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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1552

  • La Grèce... ne nous fait pas peur ! Par Jean-Philippe CHAUVIN

    arton8470-7b8cd.jpgLa Grèce fait peur, une fois de plus : non pas que les Hellènes nous menacent d'une invasion mais plutôt d'une implosion du système de l'union monétaire européenne, à en croire les élites libérales et la Commission européenne elle-même qui oscille entre ton d'une rare fermeté et une certaine prudence, comme pour ne pas insulter l'avenir mais en se préparant à une confrontation musclée avec le gouvernement de la Gauche radicale issu des urnes grecques. 

    Bien sûr, et c'est le discours officiel que l'on entend partout dans les sphères bruxelloises, les Grecs ont exagéré, par le passé : ils ont cru que la société de consommation que venait leur « offrir » la Communauté économique européenne (devenue Union européenne au début des années 1990) était un cadeau que l'on n'oserait pas leur reprendre puisque « l'Europe », c'était la paix, la prospérité et, surtout, la solidarité, et qu'ils en profiteraient toujours...

     

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    Cadeau empoisonné car la société de consommation et de croissance ne fait jamais rien gratuitement et ce qu'elle « offre » un jour devient la dette du lendemain. Les Grecs, tout heureux d'être acceptés dans cette Europe à laquelle ils avaient donné son nom à travers un mythe ancien, ont joué les cigales et, croyant les européistes qui annonçaient à longueur de colonnes la fin des États remplacés par une Europe fédérale bruxelloise, n'ont rien fait pour construire un État, des institutions et un appareil politiques dignes de son histoire et de son destin. Mais, quand manque l’État, le chaos n'est pas loin, conjugué à l'injustice et à la corruption : c'est d'ailleurs une leçon que la Grèce, depuis l'Antiquité, nous donne à travers sa propre histoire.  

    La Grèce a connu une véritable descente aux enfers durant ces dernières années : bien sûr, elle avait fauté mais le châtiment n'était-il pas, en fait, injuste car frappant tous les Grecs et non, d'abord, les responsables politiques et économiques du pays qui l'avaient, par démagogie et carriérisme, mené à la catastrophe ? Certains me rétorqueront que les électeurs étaient tout aussi coupables que ceux qu'ils avaient élus, justement parce que, par le simple jeu démocratique et électoral, ils les avaient portés au pouvoir... Certes ! Mais, dans ce cas, que la démocratie est brutale ! Or, la politique n'a pas pour seul but de sanctionner mais de décider, de guider, mais aussi d'accorder les citoyens entre eux, de leur apporter les « hautes conditions du bonheur », non le Bonheur totalitaire d'un Saint-Just, mais celui qui permet l'harmonie du corps social et des citoyens avec le monde environnant, ce bonheur qui se conjugue au pluriel...  

    Peut-on oublier, aussi, que les institutions de l'Union européenne elle-même sont fautives puisqu'elles savaient qu'il y avait, au moment de l'entrée dans la zone euro, tricherie de la part du gouvernement grec d'alors, une tricherie facilitée par les banques dont la fameuse Goldman Sachs ? Mais il fallait alors que l'euro fasse rêver, car cette monnaie unique avait été présentée aux peuples comme cette solution-miracle qui allait, c'était certain, écarter tout risque de crise et assurer le plein-emploi et la prospérité au continent tout entier : on sait désormais que, s'il y avait tricherie, c'est d'abord et surtout de la part d'une Union européenne qui a menti pour faire avancer ses projets sans possibilité future de recours pour les États qui s'étaient engagés dans ce que l'on peut nommer l'aventure, sans que celle-ci soit vraiment assurée d'être heureuse... L'Europe a construit, par idéologie, son malheur et celui de ses peuples : que le peuple grec, abusé à la fois par sa classe politicienne indigne et par une Union européenne arrogante, décide désormais de « changer la donne » en rejetant bruyamment ses anciens partis dominants et en brandissant le poing devant le nez de « l'Europe », n'a rien, en définitive, de surprenant. Je ne suis pas certain que l'on puisse, malgré les errements anciens, l'en blâmer... Mais il est fort possible qu'il donne des idées à d'autres peuples d'Europe, ceux-là qui, d'ordinaire, désertent les urnes européennes pour mieux maugréer en vain contre un système qui leur échappe ou qui, déjà, s'en servent comme pavés pour se rappeler au bon souvenir des classes dirigeantes, nationales comme bruxelloises. En ce sens, la Grèce fait peur aux oligarchies qui, trop longtemps, ont cru qu'elles pourraient éternellement imposer leurs vues aux électeurs, au nom et par le moyen d'une démocratie représentative qui n'est pas celle que les Athéniens de Clisthène et de Périclès pratiquaient... Quand le royaliste Bernanos dénonçait la démocratie libérale comme le moyen politique du capitalisme de manœuvrer et dominer les foules, il visait juste ! Que, brusquement, ce système électoral se retourne contre ceux qui en vivaient et s'en servaient cyniquement pour légaliser leur domination, et voila que les masques tombent et que l'Union européenne s'inquiète ! Quoi ? Un peuple en dissidence ? Si ce n'est pas encore une révolution, c'est, assurément, une révolte... Où mènera-t-elle ? Nous verrons bien, et nous nous gardons, prudemment, d'en faire un modèle : regardons-la comme une expérience intéressante et, à coup sûr, instructive quelle que soit sa destinée. Mais, à défaut d'être nôtre, elle nous est un rappel que, en politique, rien, jamais, n'est impossible : une leçon que, en bons empiristes organisateurs, les royalistes ont retenu et ont bien l'intention, à leur tour et pour notre pays, de mettre en pratique...   

    Le blog de Jean-Philippe CHAVIN

  • Michel Houellebecq à Ruth Elkrief : "On ne peut pas être optimiste à l'heure actuelle"

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    Michel Houellebecq a dit des choses importantes à Ruth Elkrief, hier soir, sur BFM TV.

    Nous y reviendrons demain, vendredi et mettrons en ligne la vidéo de cet entretien Ruth Elkrief / Michel Houellebecq, dont, plusieurs passages doivent intéresser les royalistes que nous sommes.

    L'on pourra se reporter, d'ores et déjà, à l'excellent article de Léo Pougnet que nous avons publié vendredi dernier, 23 janvier.  • Lafautearousseau

     

  • Actualités du blog • Grands auteurs ou acteurs de l'Histoire : une bibliothèque qui s'enrichit et qui est à la disposition de tous ...

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    Les auteurs présents dans notre bibliothèque 

    Sauf exception, chaque vendredi, nous vous livrons une réflexion, une pensée brève, parfois une analyse plus étoffée, et certaines jours des vers, de l'un de nos grands auteurs français et européens, ou encore de quelques-uns des acteurs qui font ou ont fait l'Histoire, et qui, souvent, furent aussi des écrivains, des scientifiques, ou des artistes.   

    Notre galaxie personnelle et collective ne se limite pas, bien-sûr, aux quelques noms, aux quelques maîtres, pour ainsi dire, directs, à qui l'on voudrait nous limiter, ou auxquels, nous-mêmes, par facilité, pourrions être tentés de nous limiter. Ce genre de - d'ailleurs fausse - fidélité n'est pas fécond. Nos vraies références sont riches et multiples, dans l'espace et dans le temps. Il nous importe de nous y référer. Et lorsque on s'y attache, l'idée, la crainte, l'impression de notre isolement se dissipent, se relativisent et se métamorphosent en une forte impression de solidarité, de filiation heureuse avec tout un univers constitué de quelques-uns des esprits les plus marquants de notre culture, française et européenne.   

    Tel est l'esprit et l'objet de cette bibliothèque de textes et d'auteurs que nous constituons peu à peu, chaque vendredi. • 

    Déjà présents :

    •  Edgar Poe   •  le Dalaï Lama  •  Goethe   

    •  Tocqueville   •  Baudelaire  •  Anouilh

    •  Vaclav Havel   •  Claude Lévy-Strauss

    •  Charles Péguy   •  Dostoïevski  •  Racine     

    •  Malraux   •  Unamuno   Frédéric II

    •  La Satire Ménippée   •  George Steiner  

    •  Shakespeare  •  Balzac •  Auguste Comte 

    •  Jacques Perret   •  Paul Verlaine •  Louis XIV   

    •  Georges Bernanos   •  Anatole France  

     •  Pierre Manent •  Charles Maurras

    •  Alexandre Soljenitsyne •  Winston Churchill

    •  Le Pape François  •  Alfred de Musset 

    Une majorité de Français et de grands esprits européens (anglais, allemand, espagnol, tchèque et russe). Plus le Dalaï Lama ...

    Bien d'autres auteurs éclectiques et profonds sont à venir. « Du bonheur d'être réac ? » C'est, à des titres divers, ce qui les rassemble. Lecteurs, étudiants, universitaires, n'hésitez pas à consulter cette bibliothèque. Elle est faite pour vous; elle est à votre disposition !

    Icône en page d'accueil, colonne de gauche, partie haute.  

  • LE MOT DU PRÉSIDENT DE LA RESTAURATION NATIONALE : Un nouveau départ

    2920517656.jpgLe compte à rebours à commencé. Celui des "présidentielles" bien-sûr. Dans tous les camps, c’est presque devenu un boulot à plein temps. Sarkozy rebondit. "Ressuscite", disent même certains sans peur du ridicule. Juppé, le vieux qui veut jouer au jeune, déclare ne pas sentir la naphtaline et le prouve en se disant favorable à tout ce qu’il y a de plus avancé en matière sociétale. Comme Giscard le disait naguère de son libéralisme… Comme Raymond Barre, « le meilleur économiste de France », tentait en 1981 de refaire surface après une longue plongée, Juppé, « le meilleur d’entre nous », montre qu’il n’a rien perdu de sa superbe… mais beaucoup de ses certitudes. « Les partis politiques ne meurent jamais du trop plein de débats, du trop plein d’idées, du trop plein de personnalités fortes », minimise Sarkozy. Il verra bien ! Les Dati, Guaino, Wauquiez, Peltier rentreront sans doute dans le rang et continueront à faire matelas commun à l’UMP, mais rêveront à part d’une « droite des valeurs ». Que fera Mariton ? Ou Jean-Frédéric Poisson, du Parti Chrétien Démocrate, lequel doit penser tous les matins en se rasant qu’il pourrait bien participer à la primaire à droite ? Alors que la maison brûle, que s’accentue la déconstruction de nos forces vives et que se multiplient les plus folles dispositions gouvernementales, voilà à quel jeu, imposé par le système, joue la nouvelle opposition, à vrai dire pas si nouvelle, ni novatrice. On se borne à tabler sur le bilan désastreux de la gauche au pouvoir et à chercher qui sera la vedette principale. Mais pour faire quoi après ? A gauche on mise sur la déstabilisation de la droite, en faisant raisonner le bruit de toutes les casseroles possibles, réelles ou imaginaires. On - c’est-à dire Valls - songe aussi à la rénovation, exercice imposé par le délabrement de la popularité du président et du PS. Rude tâche à vrai dire que de dissiper une mélancolie de plus en plus chiffonnée par les ans. Des deux côtés de notre système hémiplégique on s’émeut de voir Marine Le Pen promise au second tour de la présidentielle. Cela pourrait bien être pourtant la planche de salut : celui qui arrivera au second tour face au FN n’aurait plus qu’à souffler dans la trompe du sursaut républicain pour emporter la mise. Ces grandes manoeuvres et petits calculs, ces ambitions personnelles et ce mépris du peuple réel ne sont pas une plongée dans les eaux profondes du dévoiement politicien. Ils ne sont qu’une nouvelle oscillation de cet éternel mouvement de fébrilité consubstantiel à nos institutions électives. Ils sont moins d’ordre anecdotique et conjoncturel que le corollaire de nos pratiques constitutionnelles. Le mal est donc plus profond que celui qu’on pourrait attribuer à la seule perversité de quelques hommes ou femmes.  

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    C’est pourquoi une réflexion profonde est nécessaire sur la question de l’État. C’est l’honneur de l’Action française d’y avoir incité tous ceux que préoccupe l’avenir de la France. Cette tâche est toujours la nôtre. Le colloque Vauban qui s’est tenu le 6 décembre à Paris doit être regardé comme un nouveau départ, presque comme un acte fondateur. De l’écho que nous donnerons à ce qui est entrepris ici, dépendra la renaissance d’une espérance. La situation de la France est d’une telle gravité, et les Français traînent une telle mélancolie en matière politique, qu’il est à la fois urgent et porteur de faire entendre la solution du projet royal. Chacun comprend de façon de plus en plus patente qu’attendre le salut public des tribulations politico-partisanes n’est pas ce qui est le plus rationnel. En 1958 De Gaulle écrivait : « Vais-je saisir l’occasion historique que m’offre la déconfiture des partis pour doter l'État d’institutions qui lui rendent, dans une forme appropriée aux temps modernes, la stabilité et la continuité dont il est privé depuis 169 ans ? Sans nul doute voilà le but que je poursuis et que je dois atteindre ». Peu importe ce que l’on pense de De Gaulle. L’important est que l’enjeu soit formulé et serve de ligne d’action. Le but n’a pas été atteint, car l’histoire est souvent faite d’occasions manquées. Il arrive aussi, heureusement, qu’il y en ait de réussies, même parmi les plus ambitieuses. Encore faut-il y travailler ! La déconfiture des partis est, comme en 1958, une réalité. Devenus des émigrés de l’intérieur, ils n’ont rien appris puisqu’ils ont tout oublié. Nous nous souvenons, nous, de ce qui peut être ferment d’avenir.

    Bernard Pascaud

  • Messe du 21 janvier à Marseille : Le reportage de la Fédération Royaliste Provençale

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    Mgr Jean-Pierre ELLUL et le Père Xavier MANZANO 

    La messe à la mémoire du roi Louis XVI et des victimes de la Révolution, célébrée le 21 janvier 2015 à Marseille, a été enregistrée. Voici le reportage vidéo réalisé par la FRP.

    On en retiendra notamment l'homélie du Père Xavier Manzano et la lecture du texte d'Albert Camus. A regarder et à méditer. 

     

    Peut être regardé en plein écran

     

  • Aymeric Chauprade : « Vous pensez que c'est vous qui désignez l'ennemi, mais c'est l'ennemi qui vous désigne »

    sans-titre.pngNous mettons en ligne, aujourd'hui, la vidéo dans laquelle Aymeric Chauprade donne son analyse de l’Islam comme problème intérieur majeur et comme problème géopolitique pour la France.  

    Ce qui nous intéresse, dans ce cas, ce ne sont évidemment pas les remous que la diffusion de cette vidéo peut produire au sein du Front National, sujet dont on sait qu'il n'est pas le nôtre, bien qu'il soit le seul - non son fond (!) - qui a retenu l'attention des médias ... Sur ce plan là, il nous paraît évident que le Front National est, au moins dans son fonctionnement, un parti comme les autres et que plus il grandira, plus il en sera ainsi. Nous dirons simplement que l'engagement d'Aymeric Chauprade au Front National n'est pas notre souci.   

    En revanche, son analyse des deux Islams, sa vision géostratégique, nous intéressent en tant que telles. Elles nous paraissent pertinentes. De même que ses propositions en matière de diplomatie. Voilà qui est plus important. 

    Ces réflexions ont aussi le mérite de rester dans les sujets évoqués ici-même par Louis-Joseph Delanglade, dans son lundi d'hier.  Lafautearousseau   

     

     Peut être regardé en plein écran

     

  • Que la France peut et doit manoeuvrer, par Louis-Joseph Delanglade

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    MM. Valls et Hollande ne cessent de répéter désormais que nous sommes en guerre et dannoncer une série de mesures. Un domaine, pourtant essentiel, semble oublié: celui de notre politique étrangère. Notre pays est en effet engagé dans une lutte qui sera longue et sanglante, une lutte qui dépasse le cadre de nos frontières, ce qui justifie quon sinterroge sur notre diplomatie. Cest au fond ce que M. Fillon vient de faire lorsquil suggère tout à la fois un rapprochement avec la Russie de M. Poutine et une sorte de rééquilibrage de notre politique au Proche-Orient. 

    A l’évidence, la Russie ne peut qu’être un allié de poids dans la guerre contre lislamo-terrorisme, dans la mesure où, pour avoir été plusieurs fois ensanglantée par la terreur verte (les Tchétchènes musulmans faisant systématiquement preuve dune rare violence), cette guerre fait partie de ses priorités. Anathématiser la Russie au nom de la religion des « Droits de lHomme » constitue une faute dautant plus impardonnable quen fait il sagit simplement de justifier un alignement pur et simple sur les Etats-Unis dAmérique, lesquels, pour des raisons qui leur sont propres, font de la Russie un ennemi stratégique. Ce quelle nest pas pour nous. Aussi ferions-nous mieux de refuser lalternative Russie~Etats-Unis et dentretenir, dans notre propre intérêt, des liens solides avec les deux.

     

    Quant au Proche-Orient, la France sest embourbée dans une démarche qui la réduit à n’être, là aussi, quun supplétif des errements de la politique américaine. Sil est légitime dentretenir avec le Qatar et lArabie Saoudite des rapports permettant de défendre certains intérêts commerciaux, les liens pour le moins « suspects » de ces deux pays avec notre ennemi avéré, lislamo-terrorisme et son substrat salafiste, devraient nous inciter à retrouver le chemin dune politique étrangère plus raisonnable. Une politique prenant en compte le fait que désormais, et sans doute pour longtemps, le sentiment dappartenir à une islamité sunnite transfrontalière domine et soulève les masses musulmanes, tournant ainsi la page des nationalismes arabes post-coloniaux. 

     

    Or, il existe dans la région au moins deux pays sans lesquels on ne pourra rien faire et avec lesquels on pourrait faire beaucoup : lIran chiite, contrepoids idéal à linternationalisme sunnite - volontiers terroriste (Al-Qaïda et sa filiale Aqmi, Daesh, Hamas, etc.) -, et la Syrie de M. Assad dont, on le voit bien, la déstabilisation constitue une catastrophe géopolitique et un drame humain pour toutes les « minorités » livrées à tous les excès du fanatisme religieux islamique. Il sagirait moins de sallier avec Damas et Téhéran que de favoriser leur (ré)intégration dans le jeu politique régional. Ce rééquilibrage nous permettrait par ailleurs denvisager à terme de nous désengager militairement dun théâtre dopérations où nous sommes probablement dans une situation sans issue.

     

    La voie peut paraître étroite, mais une chose est sûre : avoir nommé lennemi  risque de ne pas suffire si on refuse tout rapprochement avec ceux qui ont aussi dexcellentes raisons de le combattre.

  • A Suivre, demain ...

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  • La Semaine de MAGISTRO, une tribune d'information civique et politique

    1584417371_2.jpgAprès des années d'errance et par-delà les appareils et les discours dits de droite, dits de gauche ou d'ailleurs, ...  revenons aux fondamentaux !

     

    Pour cela, MAGISTRO vous invite à lire : 

      Aude de KERROS   Essayiste, sculpteur, graveur   Voeux, un @book
    •  Gérard-François DUMONT   Géographe, Professeur d'université à la Sorbonne 
        2014, annus horribilis pour les chrétiens d’Orient 
        Les défis de l'Union européenne
      Vincent DESPORTES   Officier général   l’opération Chammal en Irak
     Chantal DELSOL   Membre de l'Institut  Prise de conscience
    •  Maxime TANDONNET   Haut fonctionnaire   Discours de Valls : après l'émotion, place à l'action
    •  Patrice MAYNIAL   Ancien Directeur général de la Gendarmerie nationale   La parole à libérer
    •  Jean-Luc BASLE   Economiste   La France suivra-t-elle l’exemple américain après le 11 septembre ? 
     

    •  Marc DUGOIS  Avocat   Les autres fanatiques 
    •  Henri de SAIN-BON   Essayiste     Quelles réflexions m’inspirent les évènements actuels  
    •  Jacques BICHOT  Economiste, Professeur émérite à l'Université Lyon 3  Pourquoi réforme-t-on à tort et à travers ?
     •  Michel MAFFESOLI   Professeur de sociologie à la Sorbonne    Rites piaculaires   
       
    Transmettez, faites suivre ...  

  • MARSEILLE : 21 janvier en images ...

    Nous avons donné (vendredi 23 janvier) quelques images et un bref compte-rendu de la messe célébrée à Paris, le 21 janvier, à Saint Germain l'Auxerrois, à la mémoire du roi Louis XVI, en présence du comte de Paris. 

    En province, des cérémonies analogues ont également eu lieu en grand nombre, comme le montrent les longues listes que nous avons publiées régulièrement courant janvier.

    Il s'est agi, bien-sûr, de commémorer un évènement funeste de notre histoire, mais aussi d'en mesurer les conséquences, d'en analyser les prolongements actuels, afin de travailler à ce que Philippe de Villiers appelle  ce « grand mouvement de l’inversion » qu'il considère proche. Lequel ? Celui qui mettra en cause la Révolution, la Révolution historique (« La terreur est dans son ADN ») mais aussi la Révolution agissant aujourd’hui. « Il y a des signes du sursaut ; des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort ».  

    C'est dans cet esprit que Marseillais et Aixois ont organisé leur journée du 21 janvier 2015 et nous en donnons deux séries d'images : en premier lieu, celles qui ont trait à la Messe dite au Sacré Cœur; puis, celles qui évoquent le vin chaud servi ensuite, dans une atmosphère amicale et de libres discussions.  

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    Photos L'Action française Provence 

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    Photos Solange TRIMON 

    Dans les prochains jours, nous mettrons en ligne la vidéo de cette soirée, dont le point fort sera l'homélie - très remarquée - du Père Xavier Manzano.  • 

     

  • Loisirs • Culture • Traditions ...

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