédrale Saint-Front de Périgueux 07:21 Les bastides du Périgord 07:49 La gastronomie locale et l’élevage en Périgord 08:52 Les fêtes populaires périgourdines (la Félibrée / la Ringueta) 14:16 Les costumes traditionnels de la région 17:00 Légendes Locales 19:24 Pause musicale 21:04 Les Chanteurs Pyrénéens de Tarbes - La Tyrolienne du Périgord : https://www.youtube.com/watch?v=jZnu-... Termes spécifiques employés dans la vidéo : Le Brassié : paysan de passage qui loue ses bras Le Bordier : petit paysan au bas de la hiérarchie rurale Les Chabanos, aussi appelles Bories du Périgord : Cabane de pierres sèches servant d'habitat temporaire ou de maison de bergers ou d'indigents Les Grillons du Périgord : Rillettes spécifiques au Périgord La Flognarde : Flan Occitan La Félibrée : Fête pour la préservation de la culture occitane Le Félibrige : Association de sauvegarde du patrimoine La Ringueta : Fêtes des jeux périgourdins d’antan Le Lébérou : créature du bestiaire local Quelques sources : Jean Secret, Le Périgord, 1982 http://espritdepays.com/gastronomie-t... A l’affiche : Le Mans 66, un film américain de James Mangold, avec Matt Damon (Caroll Shelby), Christian Bale et Catriona Balfe (Ken et Mollie Miles), Tracy Letts (Henry Ford II), Remo Girone (Enzo Ferrari). Il s’agit d’abord de l’histoire de Ford contre Ferrari (c’est d’ailleurs le titre original du film : Ford v. Ferrari) pour mettre fin au règne des Italiens sur la course française. C’est aussi en parallèle la lutte interne, chez Ford, du constructeur Shelby, créateur de la Ford GT 40, pour imposer son pilote, et ami, Ken Miles qui se fit voler sa victoire par Bruce McLaren à la suite d’une machination du staff d’Henry Ford II. Un véritable film de guerre qui met parfaitement en scène la « haine » des équipes entre elles, des grands patrons jusqu’aux pilotes, dont on pourrait évoquer les « yeux revolver », s’il s’agissait de femmes… Une réalisation passionnante et trépidante, sur le circuit ou dans les véhicules, qui vaut la peine d’être vue. PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate. Pour mémoire Titre Violent/scabreux Date Il aurait été très dommage de ne pas le voir Hors normes non 10/11/2019 Une bonne soirée Le Traitre oui 19/11/2019 Un très bon film Midway non 11/11/2019 Un bon film Le Mans 66 non 01/12/2019 (Très) intéressant Un monde plus grand non 28/11/2019 A revoir en VF La Famille non 08/10/2019 J’aurais pu Quinoa, prenez-en de la graine ! non 22/11/2019 Je m’y suis ennuyé Shaun le Mouton LE FILM, non 29/10/2019 Je n’ai pas aimé du tout Nous finirons ensemble non 12/05/2019 Le film à retenir depuis le 1er janvier Le chant du loup Non 15/03/2019 Quand on propose la Monarchie à ceux qui souhaitent un nouveau régime pour la France, beaucoup se rebiffent et avancent nombre d’objections auxquelles il s’agit ici de répondre, en quelques mots et avec quelques exemples puisés dans l’histoire comme dans l’actualité… Ainsi, par le passé, il y a pu y avoir des rois d’intelligence médiocre, mais leur position et le devoir de transmettre le patrimoine dont ils étaient les simples dépositaires, les forçaient, en somme, à prendre les compétences là où elles se trouvaient et, il faut bien le reconnaître, avec quelque succès au regard de l’histoire longue. D’ailleurs, cela a souvent été reproché aux rois d’Ancien régime, en particulier par les « élites » (ou se prétendant telles) de l’époque, les nobles : il suffit de relire Saint-Simon, à la plume géniale mais injuste et ainsi très représentative de l’état d’esprit de nombre de privilégiés, si sévère à l’égard du roi Louis XIV parce que ce dernier, justement, ne s’en laissait pas conter par la classe nobiliaire (ou, plutôt, ses représentants auto-proclamés). En Monarchie active (ce que certains confondent, à tort d’une certaine manière, avec « absolue »), le souverain ne doit pas hésiter, s’il le faut, à braver l’opinion et les médias qui la forment pour imposer des personnes qu’il sait compétentes et efficaces au regard des enjeux, des défis du moment et pour la suite. Ainsi, on peut dire qu’il n’y aurait pas eu de Richelieu sans Louis XIII ni de Colbert sans Louis XIV. Ces ministres n’ont pas été choisis pour leur popularité (peu élevée, dans ces cas-ci) mais pour leurs qualités politiques d’État et leur loyauté au service de la Couronne et du pays. Cela ne signifie pas que le monarque, aujourd’hui et demain, n’entend pas les remarques ou les demandes des partis politiques, ainsi que les choix électoraux des citoyens (et ceux-ci peuvent être, aussi, une base importante pour le choix - ou le discrédit - des conseillers royaux au sein des institutions), mais qu’il garde le « dernier mot » pour son domaine, en bon arbitre institutionnel, au nom de l’intérêt général qu’il incarne au-dessus des jeux d’appareil et des « courtisans » modernes… C’est une garantie de sérieux et de justesse pour le gouvernement des hommes et la pérennité de l’État, quels qu’en soient les tendances politiques dominantes du moment… Basilique Saint-Marc, Venise. © Pascal Deloche / Godong La Semaine sainte que nous venons de vivre a été, pour beaucoup, d’une rare intensité en vertu de ses circonstances exceptionnelles. Nous retrouverons sans aucun doute avec bonheur les liturgies communautaires, celles qui donnent le sentiment d’une communion à la fois fraternelle et eschatologique. Mais la distance qui nous était imposée par rapport au sanctuaire et à l’autel nous offrait l’occasion d’une méditation sur ce dont nous étions privés, en creusant en nous un désir spirituel et en avivant la soif de mieux comprendre. L’amour insensé de Dieu Mais l’Incarnation qui, selon certains docteurs, était dans le projet divin indépendamment de la nécessité de la rédemption, ne lui en est pas moins solidaire. Et le Christ, en sauvant l’humanité sur la Croix, engage la Trinité dans la tragédie d’un Salut libérateur qui nous tire de l’abîme, avec la descente aux enfers du Samedi saint. À l’encontre de beaucoup de déviations qui peuvent avoir cours en ce moment, il s’agit de bien comprendre que la Croix « n’est pas l’œuvre de réconciliation que l’humanité offre au Dieu courroucé, mais l’expression de l’amour insensé de Dieu qui se livre, qui s’abaisse pour sauver l’homme »[1]. Sauver l’homme, c’est le tirer de l’abîme pour le faire entrer dans la vraie Vie. Celle que manifeste le Christ dans son corps glorieux du matin de Pâques. [1] Joseph Ratzinger, La foi chrétienne hier et aujourd’hui, Cerf-Mame, coll. Traditions chrétiennes. La victoire du Ressuscité C’est dans cette victoire du Ressuscité sur la mort – « le dernier ennemi détruit, c’est la mort » proclame Paul aux Corinthiens – que réside l’étonnante bonne nouvelle du christianisme. Elle provient de cette certitude non pas d’une survie, mais d’une vie en plénitude, que l’on peut définir comme eschatologique au-delà de toutes nos imaginations. Blaise Pascal, à propos de la Résurrection de Jésus, parlait d’un événement discret, tant il est vrai que les apparitions post-pascales sont réservées à un petit nombre de témoins. Mais ce sont ces témoins qui vont parcourir le monde afin de manifester l’universalité de ce qui s’est révélé à eux, parce qu’elle touche l’avenir de l’humanité entière. Une humanité non plus vouée à la disparition, mais destinée à la Résurrection et à la Vie éternelle. Jamais peut-être, dans l’histoire récente, une nouvelle année n’aura été aussi grosse d’incertitudes. Car si, contrairement à ce qu’on croit, le peuple français est un peuple patient, trop peut-être, il ne manque jamais de se révolter lorsqu’un pouvoir, oublieux de ce qui constitue sa légitimité, ne prend même plus les formes pour lui témoigner son mépris. La morgue et l’arrogance, la seule recherche de l’intérêt privé et la prévarication, la trahison ouverte de l’intérêt national et la soumission décomplexée aux intérêts étrangers, notamment par la cession aux Américains de nos industries stratégiques, la volonté de brider les libertés fondamentales, dont le droit d’expression, l’abus de pouvoir et une répression qui a franchi les limites du tolérable et ne s’encombre même plus du respect de la légalité, la sottise aussi, puisque le pouvoir ne tient plus que par le soutien d’une police qu’il méprise ouvertement : il aura suffi de moins de trois ans pour que la macronie affiche son vrai visage. En provoquant délibérément la haine du pays réel, elle croit pouvoir sortir victorieuse du bras de fer qu’elle a engagée avec les Français, afin de les soumettre à la mondialisation. Et si, pourtant, la macronie n’était qu’un château de cartes ? Si l’histoire n’attendait que l’élément déclencheur de notre libération nationale et les Français l’occasion propice pour éradiquer ce corps étranger du corps de la nation ? Parce que le désespoir en politique n’est qu’une sottise absolue, l’Action française adresse ses vœux, en premier lieu, à tous nos compatriotes qui croient définitivement fermées les portes de l’espérance. La France vit, encore pleine de promesses, forte d’une jeunesse qui n’attend qu’un chef pour lui montrer la voie. Ses cadres, ses techniciens, ses savants, son peuple dans son ensemble, chaque jour, assure sa pérennité, en dépit d’un pouvoir qui ne vise qu’à les détourner du Bien commun. Or, ce chef, nous l’avons : il est l’héritier des quarante Rois qui, en mille ans, firent la France. La plus vieille dynastie d’Europe est aussi celle qui n’a jamais démérité de son devoir, même lorsque la République a cherché à couper les liens historiques entre les Français et sa famille royale. Nous adressons à Mgr le comte de Paris, au Dauphin Gaston, à Madame et, à travers eux, à la France qu’ils incarnent et aux Français dont ils ont la mission historique d’assurer le Bien commun, tous nos souhaits pour 2020 : que la nouvelle année soit celle de notre renouveau. Le bureau politique de l’Action française Art et essai : Lillian, Un film américain d’Andreas Horvath, avec Patrycja Planik (Lillian), Depuis, elle est portée disparue et l’on ne sait rien de son périple. Le récit d’Andreas Horvath est donc seulement le fruit de son imagination. Que n’a-t-il écouté le discours de réception de Ferdinand de Lesseps à l’Académie française : « Ne pouvant rien faire de bien, j’ai fait mieux : j’ai fait court ». On accompagne donc Lillian pendant son long voyage, transposé à notre époque, à travers des paysages généralement désertiques, pauvres et crasseux, des Etats-Unis… en ce sens, c’est peut-être intéressant… Il ne se passe pas grand-chose et ni la nature ni les hommes ne sont finalement aussi hostiles et dangereux que je l’imaginais… Titre Violent/scabreux Date Il aurait été très dommage de ne pas le voir Hors normes non 10/11/2019 Une bonne soirée Sol Non 12/01/2020 Un très bon film Midway non 11/11/2019 Un bon film Une vie cachée oui 05/01/2020 (Très) intéressant Un monde plus grand non 28/11/2019 A revoir en VF La Famille non 08/10/2019 J’aurais pu Lillian non 14/01/2020 Je m’y suis ennuyé Les filles du Docteur March non 13/01/2020 Je n’ai pas aimé du tout Chanson douce oui 10/12/2019 Le film à retenir depuis le 1er janvier Voici les messages de ces 2 fidèles lecteurs de notre blog quotidien Royaliste LAFAUTEAROUSSEAU : A la télé : Au revoir là-haut, une comédie dramatique d’Albert Dupontel, avec Albert Dupontel, Laurent Lafitte, Niels Arestrup, Émilie Dequenne. (Programmé Dimanche prochain 5 Avril sur France 2) J’avais vu la bande-annonce annonciatrice d’un film déjanté… On n’est donc pas trompé sur la marchandise, mais le casting, notamment Niels Arestrup, m’attirait, et j’avais donc programmé de le voir bien avant d’en avoir lu une critique, que je qualifie de dithyrambique – et j’en demande pardon à son auteur – dans Présent. Regrettons enfin qu’Albert Maillard raconte son histoire à mi-voix avec une bande-son par ailleurs bruyante, ce qui ne permet pas de tout entendre. Quelle image de 14-18 ce film donne-t-il, en cette troisième année du centenaire, avec un lieutenant assassin – il tire lui-même dans le dos de ses soldats - qui organise à la veille de l’armistice, contre les instructions reçues de sa hiérarchie, une dernière bataille qui décimera les poilus sous ses ordres : « Mourir le premier jour de la guerre, c’est con, mais mourir le dernier jour, c’est encore plus con » dira à juste titre Albert Maillard. Oui, c’est un bon film en ce sens que le début et la fin prennent aux tripes (la partie centrale est un peu longue) ; mais un scénario qui ne reflète – chère Caroline Parmentier – aucun hommage aux « gueules cassées » et je crains, bien au contraire, un certain antimilitarisme ainsi peut-être qu’une volonté de salir la France et les Français avec des escroqueries d’après-guerre… Il est vrai que dénoncer des « produits dérivés » de la Grande Guerre permet de taire ceux de la dernière. Au revoir… PS : en toute amitié, Caroline. Pour mémoire : appréciations Titre Scènes violentes ou scabreuses Date Art et Essai Distributeur Il aurait été très dommage de ne pas le voir L’École buissonnière non 08/10/2017 Non Studio Canal Une excellente soirée Le Sens de la Fête non 05/10/2017 Non Un très bon film Faute d’amour oui 17/10/2017 oui Un bon film Au revoir là-haut Oui 06/11/2017 non Gaumont Distribution Peut-être faut-il le revoir ? Barry Seal : American Traffic oui 19/09/2017 non J’aurais pu ne pas le voir The Square Oui
(Cliquez sur les titres) 43 : Charles Péguy : "Pour la première fois dans l'histoire du monde l'argent est seul devant Dieu" 42 : Pierre Debray : La cathédrale effondrée 41 : Charles Maurras : L'avenir du Nationalisme français 40 : Charles Maurras : Maurrassisme et Catholicisme 39 : Pierre Boutang : Le mythe de la jeunesse 38 : Charles Maurras : Une Patrie... 37 : Charles Maurras : Affirmer hautement ses Racines, son Identité, son Être profond... pour mieux s'ouvrir à l'universel 36 : François Bluche : La "Monarchie absolue", c'est la monarchie parfaite 35 : Charles Maurras : La Monarchie fédérale 34 : Raymond Poincaré célèbre le cinquième centenaire de Jeanne d'Arc 33 : Pierre Boutang: Qui sera le Prince ? 32 : Yvan Blot : La démocratie est-elle la fille de la Révolution française ? 31 : Vladimir Volkoff : Du Sacré 30 : Jacques Bainville : dernières lignes du XXVIIème et dernier chapitre de Napoléon 29 : Vladimir Volkoff : Monarchie et Royauté 28 : Charles Maurras : Le Nationalisme français et le Nationalisme allemand 27 : Jacques Bainville, Chapitre VII et dernier de L'Histoire de deux Peuples : Le réveil de la Walkyrie 26 : Vladimir Volkoff : Du Roi , deuxième partie : L'héritier 25 : Vladimir Volkoff : Du Roi, première partie : Du Roi comme père / De la Reine 24 : Charles Maurras : Politique naturelle et politique sacrée 23 : François-René de Chateaubriand : L'idée chrétienne est l'avenir du monde 22 : André Malraux : "Oh, Jehanne, sans sépulcre et sans portrait..." 21 : Charles Maurras : Amis ou ennemis 20 : Charles Maurras : Qu'est-ce que la Civilisation ? 19 : François-René de Chateaubriand : De l'égalitarisme au goulag 18 : Maximilien Robespierre : Première intervention au cours du pseudo procès de Louis XVI 17 : Hilaire de Crémiers : Naissance d'une nation (deuxième partie) 17 : Hilaire de Crémiers : Naissance d'une nation (première partie) 16 : Jean-François Mattéi : Le Regard vide (III) 15 : Jean-François Mattéi : Le Regard vide (II) 14 : Jean-François Mattéi : Le Regard vide (I) 13 : Benoît XVI : Discours au Collège des Bernardins 12 : André Malraux : Préface de Mademoiselle Monk 11 : Vladimir Volkoff : Royauté et Incarnation 10 : Gustave Thibon : La paille des mots remplace le grain des choses 9 : Charles Maurras : Jean-Jacques, faux prophète 8 : Alexandre Soljénitsyne : Discours d'Harvard 7 : François-René de Chateaubriand : L'avenir du monde 6 : Vladimir Volkoff : Le roi, l'éternelle solution 5 : Hilaire de Crémiers : Benoît le romain 4 : Gustave Thibon : Le suprême risque et la suprême chance 3 : Pierre Boutang : Reprendre le pouvoir (Postface, extrait) 2 : Charles Maurras : Kiel et Tanger (chapitre XXIV, intégral) 1 : Alexandre Soljénitsyne : Discours des Lucs sur Boulogne lafautearousseau Qu’il célèbre Marseille ou Martigues, Charles Maurras évoque le passé, Jacques Gelu, « archevêque au temps de Jeanne d’Arc, dont il fut le soutien »1, ou « le bienheureux Gérard Tenque, fondateur des Moines hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem »2. Son amour des « républiques urbaines »3 s’enracine dans l’histoire et, quand elle ne fait pas croître ses craintes, elle le fait se « retourner vers le bel avenir », dans l’illusion de « l’Etat nouveau, l’Etat du Maréchal ».4 Bien que Maurras soit resté fidèle à son premier élan monarchiste, « Les libertés, en bas », son extrême lucidité a donné au projet de l’été 1899, comme à l’analyse qui le justifiait, la dimension d’une uchronie qui a, paradoxalement, désarmé plusieurs générations de royalistes. S’engager dans une campagne municipale exige, en effet, de traiter avec des citoyens retournés « à la condition individualiste du sauvage et du primitif. » Mais à l’heure où tombent en désuétude toutes les libertés, à l’heure où les métropoles étouffent les dernières initiatives communales, osons nous battre pour le candidat chez lequel l’Etat n’a pas encore atrophié « la fonction civique » ! Refusons d’être « traité(s) en mineur(s) » ! Elu député du troisième secteur de Paris, le 16 novembre 1924, Léon Daudet a de quoi nous surprendre ! Suivons-le en promenade ! « Il y a non loin de Toulon, à l’entrée des gorges d’Ollioules, un hameau, formé de quelques vieilles demeures, aussi ancien et mystérieux que les Beaux, nommé « Evenos », l’évènement, en provençal. Que s’est-il passé là, dont la trace est demeurée dans la dénomination ? Je l’ignore. »5 Tant mieux ! Evenos ! Créons l’évènement dans l’histoire de l’Action Française ! Agissons au second tour des élections municipales ! Dans l’interruption du scrutin, voyons la continuité du dessein providentiel que nous célébrons ! Jeanne la Pucelle n’a-t-elle pas repris l’épée de Godefroy de Bouillon ? N’a-t-elle pas été logée dans la Tour du Coudray où fut emprisonné Jacques de Morlay ? N’a-t-elle pas agi dans la continuité de l’Ordre du Temple ? L’épée de Jeanne est le signe d’une victoire dont nous pouvons suivre la trace, dans le calcul même de la défaite. 1 Marseille en Provence, Les tables claudiennes, Lardanchet, Lyon, 1944, p 88 • 1837 : Rois de France suivi de Napoléon, d’Honoré de Balzac. Réédité en 2017 par Africorient, Casablanca. •1924 : Histoire de France, de Jacques Bainville. • 1938 : La France et son armée, de Charles de Gaulle. • 1961 : Mahomet, de Maxime Rodinson. • 1971 : Race et Culture, de Claude Lévi-Strauss • 1990 : Le voile et la bannière, de Slimane Zeghidour, Hachette, Paris. • 1996 : Vivre avec l’Islam ?, sous la direction d’A. Laurent, Saint-Paul, Versailles. • 2000 : La France aux ordres d’un cadavre, de Maurice Druon, le Rocher, Monaco. • 2006 : Le premier sexe, d’Eric Zemmour, Denoël, Paris. • 2006 : Cette France qu’on oublie d’aimer, d’Andreï Makine, Flammarion, Paris. • 2013 : La France Orange mécanique, de Laurent Obertone, Ring, Paris. • 2014 : La France périphérique. Comment on a sacrifié les classes populaires, de Christophe Guilluy, Flammarion, Paris. • 2015 : Soumission, de Michel Houellebecq. • 2017 : Richelieu, de Sylvie Taussig, Gallimard, Paris. • 2018 : La France vendue à la découpe, de Laurent Izard, agrégé en économie, L’Artilleur, Paris • 2018 : Les 100 inventions qui font la fierté de la France, d’Emmanuel Hecht, le Figaro, 2018. [Suite et fin] ■ Durant les guerres civiles religieuses, la place de Dreux rejoint le camp des ligueurs catholiques s’opposant au roi Henri IV. En 1593, après trois ans de siège dirigé par Sully, la forteresse tombe. Près de deux siècles plus tard, en 1775, Louis XVI cède le comté de Dreux à son cousin le duc de Penthièvre. Après son décès en 1793, le château de Dreux est mis sous séquestre puis vendu aux enchères. Dès la Restauration, la fille du duc de Penthièvre, la duchesse d’Orléans, rachète le domaine et entreprend la construction d’une chapelle, destinée aux sépultures des morts de sa famille. C’est son fils Louis-Philippe qui en achèvera les travaux en 1822. A son accession au pouvoir en 1830, il fait de la chapelle la nécropole de sa famille et de ses descendants. Des travaux d’agrandissement sont à nouveau entrepris, dans un style néo-gothique, et s’achèvent en 1844. Aujourd’hui, on peut y admirer une cinquantaine de tombeaux de la famille d’Orléans, regroupés autour de la sépulture royale. Un autre bâtiment est accolé à l’Évêché. Il s’agit de la demeure privée du duc et de la duchesse de Vendôme et de leurs enfants. Cette demeure surplombe la ville de Dreux. Monument central, le domaine royal de Dreux est aujourd’hui pleinement intégré dans la vie de la ville et de sa région. La présence du Prince permet une forte synergie avec les autorités, qui n’hésitent pas à l’associer aux grands événements de l’agenda de la ville et de sa région. Fou. Cinglé. Maboul. Malade mental. Dingue. Irresponsable. En quelques mots, en quelques synonymes, on peut résumer l’épilogue de ce qu’on a appelé l’affaire Sarah Halimi, cette vieille dame juive assassinée au cri de « Allah Akbar » par son voisin, Kobili Traoré. Un crime ? Non ! Un assassinat antisémite ? Que nenni ! Un meurtre islamiste ? Pas d’amalgame ! Les experts ont évalué, tranché, décidé. Les experts ont expertisé et leur parole est sacrée. Kobili Traoré est fou. Cinglé. Maboul. Dingue. Irresponsable. La justice est bonne mère. La République aussi. Quand un homme boit avant de tuer, c’est une circonstance aggravante ; quand il fume du cannabis, c’est une circonstance atténuante ! Les djihadistes qui ont massacré chez Charlie ou au Bataclan consommaient eux aussi des drogues avant d’agir ; et criaient « Allah Akbar » au moment de passer à l’acte : ce qui prouve bien qu’ils sont fous ! Cinglés. Mabouls. Malades mentaux. Irresponsables. Le tueur de Nice ? Fou. Psychopathe. L’égorgeur du père Hamel ? Fou. Irresponsable. En effet, il faut être fou pour commettre des actes aussi cruels. Magnifique trouvaille. Magnifique excuse. Les SS d’Oradour qui ont brûlé des femmes et des enfants ? Fous. Les milices staliniennes qui affamaient les Ukrainiens ? Fous. Les sans-culottes qui exécutaient en masse, les 2 et 3 septembre 1792, aristocrates et prêtres, dans la prison du Temple ? Fous. Irresponsables. Comme disait Shakespeare : « L’histoire humaine, c’est un récit raconté par un idiot plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien. » Il n’y a plus de débats, plus de conflits politiques, plus d’affrontements idéologiques. Plus de militants, plus de combattants, plus d’ennemis. Plus de responsables. Pourquoi avoir jugé les dignitaires nazis au procès de Nuremberg ? Ils étaient tous fous. Pourquoi s’étriper encore sur Robespierre et la Terreur ? Il était fou. Rien que des fous et des asiles psychiatriques où les enfermer. Au fait: reconnu dément, Kobili Traoré ne sera pas pénalement responsable. Mais, en l’absence de pathologie mentale chronique, il ne sera pas non plus hospitalisable d’office à long terme. Bienvenue chez les fous ! ■ A partir du vendredi 19 juillet, et jusqu'à la fin du mois d'août, nous vous proposerons de découvrir, ou de mieux connaître, mais aussi de faire découvrir à d'autres (par le jeu des partages) l'immense Jacques Bainville, par le biais d'une photo quotidienne tirée de notre "Album Jacques Bainville" (lafautearousseau vous propose également un "Album Léon Daudet" et un "Album Charles Maurras"). Aujourd'hui : 25. Parution du "Napoléon" (III/III) 15 octobre 1931 : parution du Napoléon (III/III) Voici les dernières lignes du dernier chapitre du Napoléon de Jacques Bainville. Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos) |
La demande de pardon formulée par le prince Jean d'Orléans, Comte de Paris, à l'occasion de la messe du souvenir du 21 janvier 2020 célébrée en la chapelle Royale de Dreux, représente un moment fort de l'histoire de la royauté française auquel tout Français peut être sensible aujourd'hui, en particulier si son inclination penche vers une renaissance de l'institution royale dans notre pays. Avec clairvoyance et courage, le prince Jean d'Orléans a désiré réparer la faute commise par son ancêtre Philippe d'Orléans qui avait voté, pour le regretter ensuite, la mort de son cousin, le roi Louis XVI dans la suite de son procès sous la Révolution au cours duquel ses droits de la défense furent largement bafoués.
Le vote de Philippe d'Orléans ne lui profita pas car il périt lui-même peu après sous la guillotine. Elle ne lui fit gagner aucune sympathie de la part de Robespierre, le maître du moment, et des plus acharnés révolutionnaires.
Elle fut une faute envers le roi et sa famille et envers sa propre famille. Elle a été la cause d'un grand malaise et de divisions durables, compréhensibles mais stériles au sein de sympathisants de la cause royale, alors que tous devraient aspirer à son unité.
Par la demande de pardon solennellement exprimée par le Prince Jean en son nom, en sa qualité d'héritier du trône et au nom des siens, envers le roi Louis XVI et sa famille, on souhaite qu'une page se tourne dans la longue histoire de nos rois que beaucoup de Français espèrent voir reprendre le cours.
Ce repentir officiel et public du chef de la maison d'Orléans est considérable d'importance. Il ressoude l'hérédité des fautes jusqu'ici niée par les descendants, en même temps qu'il la fait absoudre par Celui qu'il implore.
Cette démarche d'humilité permet le raccord des quarante rois jusqu'ici impossible.
C'est un grand moment, solennisé par l'érection d'une stèle du souvenir de Louis XVI au sein de la Chapelle Royale de Dreux.
S'ils sont adroits, les docteurs de la monarchie ont ici matière à faire tomber le lambel de blocage.