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charter

  • Prix orange et prix citron...

    le prix orange: à Eric Nolleau, pour la volée de bois vert qu'il a envoyé à BHL, lequel ne l'a pas volée !

                "La monnaie était jadis indexée sur l’or. Quel est l’étalon d’or pour les oeuvres de culture ? Les médias, la présence médiatieric-naulleau.jpgque ! Prenez Bernard-Henri Lévy, toute polémique mise à part. Son oeuvre ne m’inspire aucun respect. Voilà quelqu’un qui, depuis trente ans, est appelé philosophe sans avoir produit une seule ligne de philosophie, au sens strict du mot. Qu’est-ce, sinon l’indexation sur autre chose ? C’est parti de la fameuse émission de Pivot sur les nouveaux philosophes. Depuis, il est le « Philosophe ». Il a un avis sur tout. Ça n’existe nulle part au monde quelqu’un qui a un avis sur tout, sauf en France. On appelle cela par chez nous un intellectuel médiatique. L’indexation se fait uniquement sur les apparitions médiatiques, avec derrière un réseau redoutable, parce quand il sort un livre, ce n’est plus de la promo, c’est une sorte de rouleau compresseur. La quinzaine BHL…

                Je ne nie à personne le droit d’écrire un livre. Je demande seulement à ce qu’on ne me le présente pas comme un chef-d’oeuvre, si cela n’en est pas un, peu importe qu’il soit signé BHL ou Francis Lalanne. Ils ont parfaitement le droit d’écrire. Je lis dans Le Nouvel Observateur la contribution de BHL sur la crise de la gauche, où il nous explique qu’être de gauche, c’est être dreyfusard et anticolonialiste. À ce compte-là, le candidat de gauche va être élu au premier tour en 2012. Apparemment, il vit dans un monde déconnecté."

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  • Réponse à Ahmad et à Rahmatullah -et, surtout, à leurs manipulateurs: nous aussi "on a des droits", et nous aussi "on veut nos droits" !....

                  Complaisamment exhibés par des journalistes plus gauchos-trotskos que professionnels, Rahmatullah et Ahmad -qui se sont complaisamment aussi prêtés au jeu- sont deux Afghans impayables. On veut bien admettre qu'ils sont malheureux, et on veut bien compatir à leur triste sort. On veut bien trouver qu'ils n'ont peut-être pas de chance d'être afghans. Mais, quand ils disent qu'ils sont ici, c'est-à-dire chez nous, et qu'ils s'énervent, en disant qu'ils ne partiront pas car "ce qu'ils veulent ce sont leurs droits", là, il y a de l'abus.

                 Car, qu'y pouvons-nous, nous, s'ils ont des problèmes dans leur pays ? Ce n'est pas en nous mettant en demeure -en quelque sorte- de régler leur(s) problème(s) qu'ils feront avancer les choses, tout simplement parce que la France n'a pas juridiction en Afghanistan, et n'a de toutes façons aucun moyen d'action dans ce pays; et ce n'est pas en venant comme clandestins, ici, qu'ils contribueront à résoudre les problèmes, là-bas....

    afghn, clandos.jpg
    Ramatullah, le premier chéri des bobos-gauchos-trotskos.....

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