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  • Question financière, question politique, par Hilaire de Crémiers

    (Voici l'analyse politique d'Hilaire de Crémiers parue dans le Politique magazine de septembre, n° 99)

    Malgré les propos d'Alain Minc et de Valéry Giscard d'Estaing, il n'y a plus aucune assurance à avoir dans le système financier et monétaire européen.

          Quelques chiffes : dans l’année qui vient, environ mille milliards d’euros de dettes – vraisemblablement plus –, inscrits dans le système bancaire européen, vont arriver, comme disent les financiers, à maturité. Dans les deux ans qui viennent, selon le dernier rapport du FMI, le besoin de refinancement des banques dans le monde s’élèvera à 3 600 milliards de dollars, sans doute bien davantage, car tout le monde ment ou dissimule. 

    CRISE LES MINISTRES SUGNENET LE PACTE DE STABILITE.jpg

    Les ministres des Finances signent le Pacte de stabilité européen....

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  • A qui profite le crime ? par François Reloujac

    (Voici l'analyse économique de François Reloujac, publiée dans le numéro de juin de Politique magazine. On a appris hier, en soirée, que Christine Lagrde était nommée Directrice générale du FMI, première femme à occuper ce poste...)

    Le scandale provoqué par Dominique Strauss-Kahn semble avoir donné de nombreuses arrière-pensées à diverses personnalités : 

    Nicolas Sarkozy, Martine Aubry, François Hollande, Marine Le Pen ou Christine Lagarde en France, ou les banquiers et économistes, John Lipsky, Grigori Martchenko, Augustin Carstens, Trevor Manuel, Kemal Dervis ailleurs dans le monde. Il paraît cependant plus important ici d’ouvrir des pistes de réflexion sur les conséquences économiques et politiques, directes et indirectes, de la démission de l’ancien directeur général du FMI. 

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     "...Une semaine à peine après la démission de DSK, Christine Lagarde était la favorite de l’ensemble des gouvernements européens. Ministre français de l’économie et des finances, ayant accompli une grande partie de sa carrière aux États-Unis, cette femme de caractère semblait avoir tous les atouts… sauf celui d’être une économiste !..."

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  • Mieux vaut en rire : Enfer et damnation ! Un délégué CGT candidat du FN ! Mais où allons-nous ?....

            On frémit en le rapportant, heureusement que nos fins limiers de la bien-pensance, vaillants débusqueurs d'ignominies et d'abominations, ont demasqué cet épouvantable Fabien Engelmann qui, délégué CGT, n'hésite pas à se présenter sur une liste Front National !

            Gloire soit rendue à ces intrépides chiens de garde, qui n'ont pas hesité à hurler sur les ondes pour nous mettre en garde contre le retour du fâchisme abhorré qui....que... etc... etc.....

            Plus inquiétant : on apprend aussi que d'autres fins limiers sont sur la piste d'un dangereux individu qui, au service de la haute finance internationale, de la fortune anonyme et vagabonde et du grand capital, prétendrait rouler dans la farine les vertueux ouvriers-écrasés-par-l'odieux-capitalisme-profiteur-affameur-et-exploiteur-du-peuple-et-des-masses-laborieuses (que Saint MARX les ait en sa sainte garde !...).

            On murmure que les fins limiers auraient pisté le redoutable personnage du côté de Washington....

  • Que se passera-t-il si.... Robert Zoellick a raison ?....

                La crise, personne ne peut dire exactement ce qu'elle nous réserve, et nul ne sait, bien sûr, ce qui va se passer. Nous n'allons donc pas nous complaire dans le rôle d'oiseaux de mauvaise augure, ni nous délecter de propos alarmistes entendus ici ou là. Cependant, c'est bien connu, gouverner c'est prévoir : on peut donc légitimement poser la question de la responsabilité des pouvoirs publics au sujet de certaines politiques menées depuis plusieurs années.

                Une chose est bien certaine, en effet, et c'est que, si l'augmentation du chômage se poursuit, et donc si le travail se raréfie, la politique insensée de recours à une immigration massive, qui est menée depuis une trentaine d'années en France et en Europe, risque fort de provoquer des tensions et des explosions dont nul ne peut prévoir ni l'ampleur ni les conséquences. On a tout de même détruit 187.000 emplois en France durant le premier trimestre.....

               Le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick, a lancé une mise en garde en ce sens. Il a estimé, dans un entretien publié le dimanche 24 mai, en Espagne, que la crise mondiale pourrait déboucher sur une "grave crise humaine et sociale", si des mesures adéquates ne sont pas prises à temps.

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