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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1556

  • Livres • La sélection de janvier de la Librairie de Flore

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    L'Action française, parfois désignée sous l'acronyme AF, représente à la fois une école de pensée et un mouvement politique nationaliste qui s'est développé dans la première moitié du XXe siècle en France.
    Fondée en 1898 par Henri Vaugeois et Maurice Pujo sur une position antidreyfusarde, l'Action française devient monarchiste sous l'influence de Charles Maurras et de sa doctrine du nationalisme intégral, dite égaIement "maurassisme", L'AF évolue vers une idéologie nationaliste, contrerévolutionnaire, antirépublicaine et anti-individualiste, sur fond de positivisme et de transformisme.
    Dès lors, le mouvement revendique une monarchie traditionnelle, héréditaire, antiparlementaire et décentralisée.(...)

    Histoire de l'Action française des origines à 1945
    Lazare de Gérin-Ricard, Louis Truc.
    Éditions Deterna, 299 pages, 2014.

    26,00 euros  

     

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    Clotilde est chrétienne, jeune, belle et de noble lignée burgonde. Elle vit à la cour de son oncle Gondebaud, celui-là même qui avait massacré ses parents. (...)

     

    Clotilde
    Alain d'Orange, Monique Amiel.
    Éditions
    du Triomphe, 32 pages.

    14,70 euros 

     

     

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    Lot de 15 fascicules de formation :  Libéralisme et libertés, Maurras et la pensée d'Action Française, Henri Lagrange et le Cercle Proudhon, Argumentaire sur le libéralisme... 

     

    Lot de 15 fascicules de formation
    Action Française.

    50,00 euros

     

    Pour commander ...

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  • Retour à l'actualité, demain lundi ...

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  • Rachida DATI plaide pour que l’Europe reconnaisse officiellement ses racines chrétiennes. C'est bien le jour d'y penser !

    Au lendemain des évènements que la France vient de vivre et le jour où les principaux dirigeants européens se réuniront à Paris, ce serait en effet une bonne question à poser. A leur poser. Que l'on croie au ciel ou que l'on n'y croie pas, c'est se placer en position d'échec et de faiblesse que de nier ses racines, c'est à dire son identité, même si celles-ci n'excluent pas nécessairement ceux qui arrivent d'un autre monde, d'une autre civilisation ... s'ils veulent faire l'effort de s'intégrer à la nôtre.  

    Une des raisons de l'échec des Institutions européennes est très certainement leur refus de reconnaître les racines de l'Europe. Et, d'ailleurs, pour ce qui est de la France, pas seulement le Christianisme : la France est le seul pays d'Europe à avoir renié, nié, les quinze premiers siècles de son histoire ... 

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  • VOS CARTES DE VOEUX 2015, d'après des aquarelles élégantes et originales ...

    Commandez vos cartes de fin d'année
    Palais Royal Le Petit Trianon Le Grand Trianon Vase à Versailles

    VOS CARTES DE VOEUX
    La Restauration Nationale vous propose un jeu de cartes de voeux
    d’après des aquarelles originales :
    Les Invalides, le Palais Royal, le petit Trianon, Village de Provence...
    et d’autres modèles à découvrir.
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    Une manière élégante de présenter vos voeux à vos amis.

     

  • Loisirs • Culture • Traditions ...

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  • LIVRES • Pour saluer Thibon, une brève note de lecture de Remi Soulié dans le Figaro Magazine ...

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    GUSTAVE THIB0N, LA LEÇON DU SILENCE

    de Raphaël Debailiac, Desclée de Brouwer, 294 p., 18.90 €. 

    La pensée de Gustave Thibon (1903-2001) souffre d’être méconnue ou caricaturée, alors que l’expérience spirituelle dont elle témoigne est l’une des plus élevées du siècle dernier. C'est elle que Raphaël Debailiac restitue dans un essai qui relève aussi de l’anthologie puisque le philosophe y est abondamment et opportunément cité. Amour et violence, action et liberté, société et harmonie, temps et éternité, le jeune historien décrypte les paradoxes du « vieux penseur ardéchois » avec finesse et piété. 

    REMI SOULIE 

    Le Figaro magazine

  • SOCIETE • Les derniers hommes : les chiens, par Frédéric Becquérieux

    Chiens

     

    Avez-vous déjà lu un magazine cynophile ? J’ai bien dit cyno, pas ciné. Bref, un magazine pour les passionnés de chiens. Ça m’est arrivé par hasard. Eh bien, c’est l’expérience intellectuellement la plus dépaysante qu’on puisse faire dans notre joli monde. Imaginez : pas une once d’idéologie ! Des faits, des descriptions, des conseils, des comparaisons, le tout porté par un véritable amour du réel. A quoi s’intéressent les rédacteurs et les lecteurs d’une revue de ce genre ? D’abord aux différentes races de chiens.

    Figurez-vous que l’on peut aimer l’espèce canine en général, tout en reconnaissant qu’elle comprend différentes races. C’est d’ailleurs, en partie, ce qui fait le charme d’une espèce. Et l’on prend plaisir à lire la description des caractéristiques bien marquées des différentes races, ce qui suppose l’emploi d’une langue riche, capable de saisir les morphologies, les comportements, les tempéraments, les caractères, les vertus, les travers. On sent chez les rédacteurs et l’on suppose chez les lecteurs un véritable goût pour une chose que l’idéologie contemporaine du métissage voudrait voir disparaître, mais dont, par un mécanisme psychologique d’inversion compensatrice, elle nous rebat les oreilles tout en interdisant qu’on la décrive : la diversité.

    Dans une revue comme Atout chien (par exemple), c’est le contraire : on ne parle pas de la diversité, on la pratique. Sur cette question, la position de l’idéologie dominante concernant les humains est totalement absurde. Elle consiste à dire que 1° les races n’existent pas (il est même interdit de prononcer le mot), 2° que la diversité est une bonne chose (mais alors diversité de quoi?) et 3° que le métissage, qui consiste à faire diminuer progressivement la diversité pour aller vers un état général homogène, est quasiment une obligation morale. C’est exactement comme si quelqu’un vous disait : « Les appellations contrôlées pour les vins, ça n’existe pas; mais ce qui est bien, c’est la diversité des vins; d’ailleurs l’idéal, c’est de mélanger tous les vins. » On pourrait légitimement conclure qu’on a affaire à quelqu’un qui ne comprend pas le sens des mots, ou qui a définitivement renoncé au principe de non-contradiction.

    Mais revenons à nos chiens. Car ce n’est pas tout. Les magazines cynophiles traitent beaucoup du dressage et donnent aux maîtres des conseils d’éducation. On y apprend par exemple qu’il ne faut pas laisser croire au petit chiot qu’il est le maître, qu’il faut donc éviter de placer son panier à une place trop centrale ; qu’il ne faut pas lui céder systématiquement ; qu’il faut lui créer un cadre stable doté de règles simples et systématiquement appliquées ; on lit aussi que la télévision n’est pas bonne pour les chiots, et qu’il vaut mieux s’occuper d’eux, privilégier les interactions réelles. Vous apprendrez également que les déménagements fréquents et les divorces ne sont pas bons pour chiens (je n’invente rien), qui en sont troublés et attristés (d’une tristesse de chien, peut-être, mais attristés quand même). Vous lirez des articles sur la situations des chiens maltraités par les mendiants professionnels et autres punks-à-chiens qui se sont établis un peu partout aux abords des gares dans notre pays ; vous apprendrez même que les pouvoirs publics sont en passe de prendre des mesures de protection en faveur de ces malheureux animaux.

    Imaginons maintenant une revue intitulée Atout Homme, qui s’émerveillerait de la beauté des races, encouragerait le maintien de leur diversité, montrerait par des données empiriques que l’éducation libertaire est un désastre, que le bougisme est pathogène, que le divorce est un fléau et qui préconiserait de retirer aux Roms les enfants-esclaves qu’ils traînent dans le métro pour les faire mendier… On rêve. 

     

    Politique magazine -   

     

  • « Je suis France » : c'est ce que diront - et rien d'autre - les patriotes français qui n'accepteront pas le lancinant formatage médiatique des dernières heures ...

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    Source : Action française Provence

  • Sortir de l’ambiguïté • Par Jean-Baptiste d'Albaret

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    Cachez cette crèche que je ne saurais voir ! Le mois de décembre, qui est depuis 2 000 ans le mois de la fête de la Nativité, est aussi depuis plus de 100 ans celui où l’on commémore, en France, l’anniversaire de la loi de 1905 sur la séparation de l’église et de l’état. C’est l’occasion saisie par la « Fédération de la Libre Pensée » pour exiger que soit retirée des locaux du conseil général de Vendée, la crèche qui y est, selon l’habitude, installée tous les ans à l’approche de Noël. Le tribunal administratif de Nantes a sommé le président du Conseil général, Bruno Retailleau, de se plier aux exigences de ladite fédération dont la grotesque devise, « Ni Dieu, ni maître, à bas la calotte et vive la sociale ! », explique sans doute les indignations sélectives.

    Dans l’Hérault, c’est le préfet qui a demandé à Robert Ménard de démonter la crèche qu’il a fait placer dans sa mairie de Béziers. Il a refusé. Sa résistance a éveillé de nombreux soutiens, droite et gauche confondues.

    A défaut d’une expression de foi en l’avènement du Messie, ces manifestations de sympathie qui ont fleuri à travers tout le pays, notamment sur les réseaux sociaux, témoignent de l’attachement des Français à cette tradition populaire née du catholicisme. Une crèche dans un bâtiment public, et alors ? S’il est entendu que la foi relève d’une adhésion intime, le christianisme, n’en déplaise à Valéry Giscard d’Estaing ou à Jacques Chirac, irrigue en profondeur la culture des pays occidentaux.

    C’est en niant cette évidence qu’on érige en controverse ce qui n’est en réalité qu’un faux débat. D’abord parce que la laïcité étriquée, telle que la conçoivent les héritiers du petit père Combes, ne semble pas en mesure de répondre aux défis lancés par le fanatisme religieux – ce ne sont pas des catholiques qui posent aujourd’hui des bombes au nom de leur foi. Ensuite parce que la laïcité, ou mieux, la distinction de l’ordre laïc et de l’ordre religieux, n’est pas une fille des Lumières mais une notion apportée à l’histoire universelle par le christianisme. Et singulièrement dans notre pays, né en tant que nation politique par le baptême de Clovis, il y a 1 500 ans. Que nos hommes politiques reconnaissent ces simples faits d’évidence ! La vieille laïcité républicaine aura vécu et les Français, de toutes origines, ne s’en porteront que mieux.

    Politique magazine consacre un grand dossier aux dix-huit mois de pontificat de François. Ce pape qui se veut d’abord et avant tout évêque de Rome, impose son propre style, fait de simplicité affichée et de gestes spectaculaires. Or, ce style « bouleverse l’Église », comme affiche en « une » le Figaro Magazine du 19 décembre. Le Synode sur la famille a, en effet, suscité quelques incertitudes et inquiétudes quant aux intentions de François. Adulées par les médias, ses idées soulèvent, au Vatican même, des remous qui vont jusqu’à créer une certaine forme de résistance.

    L’inquiétude ressentie n’est pas tant au sujet de la forme d’une pastorale résolument missionnaire qu’à celui du fond qui touche aux questions de doctrine. Benoît XVI avait fait de « la réforme de la réforme » la priorité de son pontificat. Toute une jeune génération s’est identifiée à cette façon d’être catholique, décomplexée et à l’aise dans sa foi. Yann Raison du Cleuziou, dans l’enquête sociologique qu’il consacre aux « cathos d’aujourd’hui » (éd. Desclée de Brouwer), les appelle les catholiques « néoclassiques ». Forces vives du combat de la Manif pour tous, formés dans le creuset des JMJ et par l’enseignement magistériel de Jean-Paul II et de Benoît XVI, ils voient resurgir aujourd’hui des débats autour d’une prétendue « ouverture au monde » datant des années 70. Débats oubliés et, à vrai dire, bien usés…

    De cette question de l’attitude de Rome et des catholiques à l’égard du monde, agitée depuis 40 ans, dépend en partie l’avenir de l’Église. Or cet avenir – c’était la leçon du pontificat précédent – ne peut évidemment s’inscrire que dans l’unité et la continuité de la foi. Au risque de voir resurgir un vain combat entre anciens et modernes… où les modernes ne seraient pas forcément ceux qu’on croit.  

    * Politique magazine - L'éditorial

  • La leçon de Claude Lévi-Strauss : Elle nous concerne, comprenne qui pourra !

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    « Il n'est nullement coupable de placer une manière de vivre ou de penser au dessus de toutes les autres et d'éprouver peu d'attirance envers tels ou tels dont le genre de vie, respectable en lui-même, s'éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché. (...) Cette incommunicabilité relative n'autorise pas à opprimer ou à détruire les valeurs qu'on rejette ou leurs représentants, mais, maintenue dans ces limites, elle n'a rien de révoltant. Elle peut même représenter le prix à payer pour que les systèmes de valeurs de chaque famille spirituelle ou de chaque communauté se conservent et trouvent dans leur propre fonds les ressources nécessaires à leur renouvellement. » 

    Claude Lévi-Strauss, conférence à l'UNESCO, Race et culture

  • ”Louis XVI” 2015 !

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    Cliquez sur l'image ci-dessus pour ouvrir la liste 

    « On est près du grand mouvement de l’inversion ». Lequel ? Celui qui mettra en cause la Révolution, la Révolution historique (« La terreur est dans son ADN ») mais aussi la Révolution agissant aujourd’hui. « Il y a des signes du sursaut ; des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort ». Philippe de Villiers

     

  • Nous ne sommes pas tous Charlie, nous sommes tous la France

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgQuand on laisse entrer chez soi, en un laps de temps relativement court, des millions d’immigrés venus d’un autre continent, nés d’une civilisation radicalement différente, guidés par les mirages d’un niveau de vie que leur misère originelle rend terriblement attrayants et qui n’ont que peu de sens et de respect de ce que sont les mœurs, les lois, les traditions du pays où ils arrivent, quand on en a soi-même largement perdu l’amour et la pratique, il n’ya pas de quoi être étonnés des troubles et des violences qui se produisent inéluctablement. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit après les évènements tragiques d’hier, à Paris. Il y a longtemps, ici, en effet, que nous mettons en garde contre la politique d’immigration de la France, devenue plus périlleuse encore du fait de la crise économique et du laxisme de nos gouvernants. Du fait, aussi, d’un certain nombre de nos erreurs - de graves erreurs - en matière de politique étrangère. Il y a longtemps que nous signalons à quel point notre République vit sur une poudrière et qu’il peut arriver un temps où le travail de nos services de sécurité ne suffira plus à empêcher la multiplication des violences et des attentats. Ce temps est peut-être arrivé et il ne faut pas manquer d’en rechercher les causes, d’en marquer les responsabilités. Certes, tous les musulmans de France ne sont pas des terroristes. Loin de là. Nombre d’entre eux sont probablement en voie d’intégration. Et le réalisme devrait conduire, si nous en sommes capables, à les y aider, à les y encourager. Mais les risques de l’immigration massive demeurent ; elle est un terreau porteur de terribles dangers. Et, en tout cas, tous les terroristes qui menacent aujourd’hui la France le font au nom de l’Islam.    

    Notre seconde remarque est que la société de la liberté, de l’insolence et de l’irrespect que l’on nous prêche inlassablement depuis hier – mais liberté, insolence et irrespect factices et convenus qui cachent en réalité un profond conformisme et sont à sens unique – comporte en soi-même les germes de la dissolution et de la violence. Les médias, la pensée unique, ont immédiatement forgé, imposé le slogan « Nous sommes tous Charlie » et posé la « liberté d’expression » comme un absolu. Nous regrettons de dire que nous ne sommes pas de cet avis. Aucune liberté ne doit se considérer comme un absolu. Y compris la liberté d’expression, notamment celle de la presse qui ne devrait pas pouvoir manquer de s’imposer la règle, l’éthique, la déontologie qui donne à toute liberté sa définition et sa justification. C’est ce que Charlie Hebdo ne reconnaissait pas, ne s’imposait pas. L’on ne moque pas, selon nous, qui plus est de façon triviale, ce qui pour des milliards d’hommes, à tort ou à raison, constitue depuis des siècles des figures sacrées. Ainsi en est-il des figures de l’Islam, comme de celles du Christianisme. Les morts sont naturellement à regretter, leurs familles à plaindre. Mais – au risque de choquer – le coup porté à Charlie Hebdo ne nous paraît pas une perte de substance pour la France. 

    Nous ne sommes donc pas Charlie. Matteo Renzi, apportant le soutien de l’Italie, vient de déclarer : « On est tous la France ». C’est ce que, dans ces circonstances, il convient seul de dire et de penser.   Lafautearousseau

  • Houellebecq, invité iconoclaste de France Inter

    Michel Houellebecq, hier mercredi, au micro de France Inter

     

    PHO1431c792-9661-11e4-82d8-f3181779529e-805x453.jpgMichel Houellebecq invité de France Inter hier matin, à propos de son dernier livre, Soumission, ce fut comme le diable dans la sacristie, celui qui ébranle les colonnes du temple et se rit des dogmes de la religion invitante et dominante, un diable qui plus est « laconique et nonchalant » dont on n'ose pas vraiment interrompre les blasphèmes. Ce sont de terribles paroles que Patrick Cohen, Thomas Legrand, Bruno Duvic, en quelque sorte sidérés, ont dû entendre prononcer et supporter sans trop y réagir.

    Patrick Cohen demande timidement à Michel Houellebecq : « Vous imaginez la mort de la République » . Houellebecq lui répond tranquillement : « La France a existé avant la République, elle existera peut-être après. Ce n'est pas un de mes absolus, un de mes absolus transcendants.» Et de préciser : « Je peux m'adapter à plusieurs régimes ».

    Les Lumières sont mortes, il n'en reste presque plus rien, les hommes politiques ne sont pas à la hauteur, ce sont des personnages comiques, ridicules et méprisés, les juges, sont méprisés, les journalistes le sont aussi, la démocratie est ridiculisée, la France est aujourd'hui à droite, clairement à droite ... et gouvernée par la Gauche. Si cette société devait disparaître « je n'aurais rien à regretter.» Pour compléter l'ensemble, Michel Houellebecq déclare être nettement contre l'Europe...

    L'actualité politique est faite depuis quelques mois par les livres, par des auteurs, par des analyses et des réflexions qui toutes tendent à mettre le Système en cause. Et qui ont, dans l'esprit public français un immense écho. Un phénomène Houellebecq est-il en train de se produire comme il y a un phénomène Finkielkraut, un phénomène Zemmour ?  Est-ce le début d'un sursaut de l'intelligence française ? Un sursaut fondateur ? Il n'est plus déraisonnable aujourd'hui de l'espérer.  •  Lafautearousseau   

     

  • L’Église selon François : Le dossier du numéro de janvier de Politique magazine qui vient de paraître

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    Dossier : L’Église selon François

    Le 13 mars 2013, l’argentin Jorge Mario Bergoglio monte sur le siège de saint Pierre. Il hérite d’un monde catholique en pleine mutation. L’Asie apparaît aujourd’hui comme le continent le plus dynamique quand, en Europe, la situation des catholiques est très inégale. En France, si l’on s’appuie sur les chiffres, le catholicisme est ainsi en voie de quasi disparition…

    Un constat  à - largement - nuancer : la mobilisation de la Manif pour tous a laissé entrevoir la promesse d’un renouveau insoupçonné dont on peut trouver l’origine dans la vitalité des communautés nouvelles. A Rome, un mois après son élection, le pape François rendait public la constitution d’un groupe de travail chargé d’étudier un projet de réforme de la Curie. Une réforme que d’aucuns attendaient comme un « profond bouleversement ». Autre bouleversement : le Synode sur la famille. Certains observateurs ont même parler d’un « Vatican III ».

    Ainsi, alors même que les foules et les médias acclament François, une quantité non négligeable de catholiques sont désorientés par ses dix-huit premiers mois d’évêque de Rome. Inévitable tant ce pape est « inclassable ». Un pape François qui pourrait finalement se révéler plus « politique » que ce qu’il n’y paraît…

    •  Lire l'entretien de Politique magazine avec Jean-Marie Guénois :  « Un pape inclassable »

    - L’Église catholique dans le monde, par Julien Serey
    - Les surgeons d’un renouveau, par Gérard Leclerc
    - Un malaise François ?, par Thibaud Collin
    - François à l’assaut de la Curie, par l’abbé Claude Barthe
    - La seule multinationale qui tienne, par Christian Tarente 

    Et aussi dans ce numéro … 54 pages d’actualité, de réflexion et de culture !

    Analyse : Noël, fête de la naissance par Hilaire de Crémiers ; Société : L’illusion Sarkozy, par Jean de La Faverie  ; Tribune : le djhadisme : un humanisme, par Aristide Renou ; Monde : le grand jeu de l’énergie, par Georges-Henri Soutou ; Économie : Quand l’Europe tangue, par Alain Pélops ; Civilisation : Entretien avec Jean-Christian Petitfils : « On a fait de Louis XV un roi maudit » ; Histoire : Louis XV, le mal-aimé, par Anne Bernet…

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