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  • Marseille en déshérence

     

    Par Jean-Paul Brighelli

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgOn sait que nous aimons les textes de Jean-Paul Brighelli, son style, son humour, son expression directe et sans ambages, son érudition, son bon sens, son non-conformisme et jusqu'à la verdeur de son langage. Qui mieux que lui pouvait dire ce qu'il convient de penser des effondrements de Marseille ? Il l'a fait, dans son blog, ce 11 novembre. Voici !  LFAR  

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    A l'abandon, le centre-ville s'effondre...

    Il se passe toujours quelque chose à Marseille : parti couvrir la « marche blanche » des habitants du centre-ville priés de déménager pour cause d’instabilité architecturale, j’ai appris en cours de manifestation qu’un balcon s’était effondré Cours Garibaldi — à 30 mètres des voitures de police rangées en épi devant le plus gros commissariat de la ville. Beaux gravats, trois blessés légers. Rue coupée : de toute façon le Cours Lieutaud, dans le prolongement, l’est depuis une semaine, à cause des travaux de déblaiement des trois immeubles réduits en gravats.

    Et le temps que je monte sur place, la rue de Rome était coupée elle aussi, juste en face des coquillages de Toinou, par une intervention urgente des pompiers — que je salue au passage, il faut être doué d’ubiquité, en ce moment, dans cette ville, pour faire ce métier.

    Marseille est la seule ville de France dont le centre est laissé à l’abandon. La seule ville d’Europe dont l’habitat central, à 48%, est insalubre. Amis parisiens en quête d’exotisme et de Tiers-monde, renoncez au Nigeria, oubliez les Philippines, snobez le Liban : Beyrouth est à trois heures de train de la capitale, et s’appelle Marseille.

    Saint-paraboles.pngUne promenade, nez en l’air, vous en convaincra aisément. Les immeubles du Quartier Noailles furent jadis de bonne tenue. Mais les saints patrons installés aux corniches ne protègent plus les habitants des coups du sort et de l’incurie municipale. D’ailleurs, ils sont désormais en concurrence avec les poêles à frire qui permettent de capter Sainte Al Jezeera, nouvelles paraboles d’une nouvelle religion.  

    façade-2.pngLes façades écaillées, lézardées, condamnées,camouflent à peine les toits crevés, rue du Musée. C’est bien pour les pigeons. C’est médiocre pour les humains qui s’obstinent à vivre ici. Que ne déménagent-ils donc pour aller habiter le VIIIe arrondissement, comme Gaudin, ou le VIIe, comme la sénatrice Samia Ghali…

    Il y a deux Marseille. L’un commence à Castellane, occupe le Prado, le boulevard Michelet et le stade Vélodrome, jusqu’à l’obélisque de Mazargues, et s’étend jusqu’à la mer, via Borély et la Pointe Rouge, avec enclave au Roucas Blanc. L’autre — l’autre, c’est le reste de la ville. Une ville endettée au-delà du raisonnable, en quasi-cessation de paiement, qui ne tient debout, au jour le jour, que par son économie souterraine — les « Marrrrlboro » que vous fourguent les vendeurs à la sauvette dans la Quartier Noailles, justement, et le trafic de drogue. C’est ce qui met du bouillon dans le couscous — et rien d’autre.

    Burka.pngPlus de la moitié des habitants de la ville ne sont pas assujettis à l’impôt, par défaut de revenus — contre 12% à Lyon. Et le petit paquet noir assis sur une cagette au milieu du carrefour, c’est une gamine en burka qui fait la manche — c’était vendredi, jour propice à l’aumône…

    Mais tant que les touristes sont mis sur les rails du port, de Notre-Dame de la Garde et de l’abbaye de Saint-Victor, à la rigueur de ce café « si parisien » sis à côté de chez Lempereur, dont Giono parle si bien dans Noé… Tant qu’ils reviennent au bateau goinfrés de cartes postales visuelles et bien à l’abri de la misère qui, quoi qu’en ait dit Aznavour, n’est pas moins pénible au soleil… Tant que le tourisme va, rien ne peut troubler Jean-Claude Gaudin. Tout dans la façade !

    rue-daubagne.pngOui — mais les façades se lézardent. Un rapport en 2015 ciblait déjà les immeubles qui se sont effondrés, rue d’Aubagne ? Broutilles. C’est la faute à la pluie, as-tu dit…

    Eh bien non, Jean-Claude, ce n’est pas la faute à la pluie. Ce sont des immeubles de pauvres, construits au XVIIIe siècle (Sade est venu faire une orgie de flagellation rue d’Aubagne) avec des matériaux de pauvres — impossible de planter un clou dans le mur, c’est du mauvais mortier qui part en sable. Impossible de sauter à la corde dans les appartements : le sol est fait de canisses posés sur des poutres pourries.

    Et les rats qui peuplent la ville, et se nourrissent des déchets des pauvres, ce n’est pas non plus la faute à la pluie. Les moustiques qui ont empêché tes concitoyens de dormir, tout l’été, ce n’était pas la pluie non plus. 

    marseille-effondrement-centre-ville-gaudin-pluie.pngTu sais, mon Jean-Claude, je suis passé deux fois dans ton bureau du Sénat, quand tu en étais vice-président. Le gentil jeune homme rougissant qui te servait alors de secrétaire, et qui faisait une thèse sur Jacques Maritain (eh, sur qui d’autre pouvait-il la faire !) m’avait montré, très fier, les belles photos où tu posais en compagnie du pape. Es-tu allé à confesse récemment, Jean-Claude ? L’homicide par imprudence, par incurie, par incompétence, ce n’est pas prévu dans les canons de l’Eglise ? « Tu ne tueras point », Jean-Claude — remember ?

    Ou par choix. Le Stade oui, les grands centres commerciaux oui, les tours majestueuses qui dominent la rade, oui — mais la souffrance des pauvres gens… Que d’affaires juteuses se sont partagées, et se partagent encore, les magnats de l’immobilier ! Tout le monde sait que tu avais à cœur, dans ce domaine, de faire mieux que Gaston : rassure-toi, c’est fait. ■ 

    Jean-Paul Brighelli
    Enseignant et essayiste, anime le blog Bonnet d'âne hébergé par Causeur
  • Xavier Raufer : « La cybercriminalité, c’est la Banque de France sans les coffres-forts : on entre et on se sert ».

    Qu’est-ce que la cybercriminalité, qui touche les particuliers mais également les entreprises et les administrations ? Qui est derrière ce phénomène de piratage informatique et comment peut-on essayer de le contrer ?

    Explications de Xavier Raufer au micro de Boulevard Voltaire.


    Des villes, des collectivités et des sont parasités par des attaques informatiques. Ce phénomène s’est multiplié pendant l’épidémie de Covid-19. On pense, notamment, à la ville de qui a été handicapée pendant plus d’une semaine. D’où viennent ces attaques informatiques ?

    D’abord, je tiens à faire une petite rectification. La ville de Marseille n’a pas été handicapée pendant une semaine mais pendant plusieurs mois. Le piratage informatique, la saisie de tous les serveurs informatiques de la ville de Marseille par des pirates s’est accomplie le premier jour du premier confinement, le 16 mars dernier. Dans les semaines qui ont suivi, la ville de Marseille ne savait plus de quelles places elle disposait dans les cimetières. Il n’y avait plus moyen de savoir s’il fallait payer les gens ou non. La ville ne pouvait plus payer ses factures. Il a fallu tout reprendre à la main. Avec une habileté assez moyenne, la ville de Marseille avait mis les sauvegardes sur les serveurs mêmes : ils ont été naturellement paralysés. Si, à la dernière minute, un ingénieur informaticien de la ville de Marseille un peu plus malin que les autres n’avait pas songé à arracher une prise de courant d’un mur pour arrêter l’ordinateur et pour éviter que le piratage continue, toute l’informatique de la ville de Marseille aurait était cryptée à 100 % et perdue à tout jamais. Même quand on les paie, les individus en question ne vous rendent généralement pas ce qu’ils ont crypté et dont ils sont les seuls à posséder la clé. Ces affaires sont donc très graves.

    Je pense qu’il faut aller plus loin que les hôpitaux français, plus loin que les municipalités françaises, il faut aller dans le cyber-monde.

    En 2015, j’ai écrit un livre sur la cyber-criminologie, c’est-à-dire sur toutes les malfaçons et tous les crimes dans numérique, vue par un criminologue. J’avais eu l’idée de créer le théorème suivant : le cyber-monde, c’est la Banque de moins les coffres-forts. On entre et on se sert.

    En janvier 2021, nous avons découvert un piratage gigantesque de l’essentiel des ordinateurs des ministères, des grandes entreprises et des grands groupes américains. Les pirates sont passés par là et, ensuite, ils ont infiltré, mais on ne sait pas quoi. On s’en est rendu compte sept mois plus tard. C’est une société de informatique privée américaine qui s’est rendu compte du piratage. Elle a prévenu le FBI, la NSA, la CIA et le ministère de l’Intérieur américain. Ils n’avaient rien vu et n’étaient même pas au courant qu’ils étaient eux-mêmes piratés. Ces opérations sont gravissimes. Il se peut très bien que, dans sa complexité même, on ne sache plus comment faire pour protéger le système. Il est possible que ce système-là soit impossibles à protéger pour l’éternité. Voilà la situation.

    Comment expliquer que les entreprises soient incapables de se défendre efficacement ?

    Il suffit simplement d’avoir un minimum de connaissance informatique et d’avoir envie de le faire. Si vous allez sur le Darknet (l’Internet sous-terrain), celui qui n’apparaît pas sur les systèmes de référencement comme Google, vous aurez des entreprises clandestines qui vous louent du matériel pour pirater et des tutos pour vous apprendre à le faire. Cela ne sert donc à rien d’être un génie de l’informatique.

    Non seulement il y a l’Internet des gens comme nous qui allons nous acheter une paire de pantoufles sur Amazon, mais vous avez aussi l’Internet des objets. Si vous avez un système, chez vous, à qui il suffit d’adresser la parole, vous êtes piratable tout de suite.

    Savez-vous combien d’objets se connectent à l’Internet, en ce moment ? Il y a d’ores et déjà 30 milliards d’objets connectés à l’Internet.

    Savez-vous le rythme auquel les objets se connectent à l’Internet ? 5.700 objets nouveaux se connectent par minute. Toutes les images sont insuffisantes. Naturellement, cela crée à chaque fois des fragilités nouvelles. Plus un système est complexe, plus il est lourd, plus il est difficile à protéger. Comment voulez-vous protéger un océan dans lequel 5.700 litres d’eau arrivent chaque minute pour l’augmenter ? C’est impossible. À l’heure actuelle, on ne sait pas quoi faire…

    Le but de ces opérations de piratage est-il de séquestrer et de demander une rançon ?

    Ce que l’on voit montre que sont à l’œuvre des forces beaucoup plus sinistres. Derrière, il y a sans doute des pirates qui testent en permanence pour savoir comment, un jour, ils pourront paralyser un système. Avec Internet, vous pouvez très bien prendre le contrôle d’objets à distance, paralyser des réseaux électriques, paralyser des réseaux d’eau et empoisonner des réseaux d’eau.

    En Floride, au mois de janvier 2021, la personne qui surveillait le réseau informatique d’une ville s’est aperçu que des pirates avaient pris le contrôle d’un serveur et augmentaient de minute en minute le taux de chlore qui se trouvait dans l’eau pour la purifier. Petit à petit, la dose monte et, à force, elle devient mortelle.

    Jusqu’à présent, la criminalité du monde numérique avait toutes les caractéristiques de la criminalité du monde physique sauf une : tuer des gens physiquement était pratiquement impossible. Aujourd’hui, cela devient possible. Vous ouvrez un barrage après en avoir pris le contrôle. Vous augmentez la pression dans des ordinateurs d’une usine de manière à faire en sorte que l’usine explose par pression et vous créez un désastre important pour une région entière. Cette situation est très préoccupante.

    On sait protéger les ordinateurs à 90 %, mais plus cela avance, plus des petits génies sont capables de rentrer à peu près où ils veulent, même dans des ordinateurs les mieux protégés.

    L’année dernière, la Cour des comptes américaine avait payé des pirates pour essayer de rentrer dans les ordinateurs des systèmes de contrôle des missiles balistiques, des missiles qui peuvent envoyer des bombes atomiques. Ils ont pris le contrôle des ordinateurs et, le lendemain, lorsque les techniciens sont arrivés, l’écran de leurs ordinateurs avait été transformé en écran de flipper.

    À l’heure actuelle, on se demande ce qu’il est encore possible de protéger.

    Potentiellement, le monde peut s’effondrer…

    La seule façon que l’on ait de protéger un système, si jamais on entre dans une phase d’hostilité violente ou de guerre entre deux pays, est de le débrancher. Le seul problème, c’est qu’une fois qu’on l’a débranché, il ne marche plus. Les criminologues fréquentent les gens fréquentables comme vous, mon cher Marc, et les autres aussi. J’ai rencontré à plusieurs reprises des pirates. Ce qu’ils m’ont montré fait . Ils entrent où ils veulent.

     

    Xavier Raufer

    Docteur en géopolitique et criminologue
    Il enseigne dans les universités Panthéon-Assas (Paris II), George Mason (Washington DC) et Université de Sciences politiques et de droit (Pékin)
  • La Dizaine de MAGISTRO...

                Ces articles sont sur le site http://www.magistro.fr/ consultable à tout instant :  

    De bac en fac Hyacinthe-Marie HOUARD Fondateur de l'IRCOM d'Angers
    Le PS, toujours aveuglé par son antisarkozysme  Ivan RIOUFOL Journaliste
    L'itinéraire exemplaire du général Pierre-Marie Gallois Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
    Un cynisme peu reluisant  Denis TILLINAC écrivain, chroniqueur
    Non à Mayotte 101ème département  François JOURDIER Officier, Contre amiral (2S)
    Mayotte, une exception géopolitique mondiale Gérard-François DUMONT Recteur
    Le véritable enjeu turc   Olivier ABEL Professeur de philosophie éthique
    Conflit israëlo-Palestinien  Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
    Le bilan irakien contredit le panurgisme médiatique  Ivan RIOUFOL Journaliste
     

                Extrait du Roland Hureaux en hommage au Général Gallois (dans le quel on regrettera juste un surprenant "nulle étroitesse "maurrassienne" dans ce parti...", mais bon...) :

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                ".....Là où les esprits superficiels ne verront que palinodies et inconséquence, le général Gallois n’a en vérité suivi qu’une seule ligne, la plus droite qui soit : l’intérêt de la France. Un intérêt qui varie, comme nous l’apprend l’histoire, qu’il connaissait si bien, selon les temps et les circonstances et qui commande de savoir repérer à chaque moment où se trouve le danger principal.
                Nulle étroitesse "maurassienne" dans ce parti, mais au contraire, chez quelqu’un qui avait travaillé plusieurs années au SHAPE, une conscience aiguë que, dans un environnement international impitoyable, personne ne défendra nos intérêts à notre place.
                Ce qui, à vrai dire, est étonnant, ce n’est pas l’évolution du général Gallois, c’est que si peu en France, aient fait leur cette ligne, qui aurait du être normalement celle de la plus grande partie des élites françaises. Seule à notre connaissance, Marie-France Garaud, sa compagne en lucidité, a suivi le même itinéraire.

                Pourquoi un tel isolement ? D’abord parce les grands esprits comme lui sont rares : la plupart, qui semblent à un moment donné fonder leur engagement en raison sont en réalité victimes de la routine intellectuelle, du parti pris, de l’idéologie (qui est avec la corruption le pire ennemi de l’intérêt national). Ensuite parce qu’il était un homme libre : l’intégrité intellectuelle est inséparable de l’intégrité morale. Dans notre pays, il y avait le parti espagnol et le parti anglais ; il y a eu, plus récemment, celui de Londres et celui de Berlin, celui de Washington et celui de Moscou. Entre les deux, il y a, il devrait y avoir en tous cas le parti de la France. Rendant l’âme à Dieu à un moment où on peut se demander si ce parti existe encore, le général Gallois nous en rappelle l’éminente dignité.

  • La Dizaine de MAGISTRO...

           Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d'ailleurs, il faut aller à l'essentiel ...
    du (bon) sens et des fondamentaux ... un choix de civilisation !

           MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique.

    Des acteurs touchés par la grâce  Marie-Noëlle TRANCHANT  Journaliste culturelle
    Châteaux de cinéma  Marie-Noëlle TRANCHANT  Journaliste culturelle
    Enseignement : au-delà du métier   Hyacinte-Marie HOUARD  Abbé, fondateur de l'IRCOM d'Angers
    Perpétuité soldée  Bertrand GALIMARD FLAVIGNY Journaliste, écrivain
    Ma prédiction pour 2011  Ivan RIOUFOL  Journaliste
    En République démocratique du Congo, le Cardinal et le Président  Alain JOLY  Pasteur luthérien, Président du Consistoire luthérien de Paris
    Au chevet de Madagascar et de la Côte d'Ivoire  Alain JOLY  Pasteur luthérien
    Pour une Epiphanie des Chrétiens d’Orient  Frigide BARJOT  Parodiste
    Les bergers, premiers chroniqueurs de Noël  Alain JOLY  Pasteur luthérien
    Pour comprendre la crise de l'Eglise  François BRUNE  Prêtre, théologien

            Extrait du Tranchant (Des acteurs touché par la grâce, début) :

    L’Esprit souffle où il veut.

    Et pourquoi pas à travers un film ? Sorti depuis trois mois, Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois, qui relate les derniers moments des moines de Tibhirine, poursuit sa course à travers le monde. 3 millions de spectateurs l’ont vu en France, 50 pays étrangers l’ont acheté. Le film vient de recevoir une première récompense américaine, le prix de la critique new yorkaise.
    "C’est plus profond que le simple succès. Xavier Beauvois a fait de nous des témoins et des passeurs", dit l’un des acteurs. Toute l’équipe du film a le sentiment d’avoir vécu une aventure qui marque la vie, et qui se prolonge dans les rencontres avec le public, diffusant un esprit de fraternité et de paix dont le cinéma n’est pas coutumier. 
    "Si le tournage était exceptionnel par son intensité et son harmonie, les contacts avec le public ne le sont pas moins" dit Lambert Wilson. Comme il est le plus célèbre des acteurs du film, il est le plus habitué aux hommages populaires. "Mais là, il y a une tonalité nouvelle pour moi. Ce ne sont pas des compliments, mais des remerciements. Après des semaines, la ferveur et l’émotion restent intactes : c’est comme une action de grâces. Je n’ai jamais connu un effet pareil. L’autre nouveauté, pour moi, tient à l’aspect multigénérationnel : les ados ou les personnes âgées s’y retrouvent, en parlent avec le même élan de sincérité".

  • Bien commencé, ”Le bazar de la Charité”, une série qui s'enlise. Ou : commencé en fanfare, le bazar devient... bavard !

    Pourtant, elle avait bien commencé, cette série : la scène quasi initiale de l'incendie nous ramenait - toutes proportions gardées - à des ambiances comme celle du naufrage du Titanic (de Cameron) ou à la bataille initiale de Gladiator (avec l'inoubliable Russel Crow...)

    Pourtant, elle aurait pu bien continuer, cette série : en "exploitant" les possibilités qu'offrait ce personnage magnifique de la duchesse d'Alençon, qui fit preuve là d'un héroïsme et d'une abnégation, qui la menèrent à se sacrifier pour sauver les autres, tant d'autres ("Je sortirai la dernière..." devait-elle dire, poussant son sens du devoir jusqu'au sacrifice de sa vie).

    Oui, mais voilà : les producteurs ont choisi de montrer en quoi la tragédie avait bouleversé le destin de trois femmes; pourquoi pas ? sauf que cette option se révèle être d'une désolante banalité, embrouillée à l'extrême, et  finalement ennuyeuse à souhait...

    En somme, ils ont lâché la proie pour l'ombre : au lieu de parler d'une héroïne véritable, et du sens du devoir, de l'honneur, du sacrifice suprême, ils ont préféré parler de choses simplement humaines, trop humaines...

    Du trivial, en somme, au lieu de l'héroïque.

    Dommage !

    À 50 ans, Sophie-Charlotte affronta la mort de manière chrétienne et héroïque dans l’incendie du Bazar de la Charité, qui a fit environ 120 victimes le 4 mai 1897. Le Bazar était une ancienne écurie où se regroupaient différentes œuvres de bienfaisance, avec de nombreux comptoirs. « Cette année-là », raconte Geneviève Delaboudinière dans son livre Femmes de France, Femmes de feu, « il avait été construit un décor de carton-pâte, de velours, de vélum goudronné pour la toiture afin de reconstituer une rue de Paris. » 

    Sophie-Charlotte se tenait derrière le comptoir des noviciats dominicains, et reçut la visite du Nonce. Son mari était également présent. La vente fut un succès. Près de 1.500 personnes se pressaient dans le hall, long et étroit, animé par des orchestres. Tout à coup, le drame. Une allumette mit le feu à la bouteille d’éther du cinématographe. On cria : « Au feu ! ». Quinze minutes plus tard, tout avait brûlé. Le mari de Sophie-Charlotte tenta de rejoindre sa femme, mais les flammes se dressaient entre eux. Les derniers instants de la duchesse, rapportés notamment par une religieuse rescapée, montrent sa grandeur d’âme et son abnégation. Elle se préoccupa d’abord d’organiser la sortie des plus jeunes, des clientes et de ses vendeuses par une petite porte derrière le comptoir. On l’entendit dire : « Les jeunes d’abord, puis les visiteuses ». Puis elle ajouta : « Partez ! Ne vous occupez pas de moi, je partirai la dernière ». Lorsque la duchesse songea enfin à partir, elle se dirigea vers la porte principale, car c’est là qu’elle avait aperçu son mari pour la dernière fois. Mais le chemin était impraticable, ainsi que la petite porte derrière le comptoir. Elle se tint debout et pria. Et répondit à ceux qui paniquaient : « Dans quelques minutes, pensez que nous verrons Dieu, que nous serons au Ciel ».

    lafautearousseau

  • Actes antichrétiens : les Chemises blanches se retroussent les manches, par Joseph Gallard.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Le collectif Les Chemises blanches prend de l’ampleur, en cette fin d’été. Après avoir tracé une ligne rouge symbolisant le trajet macabre d’Axelle Dorier, après avoir symbolisé une justice bancale devant le tribunal de Marseille et après une balade à vélo munis de niqabs, le collectif s’est attaqué aux actes antichrétiens.

    1.jpegDans une vidéo publiée sur YouTube, on peut voir le collectif y dénoncer les trop nombreux actes qui ont ébranlé la communauté chrétienne, ces derniers mois. Mais visant plus loin, c’est le respect du patrimoine français que ces jeunes réclament. Le collectif a décidé d’agir et de protester à sa manière face à ces dérives. C’est en construisant une croix pour la chapelle de Saint-Pilon dans le Var – lieu d’une exaction – que le collectif a voulu montrer la détermination d’une France qui ne souhaite plus laisser faire les déconstructeurs de notre culture.

    La chapelle de Saint-Pilon est nichée dans le célèbre lieu de pèlerinage de la Sainte-Baume, dans le Centre Var. Située à 994 mètres d’altitude, la petite chapelle célébrant Marie-Madeleine a été, récemment, le théâtre d’un acte violent. Dans le week-end du 8 au 9 août, un groupe s’est introduit par effraction dans la chapelle et y a fracassé une statue en plâtre représentant sainte Marie-Madeleine. Dans les lieux était tagué qu’il était anormal « qu’une grande sainte comme sainte Marie-Madeleine soit représentée de telle manière ». Un acte d’ultra-religieux ou de personnes malveillantes voulant faire porter le chapeau à d’autres ? L’enquête est en cours.

    Les Chemises blanches ont construit une croix en chêne, qu’ils ont pris soin de faire bénir par le père Joseph. Ils ont ensuite effectué le trajet de la déambulation, partant de Nans-les-Pins pour se rendre tout en haut du pic de Saint-Pilon, pour y placer la croix en lieu et place de la statue tristement abattue. Le message est clair, selon Morgan, le responsable de ce mouvement : il faut agir pour éviter que des « symboles de notre patrimoine national soient les cibles d’une dégradation, par tout extrême que ce soit ». Au-delà de l’aspect religieux d’un tel lieu, c’est avant tout la volonté de protéger nos pierres qui font notre nation et, ainsi, « d’exprimer notre attachement au patrimoine français, ce qui a motivé notre action », précise Morgan.

    Cette déambulation a rassemblé près d’une centaine de personnes, en ce dimanche 30 août. Des Chemises blanches se réclamant apartisans et voulant incarner le sursaut de la France des territoires, face au laxisme étatique. D’autres actions sont prévues pour septembre.

     

    Joseph Gallard

    Étudiant en Sciences politiques
  • Pierre Moscovici et Claude Bartolone : plus ignare qu'eux, tu meurs !...

     

    Mur-bleu gds.jpgLe premier ignare a déclaré, en réaction à l'élection d'un maire musulman à Londres : « Je ne crois pas aux racines chrétiennes de l'Europe » Mais, c'est absurde, puisque, ces racines étant un fait historique, il ne s'agit pas d'y croire ou de ne pas y croire : dire que cela lui déplaît, oui, mais dire qu'il n'y croit pas, c'est proférer une insanité. Imagine-t-on quelqu'un dire qu'il ne croit pas que Washington soit la capitale des Etats-Unis ? Ou bien que le Kenya soit un pays d'Afrique ?...

    Le second a « fait plus fort » encore : croyant faire oeuvre de « féminisme », de  « non-sexisme » ou de promotion de la femme ou bien d'on-ne-sait-quoi, il a installé le buste d'Olympe de Gouges dans la salle des Quatre Colonnes, où députés et ministres croisent la presse. Sur son piédestal figurera la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, écrite par Olympe de Gouges, dont la statue prendra la place du buste d'Albert de Mun, grand royaliste social devant l'Eternel, et député royaliste élu jusqu'à la fin de sa vie (en 1914), qui sera déplacé au salon Pujol.

    Mais Bartolone l'a-t-il lue, cette Déclaration d'Olympe de Gouges ? Certainement pas. Sinon, il aurait bien vu que son préambule est « adressé » à ... Marie-Antoinette ! En réalité, Olympe de Gouges - de son vrai nom Marie Gouzes - a, comme tout le monde à l'époque, été emportée par le grand mouvement d'évolution nécessaire en 89, mais, très vite, constattant la transformation de cette évolution saine en révolution totalitaire et sanguinaire, elle s'opposa violemment aux révolutionnaires, inondant Paris de libelles et pamphlets contre Robespierre et sa clique. Elle alla même - lui en fallait-il, du courage !... - demander à défendre le roi lors de son pseudo-procès ! Demande évidemment refusée par les machistes révolutionnaires, mais qui la conduisit, avec ses libelles, à l'échafaud. Il est attesté qu'elle y monta en faisant preuve, comme la reine Marie-Antoinette, d'une fermeté et d'une grandeur d'âme qui frappèrent les assistants...

    Eclatons donc du grand rire de l'Immortel face à cette ignarité abyssale de certains de nos hommes politiques (Claude Bartolone est tout de même président de l'Assemblée nationale : ce n'est pas flatteur pour son niveau intellectuel !). Et remercions Bartolone d'avoir fait entrer à l'Assemblée... une si grande royaliste !  n

  • Plans banlieues: à qui profite l'argent des zones sensibles ?.....

             
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    Les millions chaque année déversés dans ce qu’il est convenu d’appeler les « quartiers » bénéficient d’abord aux associations. Environ la moitié des crédits de la politique de la ville y sont consacrés. Au nom de la proximité de terrain !..... (1)

              Chaque année, c’est la foire aux subventions. En 2006, 121 associations ont bénéficié des largesses de la délégation interministérielle de la ville (DIV), pour des montants toujours supérieurs à 5 000 euros. En Seine-Saint-Denis, pas moins de 876 associations ont été subventionnées par l’État (il y en avait 643 en 2004). Sur tout le territoire, on en compte en tout 15 000 qui œuvrent « au cœur de la politique de la Ville », selon la logomachie en vigueur. Le rapport Sandrier (du nom de ce député Gauche démocrate et républicaine du Cher), en 2001, en distinguait plusieurs types : les "associations de proximité", les "associations spécialisées par la définition du public adhérent mais dont les actions sont susceptibles de concerner tous les habitants", c’est-à-dire des associations regroupant des immigrés mais s’ouvrant "à un public plus large". Enfin les "associations tournées vers elles-mêmes", qui "situent d’abord leurs actions dans une perspective communautaire". Intéressant......

              Quand on traduit cette langue de bois, on comprend que la politique de la ville, qui n’a que le mot intégration à la bouche, n’a de cesse d’encourager le repli sur soi et l'enfermement communautaire dans les quartiers. C’est ainsi que les Scouts musulmans de France ont reçu 90 000 euros en 2005 ; l’Association des juristes berbères, 20 000 euros en 2003 ; la Coordination des Berbères de France, 20 000 euros en 2004. Trois exemples parmi des centaines d’autres......

              La Cour des comptes, dans son dernier rapport sur le sujet, souligne avec pudeur "l’insuffisance du suivi et du contrôle de subventions de l’État aux associations". La réalité est plus prosaïque : il n’y a pas de contrôle et quand une association réussit à toucher de l’argent une année, elle est quasiment assurée de le toucher à nouveau l’année suivante. Autres bénéficiaires : les entreprises des zones franches urbaines (ZFU). Elles profitent d’exemptions fiscales, qui équivalent à des emplois subventionnés. Il y a 100 zones franches urbaines. Or tout le monde sait et dit que:

    1°) Ces zones coûtent cher. Les exonérations de charges équivalent à 80 % des salaires bruts qui sont versés dans les entreprises. D’après l’économiste indépendant Laurent Martin, chaque emploi en ZFU, payé 1,05 SMIC en moyenne, reçoit des contribuables 0,84 SMIC de subvention.

    2°) Ces zones sont inefficaces. Il y a un effet d’aubaine évident dans ces emplois. Parmi les gens embauchés, on compte 62,5 % de chômeurs. Parmi eux beaucoup auraient été embauchés de toute façon. Les "nouveaux emplois" induits par ces zones franches ne sont donc pas si nouveaux que ça.

    3°) Ces zones sont injustes. Elles créent, entre les entreprises de la ZFU et leurs compétiteurs situés hors de la zone, une concurrence déloyale. Si l’entreprise concurrencée fait faillite, le mauvais emploi aura chassé le bon.

    4°) Ces zones enfin, entretiennent l’emploi de façon artificielle. Quand les subventions prennent fin, l’entreprise, bien souvent, s’écroule...

              Mais le piquant de tout ceci est que l’absence de résultats des "plans banlieue", loin de provoquer une remise en question du bien-fondé, incite les politiques, de droite comme de gauche, à en concocter de nouveaux, toujours plus coûteux ! Ce serait presque drôle s'il n'y avait là un scandaleux gaspillage, à très grande échelle, d'un argent public qui fait si gravement défaut par ailleurs, comme dans la Recherche par exemple, vraie créatrice d'emploi et permettant de véritablement préparer l'avenir....
              Pour conclure ce rapide tour d'horizon, rappelons qu'en 1994, les sommes consacrées à la politique de la ville atteignaient 1,4 milliards. L’an dernier, nous en étions à 7,2 milliards. Depuis 2000, on estime à 34 milliards les sommes englouties dans cette ruineuse politique. Si tant est que l’on puisse calculer les sommes en question : les contours de la politique de la ville sont difficiles à cerner. Les sommes consacrées à l’aide médicale d’État (AME), par exemple, ne sont pas comptabilisées comme en faisant partie. Elles représentent pourtant 1 milliard par an......

    (1): source: "Contribuables associés".

  • Éric Zemmour : « Paris n'est vraiment plus Paris »

      

    thUKZO41O8.jpg« Pendant des siècles, les classes sociales se mélangeaient dans les quartiers, les rues et les immeubles. Nous vivons la fin de cette histoire, regrette notre chroniqueur. » C'est ainsi que Le Figaro présente ce bel article. (Figaro Magazine du 22.03). Mais Zemmour dit beaucoup plus. Avec nostalgie et nous l'éprouvons aussi. Avec lucidité, de surcroît. Et il a, hélas, raison. ... LFAR  

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    « Paris a fait la France pendant mille ans. Elle la défait désormais sans état d'âme. »

    C'est pour une fois un titre mondial dont on se serait passé. Paris est - avec Singapour et Hongkong - la ville la plus chère du monde.

    Dans les palmarès précédents, qui ne prenaient en compte que l'immobilier, Paris était la plupart du temps devancée par Londres ou New York, mais cette fois, les auteurs de l'étude de l'EconomistIntelligence Unit (EIU) ont aussi tenu compte du prix d'autres produits et services, tels la nourriture, les voitures,ou les loyers. Cette étude sort quelques jours après le saccage de l'avenue des Champs-Elysées par des bandes de militants gauchistes militarisés, sous l'œil passif, et parfois même approbateur, de « gilets jaunes » qui investissent samedi après samedi « la plus belle avenue du monde ».Cette conjonction d'événements n'est sans doute pas fortuite. Paris faisait jadis les révolutions ; aujourd'hui, elle les subit. Le Paris populaire des faubourgs se révoltait et menaçait le pouvoir ; aujourd'hui, la France populaire des périphéries vient dans Paris menacer le pouvoir.

    AVT_Philippe-Aries_1987.jpgPendant des siècles, les classes sociales se mélangeaient dans les quartiers, les rues et les immeubles. Les distinctions sociales s'exprimaient dans ce monde sans ascenseur par la hauteur des étages où les pauvres devaient se hisser. L'historien Philippe Ariès [Photo] nous a appris qu'à partir du XIXe siècle, la bourgeoisie, refusant la promiscuité avec les « classes laborieuses, classes dangereuses », avait pris ses quartiers dans les nouveaux immeubles de l'ouest de la ville. Nous vivons la fin de cette histoire : les classes populaires ont été chassées de toute la cité, y compris de l'est de Paris, remplacées par les « bobos » et les immigrés, les « très aisés » et les « très aidés ».

    La volonté des « gilets jaunes » de défiler sur les Champs-Elysées est le symbole d'une réappropriation des cœurs des grandes villes d'où la mondialisation les a chassés: la mondialisation du haut par le coût de la vie ; la mondialisation du bas par l'immigration venue du sud de la planète.

    Une ville-monde

    PHO5255b03a-284b-11e4-975e-a3dfdd16c4d0-805x453.jpgToutes les métropoles du monde connaissent le même sort. C'est là qu'arrivent les flux de richesses et c'est là que se noue l'alliance entre les « vainqueurs de la mondialisation » et leurs « domestiques », immigrés venus servir les nouveaux maîtres du monde, garder leurs enfants, leur apporter des pizzas, ou travailler dans les cuisines de leurs restaurants, au détriment des peuples occidentaux.

    Paris y ajoute une particularité : elle fut la capitale de l'Etat-nation le plus centralisé du monde. Les élites de tout le pays se concentraient dans quelques rues. Désormais, Paris est une ville-monde, plus vraiment une ville française. La maire de Paris, la socialiste Anne Hidalgo, est l'incarnation de ce nouvel état d'esprit cosmopolite, qui se sent plus proche de ses collègues de Londres, de New York, que de Tarbes ou Montauban. Elle est citoyenne du monde et s'empresse de multiplier les camps de migrants. Paris a fait la France pendant mille ans. Elle la défait désormais sans état d'âme.   

  • Non à l'abattage des grands arbres de l'avenue Janvier à Rennes et d'ailleurs.

    Une reculade en laisse la moitié mais l'autre est menacé, Pire, 5 grands arbres ont été abattus illégalement via un passage en force qui se règlera au Tribunal Administratif - c'est la concertation sauce rennaise-.

    C'est une décision inadmissible, composée de contre-arguments qui desservent le Climat,  la qualité de l'air et la Santé publique et favorise les ilots de chaleur et l’impact des canicules : des écarts de 23C a 67C mesurés le 21 juillet 2020 a Rennes au sol et en façade a l’ombre des grands Charmes et au soleil, av Jean Janvier. L'effet canopée des grands arbres est démontré et agit donc positivement.

    Un comble pour une Ville relais santé de L’OMS. Nous ne partageons donc pas de telles pratiques d'un autre age et peu dignes d'une équipe municipale qui prétend défendre le cadre vert de notre ville et se prévalent dernièrement Écologistes.

    Rennes est de moins en moins une ville verte. Trop de zones naturelles sont minéralisées afin d'y accueillir des projets immobiliers qui, s'ils répondent en partie à un besoin d'élargir l'offre d'habitat, modifient surtout en profondeur les espaces de vie et de rencontre entre les habitants. On densifie l'habitat et dédensifie les grands arbres, totalement inacceptable et interdit ?

    En effet depuis 2017,  l'art L350-3 du Code de l’Environnement interdit l'abattage des arbres d’alignements, notamment le long de voies de communications, ce qui est le cas pour les avenues rennaises.

    Les grands arbres rennais, au delà de leur présence symbolique pour au moins deux générations de rennais, sont vivants et en force. Outre la captation  de carbone et la production d'oxygène, chaque grand arbres capte 20 Kg/an de particules fines -PM 10- et très fines -PM 2.5 et PM1-. Ils rendent donc des services vitaux a l'ensemble de la population, notamment lors des canicules. Savez vous que 67 000 décès prématurés par an en France sont dus uniquement a la pollution de l'air?    Les études en indiquent 520/an a Rennes Métropole et 260/an pour Rennes...

    Trop d'arbres coupés -700 durant le dernier mandat municipal- des sites naturels sacrifiés -Matelouères et St Martin,la Prévalaye-...et de places végétalisées -St Germain- ont été rasées  au motif de projets d'intérêt général, mais au fond qui servent surtout une métropolisation effréné qui se réalise au détriment de ses habitants. Les arbres ont droit de cité aussi en dehors des parcs et jardins.

    Ils sont le plus simplement du monde un héritage que nous devons respecter et dont nous devons prendre soin. Leur remplacement par des arbustes ne refera pas (re)vivre ces arbres.Aucune compensation n'est possible avant 50 a 70 ans, alors?

    Ces décisions, prises en conseil municipal et métropolitain et sans consultations locales , viennent modifier en profondeur l'approche de la vie politique telle que la considère les citoyens. Elle appelle une mobilisation citoyenne pour rappeler à l'équipe en place que les mandat confiés ne valent pas blanc seing et qu'ils doivent aussi rendre compte de ces actions nocives au final pour tous.

    Nous exigeons, par conséquent, l'abandon définitif de coupe de grand arbres et appelons un Plan arbres métropolitain inscrit dans le règlement littéral du PLUI, donc opposable...pour le Climat, la qualité de l'air et la Santé Publique

    Agissez également en soutenant financièrement ce combat pour le Bien commun que sont les grands arbres, lien adhésions/dons: https://www.helloasso.com/associations/la-nature-en-ville/adhesions/j-adhere-a-l-association-la-nature-en-ville

    En effet 4 recours contentieux sont déposés au Tribunal Administratif de Rennes : Fréville, Janvier, Buttes de Coesmes et Coquelin, un avocat est mandaté pour joindre ses 4 assignations et d'obtenir un jurisprudence forte.

  • Sur la page FB de l'Action Royaliste Rennaise : les Royalistes pour la cause des arbres à Rennes comme ailleurs !!

    Il y a quelques mois, sur RMC, un spécialiste des changements climatiques expliquait qu’un arbre, par sa simple existence, équivalait à l’efficacité de cinq climatiseurs : en période de fortes chaleurs, et nous n'y sommes pas encore en ce janvier confiné, l’argument peut être entendu plus facilement et largement, peut-être, qu’en temps normal.

    Or, dans certaines villes et dans des communes périphériques où le bitume marque l’envahissement « rurbain », les arbres sont souvent victimes de politiques qui se veulent d’aménagement quand elles ne sont, trop souvent, que d’arrangements commerciaux ou « économiques ».
    Et pourtant ! Un récent hors-série de La Vie-Sciences, en 2018, entièrement consacré aux arbres, a suscité notre attention. Ainsi, on y lit, sous la plume du botaniste Francis Hallé, quelques éléments qui montrent tout l’intérêt des arbres face au réchauffement climatique et à ses effets en milieu urbain : « Chacun sait bien qu’il trouve de la fraîcheur sous un arbre et encore plus dans un sous-bois. L’ombre coupe des effets du soleil, mais elle n’est pas seule responsable de la chute des températures. Cette dernière vient surtout de l’évaporation. Les arbres sont comme de formidables mèches : depuis leurs racines, l’humidité monte dans la plante, l’hydrate et finalement s’évapore par le haut, ce qui rafraîchit l’atmosphère. » Ce ne sont donc pas les misérables arbres en pot, à peine esthétiques, qui peuvent jouer le rôle de climatisation que les populations demandent parfois au cœur d’un été brûlant, puisqu’ils n’ont guère de racines, prisonniers qu’ils sont de leur carcan de plastique ou de bois peint.
    Dans la même revue, le géographe Bruno Sirven complète le propos de son prédécesseur : « En ville, l’arbre habite le milieu le plus hostile : air et sol viciés, chaleur, éclairage permanent, vandalisme, pare-chocs… Ses bienfaits sont particulièrement appréciés des citadins, car il leur rend la ville plus hospitalière.
    « Pour des raisons climatiques, d’abord. L’arbre abrite, il domine et offre un second toit aux immeubles. Il ombrage les terrasses et les jeux de boules, les foires et les marchés, et accompagne trajets et flâneries. Il fait chuter les températures estivales et combat les îlots de chaleur (jusqu’à 10 ° C). Que seraient nos villes sans ce parasol hors-pair ? Plus qu’un écran, il capte et diminue l’énergie solaire, ventile et hydrate l’air, le décrasse des gaz, suies, pollens et autres particules délétères. Il l’oxygène, l’ionise et même l’assainit en diffusant des molécules aseptisantes. »
    Ce rôle majeur de climatiseur naturel, mais qui n’est pas le seul bénéfique des arbres comme on peut le voir et le constater en se promenant sous leurs branches et feuillages, ne peut désormais être négligé par les édiles locaux, de Rennes comme d’ailleurs, et il devrait amener aussi les villes à envisager une replantation massive de rangées d’arbres, en prévision d’un avenir que nombre de scientifiques, pas encore démentis par les faits, nous annoncent marqué par un sensible réchauffement climatique (même si nous savons que, en histoire du climat, comme en histoire tout court, l’imprévu est toujours possible, pour le meilleur comme pour le pire). Jean de La Fontaine, en son temps, a tout dit de cette politique qui s’enracine (c’est le cas de le dire !) dans la durée, celle-là même que néglige trop souvent le « temps démocratique » : dans sa fable intitulée « Le Vieillard et les trois jeunes Hommes », il raconte l’histoire de cet octogénaire qui plantait des arbres quand les jeunes gens moquaient cette action dont il ne tirerait, croyaient-ils, aucun intérêt, eu égard à son grand âge. « Mes arrière-neveux me devront cet ombrage », affirme le vieil homme… Une politique « dynastique », en somme, qui pourrait profiter aux générations suivantes, et cela sur plusieurs décennies, voire siècles selon les espèces d’arbres envisagées.
    Aussi, la volonté municipale d’abattage des arbres dans nombre de grandes villes (y compris pour élargir des voies cyclables...), qui va à l’encontre de ce que les scientifiques prônent et de ce qu’il est raisonnable de faire ici et ailleurs, maintenant et demain, apparaît comme une absurdité écologique et, plus encore, un crime contre l’esprit et la raison : s’y opposer, c’est encore le meilleur moyen, ici et maintenant, de défendre la cause des arbres, et d’assurer celle des hommes !
     
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. Bientôt un "film-vérité" sur ce qui s'est passé en Atsakh : merci à Jean-Christophe Buisson pour l'info ! : 

    "Bientôt sur les écrans, le film essentiel, crucial, vital, de @al_bonnel : "Silence en Artsakh". Une enquête de plusieurs semaines sur ce qu'il s'est passé en #Artsakh #HautKarabakh cet automne : le nouveau martyre #armenien.
     
    Silence en Arstakh. On ne peut pas rester les bras croisés alors que l’on soupçonne quelque chose. C'est une mission. "Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie" (Albert Londres)
     
     
     
     
     
     
    2. Eric Zemmour relaxé du délit de contestation de crimes contre l’humanité. L’UEJF, la LICRA, le MRAP qui avaient lancé cette invraisemblable poursuite en sont pour leurs frais. "L’instrumentalisation de la Shoah à des fins politiques a ses limites" (réaction de Clément Weill-Raynal). Gilles-William Goldnadel déclare : "Je me suis affronté vivement et souvent à Zemmour sur la question Pétain. Je le trouve bien trop indulgent envers le Marechal félon . Mais il ne s’agit que d’une querelle historique. L’accuser de négationnisme relève de l’ignominie morale autant que de la stupidité juridique". 

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    3. Il avait arraché la banderole de Génération Identitaire durant la manif du gang des Traoré à Paris, mais le "héros" (!) de la gauche sans-papiériste/sans-frontiériste/migrantiste et tutti quanti ne serait, finalement,... qu'un vulgaire violeur ! Comme son "héros" à lui, Adama Traoré...

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    4. Il y a très peu de temps, on apprenait avec consternation que 100% des professeurs d'un Collège varois avaient refusé que l'on appelât leur Collège "Samuel Paty" : en voilà qui sont déjà prêts pour la "Soumission" dont parle Houellebecq, écrivions-nous ici-même, en guise de réaction dégoûtée face à cette lâcheté, annonciatrice de tous les renoncements ultérieurs de la part de "ces gens-là". La Ville de Voreppe, dans l'Isère, vient compenser cette lâcheté en honorant, elle, le professeur. Certes, le panneau aurait été plus polémique "avec", mais on regrettera malgré tout l'absence du terme "islamiste", qui devrait suivre celui de "terroriste"... 

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    5. Le fléau des mariages forcés dans cette nouvelle population qui refuse la France, ses Traditions, ses moeurs et coutumes... : Les mariages forcés concerneraient 200.000 femmes en France. Selon Saly Diop, cette pratique, identitaire, pourrait exploser en raison d'une "génération marquée par l'entre-soi et le rejet de la France, souhaitant reproduire le modèle familial" (l'article est malheureusement "réservé aux abonnés", mais même la lecture du seul "en-tête" est édifiante) :

    https://www.lefigaro.fr/actualite-france/on-est-d-accord-pour-te-donner-notre-fille-de-14-ans-le-fleau-des-mariages-forces-en-france-20210204

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    6. Sécurité : aucune ville française dans le top 100 des villes les plus sûres au monde ! La première ville française la plus sûre à se classer est Nice, qui est positionnée à la 194ème place. Résultat pourri/fruit pourri d'une politique pourrie menée sciemment et volontairement par le Système pour détruire "la France" en la diluant, depuis 1975, dans des flots ininterrompus d'étrangers : on en est à plus de quinze millions... 

    https://www.valeursactuelles.com/societe/securite-aucune-ville-francaise-dans-le-top-100-des-villes-les-plus-sures-au-monde-128116

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  • À la découverte du fonds lafautearousseau (60) : Comme presque toute la France, Lyon en révolte contre la Convention...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

     

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui :  Comme presque toute la France, Lyon en révolte contre la Convention...

    (tiré de notre Éphéméride du 8 Août)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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    1793 : Début du siège de deux mois de la ville de Lyon, insurgée contre la Convention       

     

    1. De Michel Mourre, Dictionnaire encyclopédique d'Histoire, page 2759 :

    "...En mai 1793, les Lyonnais se révoltèrent contre la Convention, et la commune insurrectionnelle, d'abord dirigée par des Girondins (Biroteau, Chasset), passa, dès la fin de juillet, aux mains des royalistes. Du 8 août au 9 octobre 1793, assiégée par une armée aux ordres de Dubois-Crancé, la ville se défendit avec héroïsme. Quand elle tomba enfin, la Convention décréta que Lyon serait détruite et qu'on ne laisserait debout que les maisons  des pauvres; la ville reçut le nom de Commune-Affranchie, qu'elle devait conserver jusqu'au 9 Thermidor. Collot d'Herbois et Fouché firent régner la Terreur (près de 700 personnes guillotinées ou mitraillées sommairement), mais Lyon échappa à la destruction projetée..."    

           

    2. De T. Bouzard, Anthologie du chant militaire français :

    "L’élimination des Girondins de la Convention, le 2 juin 1793, et la dictature instaurée par le Comité de salut public dirigé par les Montagnards entraîna de nombreux soulèvements en province. Lyon s’insurgea sous le commandement de Louis-François Perrin, comte de Précy, ancien officier de marine et ancien commandant de la garde de Louis XVI. Assiégée par les armées révolutionnaires de Dubois-Crancé, la ville est bombardée faute de pouvoir être investie. Réduits à la famine, les Lyonnais se battent à moins d’un contre dix. Lyon est finalement prise le 9 octobre 1793 et condamnée à être rasée par la Convention. Fouché, le futur ministre de la police de l’Empire, applique et exécute les Lyonnais au canon !"

          Louis François Perrin de Précy       

     

    Le 12 octobre 1793, le conventionnel Barère se vante de son succès en ses termes :

    "Lyon perdra son nom, elle sera appelée Ville-Affranchie. Elle sera détruite. Tout ce qui fut habité par le riche sera démoli, il ne restera que la maison du pauvre, les habitations des patriotes égarés ou proscrits, les édifices spécialement employés à l'industrie et les monuments consacrés à l'humanité et à l'instruction publique. Il sera élevé sur les ruines de Lyon une colonne qui attestera à la postérité les crimes et la punition des royalistes de cette ville avec cette inscription : Lyon fit la guerre à la liberté; Lyon n'est plus..."

     

    Environ 2.000 personnes sont fusillées ou guillotinées...

    C'est cet épisode héroïque et tragique qu'évoque le chant de "La Ligue Noire", ou des "Fantassins lyonnais" : les paroles de ce chant guerrier reprennent l’air d'une chanson d'Adam Billault, "Aussitôt que la lumière..."; elles furent écrites par un chasseur du bataillon de la Déserte : 

     

    Écouter  "La Ligue noire" ou "Les fantassins lyonnais" :

    (Paroles (complètes) : la ligue noire.pdf 

     

     

    (Gauthier et Albitte sont les conventionnels représentants le Comité de Salut Public;Montessuy est un fort situé au nord de Lyon.
    Caron fait référence à Charon, le fils des Ténèbres et de la Nuit qui, dans la mythologie grecque assurait le transport des défunt vers le royaume des morts, grâce à sa barque. Précy est le chef royaliste de l'insurrection : avec beaucoup d'autres, il a héroïquement défendu Louis XVI lors de la journée d'émeute du 10 Août, aux Tuileries...)
     

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  • Livres & Voyage • Venise, mythe éternel


    Par Jean Sévillia

     

    2266144432.jpgLes touristes peuvent envahir la place Saint-Marc et d'invraisemblables navires de croisière, semblables à des immeubles flottants, se profiler sur la lagune, le charme des lieux opère toujours : défiant le temps, écrasant de sa superbe les clichés qui courent à son encontre, Venise reste un des sites les plus saisissants au monde. Ici, dans un décor qu'il ne se lasse pas d'admirer, le visiteur a tout à la fois rendez-vous avec la foi, la politique, la littérature, la fête, la sensualité, la musique, la peinture, le . théâtre, l'opéra, le carnaval ou le cinéma, sans parler de la séduction de l'Italie. Afin de rendre compte de la multiplicité de ces facettes, la collection Bouquins consacre à la ville un livre qui s'inscrit dans une série où figurent Berlin, Istanbul, Lisbonne, New York, Saint-Pétersbourg ou Shanghaï (Histoire, promenades, anthologie et dictionnaire). Ce volume manifeste toutefois la volonté de passer en revue les classiques sans lesquels Venise ne serait plus Venise, mais aussi de mettre en avant des aspects moins connus, plus originaux, plus novateurs. Car la ville n'est pas une belle endormie, prisonnière de son passé : au XXIe siècle, elle demeure, quoi
    qu'il en soit, le coeur battant d'une aventure commencée sous Byzance. Dans ce livre, cinq chapitres initiaux sur l'histoire de la ville et un précieux résumé chronologique, à la fin de l'ouvrage, fournissent d'indispensables repères sur l'échelle des siècles, de l'élection du premier doge, en 697, à la chute de la République, en 1797, et de l'unité italienne à nos jours. Le reste du volume est organisé par thèmes. Quartier par quartier, les promenades nous guident entre canaux, églises et palais. L'anthologie littéraire nous conduit à travers les mille sources qui ont inspiré les écrivains d'hier et d'aujourd'hui : on passe, dans un savant désordre, de Hemingway à Julien Gracq, de Lawrence Durrell à Michel Tournier, et de Françoise Sagan à Philippe Delerm. Quant au dictionnaire, de Canaletto à Vivaldi et du Grand Canal à la Salute, il permet de réviser ses connaissances en quelques minutes. A lire pour préparer son voyage, à glisser dans sa valise en partant, et à relire après. 

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    Venise. Histoire, promenades, anthologie et dictionnaire, sous la direction de Delphine Cachet et Alessandro Scarsella, Robert Laffont, « Bouquins », 1216 p., 32 C.

    [Le Figaro magazine, 22.04]

  • Municipales : ”Grève civique”, ”insurrection froide”, le grand gagnant est l'abstention, le grand perdant, le Système...

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    Il y a en France 47,7 millions d'inscrits (94% des Français en âge de voter). Et si l'on ajoute les 6% de "non inscrits" (près de deux millions et demi, tout de même...) aux 60% d'abstention d'hier, peut-on dire que le Système se porte bien et que les élus représentent assez de citoyens pour être pleinement légitimes ? 
     
    Petit florilège (non exhaustif évidemment) de commentaires divers et variés...
     
    Aymeric Chauprade
     
    - Derrière le vert de l'écologie, le vert de l'islam.
    - electionsMunicipales2020 personne ne semble comprendre sur les plateaux de tv ce soir que la "poussée écologiste" à Strasbourg et dans beaucoup de villes est poussée dans le dos par les islamistes, Frères musulmans et autres obédiences. C'est l'islamo-gauchisme qui progresse
     
    Julien Rochedy
     
    Les écologistes, surtout des grandes villes, sont les plus grosses arnaques politiques de ces dernières années. Ce sont des gauchistes, des coco, des militants de toutes les causes postmodernes qui se sont juste repeints en vert après avoir découvert Ushuaia dans les années 90.
     
     
    Damien Rieu
    Abdelaziz Hamida est le nouveau maire de Goussainville, élu à l'issue d'une triangulaire dans cette ville de 30 000 habitants. Il est fiché S pour islamisme.
     
    L'abbé Tonière
     
    En réponse à DamienRieu
    En France, un maire n'a pas le droit de connaître les fichés S dans sa commune mais un fiché S a le droit de devenir maire!

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    Jean Messiha
     
    le vote vert est tout aussi bobo que le vote LREM, mais cette vague verte ne concerne que les grandes métropoles. Pas la France périphérique.
     
     
    Zam
     
     
    EELV c’est le cheval de Troie des islamistes et des frères musulmans. Des idées générales d’amour de la nature, du vivre ensemble et de la liberté de port du voile. En fait, La Régression en Marche...